Ciao ciao !

Hé vi,

Incroyable mais, vrai,

J'arrête de bouder, je fais un break dans mon emploi du temps de ministre,

Et je vous poste un chapitre !

Voilà !

J'espère que vous aimerez !

Bisous !

dia'

Titre : Vivre, survivre à deux...ou trois !

Seconde Partie

Auteur : Diane

Spoiler : UNIQUEMENT LES QUATRE PREMIERS TOMES

ET NOS TOMES A NOUS ! ;) (Diane et Emma)

Disclaimer : Les persos et les bouquins d'Harry Potter ne nous appartiennent pas, ils sont à JK Rowling, mais tout le monde le sait !!

Et nous ne touchons pas d'argent sur cette fiction ! Mais !!! Gwendolyne Smith, Mélinda Potter, Christopher Black, Matthew Weasley, Lizzie, Kate, Jack, .... et l'histoire, tout droit sortie de notre imagination nous appartient ! et les autres persos comme Vindincta aussi ! Tout comme Paul Macadam ! Pas touche ! Propriété privée !

Résumé : 2ème partie : (suite des 3 fic précédentes)

Après Harry et Gwen, Christopher Black et Mélinda Potter semblent suivre le même chemin que leurs parents. Mais, chaque être est unique et aucune personne ne se ressemble...

Avertissement : G

Petits rappels :

Voldemort est mort, ainsi que Dumbledore. ( ainsi que Rémus et Neville)

Malgré tout, les mangemorts sont toujours en action avec, à leur tête, Vindincta père. Le fils est d'ailleurs entré dans ses rangs.

Hermione et Ron ont un fils ; Matthew Weasley. (et sont eux aussi mariés !)

Diana et Sirius sont mariés. Ils ont un enfant qui s'appelle Christopher.

Harry et Ron ont demandé à Gwendolyne et Hermione d'être leurs femmes.

Draco et Giny sont également mariés. Draco est décédé lors d'une attaque.

Harry et Gwen sont les sorciers les plus puissants qui existent mais pourraient être encore plus puissants et là personne ne les égalerait s'ils se mariaient. Gwen a le pouvoir élémentaire de la glace et Harry du feu.

Dumbledore avait le pouvoir de l'air et Voldemort de l'eau.

Ils ressentent toutes leurs émotions grâce à leurs bracelets d'héritiers.

Fumseck appartient à Harry, héritage de Gryffondor, tout comme la maison de Godric's Hollow.

Draco est décédé dernièrement lors d'une attaque.

Harry et Gwen sont mariés !

Mélinda Liliane Potter a 16 ans ! mais, mat, lizzie, chris et tous les autres en ont 17 au min !

Eléments à prendre en compte :

Chapitre 21 qui est très court et qui est en fait, un résumé !

Résumé du chapitre précédent :

Chapitre 33

Réconciliations en chaîne

John attaque mel dans un couloir, sa mère et son père viennent la sauver

Réconciliation avec tt le monde

John est expulsé

Chapitre 34

La seule solution

L'aube se levait à l'horizon, colorant le ciel de légères clartés pastelles, tirant des bleus pâles aux roses légers tandis que le soleil s'étirait avec flemme et lenteur, n'éclairant que légèrement les plaines alentours encore endormies. Le chant des oisillons s'élevait, en piaillement gais comme pour annoncer la venue du nouveau jour. Certains, plus enjoués que d'autres, batifolaient, tournoyant dans les airs, virevoltant avec légèreté et délicatesse. Sur l'herbe de Poudlard, humidifiée par la précoce rosée, une lourde cape sombre prolongeait avec lenteur et élégance, les pas d'un homme mûr, aux cheveux sombres et aux yeux d'un vert vif éclatant. Une expression interdite scellait son visage aux traits fins, légèrement éclairés par l'astre solaire qui venait de faire son apparition. Cependant, vu les cernes qui soulignaient ses yeux, le jour ou la nuit ne semblaient guère pour lui le moment de se reposer...

Harry Potter avait rejoint son poste de prédilection, la pelouse de Poudlard, au bord du lac où miroitait son reflet, et, où jadis, il avait crut percevoir celui de son père... Il recensait de bien tristes souvenirs, qui n'étaient pas des plus efficaces pour oublier la décision qu'il avait choisi cette nuit même. Malgré toute sa volonté, il ne pouvait s'empêcher de laisser la zone obscure l'emporter. Il ne pouvait se résoudre à abandonner cette lutte. Il allait faire de la politique.

