et voila le chap 5 !

je c que l'ajout des chapitres est rapide mais g déjà écrit jusqu'au chap 13 en fait et je les met un par un pour voir les réactions et changer d trucs au cas ou

et maintenant le rituel de la RAR :

la pieuvredudesert : (ba oui tjs elle mais c la seule a me laisser des reveiws lol) waw je pensais pas que le chap était aussi bien ! je suis flatté là lol. et de rien pr le couple j'ai jamais pu trop le supporter non (Drago l'est à mwa !!!!!! niark )

bon un peu de sérieux (un peu de kwa ? Oo) bon on fait semblant et place à l'histoire !

-personne ne bouge, JE vais ouvrir.

On était le lendemain de la réunion de l'Ordre. Quequ'un venait de sonner et je m'avançais déjà pour ouvrir, en ayant toutefois une petite idée sur qui se trouvait derrière cette porte. Je la déverrouillait à l'aide d'un sort et glissai ma tête par l'embrassure. Le soleil m'éblouit aussitôt. Saleté de truc.

-Kya ! comment vas-tu ? s'exclama une voix enthousiaste que je n'eu aucun mal à reconnaître.

Après quelques clignements de paupière, je distinguai enfin un Rémus Lupin tout sourire, accompagné de trois personnes. L'une d'entre elle n'était autre que Mrs Weasley. Je détaillai les autres. L'un des deux autres ne pouvait être que le fils de Molly et la fille qui l'accompagnait devait être une amie (peut être petite, je sais pas). Ils me firent tous deux un sourire éclatant. Je les dévisageai d'un air méfiant, faisant ainsi disparaître les-dis sourires.

-ne t'inquiète pas, ce sont bien les vrais, me dit Rémus d'un ton amusé.

-on est jamais trop prudent.

J'haussai les épaules et me poussai pour les laisser entrer.

-on dirait Alastor, me fit-il remarquer, avec un petit rire.

Il m'aurait comparé à un moldu que ça n'aurait pas été pire. J'appelai Harry qui arriva sans tarder. En arrivant, il resta bouche bée un instant, puis sauta dans les bras de ses amis. S'en était presque touchant. Il n'eu même pas le temps de respirer. A peine ses amis l'eurent-ils lâchés que Molly se précipita sur lui. Au bout d'un moment qui paru interminable, elle le lâcha et l'assaillit de questions : est-ce que tu vas bien ? tu n'as besoin de rien ? quand tu auras ta liste de livres, j'irai te les cherché à Londres….Il sourit, amusé, devant tant d'attention.

Rémus s'approcha à son tour et le prit dans ses bras.

-bon écoutez les enfants, nous allons vous laissez entre vous. Molly et moi reviendront vous chercher dans deux heures. A plus tard.

Molly me jeta un regard style je-compte-sur-toi-pour-les-surveiller et sortit. Je revérouillai la porte et me dirigeait vers le salon où les trois compères s'étaient déjà dirigés. Je me rassis dans mon fauteuil et repris mon livre « magie noire avancée » où je l'avais laissé.

« Le sortilège d'asphixie est un sort de magie noire complexe qui demande une grande maîtrise. Réalisé correctement, la victime se retrouve entourée d'une bulle vide de tout oxygène. Elle meurt peu à peu, son organisme ne pouvant survivre dans de telles conditions. »

-au fait Harry, tu es au courant de la nouvelle ?

Le dénommé Ron venait de parler. Je relevai la tête, intéressée.

-non, qu'est-ce qu'il y a ?

-il paraît que l'Ange Noir aurait changé de camps, s'exclama-t-il, enthousiaste.

Au diable la lecture, je balançai mon livre et rapprochai mon fauteuil d'eux.

-qui t'as dis cela, lui demandai-je

-personne. J'ai juste surpris une conversation entre mes parents.

-excusez-moi mais qui est l'Ange noir, nous demanda un Harry totalement déconcerté.

-l'Ange noir serait le fils (ou la fille) de Tu-sais-qui (personne ne sait vraiment), s'empressa de répondre Hermione. Il (je dirais « il » car on dit un ange) serait un sorte de démon maîtrisant parfaitement la magie noire.

-Voldemort ? un enfant ?

Il semblait avoir du mal à capter la nouvelle.

-c'est difficile à croire, ajouta-t-il après un moment. Mais bon. Si c'était vrai, pourquoi aurait-il changé de camp ?

-c'est justement là toute la question. Certains croient que c'est pour venir nous espionner pour ramener des informations à son père.

-qu'est-ce que tu en penses Kya ?

