Salut !
Ben vu qu'hier j'ai pas pu mettre de chapitre en ligne parce que le site avait un souci, et que j'ai bien avancé, j'en mets un deuxième !
Et même que le 17 il sera pour demain.
Voilà !
CHAPITRE 16
Le soir venu, Harry interrogea Tonks sur les cachettes du manoir.
- C'est vrai, il y a des passages secrets ici ? comme dans les vieux châteaux moldus ?
- Mais bien sur. Cependant, je tiens à préciser que ce sont les sorciers qui sont à l'origine de ces passages dans les châteaux. Les seigneurs moldus aimaient faire venir des sorciers, souvent maléfiques, chez eux. Cependant, comme vous l'avez appris en cours, les sorciers étaient persécutés. Alors pour être discrets, voir pour les héberger en cachette, comme c'était l'usage, on a créé ces souterrains... qui ensuite ont eu d'autres usages ! Mais passons ! Oui, il y en a ici ! Sirius les connaissait presque tous, je crois même qu'il les avaient répertoriés sur une carte. Mais moi, je ne sais pas où ils se situent. J'étais si petite.. ; mais je peux te dire que c'était très impressionnant ! Mais vu l'état de la maison, ils doivent être ans un état de délabrement ! Voir complètement écroulés ! Cela nécessite beaucoup d'entretien. Mais si j'étais toi, ajouta-t-elle tout bas, je tenterai l'aventure...
Tonks cligna de l'œil, et se tourna vers Lupin, estimant qu'elle en avait assez dit pour le mettre sur la piste, et pas trop pour culpabiliser en face de Molly, dont elle connaissait la prudence et l'instinct de protection surdéveloppé ! Elle se disait tout simplement qu'Harry et ses amis allaient bien s'amuser à explorer la maison !
Hermione, qui avait tout entendu d'une oreille, lui jeta un regard perçant::
- Viens, retrouvons nous tous dans la bibliothèque.
5 minutes plus tard, elle prenait la direction des opérations :
- Ecoutez, il y a ici un inventaire des livres de la bibliothèque. En quatre tomes, en plus, cela va nous simplifier les choses ! On va en prendre chacun un. Il faut regarder si il y a des livres sur la magie noire, ou sur l' Amérique latine. Dès que vous trouvez quelque chose, appelez moi !
- Chef oui chef, répondirent ses amis en cœur.
Pendant deux heures, les 4 amis parcoururent dans tout les sens l'index des livres. A la fin, Hermione poussa un soupir.
- Rien d'autre que plein de livres super intéressants, mais inutiles pour nos recherches ! Ce n'est pas normal, quand on pense aux anciens propriétaires du manoir ! Si il y avait des érudits comme cet Hannibal, spécialiste de la magie noire, il doit y avoir quelque chose.
Ginny se frotta les yeux et prit la parole :
- Peut être il y-t-il une deuxième bibliothèque, qui basculerait, derrière un pan de ces murs, ou quelque chose dans le genre...
- Comme dans les films moldus, dit Harry.
- C'est très courant aussi chez les sorciers, qui aiment tant le mystères...
- Hé ! Cria presque Hermione, Tonks n'a pas parlé de passages secrets ? Pourquoi pas une salle secrète, ou les black se seraient livrés à la magie noire en cachette ? Car là, rien n'indique une quelconque pratique de magie interdite ! Harry, il faut trouver ce plan dont Tonks parlait !
- Quel plan ? demandèrent Ron et Ginny
- Tonks a dit que Sirius, quand il était petit, avait fait un plan de tout les passages cachés du manoir...
Harry soupira :
- J'ai regardé toute la chambre de Sirius, et même dans l'armoire, où il y a toutes ses vieilles affaires, je n'ai rien vu qui ressemblait à un plan !
- Il y a le coffre, lui répondit nonchalamment Ron.
- Quel coffre, demanda du tac au tac Hermione
- Un coffre dans l'armoire ou j'ai trouvé le carnet d'Hannibal. Il était juste à côté. Mais nous n'avons pas réussi à l'ouvrir...
- Montre le moi s'il te plait.
