Salut à tous !!
Alors, pour commencer, les reviews :
Eléa013 : ravie que tu ais apprécié. Pour le langage du texte, j'avoue que j'aime bien parfois leur faire dire une petite grossièreté. Je trouve que cela les rend plus spontanés. J§e ne veux pas en truffer mon texte, mais bon... j'y vais au feeling. Quand aux ages et mérites respectifs des cousins, et bien... la réponse plus bas ! J'aime assez leurs personnages.
Missannie : merci pour ton enthousiasme !
Larmes de pluie : Bon ben je vais essayer de gagner d'autres bons points alors, comme à l'école... lol
Anywhere : des situations cocasses se préparent, pas dans ce chapitre,mais le prochain, qui sera plus... humoristique
NB: tout à JKR...
Voilà, bonne lecture :
CHAPITRE 3
Le lendemain matin, toute la famille était en effervescence. Même Arthur Weasley avait posé quelques jours de congés et regardait d'un air amusé toute cette agitation. Il fallu aménager la chambre de Bill en chambre pour les garçons, c'est-à-dire Robin, Romu, et le fils de la collègue, prénommé Richard, ainsi que l'ancienne chambre de Percy pour Roxane, et Suzy, la sœur de Richard.
- Je me demande pourquoi à chaque vacances on joue les esclaves, à tout le temps faire des corvées de merde de nos mains alors que d'un coup de baguette...s'exclama Ron.
En effet, un an de poussière s'était accumulé dans la chambre de Percy.
- Tu peux bien faire un petit effort pour ton ancienne amoureuse, Ronny. Tu ne vas pas la laisser dormir dans une telle crasse quand même !
- De quoi parles tu ? tu racontes n'importe quoi répondit ce dernier. ET PUIS ARRETEZ DE M'APPELER RONNY !
Hermione se sentie subitement glacée jusqu'au sang, mais reprit vite ses esprits.
- Tiens tiens, tu nous aurais caché quelque amourette ? demanda Hermione avec un sourire fielleux à l'attention du rouquin ? Et bien alors, on a des choses à cacher ? On ne fait plus confiance à ses amis ? Bon, c'est pas tout ça mais je vais boire un verre d'eau moi... toute cette poussière !
- Mais non Hermione ! attend !!
Ron dévala les escaliers et rattrapa son amie par la main.
Fais attention, tu sais que ces escaliers ne te réussissent pas... Remarque, ce ne serait peut être pas plus mal...
- Ecoute moi ! Ils disent ça parce que j'ai eu le malheur de jouer à touche-pipi avec ma cousine quand on avait 5 ans ! Il n'y a pas de quoi faire un drame. C'est bon l'inceste, c'est pas mon truc !
- Mouais, mais tu sais, tu fais ce que tu veux, ne te gène surtout pas pour moi hein ?
- Mais qu'est-ce qu'il y a, tu es jalouse ou quoi ?
- QUOI ? Moi, jalouse de toi ? Faut pas rêver gars.
Hermione sentait son cœur battre à toute allure. Ron lui tenait toujours fermement la main, comme s'il avait peur qu'elle s'échappe, et la regardait d'un air vaguement accusateur. Le rouge lui monta aux joues, comprenant qu'elle s'était emballée pour rien, et que Ron était en train de se justifier devant elle. Bizarement, elle en conçu un grand plaisir, et décida de faire de même, et d'enterrer la hache de guerre:
- Non, je suis désolée, mais tu comprends, j'aurai été vexée que tu ais vécu une histoire d'amour, et tout et tout, sans jamais nous en parler. Je me suis peut-être un peu emportée, rajouta-t-elle en plaisantant. Allez, viens, on va boire un verre, toute cette poussière me fait mal à la gorge.
Ron suivit avec plaisir son amie qui avait soudainement retrouvée son sourire. L'étrange harmonie qui avait régnée entre eux la veille réapparaissait. Le temps d'un sourire, ce fut comme s'ils n'avaient pas besoin de parler. Baissant les yeux, Hermione vit que Ron tenait toujours sa main dans la sienne.