Bien sûr il faut qu'il me demande mon avis. Pfff. Je fis mine de réfléchir avant d'ajouter :

-je ne sais pas. Cette personne peut être aussi mauvaise que son père, comme elle peut en être totalement différente. Je pense qu'il faut connaître les gens avant de les juger. Ce n'est pas parce qu'on a leur sang qu'on est pareil que nos parents.

-oui…tu as peut être raison.

Evidemment, j'ai toujours raison. Comment ? non, merci, mes chevilles vont très bien.

La conversation allant sur les futurs résultats de leurs BUSE, je repris mon livre. Et patati, et patata…cette fille est vraiment omnibulée par les études, ma parole !

Après une heure et demi (qui me sembla une éternité), Remus et Molly vinrent finalement les rechercher.

-Harry, je pense que Dumbledore te laissera venir au QG bientôt. Après tout, tu es plus concerné que nous là-dedans.

Il hocha la tête sombrement et leur dit au revoir.

Une fois partis, les Dursley osèrent enfin se montrer. Faisant comme si de rien n'était, Pétunia commença à préparer le diner.

J'allais dans ma chambre et m'allongeai sur le lit. Les yeux fixés sur le plafond, je me remémorai les souvenirs de ces six derniers mois. Des images se bousculèrent devant mes yeux, jusqu'à ce que, dégoûtée de ce passé, je m'endormis.

Les jours passèrent ensuite à Privet Drive sans encombres. Il n'y eu plus aucune manifestation de Voldemort bien qu'il continuait de frapper dans le monde des sorciers. Après sa tentative d'attaque au Ministère de la Magie en juin, il avait accumuler les meurtres et les disparitions de moldus. Bien que je n'appréciait pas vraiment les moldus, je ne pouvais m'empêcher de râger en lisant ça. Ne pouvant utiliser la magie, ils n'ont pas de moyen de défense. Bien sûr, il y avait toujours les armes à feu qu'ils avaient si brillament inventé, mais il n'en avait pas toujours une sur eux. Bref les moldus sont des créatures faibles et s'attaquer à eux n'est rien d'autre qu'une preuve de stupidité. A quoi bon puisqu'il ne peuvent pas se défendre ?

Albus m'avait dit qu'il voulait que Harry vienne au QG de l'Ordre à partir du lendemain de son anniversaire. Tiens ça me fait penser que je ne lui ai pas acheter de cadeau. Faudra que j'y pense.

Bref cela allait faire trois semaines maintenant que j'étais là et tout allait bien. Harry était toujours déprimé par moment mais la visite de ses amis lui avait faite le plus grand bien.

Les Dursley se montraient beaucoup plus sympathiques depuis que j'avais sauvé leur fils d'une araignée géante. Allongée sur mon lit, je me disais que ces vacances ne seraient peut être pas aussi catastrophique que je l'avais imaginé.

Des cris me sortirent de mes pensées. Je jetai rapidement un coup d'œil à mon réveil. 2h34. Je me précipitai dans le couloir et me rapprochai de la source du bruit. La chambre de Harry. J'ouvris la porte et me glissai doucement à l'intérieur. Contre toute attente je trouvai un Harry prit au piège d'un cauchemard. Et moi qui m'attendais au pire…je me rapprochai de son lit et commençai à m'inquièter : il se débattait entre ses draps, comme prit de convulsions. Des larmes se mélaient à la sueur sur son visage et il était trempé de la tête aux pieds.

-Harry ? Harry ! réveilles-toi !

Je le prit par les épaules et me mit à le secouer doucement, puis de plus en plus fort. Il finit par ouvrir les yeux.

-Kya ?

-oui c'est moi. Qu'est-ce qui s'est passé ? on aurait dit que quelqu'un t'égorgeait.

Il s'assit sur son lit et se prit le visage dans les mains. Je me mis à côté de lui sur les draps humides de transpiration.

-j'ai rêvé de Sirius.

Mon cœur se serra à l'évocation de ce nom. Je ne dis rien cependant et le laissait continuer.

-tout est de ma faute. Si je n'avais pas suivit cette vision rien de tout cela ne serait arrivé…

-ce n'est pas de ta faute. Tout est de la faute de Voldemort….

-oui mais si j'avais plus travaillé l'occlumancie…

-si tu pars sur ce principe alors on est tous responsables de sa mort. On a tous quelque chose à se reprocher vis-à-vis de lui.

Un silence seulement troublé par les ronflements de Dudley s'installa.

-rendors-toi et n'y pense plus.

Je me levai.

-oui…désolé de t'avoir réveillé.

-c'est pas important, je ne dormais pas de toute manière. Bonne nuit.