Harry se rappellera toujours, de sa première apparition magique, le jour même de ses onze ans : Rubeus Hagrid. C'était le demi-géant qui lui avait dit que Dumbledore avait refusé le poste de ministre de la magie car il préférait l'école de Poudlard qu'il ne voulait pas laisser entre les mains d'imbéciles. ( NA : Moi ? Oserais je traiter Fudge d'imbécile ?! Meuh nan ! Vous plaisantez ?! J'oserais jamais ! ;) lol ) Et aujourd'hui, c'était à lui de prendre cette place, car, Poudlard ne risquait rien entre les mains de Gwendolyne. Cependant, s'il était encore temps de virer Macadam et sa clique du pouvoir, il espérait que tout ne soit pas encore perdu. Longtemps il avait hésité, puis, il avait regretté de ne pas avoir agi avant. Mais, il était trop tard pour se plonger dans le passé. Il n'y avait pas assez de temps pour cela.

Deux mains vinrent l'enlacer à la taille. Malgré toutes ses précautions et son agilité féminine, il l'avait entendu venir. Il s'empara de ses mains et elle posa sa tête sur l'une de ses épaules.

-C'est magnifique...murmura Gwendolyne. Tu t'es encore réveillé n'est ce pas ?

-Non, je ne me suis pas couché. Répondit Harry.

Sa femme soupira.

-Je n'ai pas eu le temps. Continua t'il. Je devais réfléchir.

-Je sais, comme d'habitude... Il se peut que je te paraisses égoïste en disant cela, mais j'ai besoin de toi près de moi ! Ajouta Gwen.

-Je le sais aussi ! Répliqua Harry. Je sais que tu as besoin de moi. Cependant, tu n'es pas la seule ! Tu sais que je ne supporte pas rester ici, sans rien faire. Je me suis enfin décidé à faire ce que j'aurais du faire depuis longtemps déjà ! Je vais entrer dans la politique !

-Mais, songe à Mélinda, Poudlard si tu ne m'aimes plus ! Je t'en prie ! Ne nous abandonne pas !

-Mais je t'aime encore ! Protesta Harry d'un ton badin. Mais tu sais parfaitement que je suis un héritier. Ce qui me donne des droits et des devoirs ! Je ne fais que ce que je dois faire et je le ferais avec ou sans toi.

-Mais, on a besoin de toi ici ! Rétorqua Gwen. Et puis, tu n'as plus quinze ans ! On a assez donné ! On a donné notre enfance et notre adolescence, même plus pour le monde ! Nos amis, nos proches, notre famille...sa voix s'étrangla. Et aujourd'hui, tu me demandes même notre amour...

Cette dernière phrase se perdit dans cette fraîche matinée. Harry resta de dos tandis que les mains qui l'enserraient s'enfuyaient. Il n'essaya pas de les retenir malgré le fait que cela lui soit insupportable. Il tenta une dernière fois sa chance, le dos tourné à a partenaire de toujours, sa voix s'élevant faiblement :

-Ce ne serait qu'une nouvelle épreuve, une nouvelle aventure...

-Je savais en t'épousant qui tu étais Harry Potter mais jamais je n'aurais pu croire que tu me détesterais autant. Dit elle froidement avant de partir.

Gwendolyne ne comprenait plus rien, ne savait plus qui elle était, ni où elle se trouvait. Elle marchait dans un univers inconnu, les dalles de ce château qu'elle avait si souvent foulées se dérobaient sous ses pas. Sans savoir ni comment ni pourquoi elle retrouva le chemin de son lit où elle s'allongea et pleura tout son saoul. Seule, elle était seule...