- Je te sers une bièreaubeurre ?
- Oui, volontiers. Viens on va dans le jardin.
Ils allèrent siroter leur bière sous la tonnelle. Assis côte un côte, un long moment de silence suivit. Ron, les yeux fermés, respirait l'odeur de fleur que dégageaient les cheveux de la jeune fille. Celle-ci savourait ce moment de solitude, perdue dans ses pensées :
« C'est drôle, je viens de me conduire exactement comme Ron quand je parle de Victor. Sachant, restant objective, que je lui ai fait une belle scène de jalousie, je suis obligée d'avouer qu'il était jaloux également. Et l'on n'est jamais jaloux sans raison. Là, tout de suite, je sais qu'il pense comme moi. Tout serait possible, juste à ce moment précis... ARGGG !!! Je ne peux pas !! Je n'arrive même pas ne serait-ce qu'à pencher la tête ! »
Hermione tremblait des mains, et sentait des sueurs froides couler le long de son dos. Elle avait une folle envie de le serrer dans ses bras, de sentir ses mains autour de sa taille, ses lèvres dans son cou, son corps collé au sien... Et elle restait là inerte comme une paralytique !!! Elle sentit une onde de chaleur envahir son ventre et l'intérieur de ses cuisses.
« Eh mais ! Je suis en train de faire ma cochonne là ! Encore vierge ma pauvre, et tu dérailles complètement! Faut te soigner !
Ron, lui, se trouvait dans une position plutôt délicate ! Reluquant depuis tout à l'heure dans le décolleté modeste, mais bien garni, de son amie, sur lequel il avait une bonne vue, du haut de son mètre 80 (à 16 ans !!), il s'était laissé bercer par son imagination... qui était celle d'un jeune adolescent. Et s'il avait depuis bien longtemps pris l'habitude de certains phénomènes physiologiques, tout à fait normaux à son âge, il ne savait toujours pas les maîtriser ! Comme cette fois où ils se baignaient tous dans le lac, et qu'il avait du rester un peu plus longtemps dans l'eau froide, histoire de ne pas faire peur à la jolie brunette, et d'éviter les moqueries de ses camarades... Et là, comme un con, il se retrouvait tout seul avec elle, la sentait proche comme elle n'avait jamais été, loin de ses révisions et de ses soucis, et il ne trouvait rien de mieux qu'à...! Heureusement qu'elle ne s'était pas approchée de plus près, comme il l'avait craint lors d'un de ses imperceptibles mouvements... Idiot qu'il était, incapable de gérer ses hormones ! Il aurait eu l'air fin, avec une bosse entre les jambes ! Il ne pouvait plus rester là à ne rien faire ! Juste à ce moment là, il se leva précipitamment.
- Euh... viens, on y retourne, avant que les autres viennent nous chercher !
- Mais ! dit Hermione, déçue. Puis haussant les épaules : d'accord, si tu y tiens.
- Le jour où elle comprendrait ce garçon !!
En fin de journée, alors que tout le monde se tenait épuisé et affamé dans la cuisine, Molly Weasley prit la parole :
- Bon, récapitulons : le jardin c'est fait ?
- Oui m'man!
- Les chambres sont prêtes ?
- Oui m'man !
- Le salon est nettoyé ?
- Oui m'man !
- Le jardin ratissé ?
- Oui m'man !
- Parfait. Bonne nouvelle !! Vous avez une heure pour vous doucher et vous changer. Tout le monde, parents et enfants, arrive beaucoup plus tôt que prévu. En fait ils seront tous là pour le repas, d'ici une heure.
