Salut à tous !!

Voilà, je me suis dit qu'après les révélations, fallait passer aux choses sérieuses ! Mais cela faisait bien longtemps que nos deux tourtereaux n'avaient pas passé un petit moment tout les deux. Alors qu'à la base, ma fic est un R, Ron-Hermione…

En tout cas, je suis contente de voir que le dernier chapitre a beaucoup plu. Et puis il faut dire que là, je vous ai concocté un petit quelque chose de spécial, pour fêter mes 100 000 mots (que je vais atteindre avec ce chapitre), et mes 200 reviews (que Liv a atteint il y a deux heures. Merci liv !)

Ca m'a fait tout bizarre de refaire du R, c'est vrai que cela faisait un moment.

Alors, pour les reviews :

Lolo evans : contente que cela t'ai plus même en lisant tout d'un trait, car j'ai peur qu'avec le temps, l'histoire perde un peu de sa cohérence. Il y a des fois où je me contredis je crois. Mais j'ai la flegme de tout relire…

Zagan : et ce chapitre là ? Je me demande comment tu vas le décortiquer… hi hi hi

Lycan vans : Déjà, je vais te dire, si tu n'oses pas mettre en ligne tes chapitres, tu ne sauras jamais ce qu'ils valent… Alors jette toi ! Pour l'épilogue, ben je t'explique : Le jour ou j'aurai fini mon histoire, je ne sais même pas quand, pas de suite vu comment c'est parti, ben il y aura un dernier chapitre ou je dirai tous ce qu'ils vont de venir. Comme à la fin d'une histoire, tu dis « ils se marièrent et eurent bcp d'enfants » Et là, en parlant d eneville et Luna, je dis « celle qui serait un jour sa femme, meme si il ne le savait pas encore » (ou un truc du genre) C'est la premiere fois que dans mon histoire je dévoile un truc sur de l'avenir… d'où le fait que je suis toute emue. Je commence à aprler de la fin. Bouhhhhhhhhhh

Liv : tu l'as ouvert le passage aux deux cent reviews, je t'en serai éternellement reconnaissante… Ceci dit, je ne compte même plus les clins d'œil que je te fais dans ce chapitre. Je me suis aussi inspirée d'un certain dessin… A très vite sur msn

CHAPITRE 35

Le chemin du retour s'effectua sans aucun souci. Mais devant la dame en rose, alors que Néville, Ginny et Harry s'apprêtaient à rentrer dans la salle commune, Ron retint sa petite amie par le bras.

- Qu'est ce que tu veux ? lui demanda-t-elle impatiemment, voyant la porte se refermer.

- Un peu de votre attention mademoiselle….

- Comment ça ?

- Et bien figurez vous que je commence à en avoir assez de vous voir tout le temps plongée dans vos bouquins, ou préoccupée par je ne sais quelle association de Serpentard…

Le jeune homme débitait son discours d'un ton faussement sérieux, une jolie petite moue boudeuse sur ses non moins jolies lèvres…Hermione commença à fixer la bouche du rouquin, avec une légère lueur de gourmandise dans les yeux. Alors qu'elle essayait de se concentrer pour l'écouter, tout un tas d'images lui passaient en tête. Heureusement que Ron n'avait jamais exprimé le désir de s'adonner à la légillimantie. Il aurait été certainement choqué. Quoi que, choqué, ou…

- Hé ? Tu m'écoutes ?

La jeune fille secoua la tête

- Pardon ?

Ron soupira d'un air théâtral.

- Voilà que ma petite amie me laisse tomber…

« Décidemment » se disait Hermione, « Il est vraiment magnifique. » Elle plongeait dans les immenses prunelles d'un bleu azur, presque délavé, bordées de longs cils. S'il n'était pas aussi masculin de corps, avec ses muscles qui commençaient à se dessiner sérieusement, sa haute taille, et ses grandes mains, on aurait été tenté de dire qu'il avait des yeux de filles…

- Tu as vraiment besoin de te changer les idées toi.

Il posa ses grandes mains sur la petite tête brune, lui recouvrant la majeure partie du crâne, et l'embrassa délicatement sur le front.