Aujourd'hui, Mélinda Potter s'était levée du bon pied et s'était décidée à enterrer totalement la hache de guerre avec ses parents. Elle se dirigea donc, le cœur léger vers leurs appartements. Elle avait un quart d'heure avant les cours, juste le temps adéquat. Elle frappa à la porte et attendit. Cependant, elle ne reçut pas la moindre réponse. Alors, à tout hasard, elle poussa la poignée de porte. Cette dernière s'ouvrit, à son plus grand étonnement. Elle pénétra, étonnée de ne percevoir le moindre bruit, une once d'appréhension menaçant d'habiter ses pensées. Soudain, elle entendit le son de légers sanglots qui lui enfoncèrent un couteau dans le cœur. Jamais, O grand jamais, elle aurait pu, même imaginer, cette scène. Sur le majestueux lit à baldaquin aux tentures pourpres et or, sa mère pleurait.

Elle avait toujours considéré ses parents comme infaillibles, gentils, d'une énorme puissance, d'une grande prestance, d'une dignité sans faille, imperturbables en n'importe quelle situation, ... Et là, sa mère pleurait ! Elle avait toujours été proche de ses parents et savait qu'ils avaient connu des moments très douloureux, mais...qu'avait il bien pu se passer pour que Gwendolyne se mette dans pareils états ? Tout à coup, une sombre idée la frappa, elle lui fit si peur qu'elle crut que d'un coup ses forces allaient lui manquer. Son père ! Il n'était pas là, et si jamais il lui était arrivé quelque chose... Cependant, elle reprit le contrôle de ses pensées et de ses émotions et se résolut à s'approcher de sa mère. Affectivement elle posa délicatement sa main sur son épaule agitée de soubresauts. Elle se retourna vivement et regarda sa fille avec les yeux du désespoir avant de la serrer contre elle.

L'étreinte ne dura que quelques instants, le temps que Gwendolyne reprenne le contrôle d'elle même. Puis, elle se résolut à tout raconter à sa fille, comme si c'était sa meilleure amie. Mélinda fut étonnée de cette confiance et de ces confidences, mais en fut encore plus heureuse, et gonflée de fierté. A la fin de leur entrevue, elle était de nouveau, en retard à son cours, qui cette fois, était celui de métamorphose. Avant d'entrer dans la classe, elle se promit d'aller parler à son père dès qu'elle aurait le temps. Heureusement, Hermione ne posa pas de problème, et ne retira même pas de points à Gryffondor pour son retard.

La matinée s'était déroulée comme d'habitude, c'est à dire, ennuyeuse à mourir ! Mélinda sortit de sa salle de classe d'histoire de la magie en courant, souhaitant trouver son père durant les heures du déjeuner. Cependant, quelqu'un la stoppa dans sa course, agrippant sa main au passage d'un couloir, ce qui fait, avec la vitesse, qu'elle se trouva dans les bras de celui-ci. Elle leva la tête pour trouver qui était le propriétaire de cette main et lui fit un sourire de toutes ses dents. Christopher se pencha et l'embrassa. Elle lui murmura.

-Tu m'as manqué...

-Je sais, lui répondit il avec un clin d'œil moqueur tandis qu'elle commençait à le chatouiller. Mais, dites moi gente dame, où courriez vous jolie damoiselle si ce n'était pour venir trouver votre preux et vaillant chevalier ?

-Mais qui vous dit que je n'allais pas le trouver ? Lui dit elle, en le taquinant. Vous n'êtes pas le seul mâle monsieur ! ;)

Devant l'air qu'afficha le capitaine de l'équipe de quidditch, Mélinda éclata de rire.

-Tu as raison, j'allais voir mon père. Il faut absolument que je lui parles. Affaire de famille. Ajouta t'elle.

-Ok bella ragazza, mais reviens vite. Répondit Chris avant de laisser s'en aller à contre cœur sa copine, un sourire collé au visage.

Mélinda rejoignit le bureau de son père et entra sans frapper. Il discutait avec le ministre de la magie, son ennemi juré, Paul Macadam. Son regard se voilà et son père lui lança également un regard noir. Elle sentit qu'elle avait fait une erreur.

-La fille Potter ! Evidemment ! Ce bureau est vrai bar Potter ! On y entre et on en sort comme bon nous semble ! A moins que l'éducation de votre fille fut une telle minorité de vos attentions qu'elle ne soit qu'une tare et...

Harry empoigna le col de Macadam, furieux.

-Espèce de crétin cria t'il, des flammes dansant dans ses yeux, ne t'avise pas de critiquer ma famille ! Tu sais parfaitement que tu n'as aucune chance !

