Salut à tous !

Bon, je vais commencer par les reviews :

Larmes de pluie : Et voilà, sitôt demandé, sitôt fait !

Zagan : Tout d'abord, merci beaucoup pour le compliment. Et effectivement, j'écris très vite. J'ai la chance d'avoir un travail qui le laisse beaucoup de temps libre. Alors j'ai diminué mon temps pour les convers sur MSN, et d'autres projets persos pour ma fic. On verra combien de temps ça va durer (le rythme). Oui, je l'avoue, j'ai un peu lâché Ginny et Harry. Mais tu vas être content(e ?), voici un chapitre qui leur est entièrement dédié ! Et non, leur couple n'est pas moins... chut, je me tais... Il est un peu court, mais j'l'aime bien.

Gaëlle griffondor : merci mamzelle !

Anywhere : Toujours fidèle au poste ! Merci !

Liv : toujours présente, c'est cool. C'est bien que tu deviennes accro, tes reviews me font toujours très plaisir. Alors je continue !

Rupertforever : Contente de t'avoir fait rire. Mais j'aurai bien voulu trouver un truc encore plus drôle. Je me creuse la tête... Puis je suis à moitié belge, alors j'ai un peu l'humour foireux...

Virg05 : discussion ou pas discussion... Je crois que c un sujet queje vais essayer de tourner au comique, mais c pas encore à l'ordre du jour. Quoi que, peut etre dans pas si longtemps...

SoPhIaGrInT : bienvenue sur ma fic ! Mais non, ne meurs pas !

Encore une fois, désolée, ce chapitre n'est pas plus long, mais je suis allée vite, et je ne voulais pas vous mettre leur discussion tout de suite....

CHAPITRE 12

A table, Molly s'adressa à toute la famille :

- Je voulais vous dire que dès demain nous irons tous au square Grimmaud. Alors Ron et Ginny, faites vos bagages définitifs, car vous ne repasserez pas ici...

- Tout le monde se mit à parler ne même temps, mais Molly les coupa tous :

- Ca suffit ! Préparez-vous, nous partons demain matin.

Puis elle sorti de la cuisine, claquant la porte.

- Hum hum !! Arthur prit la parole. Les enfants, je vais vous demander d'être très très gentil avec votre mère en ce moment... elle est un petit peu tendue. Alors ne la contrariez pas trop. Essayez même de l'éviter à la limite, c'est le mieux... C'est compliqué en ce moment, hein !, d'accord ?

- Oui p'pa répondirent en cœur Ginny, Ron et les jumeaux.

- Harry, reprirent ces deux derniers. On peut te réumprunter Edwige s'il te plait ?

- Bien sur, je vais vous la chercher...

- Je sors de table p'pa, je n'ai plus faim

- Tu es sur que ça va ma chérie ?

- Oui oui, je suis juste fatiguée. Alors si en plus on part demain, je préfère me coucher...

Ginny croisa Harry dans les escaliers.

- Tu leur descends ta chouette, et tu montes me voir s'il te plait ? La jolie jeune fille affichait un visage totalement neutre...

- Ou ça ?

- Mais dans ma chambre !

- Mais Hermione ?

- Je t'attends...

Elle monta les dernières marches, sentant le feu du regard d'Harry posé sur ses fesses moulées dans un jean à la moldue. Il déglutit, et se dit que les choses n'allaient pas être simples ! Edwige perchée sur une main, il descendit les escaliers d'un pas lent, la confia aux jumeaux, et le cœur battant, remonta toquer à la porte de la chambre de Ginny.

La jeune fille lui ouvrit de suite, toujours imperturbable. Mais pour comprendre son assurance, il fait remonter quelques heurs en arrière....


Ginny exécuta parfaitement un virage penché à 180 degré, puis un looping paresseux.

- Je vois que vous avez fait des progrès, Miss Weasley !

Elle rapprocha son balai du sien. Quelques mèches s'étaient échappées de sa longue queue de cheval, et encadraient son charmant visage rosi par l'effort. Sa tenue d'entraînement était plutôt minimaliste : un caleçon noir, avec la brassière assortie. Le tissus soyeux tranchait sur sa peau blanche. Les formes de Ginny étaient vraiment féminines.

« C'est fou ce qu'une robe de sorcier peut cacher » se dit Harry, observateur. Elle fit voler son balais près du sien, et lorsqu'il fut parfaitement parallèle à celui du jeune homme, elle passa une de ses fines jambes part dessus le balais d4Harry.

Le temps de dire ouf, elle était installée en amazone devant lui, se blottissant contre son torse.

- Harry, emmène moi loin...

il installa plus confortablement la jeune fille sur son balais, et lui dit, en embrassant derrière l'oreille, là ou la peau devient satin :

- Accroche toi !

Très vite, le Terrier devint un minuscule, loin derrière eux. Ils longèrent d'abord la rivière, puis survolèrent une immense forêt, qui n'était même pas traversée par une route, qu'elle soit sorcière ou moldue.

Ils avaient fait une vingtaine de kilomètres, quand une grande clairière émergea au milieu des arbres touffus ; Harry descendit doucement.

