Et wi c encore mwa ! Vous êtes content hein ? Comment ça 'non' ? :'(
Bah si c comme ça mwa je fais mes RAR. Na :p :
clem : Suis super contente que ça t'es plu !! J'ai assez galéré à l'écrire ce chap donc vla lol. Pour ce qui estdes dialogues je suis tt à fait d'accord avec toi. Je suis pas très douée pr ça lol dès que j'essaie de plus 'étayer' comme tu dis ça devient lourd . Bon je v faire de mon mieux pr la suite (vaudrait mieux lol) et en attendant j'attends tes critiques pr ce chap ! kiss
naryan : Merciiii. Je suis contente que mon penchant pr le drame plaise à quelqu'un . Sinon pr ce qui est de ta fic c ok pr t'aider. Je t'ai mis dans mes contacts donc tu viens parler quand tu veux lol.
lapieuvredudesert : Toujours au poste ! lol. J'ai transmis ton compliment à mon amie mais en fait elle m'a dit que la phrase n'était pas d'elle mais qu'elle l'avait trouvé dans une vieille chanson de jesaispuqui. La salle gosse. Sinon si tu veux parler de ce que tu veux pas mettre dans les reviews y a pas de soucis (au contraire ça me fait plaisir que tu accepte de me le dire). En tt cas kiss et à la prochaine !
Bon je suis pas si rancunière que ça alors je v vous mettre l'histoire... Comment ça 're-non' ?
-debouuuuuuuuuuuuuuuuuuut !
boum
-Ron !
-allez ! bouge toi ! je te rappelle qu'on a un cours de métamorphose dans une heure.
-c'est pas une raison pour me balancer de mon lit !
-aux grands maux les grands remèdes ! allez dépêche-toi ! je t'attends en bas.
Il sortit de la chambre, laissant un Harry grommelant sur le sol froid du dortoir. Ron avait été parler avec Hermione la veille au soir et s'était excuser pour sa conduite (aïe la fierté). La jeune fille semblait lui avoir pardonné, lui faisant cependant promettre de ne plus la brusquer comme ça. Le rouquin avait bien évidemment accepté, trop heureux d'être pardonné. Depuis, sa bonne humeur pouvait être sentit au kilomètre à la ronde, au grand agacement de Harry qui trouvait tout cela un peu exagéré (mais il est quand même bien content pr ses amis lol c'est qu'une façade). En maudissant la terre entière, il se dirigea sous la douche. L'eau chaude finit de le réveiller et chassa sa mauvaise humeur. Il ressortit, une serviette de bain autour de la taille. Il entreprit de chercher sa tenue dans sa malle quand un bruit de porte attira son attention.
-au fait Harry je voulais te demandais si …
La voix s'arrêta net. Harry se retourna et tomba nez à nez avec Kya.
# pourquoi est-ce que je tombe toujours au mauvais moment ? #
Elle se racla la gorge et détourna les yeux, le temps que Harry puisse passer une robe.
-oui ? qu'est-ce que tu voulais me dire ?
Le visage du gryffondor était d'un rouge soutenu.
-euh… je voulais savoir si tu avais finit de potasser le livre que je t'ai offert et si tu avais besoin d'aide pour certains sorts ?
-oui j'ai un peu de mal avec les sorts de feu.
C'était un euphémisme. Il avait bien faillit rendre Ron chauve en tentant d'enflammer un parchemin. Elle hocha la tête.
- 22h à la salle sur demande ça te va ?
-pas de problème.
-bon à plus tard alors.
# et habille-toi surtout #
Elle rit intérieurement et se dirigea vers la salle de métamorphose.
-bonjour à tous.
Des bonjours plus ou moins enthousiastes s'élevèrent.
-aujourd'hui nous allons voir le vieillissement d'une espèce à travers la métamorphose.
# génial… #
-vous avez sans doute dût remarquer les œufs posés devant vous…la transformation demande beaucoup de concentration. Il faut que vous fixiez l'œuf et l'imaginiez à l'état adulte, c'est-à-dire en tant que coq ou que poule.