Peu de temps après, Hermione était blême de rage devant le coffre qui restait fermé.
- Et dire que je ne peux même pas jeter un sort pour l'ouvrir ! Et que la solution se trouve peut être là... J'en crierai de colère !
- Ecoute, dit Harry, en étouffant un bâillement. J'en parlerai demain à Rémus. Il connaît peut-être ce coffre ! En tout cas il pourra certainement nous aider. Après tout, quoi de plus normal que je veuille l'ouvrir. Mais là, il est tard, il vaut mieux se coucher...
Ron, qui chuchotait quelque chose à l'oreille d'Hermione, se tourna vers lui.
- Oui, moi aussi je suis fatigué... Heu... Hermione, tu viens, je voulais te dire quelque chose...
Harry et Ginny se retrouvèrent seuls dans la chambre du jeune homme. Alors que la rouquine commençait à marcher vers la porte, Harry lui attrapa le bras.
- Ginny, reste s'il te plait, je voulais te parler.
- De quoi donc ? Demanda-t-elle doucement.
- De nous...
- Je croyais avoir été claire. Nous deux c'est fini Harry. Au final, avant même d'avoir commencé !
- Ginny, j'ai compris qu'elles ont été mes erreurs. Regarde moi s'il te plait. Dans les yeux.
La jeune fille leva vers lui des yeux plein de larmes.
- Je sais que j'ai été en dessous de tout. Et je sais maintenant ce que je veux. J'ai beaucoup réfléchi en deux jours et...
La jeune fille allait l'interrompre, quand il lui coupa la parole avant même qu'elle ne commence :
- Non, j'ai des choses à dire. Alors pour une fois que je me sens bien, je vais parler. Et pas parce que je me dis que c'est ce que tu veux entendre. Sincèrement, tu me manques. Oui, 48 heures m'ont suffi pour comprendre tout ce que tu m'as apporté les trois semaines où on était ensemble. Tu m'as écouté, tu as voulu m'aider. Tu as même essayé de me protéger en quelque sorte. Peut-être un peu trop. J'avais besoin d'une claque pour remonter à la surface. Et tu me l'as donné, tu peux me croire !
- Harry, je...
- Ecoute, quoi qu'il en soit. J'avais besoin de savoir certaines choses. Et de me rendre compte d'autres aussi. Je ne te dirai pas comment je l'ai fait, (NdA : Ben tiens !) mais J'ai appris deux choses : Sirius n'était pas un martyr, et toi, tu... tu m'aimes !
- Harry, je te trouve bien prétentieux !
- Ose dire le contraire ! Ecoute, je sais que ce soir est un moment spécial. Parce que la journée a été... je t'en parlerai plus tard. Je ne suis pas là pour me plaindre. Juste pour toi. Un poids énorme s'est enlevé de mes épaules. Alors... S'il te plait, regarde moi Ginny.
Les yeux de la jeune fille étaient plein d'interrogations et de doutes. Cependant, Harry y lu un espoir. Alors qu'elle restait immobile, ne sachant plus du tout où elle en était, il se pencha doucement vers elle, et effleura ses lèvres.
Ginny ne répondit pas à son baiser, mais ne se déroba point non plus. Harry sentit qu'il ne fallait par forcer les choses. Il se redressa :
- Ginny, je ne veux pas forcer les choses, et je vais te laisser réfléchir. Je sais que je dois regagner ta confiance. Et j'ai la ferme intention de le faire.
- Il faut que je réfléchisse Harry.
Ginny sortit de la chambre.
- Pendant ce temps, Hermione avait accompagné Ron dans sa chambre.
- Alors, que voulais tu me dire ? lui demanda-t-elle d'un ton taquin
Le jeune homme se plaça derrière elle, et releva la lourde masse de ses cheveux bouclés. Commençant à picorer sa nuque de tendres baisers, longs et appuyés, il lui répondit :
- que tu es merveilleusement belle.... Que j'admire ton intelligence... Que ta peau est sucrée et savoureuse...
Hermione réprima un frisson de plaisir, et Ron continua à parcourir son cou et ses épaules du bout des lèvres.
