Titre : Daisuki!
Auteuse : Mélie
Genre : Shonen Ai
Couples : HiwaDai, KradDark en fond.
Notes :
fic finie depuis le mois de juillet, mais je dois la retaper parce qu'entre temps ai changé d'ordinateur et je n'ai toujours pas récupéré mes fichiers… heureusement que je l'ai imprimée!
Les persos sont plutôt en OOC, particulièrement Krad dont je ne connaissais pas du tout du tout le caractère quand j'ai écrit cette fic.
Attention chapitre spécial sous la forme d'une songfic…
Chanson "Fais comme tu veux" de Calogero.
Réponses aux reviews :
Benjara : Je vais essayer de penser à vous donner les prochains chapitre plus rapidement… merci en tout cas d'être patients et merci à toi pour ta review
Recif : MDR quelle sadique… Peutêtre exagérée oui la réaction du père adoptif… enfin il est pas zentil zentil nan plus…
Azalée : Looooool no problem Je suis en retard alors tu peux bien l'être aussi MDR
Onarluca : Merci
Corail Zaarea : Merciiiiiiiii zoubi à toi aussiii
Yami Aku : Merci beaucoup pour cette review qui m'a fait bien plaisir
Koneko44 : Ben la voilà la suite grâce à toi d'ailleurs
VII. Fais comme tu veux (songfic)
Daisuké sortit de chez lui un peu angoissé. Il courut jusqu'au bout de la rue et ses craintes se confirmèrent. Satoshi n'était pas là.
"Il a peutêtre pris du retard, tenta Dark pour le rassurer.
- Non... jamais...
- Ce n'est pas la peine de dramatiser tout de suite en tout cas.
- Oui... tu as raison."
Et il s'accrocha à cette idée sur le chemin, qui lui parut bien triste.
Une fois arrivé, sa première intention fut de trouver Satoshi. Et il le trouva. Se dirigea vers lui. Mais, pile au moment où il allait le rejoindre, la sonnerie retentit, marquant le début des cours.
Satoshi disparut.
Il le vit en cours, mais ne réussit pas à lui adresser la parole.
Le midi, il attendit qu'il se joigne à lui. Et c'est ce qu'il fit.
Le visage du rouquin s'illumina d'un sourire lorsqu'il vit Hiwatari s'asseoir à côté de lui.
"Bonjour!
- Bonjour.
- Tu vas bien?"
Pas de réponse. Daisuké préféra ne pas insister. Il décida d'essayer d'entamer la conversation sur un sujet sympathique.
"Tu ne m'as jamais dit pourquoi tu ne manges que du pain à midi.'
Silence. Dai craqua.
"Sato-kun, la dernière fois que nous avons mangé en silence tu...
- Je sais. Aujourd'hui aussi, j'ai quelque chose à te dire. Quelque chose de triste, de difficile pour toi à accepter. Tant pis, autant le faire maintenant. D'accord?
- Euh... hum... je... fais comme tu veux..."
Daisuké regretta ces paroles dès que Hiwatari commença à parler.
C'est comme tu veux, si tu crois que tu dois t'en aller
Que tu n'as pas rien à faire ici, qu'on n'a plus rien à partager
Qu'on s'est tout dit
C'est comme tu veux, si tu crois que la vie t'attends ailleurs
Qu'elle sera pour toi là-bas meilleure, qu'on n'a plus rien à se donner
Qu'il faut changer
Tout fut dit en quelques secondes. Tout allait changer. En quelques secondes, tout le bonheur accumulé pendant deux semaines fut réduit à... néant. Mais il ne pouvait rien y faire. Après tout... pour s'aimer, il faut être deux... alors...
Alors fais comme tu veux... comme tu le sens
Fais comme tu penses que c'est le mieux, comme tu l'entends
Fais comme si, comme si c'était pas important
Fais comme tu veux
Ce n'était sans doute pas si important, en fait, un cœur brisé.
Tout ce que Niwa trouva à dire, fut de répéter :
"C'est comme tu veux..."
Il n'y pouvait rien.
Il l'avait pressenti. Satoshi ne l'aimait plus… pourtant… mais… enfin… il ne comprenait pas, mais… il n'y pouvait rien…
C'est comme tu veux, si tu crois qu'il faut se séparer
Qu'on n'a plus rien à faire ensemble, que le passé c'est le passé
Qu'il me ressemble
Oui, Dark lui ressemblait, il ressemblait à Dark, c'était pour ça. Il ressemblait trop au voleur à capturer, au mal à éradiquer. Alors...
Alors fais comme tu veux, comme tu le sens
Fais comme tu pense que c'est le mieux, comme tu l'entends
Fais comme si... comme si c'était pas important...
Comme tu veux...
Oui, ce n'était pas si important, des larmes.
Lui, Daisuké, n'était pas si important.
Il ne savait pas trop pourquoi. Hiwatari c'était contenté de dire... quoi, au juste? Que c'était finit. Qu'il devait capturer Dark. Le reste ne comptait pas. Qu'il s'était trompé...
Il n'en savait pas plus. "C'est finit", voilà une belle phrase, courte, simple, facile à comprendre...
... et qui faisait mal.
Le lendemain, Daisuké eut le fol espoir d'avoir rêvé. Il se leva, se prépara comme d'habitude. Il espéra voir Satoshi, Satoshi qui l'attendaità l'angle de la rue...
Mais non.
Le garçon aux cheveux rouges s'assit par-terre et pleura.
C'est ainsi que sa mère le trouva, une heure plus tard, alors qu'elle sortait faire ses courses.
A suivre. . .
Valaaaaaaaaaaa! Ce n'est pas mon chap préféré, mais bon...