# ça dépend ça pourrait très bien être une omelette #
-la formule a employé est « vetus genus ».
-je me sens totalement ridicule à fixer cet œuf comme ça, marmonna Ron cinq minutes plus tard.
-pire qu'avec une boule de crystal ? lui demanda Harry.
-pire.
Hermione avait réussit à faire apparaître une magnifique poule brune et blanche au bout de son troisième essai, à la plus grande joie de son professeur et de l'agacement de Kya.
# gnagnagna bravo Granger gnagnagna brillante élève gnagnagna dix points pour gryffondor
dis plutôt que t'es jalouse
génial la revoila celle-là… jalouse ? mais de quoi ? je le ferais les yeux fermés son truc !
toujours aussi modeste… #
Elle était devant son œuf depuis dix minutes déjà et n'y avait pas encore touché, ce qui n'avait pas échappé au professeur.
-alors miss Roosevelt ? vous vous croyez dispensé de cet exercice ?
# si seulement #
-non professeur, dit-elle d'une voix morne.
-alors qu'attendez-vous ?
# que tu me lâche, c'est possible ? nan ? bon bah tant pis #
Elle soupira et plaça sa main au-dessus de l'œuf.
-j'aimerai que vous le fassiez avec votre baguette.
# et moi j'aimerai que serpents volent mais on peut pas tout avoir dans la vie #
Re-soupir. Prise de baguette.
-vetus genus, dit-elle sans le moindre enthousiasme.
L'œuf se mit a briller d'une étrange lueur bleue, puis commença à grossir. La coquille se fissura pour disparaître totalement, laissant place à un magnifique coq.
# et paf ! du premier coup. Alors Granger ? #
Mc Gonagall semblait soufflée.
-euh bien… très bien.
Elle se détourna et se dirigea vers le fond de la classe, là où les serpentards avaient pris pour habitude de s'asseoir.
-alors M. Goyle ? l'entendit-elle dire.
Une petite explosion retentit alors, éclaboussant d'œuf tout ce qui se trouvait dans les trois mètres alentour.
Le professeur, le visage plein de blanc d'œuf, le regarda sévèrement avec le peu de dignité que lui permettait la situation.
-j'ai demandé une volaille et non une omelette M. Goyle !
# qu'est-ce que j'avais dit #
Malefoy faisait des efforts surhumains pour ne pas éclater de rire. Il avait eu la présence d'esprit de s'écarter et de se cacher derrière son livre, connaissant les dons de Goyle.
Mc Gonagall fit demi-tour, faisant disparaître la substance gluante à l'aide d'un sort. Harry essuya ses lunettes sur un pan de sa robe et regarda les serpentards d'un air mauvais. Malefoy lui fit son plus beau sourire et lui montra sa poule d'un signe de tête. Celle du gryffondor semblait un peu bancale et perdait beaucoup de plumes.
-irrécupérable ceux-là, marmonna-t-il.
-Ron tu as du jaune d'œuf dans les cheveux, lui fit remarquer sa petite amie.
-pfff je hais les serpentards, grommela-til. Je suis sur que cet imbécile l'a fait exprès.
Le cours venait de finir et ils se dirigeaient vers la grande salle.
-mais oui c'est évident. Et je suis sur que ce qui te sert de copine fait exprès d'être moche ? lui répondit une voix trainante et oh combien facilement identifiable.
Ron devint aussi rouge que ses cheveux. Le serpentard se plaça derrière la turok-han et passa ses bras autour de sa taille.
-tu viens au Manoir pour Noël ? lui demanda-t-il en l'embrassant dans le cou.
-avec ton père dans les parages je sais pas si c'est une très bonne idée.
-on s'en fiche de ça ! et puis ma mère sera contente de te revoir.
-Drago, ton père n'est pas vraiment quelque chose qu'on peut prendre à la légère.
-mais tu ne vas quand même pas passer les vacances avec eux !
Il désigna les gryffondors qui assistaient à la scène, l'air passablement énervés.