- Hummm… Ron… Je n'en peux plus je te jure. Si tu savais comme le Terrier me manque… Des gens sains, nous deux en vacances, et pas une nuée de Serpentards qui me huent à chaque fois que je passe devant eux…

Ron, ému jusqu'au fond de son âme, sentit la frêle jeune fille trembler dans ses bras. Elle qui venait de dire une dizaines de minutes auparavant que les Serpentards trouveraient à qui faire face, la voilà qui laissaient entrevoir ses failles…

- Viens, on va faire un tour… Mais en fait, tu as envie de quoi ?

Hermione ferma les yeux.

- Euh… De me détendre. Me sentir loin de Poudlard et tout ses élèves. Sauf toi, bien sur ! Rajouta-t-elle, en le voyant tiquer à sa réponse…

- Alors viens, on retourne sur nos pas…

- Comment ça ?

- Je ne vois qu'un seul endroit qui t'apportera tout ce que tu demandes…

- C'est-à-dire ?

- La salle sur demande !

- Pardon ? Un rendez vous amoureux là bas ?

- Ben… Ron haussa les épaules. Pourquoi pas ? Il y a pire quand même…

Ron pensait à ce que Seamus lui avait raconté, quand un jour une jeune fille l'avait emmené dans le local à balais des entraînements pour les premières années… Il avait découvert là ses premiers émois sexuels, et à l'époque Harry et Ron l'avaient beaucoup enviés. Mais ce n'était pas ce qu'il y avait de plus confortable. Et de plus romantique…

- C'est vrai, cela pourrait être bien, admit la jeune fille. Mais si on se fait prendre…

- J'ai pris à Harry sa cape et sa carte ! Les lèvres de Ron s'étirèrent en un large sourire, découvrant une large rangée de dents blanches.

Hermione se sentit fondre devant un sourire qui en disait si long.

- Soit, dit-elle. Devant de tels arguments…

D'un geste large, il les recouvrit tout les deux de la cape d'invisibilité. Puis Hermione se mit à rire d'un coup.

- Qu'est ce qu'il y a ?

- Tes pieds…

- Et, qu'est ce qu'ils ont mes pieds ? C'est mon 45 fillette qui te fait rigoler ?

- Non, dit elle en gloussant. Mais les 40 cm de jambes qui dépassent de la cape…. Attend, je vais essayer de l'ajuster. Juste le temps de voir s'il est possible de jeter un sort sur un cape qui est déjà ensorcelée…

Hermione, d'un coup de baguette négligeant, réussit à ajuster la cape, afin que même debout, celle-ci les couvre entièrement.

- Tu vois, comme ça, même pas besoin de la carte des maraudeurs…

Ils parcoururent comme ceci la moitié du chemin, serrés l'un contre l'autre. Ce n'est qu'en arrivant dans le couloir où se trouvaient les toilettes de Mimi Geignarde qu'Hermione du réprimer un hoquet de surprise. A moitié plié en deux, Rogue sortait à nouveau des toilettes des filles. Ils virent Mimi qui le raccompagnait à la sortie, en lui criant aux oreilles de ne plus jamais empuantir ses toilettes…

Ron du se mordre jusqu'au sang pour ne pas laisser éclater sa joie, alors qu'Hermione n'esquissait qu'un léger sourire. Mais leur professeur de potions était trop occupé à quitter les lieux le plus rapidement possible pour s'occuper d'eux…

Hermione du tout de même se coller contre le corps de son petit ami pour éviter que Rogue ne la frôle. Elle sentit alors les grandes mains possessives entourer sa taille…

- Viens ! Lui chuchota-t-il à l'oreille, d'un ton impérieux

Enfin, ils arrivèrent devant la porte de la salle sur demande.

- Pense juste à ton bien être Hermione… Ce qui te détendrai un peu… Un moment que pour nous d'accord ?

« Zen, c'est tout ce que je veux… quoi que ce soit… »

Elle poussa la porte brusquement, comme pour échapper à ses préoccupations, puis éclata d'un rire cristallin.

La pièce était quasiment vide. Un tapis de bambou recouvrait la majeure partie du sol. Il y avait une table basse, recouverte de plats fumants, près de laquelle était installés deux coussins. Un futon dans un coin. C'est tout… Quelques estampes japonaises au mur…

- C'est quoi ça ? demanda Ron, intrigué par cette décoration qu'il ne connaissait pas.

- Le moins que l'on puisse dire, c'est que j'ai été prise au mot…

- C'est-à-dire ?

