Desolée, ct ou je mettais le chapitre ne ligne , ou je repondis aux review. Alors le chapitre 20 me servira à vous repondre. Désolée...
CHAPITRE 19
Lorsque tout le monde s'installa à table, Hermione n'osa même pas s'asseoir à côté de Ron. Elle connaissait Molly depuis bien longtemps, et avait un peu de mal à assumer ce qui s'était passé. Ginny la regardait d'un air interrogateur, quand quatre hiboux arrivèrent en piaillant dan la cuisine.
- Oh ! cela doit être vos convocations pour Poudlard ! Dit Arthur d'un voix enjouée, voulant meubler le silence de la cuisine.
- Le 5 septembre, comme d'habitude, départ du Poudlard epress à 11 heures.
Harry posa le parchemin à côté de lui. Il avait d'autres soucis que la rentrée scolaire. Il regarda Ginny, qui s'était levée brusquement, le visage contrarié.
- Qu'est ce qu'il y a ma chérie ? Lui demanda sa mère, inquiète.
- Rien M'man. C'est juste que... elle montra du bout du doigt la lttre qui lui avait été adressée.
- Et bien quoi ?
La jeune fille souleva le papier, découvrant un petit insigne. Un petit P, rouge, muni d'une broche.
- Ginny, c'est magnifique ! Molly ne se tenait plus de joie !
- Euh...
- Et bien, ça ne te fait pas plaisir ? Harry avait l'air étonné.
Alors que tous la regardait, Hermione prit la parole :
- Voyons Ginny, c'était logique ! Tu as un sens profond de la justice, tu ne te laisses pas marcher sur les pieds, tu as le caractère qu'il faut pour ça ! Personnellement, je m'attendais à leur choix, je te l'avoue !
- Et tu aurais du me le dire, comme ça je les aurai prévenu !
- Que veux tu dire par là ? Demanda sa mère, inquiète.
- Je veux dire que je n'ai absolument aucune envie de devenir prefête !
- Mais pourquoi, dit Ron. C'est génial, je t'assure!
- Si toi ça t'as fait plaisir de donner des punitions à Crabbe, ou Goyle, ou autres serpentards, ce n'est pas mon genre ! Je ne veux bénéficier d'aucune des prérogatives que me donne cet insigne ! De toute façon, il y en a déjà eu assez dans cette famille. Charly, Bill, Ron... C'est bien suffisant !
- Je n'en peux plus ! A l'évocation de Percy, Molly était devenue rouge de colère et de chagrin. J'ai assez de soucis comme ça ! Et ton frère qui commence tout à l'heure, puis toi ! Je vous laisse.
Molly sortit de la pièce. Arthur regarda tristement sa fille, et courut rejoindre sa femme.
- Mais Ginny, as-tu bien réfléchi ? Hermione ne comprenait pas le choix de son amie.
- Le sujet est clos. Je finis de manger, et je vais de suite écrire un courrier à Mac Gonagall, lui demandant de trouver quelqu'un d'autre.
Le ton de la jeune fille était si décidé que nul n'osa contester. Ils finissaient le repas, Harry et Ron meublant la conversation en parlant de quidditch. A ce moment, Tonks rentra dans la pièce.
- Qu'est ce qu'il se passe ? Je venais à peine d'arriver dans la cheminée du salon que je suis tomber sur Molly en train de pleurer dans le salon et... Je lui ai demandé ce qu'il se passait quand elle m'a envoyé proméner...
Ginny se leva, prête à quitter la table :
- Maman accepte mal le fait que je refuse d'être prefête. C'est tout. Pourquoi ? Ca te choque ?
- Non, dit Tonks, se servant une assiette de poulet à la salsepareille. A vrai dire, à ta place j'aurai fait pareil. Bien que aucune personne sensée n'aurait eu l'idée de me confier ce poste ! Ajouta-t-elle en riant.
- Bon, j'y vais, je vais écrire ma lettre.
La rouquine quitta la pièce, une expression nerveuse sur le visage. Il était très dur pour elle de peiner sa mère, mais... Il en était hors de question !
- Je ne comprends pas, dit Ron. Moi, finalement, j'ai adoré être préfêt !
- Tu aimais passer ton temps à réprimander les autres Ron ? Dit Tonks d'un air interrogateur.
- A vrai dire, euh...
- Il me lissait cet agréable travail, reprit Hermione suavement. Lui se contentait d'enlever quelques points à certains serpentards... Et de bénéficier de la splendide salle de bain qui nous était réservée...