-franchement je la comprends Malefoy, commença Harry. Passer Noël avec toi n'est déjà pas un cadeau alors avec toute ta famille…
-toi tu vas pas commencer Potter sinon tu ne verras jamais ces vacances.
Il lâcha sa petite amie et vint se placer devant lui. Il le dépassait de quelques centimètres, lui permettant de le regarder de haut.
-oublie les insultes que tu porte à ma famille ou alors je t'envoie rejoindre la tienne.
-tu crois peut être me faire peur ? j'en ai rien à faire de tes menaces.
-qui parle de menaces ? ceci est une promesse.
Il eut un sourire mauvais puis se tourna vers Kya.
-on reparlera de tout ça plus tard. La pollution des lieux ne facilite pas la tâche.
Il l'embrassa puis disparût au détour d'un couloir.
-ce gars est une véritable ordure ! explosa Ron
La turok-han lui jeta un regard noir.
-que vous le détestiez okay mais ne l'insultez pas devant moi.
Elle tourna les talons et se dirigea vers la bibliothèque.
A 22h, Harry pénétra dans la salle sur demande. Kya s'y trouvait déjà, une sucette de sang à la bouche. Il posa son sac et son regard balaya la pièce. Elle ressemblait à un immense cachot, en bien plus lumineux et plus chaud.
La turok-han se tourna vers lui.
-bon. Tu veux commencer par quoi ?
Il sortit le livre, l'ouvrit à la bonne page et lui tendit.
-comment invoquer le feu ? et le maîtriser de manière à ce qu'il n'enflamme pas tout, ajouta-t-il.
Elle prit le livre et le ferma.
-pas besoin de ça. Tu connais la formule ?
-« ignis fecere » ?
-exact. Maintenant tu sors ta baguette et tu vas appliquer la formule sur ce parchemin.
Elle fit apparaître le-dit parchemin d'un geste de main. Il lévita à environ un mètre du sol. Harry sortit sa baguette et fixa le parchemin d'un air concentré. Il le pointa et prononça la formule. Le morceau de papier s'enflamma rapidement, un peu trop violemment d'ailleurs.
-oui je vois d'où vient le problème. Tu as surtout du mal à le maîtriser. Tout d'abord il faut que tu sache que le feu représente une partie de tes pouvoirs, de ta puissance. L'Ignis Fecere permet l'invocation de ce qu'on peut appeler un feu sombre. C'est un sort de magie noire pûre et n'a donc pas les mêmes propriétés qu'un feu normal. On ne peut l'éteindre avec de l'eau et tout comme tes pouvoirs, il réagit avec tes émotions. Tu as sûrement du remarquer que tes sorts sont plus puissant quand tu es en colère par exemple.
Il se souvint de l'expelliarmus sur Rogue dans la cabane hurlante.
-par exemple, je doute que tu puisse jeter un doloris si je te le demandais maintenant.
-tu fais référence à Bellatrix là ?
Elle hocha la tête en silence, le visage grave.
-seule la colère t'as permis de le lancer. Même s'il n'était pas très puissant.
Elle s'assit sur une table et dévisagea son élève.
-il faut que tu apprenne à canaliser tes émotions. Il ne faut pas qu'elles prennent le contrôle de toi. Pense avec ta tête et non avec ton coeur.
-mais Dumbledore dit que l'amour est ma plus grande force. Il faut donc que je me batte avec mes sentiments !
# si Dumbledore l'a dit c'est que c'est bien… vive Dumbledore… pfff quand est-ce qu'ils arrêteront tous avec ce vieux fou ? #
-je ne sais pas ce qu'il veut dire par là mais je sais que tu ne pourras pas invoquer un feu correct dans l'état dans lequel tu es émotionnellement. Il faut que tu évacue tout ça ou tu apprenne à le canaliser correctement.
Il ferma les yeux, tentant de faire le vide en lui. Ils les rouvrit quelques minutes plus tard, l'air plus calme.
-je crois que je suis prêt.
-on va voir ça.