Ils avaient tout les deux découvert un coin de paradis sur terre. Doucement, Harry l'aida à descendre sur le tapis de mousse.

L'endroit était magique. On entendait seulement le vent bruisser dans les branches, et le pépiement des oiseaux. Un petit ruisseau d'eau claire passait non loin, bordé de fraisiers et de mûriers sauvages. Il y avait plein de fleurs, et des rayons de soleil éclairaient l'endroit de milles étoiles. Ginny se précipita vers les buissons et revint les mains pleines de fruits des bois.

- On dirait un coin de terre sauvage, dit-elle, la bouche pleine de mûres.

- C'est-à-dire ?

- Comme si nous étions les premiers humains à venir ici...

- C'est vrai que c'est beau ! Et l'endroit te va bien !

Le jeune homme piqua une fleur dans les cheveux de sa compagne. Lorsqu'elle releva les yeux vers lui, il vit le vert tendre des feuilles se refléter dans les yeux azurs de la jeune fille. Il prit délicatement son visage dans ses mains, et posa sur ses lèvres un léger baiser. Instantanément, elle s'abandonna dans ses bras. Il mesura alors tout l'amour qu'elle lui portait. Il savoura lentement la douce saveur de ses lèvres. Leurs langues se mêlèrent, et il dégusta le plaisant parfum de fraise des bois qu'elle dégageait. Ginny était bien un être unique. Une fleur sauvage, à sa manière.... De doux le baiser devint fougueux . Les sens en éveil, il voulu connaître son corps comme il connaissait sa bouche. Ils étaient ici tellement loin de tout... Loin de Poudlard, de l'Ordre et de sa mission sacrée, loin de la famille Weasley qu'il n'osait même plus regarder en face quand il se réveillait de ces rêves où Ginny se pliait à tout se caprices.... Il se sentit libre. Un homme libre ! La faisant glisser sous lui, il couvrit son visage et son cou de baisers fébriles. Ses mains caressaient ce corps dont il se sentait enfin en droit de profiter... Il la sentit ronronner si fort sous ses caresses qu'il fut pris du désir sauvage de la sentir toute à lui. C'est presque violemment que ses mains prirent possession des seins de la jeune fille. A son écoute, il découvrit qu'elles étaient les caresses qui la faisaient frémir plus que d'autres. Le corps de la jeune fille transpirait le désir par tous les pores de sa peau. Il était assez étonnant de voir à quel point sa sensualité était exacerbée. Ce fut sans hésitation qu'il fit glisser sa brassière le long des bras joliment modelés. Il fut surpris par la générosité de la poitrine de la jeune fille. Elle avait des seins importants, fermes, aux mamelons roses foncés, dont les tétons pontaient audacieusement vers lui.

Il commença par en embrasser les doux bourgeons. Ginny se tordit sous l'effet du baiser, et poussa un gémissement rauque. Encouragé, il les mordilla, sans arriver à s'en rassasier. Il se trouvait sur elle, pesant sur son corps frèle. Les jambes écartées, la jeune femme sentait en elle un brasier inextinguible. C e n'étaient plus seulement ses seins qui étaient en feu, mais son corps tout entier. Cette fois ce fut elle qui frotta son entre jambe contre celui d'Harry. Continuant à exciter les tétons si sensibles de Ginny, Harry laissa doucement descendre sa main, jusqu'à toucher les cuisses de la jeune fille. Il enfonça ses ongles dans la peau douce, sans le vouloir, et fut surpris du cri de plaisir qui s'échappa des lèvres de la jeune fille. Il posa enfin sa main sur son sexe, par-dessus le fin tissu du caleçon. Il hésita un instant, ne sachant que faire à partir de ce moment.

Ginny, elle, ne se contrôlait plus. Elle avait plus d'expérience que Harry, même si elle était encore vierge. Elle avait découvert le plaisir, et seule, et avec ses anciens petits amis, qui heureusement s'étaient montré assez dégourdis.

Sentant la main d'Harry se faire plus légère, elle la saisit d'une main, et la rapuya contre son sexe. A partir de là, le jeune homme péta complètement un cable. Il fit glisser le long de jambes galbées le caleçon, découvrant un léger slip en coton blanc, qui glissa aussitôt le long de ses jambes... Ses mains apprirent ainsi ce qu'était un sexe féminin. Il caressa la douce toison rousse, découvrit les deux petites lèvres humides de la jeune fille. Intuitivement, il enfonça un doigt dans son ventre chaud et accueillant. Elle se cambra sous la caresse, poussa un soupir de contentement. Ce fut ensuite à deux doigts qu'il la pénétra, toujours avec autant de facilité...Puis trois... Ginny poussa un cri de plaisir brut. Enfin Harry Potter était en elle ! Rien que cette idée la rendait folle. Elle fourrageait ses cheveux d'une main. Sous une caresse trop brutale, il fit une grimace. Comment aurait-il pu croire qu'elle ait un tel tempérament ! Elle cachait bien son jeu !