- Et bien… Je pensais juste à un mot : zen. Tu sais, Zen, dans le sens tranquillité, calme…

- Et ?

- Et bien Zen, c'est un peu… japonisant comme terme quand même. Et là, c'est déco japonaise minimaliste !

- Ben, il y a à manger, c'est cool… Mais on mange où ?

A nouveau, Hermione éclata de rire. Un chouilla vexé, Ron fut tout de même content de la voir se détendre.

- Et bien vois tu, Ron, il y a des pays, qui ont d'autres cultures, d'autres habitudes, et en Asie, en l'occurrence, la coutume est de s'asseoir par terre pour manger. Enfin, sur des coussins…

A ce moment, le ventre de la jeune fille se mit à gargouiller, et Ron lui sourit tendrement.

- Bon, je ne vais pas te laisser mourir de faim… Alors donc ce soir nous mangeons japonais c'est ça ? Ca tombe bien, je ne connais pas encore…

Les deux jeunes gens s'assirent l'un en face de l'autre. Hermione, le sourire aux lèvres, souleva les cloches en bambou qui recouvraient les plats. Elle respirait avec délice les senteurs qui s'échappaient des plats comme elle entendit Ron, paniqué :

- Il y a pas de fourchettes…

A nouveau ce rire léger. Ce soir, Ron se sentit pousser des ailes. Elle méritait bien un peu de détente. S'il n'était pas un grand comique comme ses frères, il pouvait tout de même la faire rire… Il fit une petite grimace.

- Alors tu vois Ron ces deux petits bâtonnets à côté de ton assiette…

- C'est rigolo on dirait des baguettes magiques…

Hermione sourit en pensant au nombre de fois où enfant, elle avait joué à la magicienne avec ces mêmes baguettes. Comme des tas d'enfants moldus d'ailleurs….

- Oui, et bien tu vas devoir manger avec…

- Ah oui et comment ?

La jeune fille prit avec agilité les deux fines baguettes entre ses doigts, et les fit claquer près des oreilles du rouquin, qui recula, impressionné.

- Je n'arriverai jamais à faire ça !

- C'est dommage, mais si tu ne veux pas manger… Parce que je suppose que tu ne mangeras pas avec les mains devant une jeune demoiselle…

Dépité, Ron fit une tentative infructueuse pour saisir les baguettes entre ses doigts, amis en vain. Elles retombèrent sur la table… Patiemment, Hermione prit dans ses petites mains celles de son ami, mais il n'arrivait pas recroqueviller correctement ses doigts sur les petits bouts de bois.

- Et si je pense très fort à une fourchette…

- Nan il n'y en a pas au Japon. Tiens…

Avec dextérité elle prit un ravioli entre ses baguettes, et l'enfoui dans la bouche du jeune homme.

- Tu aimes ?

- Moyen. C'est pas mauvais mais…

Ron vit aussi des petits rouleaux vert foncés, avec du blanc dedans. Pointant du doigt il demanda :

- Et ça c'est quoi ?

- Des sushis monsieur

- Et ça, ça se mange avec les doigts non ?

- Si tu veux, oui… Espèce de brute !

- Je te ferai voir si je suis une brute. Attend…

- Tu as dit quoi ?

Le rouquin leva les yeux innocemment vers le plafond.

- Quoi, j'ai dit quelque chose moi ???

Sur ces mots, il avala d'une bouchée un de ces petits rouleaux colorés.

- Ah ! Mais c'est dégueulasse !

Il se retenait visiblement de tout recracher.

- C'est quoi ?

- Euh… Du poisson cru… et du riz. et des algues...

- Bon ben pour le repas, je vais en rester là je crois hein ?

Heureusement pour lui, la jeune fille fut vite rassasiée. En un éclair, la table fut débarrassée, puis couverte de deux tasses en porcelaine, remplie d'un thé fumant.

- Ca ça sent bon, c'est quoi, demanda le rouquin en s'approchant de la jeune fille.

