Chapitre 5 : Déprime
Le titre du chapitre veut tout dire, ce n'est pas joyeux et je SAIS c'est encore un peu court mais essayez d'abord d'écrire un texte sur ce sujet et après on en reparlera !lol. Sinon je conseille à tout le monde d'aller faire un tour du côté de mon autre fic : Kill Legolas ( oui je sais c'est pas bien de faire de la pub !). Je crois que c'est tout ce que j'ai à dire à part merci pour vos reviews, elles me touchent beaucoup ! Big biZZZZZZZZzzzzzzzzz et mort aux virus informatiques !
Lorsque je me réveille, je me trouve dans une chambre. Ca peut ne pas sembler
extraordinaire mais je dois dire que depuis notre départ de Foncombe, les ne
sont pas très confortables. Je tourne légèrement la tête et je vois une elfe
penchée sur moi. Je reconnais en elle Dame Galadriel et j'en déduis que je suis à
Caras Galadhon dans la Lothlorien. Quelqu'un de la compagnie a donc pris la
peine de me porter jusqu'ici. Je me demande qui ça peut être.
Galadriel : « - C'est le jeune Legolas Greenleaf qui vous a amené ici.
Il y en a au moins un qui m'apprécie dans la communauté. Mais
expliquez-moi, vous qu'on dit si sage, ce que j'ai fait pour mériter leur haine. Je
ne suis pas responsable de ce qu'a fait mon père. Pourquoi ne veulent-ils pas le
comprendre ?
1. Ils ne vous haïssent pas. Ils ont juste besoin de quelqu'un à qui en
vouloir pour toutes les années de terreur qu'ils ont vécu et malheureusement
c'est tombé sur vous.
Mais les hobbits, eux, n'ont pas connu la guerre. Comment feraient-ils
pour savoir... - Les hobbits sont naïfs. Ils ne font que suivrent les conseils de leurs aînés
qu'ils croient meilleurs, mais ce n'est pas toujours le cas.
- C'est vrai. Malheureusement, il n'y a pas que ça.
- Vous avez peur n'est-ce pas ? Peur de ne pas être à la hauteur ?
Comment pourrais-je ne pas avoir peur ? Moi qui vais devoir affronter
mon père alors que je reste presque une semaine dans le coma après m'être
battue avec un simple Balrog ! Je suis trop faible te je ne peux rien y faire.
Vous n'avez pas encore tous vos pouvoirs et vous le savez. Ils finiront
par se manifester.
Oui mais quand ? Dans une semaine ? Un mois ? Un an ? Cent ans ? Il
sera trop tard !
Cela ne dépend que de vous... En attendant, je vais vous mener à vos
compagnons si vous pouvez vous lever. Ils veulent vous voir.
- C'est une plaisanterie ?
Non, ils ont explicitement demandé à vous voir dès que vous seriez
réveillée. Alors ? Êtes-vous capable de vous lever ?
- Je crois oui.
J'ai tout de même un peu de mal à tenir sur mes jambes. Par précaution, je
pratique un ou deux exercices de rééducation et, au bout de quelques minutes, je
marche normalement. J'accompagne Galadriel jusqu'à une petite clairière où est
aménagé un camp. Je ne peux m'empêcher de m'émerveiller devant la beauté du
monde qui m'entoure. Un havre de magie et de paix dans cet affreux monde. Il fait nuit (enfin je crois) et toutes les lumières sont allumées, petites étoiles sous
la voûte des grands arbres. Je distingue pourtant un feu au milieu du camp. Je
tremble, d'appréhension et de froid car même la dame des Galadrims ne peut
rien faire face à la rigueur de l'hiver. Elle n'en a d'ailleurs pas besoin, on m'a dit
que les elfes son insensibles aux changements de température. Nous nous
approchons. Je les vois serrés les uns contre les autres, près du feu, recherchant
un peu de chaleur. Je les vois si vulnérables, pensant être à l'abri derrière ces
frontières bien gardées. Je les vois si proches et je sens la jalousie envahir mon
cœur. Je cherche des yeux celui que j'aime. Il n'est pas là. Il se trouve sûrement
parmi les siens. Il doit être heureux de retrouver les arbres qu'il aime tant. Sa
maison, son chez lui. Pourquoi n'ais-je pas cette chance moi aussi d'avoir un
chez moi ? Un endroit où je serais sûre d'être aimée. Pourquoi a-t-il cette chance
et pas moi ? C'est injuste. Même s'il a grandi dans la haine, quand il se battait, il
savait que s'il revenait, il y aurait toujours quelqu'un pour l'accueillir. Que sait-
il de la souffrance ? Il a perdu sa mère, soit, mais j'ai perdu la mienne. Je
conçois qu'il soit dur de perdre un être qu'on aimait et qui nous aimait en retour.