Hermione découvrit avec étonnement le reste de la famille de Ron. Sa tante, Jane, était tout le contraire de Molly. Grande, mine, les cheveux blonds cendrés, jolie sans être belle. Son mari, par contre, était très impressionnant. Dès son arrivée, après un serrement de main à Arthur, une bise à Molly, et un salut global aux autres sous le terme de « bonjour la jeunesse », il s'était assis dans le plus grand fauteuil et avait sorti sa pipe. Agé d'une cinquantaine d'années, il avait une longue barbe tricolore, qui rappelait celle d'Hagrid, où se perdait quelques cendres et brins de tabac. Il avait sorti un vieux livre intitulé « Les mystères d'une citée disparue, Accapurdoca », et s'était plongé dedans, le visage si fermé que personne n'osa le déranger. L'autre couple avait l'air aussi... étrange. Inès était une belle femme, la chevelure d'un noir de geai, la peau mate, et coiffé d'un strict chignon orné d'une rose rouge. Elle n'arrêtait pas de parler, avec un accent sud-américain très marqué. Son mari lui, affichait l'air hautain et fier d'un hidalgo, étant né d'une mère espagnole et d'un père portugais. Il n'ouvrit quasiment pas la bouche, sa femme parlant assez pour deux.
- Oh Ron, comme je suis contente de te voir ! Comment vas-tu ? Cela fait si longtemps...A chaque fois que je passais au Terrier pendant els vacances, tu étais à Poudlard. J'ai fini par croire que tu préférais ton école à moi ! Roxanne lui serrai affectueusement le bras. Tu me présentes à tes amis ?
- Euh... oui bien sur ! Alors, pour commencer, voici Hermione Granger, dans ma classe à Poudlard.
- Enchantée, lui dit Hermione, avec un sourire si Hypocrite que même Rita Skeeter n'en avait pas reçu de pareils !
- Et ensuite Harry Potter. Mes deux meilleurs amis à Poudlard quoi !!
- Harry... Potter ? Répondit Roxanne, l'air intrigué. Celui qui...
« Quel tact » se dit Hermione. « Et qu'est ce qu'elle a à se coller à lui comme ça ? Et à papillonner des yeux vers tout les garçons... Son petit numéro est ridicule »
- C'est cela, oui, ne pu-t-elle s'empêcher de rajouter
Roxanne rebattit des paupières ingénument, leur fit à tous un large sourire, et s'en alla voir le reste de la famille.
- hum... dit Harry. Je sens que tu t'es fait une nouvelle amie !
- Tu exagères Hermione, rajouta Ron. Elle ne t'a rien fait !
- Pas encore, marmonna la jeune fille. Allons à table.
- Quelques minutes plus tard :
- Ma, comme c'est gentil à vous dé garder les bambinos pendant qué nous allons là bas. C'est vrai que nous sommes pressés. Des fouites nous ont appris qué lé français avancent beaucoup dans leur recherches, et après tout lé mal que l'on s'est donné pour sitouer lé site...
- De rien Inès, c'est normal. Et puis cela nous fait tellement plaisir ! Et aux enfants aussi !
« Pensez-vous » se dit Hermione, qui décida de prendre la parole :
- Et où devez-vous vous rendre exactement Madame ?
- A Accapourdoca, au cœur de la forêt Amazonienne.
- Et comment comptez-vous vous y rendre si ce n'est pas indiscret ?
- Nous prendrons le porte au loin jusqu'à Mexico, et à partir de là nos balais uniquement. C'est pour ça que nous devons nous dépêcher. Nous en aurons bien pour deux jours, avec tout lé matériel.
- Et encore, seulement si nos calculs sont exacts, ce qui est loin d'être une certitude, rajouta Eliott Evergreen.
- Tou sais bien qué cela né peut pas être autrement, tout concorde : Les floux d'énergie, les rouines, les écrits...
Un regard perçant de son mari fit taire la jeune femme.
- Il est vrai qu'à Poudlard nous n'avons rien abordé de l'ancienne Amérique latine, lança Hermione pour meubler le silence soudain. Le professeur Binns...