-Oh, évidemment, la TRES célèbre famille Potter, ...presque aussi célèbre que celle des Macadam, presque...fit il d'un air narquois et amusé.

-Mélinda, sort ! Ordonna Harry, tandis que tous avaient oublié la présence de la jeune fille, même elle ne s'intéressait plus à sa question.

Elle obéis et attendit à la porte. Elle essaya à tout hasard d'écouter la conversation en collant son oreille à la porte, mais, c'était une chose stupide. Rares étaient les endroits les plus protégés du monde que ce bureau ! Quelques temps plus tard, Macadam sortit de la pièce, arborant toujours son air supérieur, mais avec, cependant, sa robe plus froissée qu'elle ne l'était à son arrivée. Elle attendit qu'il s'en alla et hésita ne sachant s'il était sage d'aborder les problèmes familiaux de ses parents après l'entrevue de son père avec son pire ennemi...Cependant, elle n'eut pas à attendre davantage car...

-Mélinda, je n'ai pas que ça à faire ! Tu entres ou tu t'en vas ? Demanda Harry.

La jeune fille entra.

-Tout d'abord je voudrais qu'une chose soit claire entre nous. Tu n'entreras jamais plus dans mon bureau sans frapper ! Est ce bien compris ?

-Oui papa mais...

-Non ! La coupa t'il. Il n'y a pas de mais ! C'est ainsi ! C'est tout ! Sinon, quelle était la raison de ta visite ?

J'espère que c'était important au moins !

-Evidemment !

-Alors ?

-C'est à propos de maman.

-Et ensuite ?

-Quoi ? Fit elle, interloquée.

-Je ne vois pas le problème.

-Tu rigoles j'espère ! S'exclama Mélinda en colère. Tu te rends comptes de ce que tu dis ? Te rends tu compte de ce que tu fais ?!

-Tout a fait, je sauve une bonne partie du monde !

-Je crois que tu n'as pas très bien compris ! Intervint Mélinda.

-Je crois que je suis bien plus expérimenté que toi pour savoir ce qu'est la vie et que tu n'as aucune leçon à me donner !

-Ne sais tu pas que l'on a toujours besoin d'un plus petit que soi ?

-Je suis ton père !

-Je n'en doute pas ! Cependant, mon père il serait judicieux de vous préoccuper de votre couple et de ne pas oublier de ne pas vous laisser dépasser par votre ego surdimensionné.

Harry ne put se retenir et laissa sa main partir, laissant une marque rouge bien visible.

-En effet, vous avez raison père, le monde est en parfaite sécurité entre vos mains, nous pouvons dormir tranquille. Répondit Mélinda d'un ton vide, les yeux brillants, avant de s'en aller en claquant la porte, troublant le silence qui venait de s'installer dans le bureau.

Harry posa les coudes sur son bureau et se prit la tête dans ses mains, se traitant de tous les noms possibles et inimaginables. Sa fille ! Il venait de frapper sa fille, puis, sans s'en rendre compte, vaincu par la fatigue, il s'endormit sans son bureau.

Mélinda n'avait pas pleuré. Bien entendu, elle savait qu'elle avait eu tord, qu'elle était allée trop loin, mais elle ne pouvait s'empêcher d'en vouloir à son père, blessée dans son propre orgueil. Les yeux toujours mouillés bien que ses larmes n'aient pas coulées (elle avait quand même eut mal !), elle avait sa main portée à sa joue tandis qu'elle descendait avec lenteur l'escalier de pierre. Là, à son étonnement, en bas, discutaient sa mère et son petit ami. Quand elle arriva, tous deux se tournèrent vers elle, avec un sourire, puis avec stupeur. Ils se précipitèrent sur elle, lui demandant qu'elle était la raison de la marque rouge sur sa joue. Mélinda rougit et mentit avec brio :

-Oh ! Ca ? Ce n'est rien ! Je me suis cognée en entrant, dit Mélinda, feignant l'indifférence. Papa a voulu me soigner mais j'ai refusé. Cependant, il n'a rien voulu entendre de ce que je voulais dire ! Il est plus têtu qu'une mule !

-Ne t'inquiète pas ma chérie, je suis sûre qu'il retrouvera la raison ! Merci de m'avoir aidé. Répondit Gwendolyne avec un sourire de compassion. Je vous laisse les tourtereaux, il ne vous reste plus longtemps pour que vous soyez ensemble !

