Petit mot d'Arkel (qui a enfin le dvd du prisonnier d'azkaban dans sa possession) : Alala… J'en suis qu'au début début de l'intrigue et on en est déjà au chapitre 10. Ce chapitre est dédié à Dreyd, à Angie Black, à Glorfinwen (qui fait des fics qui me font tordre de rire et qui a plusieurs fois reviewer mes fics mais que j'ai eu le temps de remercier), à ma petite Deviloute, aux membres du CFLM et à Yoda-Ben. Je me suis faite attendre… La sortie du tome 6 va bientôt me rattraper ! Tu veux te battre Rowling hein !

J.K Rowling : Mouahahah rire diabolique

Mais qui est le Prince aux sangs mêlés ! Hein !

J.K Rowling : Hu hu !

Mouais…Ben, après Alan Rickman… euh vive David Thewlis (mais euh il a du charme aussi)

Chapitre 10 : Secrets

Cela faisait la vingtième fois que Cassandra Payne remuer son café avec sa cuillère, de plus dans le sens inverse, signe d'anxiété selon divers psychologues moldus. Pour ne pas changer les choses ce fut Tonks qui la fit sortir de sa rêverie.

Tu veux lire la gazette , lui demanda t'elle.

Sa collègue cligna plusieurs fois des yeux comme pour essayer de se concentrer. Elle était où déjà ? Ah oui, en train de prendre son petit déjeuner dans la salle commune. Elle prit le journal que lui tendit Tonks mais ne resta pas longtemps calme en le lisant.

Oh les images bougent , s'exclama t'elle avec une voix de petite fille émerveillée. J'adore !

C'est la première fois que je voie quelqu'un d'aussi joyeux en lisant la gazette. En ce moment, il ne passe vraiment des choses amusantes !

C'est qui Amelia Bones ?

La nouvelle Ministre de la Magie… Tu n'es au courant de rien, dis-moi ?

J'avais essayé de brancher une radio dans ma chambre pour avoir des informations mais il n'y avait pas de prise.

Il n'y a pas d'électricité à Poudlard , répondit Tonks excédée. De plus les appareils électroniques ne marchent pas ici non plus !

Mais comment vont les elfes de maison pour laver le linge et la vaisselle si il n'y a pas de machine , demanda soudain Cassandra.

Hé bien à la main, chère Cassie, à la main !

Mais c'est horrible !

Adhère à la SALE…

Cassandra regarda son amie avec un air interloqué mais Tonks lui fit un signe de la main pour lui faire comprendre de laisser tomber.

Bon je vais te mettre à la lecture intensive de la Gazette du sorcier…et de Sorcière Hebdo ! Il faut que tu sois au courant des actualités… et de la mode ! Alors pour Harry et Malefoy ?

Quoi , fit la jeune fille manquant de peu de renverser sa tasse de café.

Tu as trouvé de quoi leur faire faire ?

J'ai ma petite idée mais…j'espère que ça va bien se passer.

Il n'y a pas de raison ! Alors, tu ne veux pas lire Sorcière Hebdo ? Tu n'as pas envie de savoir qui a gagné le prix du meilleur sourire et du célibataire le plus en vue ?

Tu t'intéresses à ça, toi ?

Tonks ne répondit pas et feuilleta le magazine avant de prendre une forte inspiration et lut à haute voix avec un ton théâtral.

''Pendant de nombreuses années ce fut Gilderoy Lockart qui eut le privilège de postuler à la première place de notre célèbre sondage. En quelques temps celui-ci fut vite détrôner par un de nos meilleurs compositeurs et musiciens qu'il n'est plus utile de nommer. Veuf éploré il est un cœur difficile à prendre. Et pour la deuxième fois nous retrouvons donc en tête''… Ah oui je sais qui c'est ! Son fils est à Poudlard d'ailleurs !

Tonks n'eut pas le temps de continuer. Dumbledore s'était levé tandis qu'une flamme de gaieté pétillait dans ses yeux bleus.

Chers élèves, cette année vous réserve pleins des surprises. Nous avons eu la chance il y a deux ans de voir se dérouler dans ces lieux les épreuves de la Coupe de feu. Malheureusement cela s'était fin par un tragique événement. Nous devons tout faire pour essayer de mettre un peu de côté les jours tristes et sombres et il n'y a rien de mieux, mes enfants, que les loisirs. C'est pour cela qu'un personne spéciale va venir nous rendre visite dans deux jours. Nous avons le plaisir de recevoir à Poudlard le célèbre compositeur Abel Nahmias qui va nous gratifier d'un concert et il est fort à parier que sa musique exceptionnelle apaisera nos cœurs et nos âmes.

Abel Nahmias , souffla Tonks à sa voisine. Hé bien c'est lui qui a gagné au sondage de Sorcière Hebdo. Le professeur Dumbledore m'a devancée ! Et dire qu'il va venir ! Cela va être merveilleux… Cassie ?