- Tu exagères Hermione, répondit Harry à la place du rouquin qui restait bouche bée devant la perfidie de son amie.
- A peine. Ou je devais le traîner derrière moi pour les tournées, ou il refusait de régenter un peu ses frères. J'ai fait tout le sale travail. Mais bon, moi j'ai fait ce que je devais faire...
- Hermione ! Comment oses tu !
- Je te laisse Ron, je vais voir ta sœur...
- Non, je vais y aller. Harry se leva précipitamment. Je vais la voir...
- Cette fois ci, il toqua à la porte, doucement.
- Qui c'est ? Demanda un voix dure.
- C'est moi, Harry. Je peux rentrer ?
- Mmmmmm
Le jeune homme interpréta cette onomatopée comme un « oui ». Il rentra dans la chambre. La jeune fille était assise sur son lit, les jambes repliées entre ses bras. Elle ne pleurait pas, mais son visage exprimait une grande lassitude. Ginny, qui avait toujours été forte comme un roc, montrait depuis quelques jours ses failles... Harry s'attendrit à cette pensée. Peut être que pour une fois, il serait lui en mesure de l'aider, de lui procurer un certain soutient...
- De toute façon j'ai déjà dit pourquoi je ne voulais pas de cet insigne... La jeune fille le regarda, sur la défensive.
- Loin de moi l'idée de vouloir te convaincre du contraire...
Les traits de la jeune fille s'apaisèrent. Elle se mit à parler, très vite :
- Je sais que cela déçoit maman, qu'elle rêve toujours de voir ses enfants couverts de d'honneurs et de reconnaissance mais... Regarde Hermione l'année dernière. Elle s'en est bien sortit, mais... elle a prit ça comme une récompense, un honneur...
- Et ?
- Et moi je ne vois ça que comme une charge qui m'imposerait des devoirs qui ne me plaisent pas. Punir, surveiller, réprimander... Ce n'est pas dans mes habitudes.
- Si tu en parlais avec elle, tu saurais aussi qu'elle a défendu les premières années contre les méfaits des plus grands, qu'elle a rétabli l'ordre là ou il en était besoin. Plusieurs premières années ont été sauvés de Malefoy un peu grâce à elle... Et si elle a prit un air si rébarbatif, c'est tout simplement que c'était le seul moyen pour elle d'être crédible. Elle a toujours prit son rôle très à cœur... Et pourtant, avec tout le temps qu'elle passe à étudier, je ne pense pas qu'elle l'ait désiré à la base...
- Et bien disons que... Tu te fais l'avocat du diable !
- Non Ginny. Je vais juste te dire une dernière chose. Un secret.
- Ni Ron ni Hermione ne sont au courant. Dumbledore me l'a dit, et à mon avis, seuls quelques autres éminents membres de l'Ordre sont au courant. Tu sais cette prophétie du département des mystères, elle me concernait.
- Oui.
- Et bien, je vais t'en dire le contenu. Car je ne suis pas le seul intéressé. Il est également question de Voldemort.
Fermant les yeux, la rouquine vit passer devant elle les images de cette horrible soirée au département des mystères. A l'évocation du Lord noir, elle frissonna de peur rétrospective... Harry continua :
- et il est dit en gros que je c'est de ma main que Voldemort mourra. Seulement, quand cette prophétie a été annoncée, il en a eu vent. Et c'est pourquoi il passera sa vie à essayer de me tuer avant que je le fasse. C'est pourquoi il a tué mes parents... et essayé de me tuer bébé.
Ginny resta bouche bée devant le jeune homme, qui la regardait calmement de ses yeux verts émeraude. Il lui fallu plusieurs secondes avant de réaliser ce qu'il venait de dire et pouvoir lui demander :
- Tu veux dire qu'il a été dit il y a 17 ans que c'est toi qui devrais tuer Lord Voldemort ?
- Oui.
- Et tu sais ça depuis quand ?
- Dumbledore me l'a annoncé le soir où Sirius est mort. Je n'ai pas le choix de toute façon. Si je ne le tue pas, c'est lui qui le fera. C'est dans l'ordre des choses. Les moldus appellent ça le destin.
- Et tu vas faire quoi ?
- Apprendre ! A me défendre, puis à attaquer aussi. Essayer de maîtriser de puissants sortilèges... Et attendre le moment.
La jeune fille appuya sa tête contre son épaule, et prit dans ses mains celle du jeune homme, qu'elle embrassa.
- Mon refus doit te paraître bien puéril alors...