Puis soudain, son euphorie tomba aussi vite qu'elle était montée. Brusquement, il cessa ses caresses et se redressa. Il voyait devant lui Ginny, pamée, nue... Il se rappella la petit fille qu'il avait sauvé des griffes de Tom Jédusor, pareillement étendue sur le sol. La comparaison lui fut insoutenable. Ce fut un air horrifié qui s'affichait sur le visage d'Harry lorsque Ginny ouvrit les yeux, se demandant ce qui se passait. Ce fut un coup de poignard en plein cœur. Instinctivement, elle se couvrit la poitrine d'une main, et le sexe de l'autre. Harry détourna son regard d'elle, pendant qu'elle remettait ses vêtements.

A ce moment là, ils n'entendirent plus les oiseaux pépier joyeusement. Ginny faisait un effort surhumain pour ravaler sa honte et ne pas pleurer.

Harry, penaud et conscient de la douleur de la jeune fille tenta de lui attraper le bras.

- Ginny...

- Qu'est ce que tu me veux ? Ou devrais-je dire qu'est ce que tu veux tout court. Elle haussa le ton. J'en ai plus qu'assez ! qu'est ce qui se passe hein ? Merde ! tu me prends pour qui ? Oh Harry, continu-t-elle d'une voix déchirante, pour quoi tu m'as fait ça ?

- Je suis désolé Ginny. Je ne sais plus quoi faire, je ne sais plus où j'en suis... Un jour je le sais, puis un jour je suis complètement paumé. Cela n'a rien à voir avec toi et...

Ginny s'approche d'Harry et lui donna un gifle magistrale !

- Je t'interdis de me mentir Harry Potter ! Tu te fous de moi ? Ici, en l'occurrence, c'est moi le problème ! Alors vas-y, crache le morceau. Ne te gène surtout pas !

Elle fulminait. Rouge de rage, les poings serrés, avec dans ses yeux toute la douleur et toute la colère du monde. Harry n'aurait pas cru pouvoir un jour lire ces deux sentiments dans le regard de quelqu'un. Il comprit à ce moment qu'il n'avait d'autre choix que de dire la vérité. Il ne pouvait pas lui mentir. Pas à elle, il la chérissait bien trop !

- Ginny... Je ne sais pas comment me faire comprendre. S'il te plait, ne prends pas mal mes paroles. Mais... dès que nous allons un peu lus loin, et bien je pense à toi petite fille. Je t'ai toujours aimé comme une petite sœur. Lorsque nous nous sommes embrassés pour la première fois, j'ai mis trois heures à m'en remettre. Vous êtes comme une seconde famille, alors forcément, faire de celle qui était devenue ma petite sœur ma petite amie... Ginny j'essaye de faire ce que je peux, je te jure... Mais j'ai toujours des images devant les yeux... Et mentir à ta mère, faire semblant d'être juste un ami, alors qu'elle a tant fait pour moi ! J'ai l'impression de les trahir.

Ginny se retint de dire que sa mère serait certainement ravie le jour ou elle saurait qu'ils étaient ensemble, et que même tout le monde attendait ce jour avec impatience, un peu comme Ron et Hermione... doucement, elle sentit sa colère s'éteindre, et fut prise d'une grande lassitude. Elle en avait assez de se battre sans cesse.

- Ecoute moi Ginny, je sais ce que je veux, il faut juste le temps que je m'y fasse.

- Menteur, tu ne sais absolument pas ce que tu veux...

- Je te dis que si !

- Et que veux tu donc ?

- Tout remettre à plat dans ma tête, et... m'habituer à l'idée d'une Ginny qui devient une femme. Et une femme de tête, qui sait ce qu'elle veut ! C'est ta sensualité Ginny qui me déconcerte. Alors laisse moi l'apprivoiser...

- Te rends tu compte de ce que tu me dis ? Rentrons Harry, il faut que je réfléchisse...

- Comme tu veux Ginny.

Harry soupira et enfourcha son balai, laissant ainsi à Ginny le choix de s'installer contre lui ou pas. La jeune fille, indifférente, s'assit derrière lui, le tenant par la taille du bout des doigts. C'est sur, on était loin de l'aller ou Ginny s'était réfugié dans les bras du jeune homme ! Plus de câlin, plus d'épaule protectrice... Le trajet leur paru ainsi interminablement long. Et dès leur arrivée au terrier, elle courut se réfugier dans sa chambre.

Qu'il avait été dur! Comment pouvais-il être aussi cruel? en gros il avait l'impression de coucher avec sa soeur, et en plus elle passait pour une grosse salope, une chaude quoi...

Harry resta seul, dans le jardin, se disant qu'il avait fait la pire des conneries qu'il lui était possible de faire. « Pourquoi j'ai pas fermé ma grande gueule ? Pourquoi j'ai pas attendu que ça passe tout seul ? Espèce de con ! T'as tout foutu en l'air... » Il ne lui restait plus qu'à espérer qu'une fois de plus, Ginny fasse preuve de patience et de compréhension... Mais la jeune fille n'était-elle pas lassée de ses sautes d'humeur ?

REPONSE AU PROCHAIN CHAPITRE ! Alors ? Petit sondage : à votre avis, que va-t-il se passer ?? Et laissez moi une p'tite review pour me dire si vous avez aimé... Ca me motivera pour suivre le rythme !!