- Du thé au jasmin… Dit-elle d'une voix rauque, émue de sentir les lèvres de Ron se poser sur sa nuque…

Au contact des lèvres douces et savantes, un frisson lui parcouru la colonne vertébrale. Ron adorait picorer de baisers appuyés cet partie du corps de la jeune fille, qu'il savait particulièrement sensible à ses caresses. Et elle sentait si bon…

Repoussant la table du pied, il la débarassa de son gilet. Il fit ensuite glisser les bretelles de son débardeur, afin de libérer totalement les minces épaules. Comme il aimait le faire, il les recouvrit entièrement par ses mains. Il s'émerveillait toujours de la voir si fragile, si menue, et si forte à la fois. D'un coup, il l'enlaça et la serra si fort qu'il eu peur à un moment de la blesser.

Hermione, qui se sentait prise d'un subit sentiment de bien être, sentit comme à chaque fois une houle d'amour et de désir l'envahir. Elle sentait sa peau devenir brûlante, au contact un peu rêche du pull de Ron. Elle se retourna, et le lui fit enlever. Une fois le pull jeté au loin, il était si mignon, les cheveux ébouriffés, qu'elle ne pu s'empêcher de prendre son visage entre ses petites mains ; de et de la couvrir de baisers léger… Elle sentait, au dessus des lèvres bien dessinées, le léger duvet qu'il devait maintenant régulièrement raser, lui piquer la peau, qu'elle avait si fine. Mais c'était si agréable en même temps… Se sentir femme auprès d'un homme.

Ce fut elle qui laissa descendre sa bouche le long de son cou, et déboutonna la chemise blanche, jusqu'à se qu'il se trouve torse nu. Assis, les mains en arrière appuyées au sol, il mettait sans le savoir en valeur sa musculature, bien dessinée. Musculature encore bien légère, en raison de son jeune âge. Mais heureuse, l'adolescence avait épargné à Ron la maigreur qui était le lot de la plupart des garçons. Il grandissait vite, mais tout son corps suivait harmonieusement.

Nonchalamment, elle laissa glisser ses mains sur le torse, à peine recouvert d'un léger duvet roux, qui le rendait encore plus doux. Il était si… vivant ! Elle le sentait frémir sous sa caresse…

Lui sentait cette petite main chaude parcourir son torse. C'était si bon de se laisser faire par Hermione. Il y avait en elle un mélange d'audace et de timidité qui l'excitait et l'attendrissait à la fois. Et même s'il mourrait d'envie de la laisser prendre les devants, il ne pouvait résister à son envie de la prendre dans ses bras, de la caresser, de lui donner du plaisir… Il s'agenouilla, et frénétiquement, lui arracha son débardeur. Puis glissant ses mains derrière son dos, défit la petite agrafe qui retenait son soutien gorge.

Il poussa un grognement de plaisir, quand il sentit la ferme poitrine d'Hermione se presser contre lui.

Ils se retrouvèrent agenouillés sur le sol, l'un contre l'autre, à moitié déshabillés. Quand leurs lèvres se retrouvèrent, de doux leur baiser devint plus passionné. Ils s'embrassaient, s'enlaçaient et se caressaient, dans une danse effrénée. Il y avaient en eux une fusion si innée, si totale, que dans un mouvement commun leur bassin se joignirent. A chaque fois c'était pareil. Ils redécouvraient leur complémentarité. Enfin, elle leur sautait aux yeux… Il n'y avait pas besoin de paroles dans ces moments là…

Hermione sentait contre son ventre la bosse dure du sexe de Ron. Avide de lui donner du plaisir, elle déboutonna son pantalon, et à travers le caleçon, caressa doucement sa virilité. Tout doucement, car elle avait compris que la montée du plaisir est comme l'escalade d'une montagne. Il faut prendre son temps. Et quand on arrive à la cime…

Le jeune homme gémit de plaisir. A chaque fois il oubliait à quel point c'était bon, pour à chaque fois découvrir quelque chose de meilleur, de plus fantastiquement excitant. Il faut dire qu'Hermione se faisait de plus en plus troublante… elle avait, quand elle s'occupait de lui, un petit air appliqué et émerveillait qui l'excitait tant que…

Il eut peur de se libérer trop vite, et eut envie de la faire crier de bonheur. Cette soirée était la sienne… Alors à son tour, il déboutonna sa jupe, qui laissa place à un petit slip blanc. Il aimait ça aussi chez elle : sa simplicité. Elle n'avait besoin de dentelles, ou de ficelles, pour être terriblement sensuelle. Lorsqu'il laissa sa main effleurer le fin tissu, il sentit au mouvement en avant qu'elle fit qu'elle était prête à prendre du plaisir. Rapidement, il fut émerveillé de voir à quel point ils ressentaient les choses en même temps…