- Le professeur Binns est un fantôme ignare ! coupa Eliott. Il fait parti de tout ces académiciens persuadés que seuls les sorciers européens émigrés vers le nouveau monde y ont apporté la magie. Pour eux, les humains dotés de magie qui ont vécu là bas n'ont jamais su utiliser leurs dons, qui auraient ainsi périt avec leur civilisation. Et ni les nouvelles découvertes sur les pouvoirs des chamans indiens, ni les études que nous avons mené ces dix dernières années sur les civilisations mayas et Incas n'ont su les faire changer d'avis ! Pour eux, un monde sorcier sans baguette ni balais n'est qu'usurpation ! Il tapa du poing sur la table. Alors qu'une force et un savoir immense ont été perdus ! Et c'est à nous de les récupérer afin de faire profiter le monde sorcier de cette culture et ce passé qui quelque part est aussi le notre !!!
- Et empêcher par là voldemort de s'en emparer aussi je suppose, rajouta Hermione.
Suzy y rorba poussa un cri effrayé et Romu, le plus jeune des enfants présents, se mit à pleurer alors qu'un silence de mort s'abattait sur la table. Molly regardait Hermione avec un regard chargé de reproches, alors que son beau-frère la scrutait avec intérêt.
- Peut-être bien, jeune fille, peut-être bien... Mais ce n'est pas tout ça. Molly et Arthur, merci beaucoup pour votre accueil. Vous nous rendez un grand service.
- Encore une fois, de rien. Mais soyez prudents ! Vous ne partez que vous 4 ?
- Oui, et à part le directeur de notre département, personne n'est au courant. Beaucoup trop de choses sont en jeux. C'est pour cela que je vous demande à tous un silence total et définitif !
Eliott Evergreen avait l'air si imposant que nul ne pu seulement songer à trahir ce secret. Après avoir été tenu à l'écart des activités du phénix, ils ne pouvaient qu'être flattés d'une telle confiance
« Je me demande comment des gens aussi intelligents ont pu avoir une fille aussi sotte » se dit Hermione.
Une fois que Jane, Eliott et le couple y Rorba furent partis, Arthur et Molly laissèrent les enfants seuls. Roxane prit la parole :
- Ricardo et Suzy, je vous présente mes cousins : D'abord Fred et Georges, plus communément regroupés sous le terme de « les jumeaux ». Ils ont 17 ans, ont arrêté leurs études et s'apprêtent à monter un magasin de farces et attrapes.
- En fait c'est déjà fait. Et si cela vous intéresse, nous faisons aussi de la vente par correspondance. Je suppose que vous êtes encore à l'école et...
- Ensuite mon cousin, dit-elle en plaisantant. Ron, qui a mon âge, et ses deux amis, Harry et Hermione, qui sont dans sa classe. Ils s'apprêtent tout les trois à rentrer en 6ème année. Puis ensuite, voici Ginny, la cadette, 15 ans, qui elle aussi est en cours à Poudlard.
- Et vous, demanda Hermione, vous êtes dans quelle école ?
- Et bien moi, Robin, Suzy et Ricardo sommes dans une institution un peu spéciale, qui prépare aux grandes carrières, répondit Roxane. On appelle ça L'Ecole des Grandes Langues Sorcières. Mais je suppose que tu ne sais pas ce que c'est, rajouta-t-elle d'un ton dédaigneux...
- Si fait, si fait ! dit Hermione en ricanant. Je suppose que tu as fait deux ans à Durmstrang, pour les pays de l'est, certainement un an ou deux à Beaubâtons, puis quoi d'autre ?
- 2 ans effectivement, répondit Roxanne d'un air étonné. Là, Suzy et moi avons passé l'année en Espagne.
- Et pour les cours en langue anglaise, où avez-vous prévu d'aller ? à Poudlard ?
- Non, personne de chez nous ne va dans votre école. Les cours en langue anglaise sont assurés à Salem. De toute façon, Suzy et moi voulons aller dans une école américaine après nos ASPIC, alors...