- Bien sur que non Ginny ! Cela n'a rien à voir. Je t'ai dit ça pour deux raisons. La première est de te montrer qu'on a tous dans la vie des choses qui nous tombent dessus, des devoirs si tu veux, des obligations morales. La seconde est que je ne l'ai dit à personne. Et ça me fait du bien de le dire à toi. Même si maintenant je n'ai plus peur.
- Tu vas devoir affronter Voldemort et tu n'as plus peur ? Tu plaisantes !
- Non. Je n'ai plus peur. Je sais que l'un d'entre nous mourra, alors... si c'est lui, tant mieux. Dans l'autre cas, je ne serai plus là pour le voir. Alors...
Ils échangèrent un regard, plein d'amour et de fatalité. La jeune fille eu pour la première fois conscience du véritable fardeau qui pesait sur les épaules d'Harry. Non pas un quelconque chagrin, où une crise de remise en question... non, un destin, inéluctable qui plus est. Elle le serra dans ses bras, souhaitant de tout cœur alléger son fardeau. Mais là, elle ne pouvait rien faire... Alors pour l'instant, elle allait partager son secret. Et l'aimer... alors quand elle sortit de sa chambre, et qu'elle prit les escaliers qui menaient au salon, elle était fermement décidée à assumer cette responsabilité qui si elle était déplaisante, n'en était pas moins un devoir...
Hermione avait de la peine pour son amie, mais se dit qu'au moins les cela avait détourné l'attention de Molly. Elle en profita, à la fin du repas, pour s'esquiver avec Ron dans la bibliothèque. Refermant la porte derrière eux, car elle était bien décidée à ne plus jamais ce faire surprendre avec son amoureux en plein baiser ou autre , elle laissa le grand rouquin s'installer dans un des immenses fauteuils, et prit place sur ses genoux.
Elle commença par dérouler la grande feuille de parchemin. Elle ne pouvait voir la tête du jeune homme, placée bien au dessus de ses épaules, et qui s'était mis à fixer le joli décolleté de la jeune fille.
- Regarde Ron
Oui je regarde...
- En fait par ses ramifications, cet espèce de passage caché fait quasiment tout el tour de la maison en fait. Il y a même ce petit couloir qui doit déboucher... ici ! A la bibliothèque.
Pointant le doigt sur l'endroit en question, elle ne fut pas consciente de l'émouvant sillon qu'elle créait entre ses seins.
- Oui je vois ça, dit Ron d'une voix rauque, que sa petit amie, tout à la joie de sa découverte, ne remarqua même pas.
- Je me demande ou c'est exactement... Elle commençait à cambrer les reins pour prendre appui sur ses pieds, afin de se relever, quand elle sentit contre ses fesses, une bosse dure qui...
- Oh Ron ! reamarqua-t-elle, choquée sur le moment, oubliant même de se mettre debout. Elle tourna la tête, leva les yeux, et remarqua le regard du rouquin plongé dans son...
Il lui fit un petit sourire penaud.
- Euh... Désolé Mamione mais... c'est toi ! C'est de ta faute !
- Tu n'exagèrerai pas un petit peu là ? Lui demanda-t-elle, l'air moqueur.
Il secoua la tête pour tout réponse, l'air sur de lui. Hermione, décidée à jouer avec le feu, décida subitement de s'étirer en baillant, ondulant de tout son corps contre celui du jeune homme qui se sentit vraiment à l'étroit... Il poussa cependant lui aussi un soupir de bien-être, à ce charmant contact. Ses grands bras se fermèrent alors sur la jeune fille, afin de prolonger ce sensuel et étrange corps à corps. Ils rentrèrent dans une danse lente et complexe, faite de caresses légères, de mouvements du bassin, de frôlement de jambes... Ron était vautré dans le canapé, le corps gracile de son amie étendu sur lui. Il s'entait son sexe durci coincé entre le chaud sillon des fesses de la jeune fille, dont les mouvements langoureux le rendait fou, même à travers le fin tissus de sa jupe. Il allait...
- Non ! Il poussa Hermione éberluée.
- Mais qu'est ce qui se passe Ron ?
Le jeune homme, qui avait été au bord d'avoir l'orgasme le plus fort de sa vie (il en avait eu fort peu il faut dire, mais bon...), rougit brusquement. Puis il misa sur la franchise.
- Tu sais Hermione, les garçons... c'est... euh... il y a un moment ou forcèment... Quand on prends du plaisir, et beaucoup... il se passe un truc quoi !
- Et ?
- ?
