Pendant ce temps là chez Jabu en Algérie :
Le facteur arrive en bas de l'allée ou se trouvais la maison de Jabu, celui-ci arriva en courant et le lui demanda si il avait une lettre pour lui.
Jabu : Alors ? Alors ? Elle est arrivée ? Elle est arrivée ?
Facteur : Effectivement vous avez du courrier aujourd'hui.
Jabu : Et c'est quoi ? Et c'est quoi ????
Facteur : Vous savez que vous n'êtes pas obliger de répéter deux fois la même chose, je comprend bien les choses.
Jabu : C'est que vous comprenez, ça n'est pas une lettre ordinaire que j'attend. C'est une lettre de Saori...
Facteur : Je vois la lettre que vous attendez depuis deux semaines déjà ?
Jabu : Oui depuis qu'elle m'a appeler au téléphone, j'attend avec impatience la grande nouvelle qu'elle doit annoncer. Alors vous me la donner cette lettre ?
Facteur : Disons qu'il est amusant de vous voir trépigner comme un enfant.
Jabu fit une drôle de tête et se mit à rigoler en s'appercevant qu'éffectivement il était comme un enfant qui attendait de pouvoir ouvrir son cadeau... même si ça n'était pas encore l'heure.
Jabu : Vous avez raison, je suis un peu bête parfois... Mais Saori n'est pas une fille comme une autre... Elle est belle, merveilleuse... C'est une déesse. - dit-il en souriant à pleine dent, les yeux brillants comme des étoiles.
Facteur : Vous l'aimer ça se voit.
Jabu : Mais pas du tout non ? Qu'est-ce qui vous fait dire ça ?
Facteur : Rien, juste une intuition. Mais oublier ce que je viens de dire... Tenez prenez - Il lui tendit la lettre.
Jabu la prit en lançant un "Merci !" tout en partant en sautillant jusqu'à maison. Il observa son jardin et se fit la réflexion qu'il devait arroser ces rosiers rouge mais ça pouvais attendre la lettre de Saori était plus importante.
Une fois rentré dans le salon, il ouvrit la lettre que lui avait écrite Saori et il en était ravi, ils avaient garder le contact et s'écrivait souvent, et elle répondait à sa dernière lettre.
Elle avait joint l'invitation aux fillancailles. Jabu savait qu'elle avait un ami, mais il n'avait jamais imaginer que leur relation irai jusque là. Et c'est volontairement que Saori ne lui avait pas révéler le nom de son bien aimé.
A la fin de la lettre Saori lui annonçait non seulement qu'elle était fiancée, la nouvelle eu le même effet que la chaîne nébula d'andromède lors du tournois Galactique, ensuite elle lui annonçais que son fiancé n'était autre que Seiya.
La fureur commençait à monter en Jabu, son cosmos semblait à son maximum... Seyia.. Il n'en revenait pas. Seyia, cet arrogant il était dans une fureur hors du commun.
Jabu : Comment ? Cet Imbécile ? Comment est-ce qu'elle à pu tomber amoureuse de cet andouille, je n'en reviens pas !! Ce n'est pas croyable, ça doit être une erreur, même moi je suis mieux que lui !!!
Dans un accès de colère il donna un grand coup dans le mur de la maison qui eu pour effet de la faire s'éffondrer totalement, en effet la force avec laquelle Jabu avait porter son coup était à peu près équivalent à une tremblement de terre de force 7.
Il regretta aussitôt son geste. Il sorti des décombres et entrepris de chercher ces quelques affaires et aussi son armure.
C'était décider il retournais au Japon dès demain. Il verrais Saori et était bien décider à voir Seiya et à lui dire deux mots. Non mais.
Jabu pris son portable et appela Saori.
Saori : Oui Jabu
Jabu : Saori, je part dès ce soir pour le Japon, je serais là demain dans la journée ou plutôt la nuit pour toi.
Saori : Mais Jabu tu es sûr de vouloir venir aussi vite ?
Jabu : Bien sur que je suis sure. Cela te gène t'il ? Tu veut que j'aille dormir à l'hôtel ?
Saori : Non ne dit pas de bêtise Jabu, la fondation est grande tu peut rester dormir ici. Mais je t'en pris pas de bêtises avec Seiya.
Jabu : Tu sais bien qu'on à dépasser ça, nous sommes des adultes maintenant.
Saori : Bien, j'enverrais une voiture te chercher à l'aéroport.
Jabu : A demain.
Et il raccrocha, tout sourire, non seulement il allait revoir Saori mais aussi régler son compte à Seiya ce qui ne manquais pas de le mettre de la meilleure humeur possible.
Une fois l'armure retrouvée, il se mit en route pour l'aéroport.