La jeune fille avait soudain incroyablement pâli et eut la bouche ouverte pendant un moment.

Tu as dit… tout à l'heure que son fils était à Poudlard ?

Oui en deuxième année. Je pense que ça a dû aider pour l'avoir en concert ici ! Pourquoi ?

Samuel Nahmias…

Tu le connais ?

Je ne l'avais jamais vu mais…

Malgré les nombreuses questions de sa collègue, Cassandra n'osa pas parler jusqu'à la fin du déjeuner. A la fin de celui-ci, elle enfila dans son manteau et dépassa la file des autres professeurs.

Où allez-vous, Professeur Payne , demanda Dumbledore, interloqué.

Sauf votre respect… M'engloutir dans un trou et ne plus jamais en sortir , répondit la jeune fille, la voix troublée, avant de s'éloigner.

Vous savez quelque chose, Monsieur Le Directeur , demanda Tonks.

Suis-je toujours censé tout savoir , fit le vieil homme avec un air amusé.

Harry passa la journée à se mordre les doigts. Le soir, il allait être en retenue et avec son pire ennemi. Peut-être qu'il aurait préféré récurer le parquet du bureau de Rusard à la brosse à dents jusqu'à ce qu'on puisse s'y voir dedans. Il fut d'une humeur exécrable toute la journée, mit trop de poils de chauve-souris dans sa potion et grogna même après le pauvre Neville qui n'avait pourtant rien demandé. Lorsque les cours furent finis, les sourires encourageants de Ron et d'Hermione n'eurent que peu d'effets quand il se sépara d'eux pour se diriger vers le bureau du Professeur Payne. Il leva la main pour frapper à la porte mais il n'était pas le seul à faire ce geste. Malefoy était arrivé également et lui aussi n'avait pas l'air de très bonne humeur. Le garçon blond allait lâcher un de ses mots venimeux quand il fut coupé par un gros bruit derrière la porte. Plusieurs choses étaient apparemment tombées et on pouvait entendre des gémissements de douleur. Harry poussa précipitamment la porte.

Professeur ? Vous allez bien , demanda t'il.

Parmi des livres étalés sur le sol et des feuilles qui virevoltaient encore se trouvait Cassandra Payne étalée par terre.

Oui, ça va… Désolée, je suis tombée de l'échelle ! Ouh j'ai mal…

Où ça , demanda Harry en l'aidant à se lever, quelque peu étonnée par le spectacle.

Drago émit un ricanement tandis que le professeur jetait un regard furieux aux deux garçons et n'osant toucher son arrière-train endolori.

J'ai essayé de commencé à ranger toute seule , dit-elle en regardant la bibliothèque derrière elle. Apparemment j'ai vraiment besoin d'un coup de main. Ce sera ça en fait votre…retenue !

Harry se demanda, plus par curiosité que par préoccupation, si les yeux de son professeurs étaient légèrement rouges à cause de sa douleur récente pour autre chose.

Les deux élèves aidèrent à classer puis à ranger les livres, non sans se lancer des regards furieux. Harry se demanda même à un moment si Malefoy n'était pas partagé entre l'envie de déchirer quelques pages des encyclopédies dont il se chargeait ou si finalement il n'était pas dégoûté de toucher ces paperasses moldues. Les deux garçons s'acquittèrent de leur tâche, sans toutefois trop rechigner. Le professeur Payne semblait ravie de cette aide et n'arrêta pas de répéter que 'cette mini-bibliothèque', comme elle disait, serait une aide précieuse pour tous les élèves de Poudlard. Harry commençait à la trouver fatigante à parler sans arrêt avec un sourire forcé. Cependant il ne pouvait lui en vouloir, l'ambiance était tendue et elle avait l'air de se retrouver au milieu de deux bombes à retardement.

Ah il est tard , finit par dire le professeur Payne, qui semblait presque soulagée. Vous pouvez partir…

Malefoy ne se le fit par dire deux fois. Ni Harry ni le professeur Payne ne le virent partir de la pièce. Harry allait sans aller également, quand son ventre fit un bruit monstre. Il était vrai que cela faisait quelques jours qu'il ne mangeait pas grand chose mais jamais auparavant son ventre ne s'était plaint. Le garçon rougit de honte avant de se rembrunir.

Vous avez faim, Potter , s'écria Cassandra. Oh tenez ! Ma mère m'a envoyé des biscuits. Je sais qu'on ne mange que dans une heure mais c'est pour vous remercier.

Harry la regarda d'un air 'vous essayez de m'amadouer avec des gâteaux mais ça marche pas avec moi'. Cependant les gâteaux semblaient délicieux, contrairement à ceux que lui offraient le professeur MacGonagall ou pire ceux d'Hagrid.

Ne soyez pas inquiet. Ils sont bons, ma mère est une très bonne cuisinière, contrairement à moi d'ailleurs , continua le professeur. Allez asseyez-vous !