Il avait pensé tellement fort à quelque chose de plus confortable que ce tapis de bambou qu'un fin matelas apparu sous leurs corps. La jeune fille était maintenant allongée, les yeux clos et le cœur palpitant. Tout en les caressant, Ron fit glisser le petit sous vêtement le long des jambes fines, dévoilant ainsi la fine toison de couleur chataine, qui surmontait l'endroit le plus secret de son intimité…

Ron était aussi charmé par le corps d'Hermione que celle-ci l'était par le sien. Et maintenant qu'il commençait à bien le connaître, il qu'il était amoureux comme un fou de la jeune fille, il avait envie de la faire hurler de plaisir, comme un jour il la ferait pleurer de bonheur…

Il commença par déposer de longs baisers sur les jambes de la jeune fille, détaillant la finesse de ses chevilles, le galbe de ses mollets, la douceur de ses cuisses… Malicieusement, il évita tout contact avec cette zone qui frémissait, avide de caresses… Mais il remonta vers les seins fermes, aux auréoles un peu plus foncées. Sa langue traça un sillon argenté à travers son ventre, jusqu'à ce qu'elle parvienne à la pointe de ses seins, sur lesquelles elle s'enroula savamment. Hermione poussa un petit soupir de bien être. Mais très vite, le poids du corps de son ami pesant sur son bassin, elle trouva la douce caresse insuffisante. Plus bas, elle ressentait une envie plus brutale, elle avait besoin d 'un contact plus appuyé, plus précis…

Mais alors que durant leurs rares étreintes, Ron lui avait donné du plaisir d'une certaine manière, elle fut surprise de sentir la bouche de son ami revenir sur ses pas. Elle eut un temps d'hésitation, comprenant ce qu'il allait faire, et par pudeur failli resserrer ses jambes. Mais Ron se trouvait placé de manière à ce que cela soit impossible, et elle se laissa entraîner par une vague de sensualité, qui annihila en elle toute volonté.

Ron lui-même se trouva pris un peu au dépourvu, quand il se trouva le visage contre le sexe de sa petite amie. Il se sentait un peu intimidé, ayant peur de rater ce qu'il se préparait à faire. C'était tellement plus facile de l'imaginer… Alors il commença par poser de léger baiser sur la toison bouclée. C'était étrange comme contact. Neuf et excitant à la fois. Il sentait son odeur intime, un parfum épicé et envoûtant. Il découvrit à quel point la peau de son sexe était douce. Et si fragile… Enfin, du bout de la langue, il caressa les replis de cette intimité rose et secrète. Et petit à petit, il sentait les muscles de la jeune fille se décontracter, à mesure que le plaisir montait. Très vite, il trouva ce petit bouton de chair, caché comme un trésor, qui allait lui permettre d'emmener la jeune fille dans un monde où n'existaient que l'amour et le plaisir…

Lorsque Hermione sentit les lèvres pulpeuses se poser contre l'endroit le plus sensible de sa chair, elle ne pu retenir un petit gémissement. Qui s'accentua quand elle sentit la langue humide de Ron dessus. Le jeune homme laissait aller son intuition, et jouait avec le clitoris de la jeune fille comme il le faisait avec la pointe de ses seins. Il sentit ses mains s'agripper dans ses cheveux, et les gémissements se transformer en petits cris saccadés. Il ne pensait pas que le plaisir de la jeune fille monterait si vite…

Il sentit un goût salé lui envahir la bouche, et continua à titiller le petit bouton de chair. La jeune fille se contractait, mais de plaisir cette fois. Il posa ses mains sur les hanches d'Hermione, comme par peur qu'elle ne s'échappe de cette étreinte à laquelle elle n'était pas habituée. Enfin, alors qu'il accélérait le mouvement, elle poussa un long cri rauque, qui mourut sur ses lèvres entrouvertes, alors que ses mains se perdaient dans la chevelure rousse de son petit ami…

Alors, vous en pensez quoi de ce petit chapitre entièrement consacré à nos deux petits héros ? Toutes mes félicitations à Ron d'ailleurs… lol