- Que chaque jour qui passe me rend un peu plus fou... Hermione !
- Oui ?
- J'ai envie de te manger !
- Mais je t'en pris, fais !
Le jeune homme ne put contenir un ronronnement de plaisir. Il commença à lui mordiller le lobe de l'oreille, puis l'embrassa sur tout le visage, sans cependant toucher à la jolie bouche qui s'offrait à lui. Alors qu'elle le cherchait des lèvres, il redescendit le long de son cou. La peau de la jeune fille était tiède et douce. Il caressa du bout de la langue un petit creux, ou une veine palpitait, au rythme des battements du cœur d'Hermione qui battait la chamade.
Il releva son menton du bout des doigts, et alors qu'elle croyait qu'il allait enfin l'embrasser, il claqua de la langue, et commença à déboutonner la légère chemisette, en la regardant droit dans les yeux. C'était un moment follement excitant pour la jeune fille, qui devait combattre deux sentiments contradictoires : sa pudeur naturelle et le désir qu'elle avait de se retrouver nue dans ses bras.
Enfin, il fit glisser le léger tissus le long des bras fins. Hermione se retrouva en soutien-gorge devant lui. Il voyait le léger renflement des tétons à travers le tissus. Cette vision, qui prouvait à quel point la jeune fille était excitée, le rendit complètement fou. Alors qu'il commençait à caresser ses épaules, que ses grandes mains couvraient entièrement, elle décida de le provoquer un peu. Pourquoi serait-il le seul à jouer ?
Le repoussant un peu, penchant la tête, et le fixant, elle commença à dégrafer son soutien gorge. Ron déglutit, en voyant le dessous tomber par terre. Il releva lentement les yeux, suivit les jambes galbées passa rapidement sur la jupe, puis vit le ventre nue de sa compagne, puis la taille, puis sa poitrine, fièrement dressée. Quand elle se rapprocha de lui, pour lui donner un baiser, il sentit en même temps la douce pression de ses seins, avec leurs pointes dressées, et son parfum, si excitant. Ses mains se refermèrent sur sa taille, comme s'il pouvait enfin accéder à un trésor. Même si ils n'avaient eu que peu de moments d'intimité, il avait systématiquement l'impression que c'était la première fois qu'il touchait cette peau tiède et satinée...
Hermione, elle, jouissait de sentir tout à elle ce corps dont elle avait si souvent rêvé. Elle ne se lassait pas de l'odeur de sa peau. Elle aurait voulu le respirer toute la nuit. Elle repensa à ce soir où toute seule... Pour cache sa rougeur, elle se mit à parcourir le corps de Ron de baiser. Celui-ci ne pu se contenir et la serrant dans ses bras, ils tombèrent tout les deux dans le lit confortable. Cela devint presque un combat, qui arriverait le plus à toucher l'autre.
Ron était allongé dans le lit, avec la jeune fille à califourchon sur lui. Doucement, la dirigeant de ses mains, il la releva un peu, jusqu'à se trouver sous la poitrine si douce. Très vite, ses caresses se firent plus sauvages, plus... passionnées. Alors qu'il mordait presque son téton, elle ne put retenir un gémissement de plaisir. Le dos cambré, elle se donnait sans retenue à cette bouche vorace qui lui procurait tant de plaisir... Contre sa cuisse elle sentait le sexe en érection de son ami, qui souffrait de se sentir si à l'étroit. Sans réfléchir, par instinct, elle posa sa main dessus, puis exerça une douce pression. Suivant les mouvements de bassin de Ron, qui gémissait sous la caresse, elle frotta sa main contre la toile du pantalon, de bas en haut. Un coup d'œil sur le visage du jeune homme lui fit comprendre que son intuition était bonne...
Ron sentit qu'il était au bord de se libérer... Juste à temps il se dégagea de l'étreinte de la jeune femme, qui n'eut pas le temps de comprendre ce qui se passait. Il la fit basculer sous lui, et recommença à lui caresser les seins. Puis il voulut continuer ses caresses. Il sentait bien le ventre d'Hermione se cambrer contre le sien... doucement ses mains redescendirent le long de son torse, et tirèrent lentement al fermeture éclair de sa jupe, qu'il fit glisser lentement le long des jambes si bien faites.