Mais n'est-ce pas pire de voir mourir une personne qu'on aimait et dont on
attendait l'amour ? Car là on sait que cet amour ne viendra jamais même s'il
était vital. Ils croient tous avoir souffert mais ils ne savent pas et ne saurons
jamais ce qu'est la vraie douleur. Je voudrais me venger d'eux, me venger pour
ce qu'ils ont tous et que je n'aurais jamais : l'Amour. Ce sentiment merveilleux
que je ressens mais qu'on ne me rend jamais, toujours à sens unique. Cette haine
me détruit, j'en suis consciente et je veux y résister. C'est la seule façon de me
sortir de ce cauchemar, la seule façon de prouver ma valeur autrement que par le
mal et la seule façon d'être aimée. Galadriel, je sais que tu peux d'entendre et
que tu comprends ce que je ressens. Ne peux-tu pas m'aider, par un de tes
sortilèges à devenir celle que je voudrais être ? Ne peux-tu pas me montrer mon
avenir, si désastreux soit-il pour que je sache ce que je dois faire ? Ne peux-tu
pas répondre à mes questions ou ne le veux-tu point ? Devrais-je me débrouiller
seule comme toujours pour arriver à mes fins ? Réponds-moi, ô dame de Lorien,
je t'en prie, envoies-moi un signe pour que je sache que tu m'as entendue. Ne
me laisses pas seule ! Je t'en prie !
Le titre du chapitre veut tout dire, ce n'est pas joyeux et je SAIS c'est encore un peu court mais essayez d'abord d'écrire un texte sur ce sujet et après on en reparlera !lol. Sinon je conseille à tout le monde d'aller faire un tour du côté de mon autre fic : Kill Legolas ( oui je sais c'est pas bien de faire de la pub !). Je crois que c'est tout ce que j'ai à dire à part merci pour vos reviews, elles me touchent beaucoup ! Big biZZZZZZZZzzzzzzzzz et mort aux virus informatiques !
Lorsque je me réveille, je me trouve dans une chambre. Ca peut ne pas sembler
extraordinaire mais je dois dire que depuis notre départ de Foncombe, les ne
sont pas très confortables. Je tourne légèrement la tête et je vois une elfe
penchée sur moi. Je reconnais en elle Dame Galadriel et j'en déduis que je suis à
Caras Galadhon dans la Lothlorien. Quelqu'un de la compagnie a donc pris la
peine de me porter jusqu'ici. Je me demande qui ça peut être.
Galadriel : « - C'est le jeune Legolas Greenleaf qui vous a amené ici.
Il y en a au moins un qui m'apprécie dans la communauté. Mais
expliquez-moi, vous qu'on dit si sage, ce que j'ai fait pour mériter leur haine. Je
ne suis pas responsable de ce qu'a fait mon père. Pourquoi ne veulent-ils pas le
comprendre ?
1. Ils ne vous haïssent pas. Ils ont juste besoin de quelqu'un à qui en
vouloir pour toutes les années de terreur qu'ils ont vécu et malheureusement
c'est tombé sur vous.
Mais les hobbits, eux, n'ont pas connu la guerre. Comment feraient-ils
pour savoir... - Les hobbits sont naïfs. Ils ne font que suivrent les conseils de leurs aînés
qu'ils croient meilleurs, mais ce n'est pas toujours le cas.
- C'est vrai. Malheureusement, il n'y a pas que ça.
- Vous avez peur n'est-ce pas ? Peur de ne pas être à la hauteur ?