- Et ce n'est pas trop dur de changer d'école tout le temps comme ça, demanda Harry ?
- C'est comme ça que l'on apprend le mieux, lui répondit Ricardo avec commisération (il avait le même air hautain que son père). Te rends tu compte que quand nous passerons nos ASPIC, nous parlerons au moins 4 langues. Plus les dialectes de créatures magiques pris en option. Et les langues anciennes naturellement !
Ginny ne pu se retenir de chuchoter à l'oreille de son amie : « On dirait Malefoy quand il a un nouveau balais »
Hermione réprima un rire.
Fred et Georges, eux, se demandaient déjà quelles farces ils allaient bien pouvoir faire à ce jeune garçon dans la hauteur toute castillane leur déplaisait. Instinctivement, deux groupes se créaient. Il y avait un clivage évident entre ces quatre adolescents qui menaient une vie un peu spéciale, et la jeune bande du Terrier. Hermione se rendit compte que son instinct ne l'avait pas trompé. Elle remarqua que, contrairement ce à quoi elle s'attendait, ni les jumeaux, ni Ron ni Ginny n'avaient l'air très proches de leurs cousins.
La curiosité commençait à tourner à l'aversion pour certains d'entre eux. Principalement entre Hermione et Ron. Les jumeaux, au final, s'en moquaient, Robin n'avait toujours pas ouvert la bouche, et Harry et Ginny attendaient juste une occasion pour s'esquiver tout les deux.
Inconsciente de la tension latente, Molly entra dans la pièce :
- Alors mes chéris, vous avez tous fait connaissance ? Il est l'heure maintenant d'aller se coucher. Fred, emmène les garçons dans la chambre de bill, et Gin...
- Ron ! coupa Roxanne, tu nous emmène ? Je suppose que Suzy et moi sommes dans la même chambre... Pas loin de la tienne j'espère !
Hermione blêmit à ces mots.
-Viens, allons nous coucher, dit en l'entraînant Ginny.
Les hostilités commencèrent dès le lendemain matin. Molly avait sonné le rassemblement matinal, afin que tout le monde prenne son petit déjeuner en même temps.
- Et bien, mes chéris, cela faisait longtemps que je n'avais pas eu le plaisir d'avoir onze enfants à table ! J'espère que vous serez sages tous ensembles ! Hermione, tu leur a parlé de ton projet ? Je suis sure que vous allez tous beaucoup vous amuser.
- Quel projet, tante Molly, demanda Roxane
- Adresse toi à Hermione ma chérie, elle saura mieux te l'expliquer que moi !
- Alors, dit Roxanne en se tournant vers la jeune fille sans même la regarder.
- Et bien, j'ai proposé à Harry, Ginny, Ron et aux jumeaux de monter niootre pièce, et de la jouer devant tout le monde.
- Tiens donc, tu connais ça toi ? Mais ce sont les moldus qui s'amusent à ça....
- Justement, dit ron, soucieux de défendre son amie. Hermione est d'origine moldue, et nous fait découvrir le monde duquel elel vient. J'ai appris déjà des tas de choses.
- Tu es bien comme ton père toi ! Mais tu sais Hermione, ce passe-temps, c'est complètement démodé ! Même en France...
- Alors, rétorqua celel-ci, comme projet commun, tu as mieux à proposer ?-
- Il y a assez de jeux sorciers pour que nous ne soyons pas obligés d efaire ceux de autres !! En tout cas, je suis sure que ni Suzy, ni Robin ni §Ricardo n'auront envie de jouer une pièce moldue !
Hermione pinça les lèvres tandis que ses amis prirent un air choqué. D'une main sur la sienne, Ron tente de l'apaiser. Hermione inspira un grand coup, puis avec un grand sourire répondit à Roxanne :
- Et bien à ce moment j'ai quelque chose à te proposer :
Et voilààààà, mon troisième chapitre ! J'espère que vous avez aimé... Alors une petite review pour me tenir au courant...