La jeune fille se retrouva seulement avec son slip en coton blanc. Elle avait par instinct refermé ses jambes. Alors Ron picora son corps entier de longs baisers langoureux. Il commença par le cou, puis à nouveau le creux des épaules, et sa poitrine ferme. La jeune fille recommençait à frémir sous les caresses, à se sentir plus à l'aise... Alors il traça avec sa langue un chemin allant de ses seins jusqu'au bord de sa culotte. Il contourna cette partie de son corps, et repris ses baisers le long des cuisses fuselées, puis des jambes. Il tenait son pied dans ses mains, quand il sentit que les cuisses de la jeune fille s'ouvraient d'elles-mêmes. Alors, tout doucement, touchant cette fois ci à peine la peau, ses mains refirent le chemin inverse de sa bouche, et effleurèrent délicatement le sexe de la jeune fille. La caresse fut si légère que ses reins se cambrèrent à la recherche d'un contact plus poussé. Un gémissement de déception eut lieu quand Ron retira sa main. Il pencha son visage sur le sien, et plongea son regard dans les yeux noisettes, pâmés de désir et de curiosité à la fois. Jamais Hermione n'y avait lu tant d'amour. Alors ce fut elle qui guida la main du jeune homme sous sa culotte. Il sentit son humidité, et savait ce que cela voulait dire. Alors toujours autant en douceur, il fit glisser le dernier rempart qui ouvrait la nudité de la jeune fille. Pour la première fois, il voyait réellement, autrement qu'en dessin ou photo, un sexe de femme. Sous la toison châtain et bouclée de la jeune fille, il observait ce secret rose foncé, qu'il allait enfin découvrir. Petit à petit, sa main se raprocha. Lorsqu'il glissa un doigt entre les lèvres gonflées de désir, Hermione soupira. Guettant la moindre expression de rejet sur son visage, par peur de lui déplaire, il remarqua qu'elle fermait les yeux. Alors respectant cette dernière pudeur, il souffla la dernière bougie.
Seule la lumière du feu faisait parcourir des reflets dorés sur cette peau dorée de brune. A côté, son propre corps paraissait blanc comme la neige. Il reprit sa caresse. Il ignorait que la peau pouvait être si douce à cet endroit là... Puis il introduisit un doigt, très lentement, et e fut elle qui d'un mouvement du bassin fit en sorte qu'il la pénètre entièrement.
Hermione faisait glisser ses bras sur les draps frais. Chaque centimètre carré de sa peau était en éveil. Petit à petit, Ron sentit que les muscles de son vagin devenaient moins crispés, et exerçaient au contraire de petites contractions, de plaisir cette fois ci. Il se risqua alors à la pénétrer d'un deuxième doigt. La jeune fille commença à gémir. Puis sentit qu'une autre partie de son corps réclamait son du. Ron eut peur quand elle prit sa main, l'enlevant de son sexe, mais se rassura quand il compris qu'elle cherchait à lui montrer l'endroit qui lui donnerait encore plus de plaisir. De ses doigts humides, il caressa le petit bouton de chair rose.
Immédiatement, Hermione frémit. Elle commença à pousser des petits cris, encourageant Ron à continuer cette caresse. En même temps, il prit dans sa bouche l'extrémité d'un de ses seins. Il se rendit compte qu'elle devenait de plus en plus humide...
Les jambes arquées, le corps tendu, Hermione parvint au bord de la jouissance. Mais son corps venait à peine de découvrir le plaisir, et n'était pas prêt à aller jusque là. Sans savoir pourquoi, elle mit fin aux caresses de son ami, et se pelotonna dans ses bras. Ron ne s'était jamais senti aussi homme que ce soir là, et la couva du regard, heureux de lui avoir donné tant de plaisir, et la remerciant intérieurement du cadeau qu'elle lui avait fait...
Alors, ça vous a plu ?
Ouais je sais, certains dialogues faisaient un peu Dallas....... ton univers impitoyable!
Mais bon, en même temps, faut ce qui faut...