Je retournai dans ma chambre et tombai dans un demi-sommeil jusqu'à l'aube. Quand finalement j'en eu assez de me tourner et de me retourner dans tous les sens, je descendis.

Tous étaient déjà assis à table, à regarder les info du matin à la télé. Je m'assis et posai la tête entre mes mains, épuisée.

« …on nous apprend que le célèbre criminel Sirius Black, qui s'était évadé de prison il y a trios ans maintenant serait mort dans une tentative de cambriolage en juin dernier… »

Je relevai brusquement la tête et regardai Harry, effarée. Ravi, Vernon s'exclama :

-tant mieux. Il ne méritait pas mieux que ça de toute manière.

Il regarda Harry du coin de l'œil.

-et puis, étant ton parrain, il ne pouvait qu'être anormal comme toi. Sa mort est un cadeau pour notre monde.

Cette fois s'en était trop. Je me levai d'un bond totalement enragé, Harry me suivant de près. Il sortit sa baguette et la pointa sur son oncle. Je fus cependant plus rapide que lui. Je le saisis par le col et le plaquai contre le mur.

-retirez ça tout de suite !

Il me dévisagea, affolé.

-je…je…

-comment osez-vous dire une chose pareille ? dis-je dans un murmure, ce qui eu pour effet de le faire trembler un peu plus entre mes mains.

Je rapprochai mon visage du sien et me transformai, l'espace d'une seconde, juste assez pour lui faire comprendre qu'il ferait mieux de surveiller ses arrières.

-Sirius est mort en héros et je ne laisserai pas un abruti comme vous souiller sa mémoire. Dites encore une chose de travers sur lui et je vous ferai comprendre que le mot monstre n'est qu'un euphémisme comparée à ce que je pourrai devenir.

Je le relâchai et me détournai pour regarder les dégats. Les vitres avaient explosées sous le coup de la colère (la mienne ou celle d'Harry, je ne sais pas). Ce dernier me dévisageait, furieux. Il jeta un regard haineux à la seule famille qui lui restait et partit en courant à l'étage.

Aveuglée par la rage, je sortis et courut au hasard jusqu'à ce que, épuisée, je manquai de tomber. Je m'assit à l'ombre d'un buisson, toujours autant enragée. Je décidais alors de soulager la faim qui me tiraillait depuis presque deux mois déjà, comme une sorte de vengeance.

Je ne rentrai qu'à la tombée de la nuit et sans autre préambule, me laissai tomber sur mon lit. Je m'endormis aussitôt.

Cela faisait à peine quelques heures que je dormais que je sentis quelqu'un me secouer. J'ouvris lentement les yeux et distinguai les traits d'Albus dans la prénombre.

-Albus ?

-bonsoir Kya, me dit-il d'un ton froid.

Et voila, ça va être ma fête…

-tu me déçois beaucoup tu sais.

Le jour où je ne décevrais pas quelqu'un, les serpents feront des claquettes.

-vous dîtes ça parce que j'ai failli tuer Vernon ou parce que je suis parti en laissant ces pauvres moldus tous seuls.

-tu sais qu'il n'y a pas que ça.

Génial, il ne manquait plus que ça.

-s'il ne m'avait pas mis hors de moi comme ça, ça ne serait pas arrivé. Vous savez que je perds facilement contrôle.

-c'est justement là le problème. Je ne t'es pas acceuillis parmi nous pour te laisser marcher à ta guise et nettoyer après tes petites sautes d'humeur.

Je commence à froncer les sourcils. J'ai horreur qu'on me fasse la morale.

-je vous signale que c'est vous qui êtes venu me chercher.

-et tu as accepter de nous suivre, alors je ne vois pas où est le problème.

-je ne l'ai pas fait pour vous.

-je sais, je sais. Ta motivation est tout ce qu'il y a de plus noble.

-si je le fais ce n'est pas pour moi.

-on pourrait croire à une tentative de rédemption pourtant.

-il n'y aura jamais de rédemption pour moi et vous le savez.

-qui sait ?

Je ne répondis rien, trop occupée à ruminer mes sombres pensées.

-Alastor et Tonks viendront vous chercher demain. Je pense qu'il est inutile d'attendre.

-Remus ne vient pas ?

-la pleine lune était hier. Il se repose encore.

La pleine lune ! Mince, mince, mince… je l'avais complètement oublié ! je me mords la lèvre et me tourne vers le vieil homme.

-ne t'inquiète pas, il ne t'en veux pas.

Il me fait un sourire rassurant et transplana.

vala !

bien ? très bien? génial ? pas bien ? complètement nul ? bof .. ? t'appelle ça une fic ? --> vos rep dans les reviews !