- Et ?
- Euh...
- Tu es gêné ?
- Mmmmmmmmmmmmmmmmmoui
- Ron ? Elle se rassit sur lui, à califourchon cette fois ci, et lui dit à l'oreille : Ne crois tu pas que moi aussi je pourrai te donner du plaisir ?
Il hocha brusquement la tête, faisant signe que Oh oui ! elle pouvait...
- S'il te plait... Elle chuchotait. Laisse moi essayer...
Elle mordilla doucement entre ses lèvres le lobe de l'oreille du rouquin, puis laissa ses lèvres effleurer la peau de son cou. Petit à petit, Ron se détendit. Elle le sentit plus décontracté. Passant ses mains sur sa nuque, elle releva le visage du jeune homme qu'elle parsema de petits baisers, puis s'empara de sa si jolie bouche. Les lèvres du jeune homme étaient si douces, si sucrées...Les lèvres généreuses répondirent si tendrement à son baiser qu'elle eut du mal à s'en détacher. Enfin, elle eut un léger mouvement de recul, et s'empara du bas du tee shirt que le rouquin avait mis ce matin. Complètement dans un autre monde, le rouquin leva les bras et la laisser le lui enlever...
Elle avait déjà vu le torse nu de son petit ami, en différentes occasions, mais jamais dans cette situation. Elle voulait lui donner du plaisir, lui donner autant qu'il lui en avait donné la veille au soir. Alors petit à petit, elle se mit à parcourir la peau blanche à petits coups de baiser, s'attardant un peu du bout de la langue sur les tétons d'un rose pale. C'est ainsi, du bout des lèvres, qu'elle sentit le cœur de Ron palpiter un peu plus vite. Contre son bas ventre, elle sentait le sexe de Ron exercer de légères pressions. Et quand elle l'entendit gémir alors qu'elle appuya dessus d'un mouvement de bassin plus prononcé, elle recula aussitôt. Doucement, sa petite main s'abaissa jusqu'à la fermeture éclair, qu'elle baissa tout doucement. Si doucement qu'ils sentirent presque tout les deux les crans libérer peu à peu le sexe en érection du rouquin. Lorsque la couture mit fin au geste d'Hermione, il jaillit entièrement. Ron poussa un soupir se soulagement et de plaisir. Qui se mua en râle rauque lorsqu'elle glissa sa main le long de la hampe si tendue que le fin tissu du caleçon craqua presque.
Lorsqu'elle se leva, il la regarda, incapable de prononcer un mot. Il souleva juste le bassin quand la jeune fille saisit les bords de son jean et de son caleçon pour les baisser jusqu'aux genoux. Elle vit le sexe tressaillir au contact de l'air...
Son instinct de femme et sa malice naturelle l'incitèrent à ne pas toucher totu de suite au centre du plaisir de Ron. D'un doigt joueur, elle traça maintes courbes et volutes sur les cuisses, le pubis et les bourses du jeunes homme. Encore une fois, il frémit d'excitation et de plaisir. Doucement, elle approcha sa main, jusqu'à saisir entièrement le sexe du jeune homme, qui gémit de plaisir. Et ce fut qui qui sentant son hésitation, fit prendre à la main de la jaune fille un mouvement de bas en haut, tout doucement. Pour la première fois, Hermione se sentit maitresse du plaisir d'un homme, et c'était une sensation vraiment grisante. Elle observait avec acuité la bouche entrouverte sur un souffle haletant, les mains crispées sur le bord du fauteuil, la goutte de liquide perlé qui jaillit du gland... Remarquant que les mouvements de bassin de Ron se faisaient de plus en plus saccadés, elle donna elle-même un rythme plus rapide à son geste. Puis désirant rendre à ce sexe le même hommage qu'au reste elle avait donné au reste du corps blanc, elle embrassa ce sexe qui vibrait dans sa main.
Le léger cri rauque que Ron poussa l'incita à caresser de ses lèvres humides l'extrémité de ce sexe, et elle sentit un liquide salé envahir sa bouche, alors que Ron, dans un dernier spasme, gémissait le nom de la jeune fille....
Alors ? did you enjoy it ?
salut Liv ! Histoire d'alimenter tes fantasmes... une fois de plus special dédicace sur la bouche de Ron....
Bon ben voilà, hier soir et aujourd'hui, super inspiration, alors trois chaitre aujourd'hui.... Parce que je fete mes 100 reviews!!!
Je veux absolument savoir ce que vous pensez de tout tout otu!
Voilà,
Pascale1980