Il pointa un nouveau parchemin. Celui-ci prit feu plus doucement que le précédent. Enthousiasmé par sa réussite, il quitta sa cible des yeux et enflamma la table sur laquelle Kya se tenait. Celle-ci n'eut pas le moindre mouvement, restant assise dans les flammes. Elle agita une main d'un air vague et le feu disparût.
-toujours rester concentré, le réprima-t-elle.
-désolé. Mais comment ça se fait que tu n'es rien eu ? je croyais que le feu tuait les vampires ?
-disons que je ne suis pas un véritable vampire donc le feu ne fait pas partie de mes faiblesses. Ne me demande pas pourquoi je n'en sais rien. J'y suis totalement insensible, ne sentant ni sa chaleur, ni la douleur qu'il peut provoquer.
Tout en disant cela, elle avait fait apparaître une flamme dans sa paume et semblait jouer avec, la faisant courir sur sa main. Elle ferma le poing d'un geste vif, la faisant disparaître.
-tu pourrais aussi y arriver, ajouta-t-elle devant son air surpris. Peut être pas jouer avec mais le faire apparaître au moins.
-et je suppose que tu vas me dire que je ne l'apprendrai qu'une fois que je maîtriserai totalement l'invocation par baguette.
Elle sourit.
-tu comprends vite.
Elle se rassit et le regarda faire.
-n'oublie pas : maîtrise de soi et concentration.
Il lui fit signe qu'il avait compris et se remit en place.
Au bout d'une petite heure, il parvint à créer un feu d'allure correcte et à le faire disparraître d'un coup de baguette.
-cela ne marche que pour le feu que tu créé toi-même. C'est toi qui le contrôle donc son arrêt ne dépend que de toi. A moins que quelqu'un ai un esprit suffisament puissant pour le stopper.
Epuisée, il la remercia et quitta la salle. Il sortit la cape d'invisibilité de son sac et prit le chemin de la salle commune. Finalement, il changea d'avis et prit la direction du bureau de Dumbledore. A sa grande surprise, la gargouille s'écarta dès son arrivée, lui libérant le passage. Il monta l'escalier en colimaçon avec hésitation et frappa à la porte du bureau. La réponse ne se fit pas attendre. La porte s'ouvrit toute seule.
-entre Harry, je t'attendais, lui dit le directeur de derrière son bureau.
Le gryffondor s'assit dans le fauteuil que son aîné lui désignait et lui jeta un regard interrogatif.
-je commençais à me demander quand est-ce que tu viendrais me voir.
-pourquoi cela professeur ?
-tu n'as pas des questions à me poser ?
-euh si.
-alors je t'écoute.
Il se cala confortablement dans son fauteuil et fixa son élève par-dessus ses lunettes en demi-lune.
-et bien, je voulais vous parler de la prophétie. Est-ce que la magie noire peut m'aider à l'accomplir ?
-pourquoi veux-tu savoir ça ?
-parce que Kya a commencé à m'apprendre des sorts de magie noire.
-c'est toi qui lui a demandé ?
-le jour où elle est venue chez les Dursley, elle m'a dit que la meilleure façon de combattre son ennemi, c'est de le connaître.
-ça ne m'étonne pas d'elle.
Il sourit.
-Harry, il faut que tu sache avant tout que cette magie est très puissante mais aussi très dangereuse. Elle pourrait t'être utile, c'est vrai, mais elle ne t'aidera pas à tuer Voldemort.
-comment dois-je faire alors ?
-c'est à toi seul de le trouver. Tu as ce pouvoir, tout comme ta mère l'avait. Elle te l'a légué, et c'est ce qui t'as sauvé.
-vous voulez parler de l'Amour ?
-oui Harry, l'Amour. Te souviens-tu de ce que Kya a dit à l'enterrement de miss Beckmann ?
-oui… que c'était la seule arme qui nous restait face à la guerre.
-c'est le plus beau et le plus fort des sentiments. Et je crains que tu le délaisse si tu te plonge trop dans la magie noire. Tu peux toujours t'y exercer si tu le souhaite, mais seulement pour les sortilèges de base ou de défense.