Comment pourrais-je ne pas avoir peur ? Moi qui vais devoir affronter
mon père alors que je reste presque une semaine dans le coma après m'être
battue avec un simple Balrog ! Je suis trop faible te je ne peux rien y faire.
Vous n'avez pas encore tous vos pouvoirs et vous le savez. Ils finiront
par se manifester.
Oui mais quand ? Dans une semaine ? Un mois ? Un an ? Cent ans ? Il
sera trop tard !
Cela ne dépend que de vous... En attendant, je vais vous mener à vos
compagnons si vous pouvez vous lever. Ils veulent vous voir.
- C'est une plaisanterie ?
Non, ils ont explicitement demandé à vous voir dès que vous seriez
réveillée. Alors ? Êtes-vous capable de vous lever ?
- Je crois oui.
J'ai tout de même un peu de mal à tenir sur mes jambes. Par précaution, je
pratique un ou deux exercices de rééducation et, au bout de quelques minutes, je
marche normalement. J'accompagne Galadriel jusqu'à une petite clairière où est
aménagé un camp. Je ne peux m'empêcher de m'émerveiller devant la beauté du
monde qui m'entoure. Un havre de magie et de paix dans cet affreux monde. Il fait nuit (enfin je crois) et toutes les lumières sont allumées, petites étoiles sous
la voûte des grands arbres. Je distingue pourtant un feu au milieu du camp. Je
tremble, d'appréhension et de froid car même la dame des Galadrims ne peut
rien faire face à la rigueur de l'hiver. Elle n'en a d'ailleurs pas besoin, on m'a dit
que les elfes son insensibles aux changements de température. Nous nous
approchons. Je les vois serrés les uns contre les autres, près du feu, recherchant
un peu de chaleur. Je les vois si vulnérables, pensant être à l'abri derrière ces
frontières bien gardées. Je les vois si proches et je sens la jalousie envahir mon
cœur. Je cherche des yeux celui que j'aime. Il n'est pas là. Il se trouve sûrement
parmi les siens. Il doit être heureux de retrouver les arbres qu'il aime tant. Sa
maison, son chez lui. Pourquoi n'ais-je pas cette chance moi aussi d'avoir un
chez moi ? Un endroit où je serais sûre d'être aimée. Pourquoi a-t-il cette chance
et pas moi ? C'est injuste. Même s'il a grandi dans la haine, quand il se battait, il
savait que s'il revenait, il y aurait toujours quelqu'un pour l'accueillir. Que sait-
il de la souffrance ? Il a perdu sa mère, soit, mais j'ai perdu la mienne. Je
conçois qu'il soit dur de perdre un être qu'on aimait et qui nous aimait en retour.
Mais n'est-ce pas pire de voir mourir une personne qu'on aimait et dont on
attendait l'amour ? Car là on sait que cet amour ne viendra jamais même s'il
était vital. Ils croient tous avoir souffert mais ils ne savent pas et ne saurons
jamais ce qu'est la vraie douleur. Je voudrais me venger d'eux, me venger pour
ce qu'ils ont tous et que je n'aurais jamais : l'Amour. Ce sentiment merveilleux
que je ressens mais qu'on ne me rend jamais, toujours à sens unique. Cette haine
me détruit, j'en suis consciente et je veux y résister. C'est la seule façon de me
sortir de ce cauchemar, la seule façon de prouver ma valeur autrement que par le
mal et la seule façon d'être aimée. Galadriel, je sais que tu peux d'entendre et
que tu comprends ce que je ressens. Ne peux-tu pas m'aider, par un de tes
sortilèges à devenir celle que je voudrais être ? Ne peux-tu pas me montrer mon
avenir, si désastreux soit-il pour que je sache ce que je dois faire ? Ne peux-tu
pas répondre à mes questions ou ne le veux-tu point ? Devrais-je me débrouiller
seule comme toujours pour arriver à mes fins ? Réponds-moi, ô dame de Lorien,
je t'en prie, envoies-moi un signe pour que je sache que tu m'as entendue. Ne
me laisses pas seule ! Je t'en prie !