Si sa technique avait marché avec sa mère, elle avait compris sous le regard accusateur mais lourd de reproches de Christopher, qu'il n'avait pas été dupe. Dès qu'ils furent seuls et dans un couloir sombre, il la fit entrer dans un passage dérober pour qu'ils se parlent à l'abri des regards indiscrets. Il l'a prit dans ses bras et lui demanda inquiet :

-Vas tu m'expliquer ce qu'il se passe ou peut être ne suis je pas suffisamment digne de confiance ?

-Mais non voyons ! Tu sais bien que je t'ai toujours tout dit ! Je vais te raconter, mais je te préviens, c'est long !

Christopher resta interdit au récit de sa petite amie, se contentant de la serrer dans ses bras et de la bercer lentement pour l'apaiser et l'inciter à poursuivre. Cependant, elle eut toutes les peines du monde à le retenir de ne pas aller voir Harry et s'expliquer avec lui ! N'importe qui aurait prit ça à la légère, mais, Mélinda était bien placée pour savoir que son petit ami ne plaisantait pas et qu'il pouvait entrer dans des états de fureurs insurmontables ! Ils durent cependant aller à leur cours d'enchantement mais, là, sur le pas de la porte, Chris lui dit :

-Mince ! J'ai oublié mon livre ! Ne t'inquiète pas, je reviens tout de suite ! Il l'embrassa brièvement et partit en courant.

La sonnerie retentit et la porte de la classe d'enchantements se ferma. Christopher sortit de sa cachette et partit dans la direction opposée de la tour de Gryffondor : le bureau directorial. Il frappa et attendit, légèrement nerveux. Harry lui demanda d'entrer.

-Chris ? Tu n'as pas cours d'enchantements ? Demanda t'il étonné.

-Si mais je pense qu'il y a des choses bien plus importantes et urgentes à traiter.

-D'accord. Assied toi.

Chris aurait du être là depuis une demi-heure ! Comment avait elle pu se laisser berner aussi facilement ?! Mélinda n'écoutait pas un mot du cours et son professeur s'en aperçut.

-mademoiselle Potter ? Quelle que chose ne va pas ?

-Je ne me sens pas bien. Est ce que je peux me rendre à l'infirmerie ?

-Bien sûr, allez y.

Mélinda ramassa ses affaires et partit en vitesse. Bien sûr ; elle allait très bien et à son tour, elle prit le chemin directorial en espérant ne pas retrouver son père et son petit ami en train de se taper dessus... Quand elle arriva en haut de l'escalier de pierre, elle crut s'être tromper d'endroit en voyant dans l'entrebâillement de la porte, son père étreindre Christopher comme son fils. Soudain elle s'affola, c'était impossible ! Il n'y avait qu'une autre solution, il lui plantait un couteau dans le ventre alors ! Elle ouvrit la porte à la volée et hurla :

-Arrêtez !!!!!!

Les deux hommes, souriant, se regardèrent plus qu'étonnés non seulement par la brusque apparition mais surtout pour la réaction de la jeune femme. Mélinda, constatant avec surprise que tous deux souriaient encore les regarda, éberluée.

-Qu'est ce qui s'est passé ici ? Vous avez bu ou quoi ? Qu'est ce que vous avez fumé ? Demanda t'elle en jetant des regards dans toute la pièce et en humant l'air.

Chris et Harry éclatèrent de rire. Christopher eut pitié d'elle et lui prit la main. Puis, les deux hommes lui expliquèrent le plan qu'ils avaient prévu...

Et voilà !

Ça faisait longtemps n'empêche que j'avais pas posté un chapitre... !

J'espère que vous avez aimé.

A présent je v répondre à mes rares revieweurs,

En tous cas merci bcp à vous !

Sunshine644 : merci bcp pr ta review et pour ta fidélité !

Ratonton : merci pr ta review à toi ossi et pr ta fidélité !

Voilà !

Et bien, inutile je suppose de préciser que j'aimerais bien kkes reviews pr ce chapitre ?!

Pleeaaazzzee !!

allez merci bcp,

et rendez vous pr le prochain chapitre !!!!

chapitre 35 : Elections

gros bisous tous !

reviews please !

merci de continuer a me lire !

ciao

tite dia'

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