-d'accord. Merci
-je t'en prie, c'est normal. Mais sinon dis-moi, comment t'entends-tu avec Kya ?
-et bien, ça dépend. Je l'apprécie beaucoup mais j'ai du mal à savoir si c'est réciproque. Elle est distante et froide par moment.
-oui, il existe plus sociable c'est sûr, dit le vieil homme avec un petit rire. Mais elle a un bon fond.
-comment pouvez-vous en être si sûr ? je veux dire, pourquoi lui avez fait confiance dès le début ?
-vois-tu Harry, quand Kya est née, une vague de panique s'est répandu dans la communauté magique. Jamais l'idée que Voldemort puisse avoir un enfant n'avait effleuré personne, pas même Maugrey dont les idées paranoïaques en étonne plus d'un. Ensuite, quand tu as détruit Voldemort, sa garde a été confié à Lucius Malefoy. Tout le monde pensait qu'elle avait péri avec son père, sauf nous. Grâce à Sévérus. Même après la dispersion des mangemorts, il est resté ami avec Malefoy. Il a donc été souvent chez lui et a put la voir souvent. On a su grâce à cela qu'elle n'était pas si semblable que ça à son père : elle possédait une partie humaine qui la rendait consciente de ses actes. Elle faisait la différence entre le Bien et le Mal, et chaque jour passé renforçait le combat entre son côté humain et le monstre en elle. Elle essaya de taire cela et continua à subir l'entraînement intensif auquel la soumettait Lucius. Puis, l'année dernière, elle fit la connaissance de Sirius. Sûrement la meilleure chose qui pouvait arriver. Ils se sont liés d'amitié et le côté anti-magie noire de Sirius a fait ressortir le combat en elle. Il m'écrivait souvent pour me parler d'elle. Il était persuadé de son bon fond. Puis, quand les mangemorts l'ont tués cet été, Kya a vu le vrai visage du Mal. Elle le connaissait déjà, mais de l'intérieur seulement. Elle a vu ce qu'il pouvait déclencher, ce que la mort pouvait causer. Le lendemain de l'attaque du ministère, elle s'est enfuit. Je l'ai retrouvé en train d'errer au hasard à quelques kilomètres de là, dans un état moral assez déplorable il faut dire. Je lui ai proposé de nous rejoindre et elle a accepté.
-et vous lui avez confié ma protection cet été, acheva Harry.
-voila. Mais je dois avouer que ce plan n'était pas vraiment une réussite, compte tenu de son aversion pour les moldus.
-elle a bien failli tuer mon oncle quand il a critiqué Sirius, dit Harry avec dégoût. J'ai bien cru que j'allais faire de même d'ailleurs.
Le directeur grimaça et sembla perdu dans ses pensés pendant un instant.
-certaines blessures mettent du temps à guérir, mais certaines restent gravées au fer rouge. Parfois le repos est préférable…
Une grande tristesse passa dans ses yeux, puis il se reprit.
-bien. Je pense qu'il est temps d'aller dormir, non ?
-c'est vrai. Bonne nuit professeur.
-bonne nuit Harry.
Il salua le directeur d'un signe de tête et sortit.
Et vouala !
alors ? vous avez aimé ? si c'est pour dire 're-re-non' autant que vous ne disiez rien lol
maaaa nan je plaisante ! les mauvaises critiques sont autant les bienvenues que les bonnes ! mais n'en abusez pas quand même ;)
à tte!
kya-the-viper qui va aller bosser ses maths (wéééééééééé... nan c'était pr rire ! suis pas folle à ce point lol) et qui vous embrasse
PS : ah oui j'oubliez ! un petit cours de latin pr la route (histoire que vous me haïssiez encore ) :
vetus genus --> vetus : vieux et genus : espèce
ignis fecere -->ignis : feu et fecere : faire
(oui j'étais pas très inspiré le jour-là lol)
ciaooooooo !