Harry s'assit et prit un des biscuits que lui tendait Cassandra Payne. Il avait vraiment envie de le dévorer en deux bouchées mais il se retint. Le gâteau était délicieux mais il fit comme si il le mangeait sans faim.

Vous n'êtes pas très bavard , dit la jeune professeur avec un sourire forcé qui pensa soudain qu'Harry se taisait peut-être parce qu'il ne l'appréciait pas. Alors pendant que vous mangez moi je parle !

Le garçon déglutit difficilement. Ah non elle n'allait pas continuer ?

Je dirai au Directeur que vous m'avez bien aidée. C'est vraiment quelqu'un de bien vous ne trouvez pas ? Je n'oublierai jamais le jour où je l'ai rencontré…

Harry reprit un gâteau et le mit directement dans sa poche avec un air ennuyé, pendant que Cassandra Payne continua de parler l'air rêveuse, la joue dans la pomme de sa main.

Le jour où il est venu me voir pour que je prenne ce poste à Poudlard, je l'ai aperçu dans mon jardin. Il y a un moment mon père avait planté un olivier et il avait réussi à le faire pousser, grâce à la magie sans doute. Nos voisins, qui n'étaient évidemment pas des sorciers, en avaient été longtemps ébahis. Mon père en était très fier. Mais quand il décéda, l'olivier commença à se dessécher et bientôt ne donna plus d'olives. Je me rappelle que, ce jour-là, je vis par la fenêtre un vieil homme en habit de sorcier avec une baguette. Je me précipitai dehors. Le vieil homme s'était tourné vers moi et derrière lui se trouvait l'olivier de mon père. Il avait retrouvé ses feuilles exactement comme avant. Je crois qu'en voyant cela j'en suis restée bouche-bée. Dumbledore m'a souri et m'a dit… Enchanté de faire votre connaissance Miss Payne !

Cassandra se retint de dire qu'à ce moment-là elle avait fondu en larmes. Tout ce qui touchait son père de près ou de loin la touchait toujours. De plus, quand elle rencontra Dumbledore pour la première fois, elle était dans une période difficile. En effet elle venait juste de se remettre de son éloignement d'avec…

La jeune fille effaça ce souvenir et regarda Harry, qu'elle avait un peu oublié pendant son monologue. Celui-ci avait omis quelques secondes de mâcher son biscuit et avait pris un air réfléchi, presque un peu triste. A lui aussi Dumbledore lui avait tant apporté…

Harry ne resta pas dans cet état longtemps et se leva.

Professeur, je dois y aller. Je suis très occupé et…

Je ne vous retiens pas plus. Désolée pour tout ces babillages.

Lorsqu'il fut sorti, Cassandra émit un long soufflement.

Ah… Qu'est-ce qui m'a pris de lui raconter ça , pensa t'elle avec un air renfrogné. Et dire que bientôt 'il' va être à Poudlard !… Non ! Non ! Il faut oublier ça !… Tout de même quand est-ce qu' 'il' allait me dire qu'il était un sorcier cette espèce de…

La jeune fille mit sa tête sur ses bras croisés et resta un instant immobile.

Pourquoi on me dit jamais rien à moi, hein !

Elle se leva de son bureau et se dirigea vers le couloir avec une certaine raideur, devant aider Madame Pince à passer un coup de poussière dans la bibliothèque de l'école. En chemin, elle croisa le Professeur Maeba à qui elle n'adressa qu'un léger sourire. Le jeune homme se dirigeait, lui, vers son atelier, son tanuki toujours sur son épaule. Une fois seuls dans la pièce, Aki sauta sur une chaise et se gratta un coin de l'oreille avec sa patte de devant.

Je n'arrête pas de me dire que cette fille est vraiment étrange ! Tu ne trouves pas, Ryûji ?

L'intéressé n'émit qu'un petit hochement de tête avant de se diriger vers le foyer de la cheminée.

Attends ! Tu ne vas pas… contacter le Maître , s'inquiéta tanuki en trépignant. Et Dumbledore ?

Il connaît très bien les raisons qui m'ont fait venir ici, répondit le professeur, très sérieux.

Retrouver ton art ?

Ce projet est vain, j'en ai déjà parlé au Maître… C'est pour autre chose que je suis à Poudlard.

Ah ! Et évidemment je ne suis au courant de rien ! Qu'est-ce que complote ce vieux gâteux ?

Aki, un peu de respect ! C'est lui-même qui t'a fait venir avec moi pour régler également ton problème !

Tu parles, combien de fois je l'ai entendu me dire que ce qui m'était arrivé était une punition bien méritée , se renfrogna Aki.

J'avoue qu'il est parfois sévère mais c'est un homme juste. Je ne t'avais pas parlé de cette histoire avant parce qu'il m'avait demandé d'attendre un peu ! C'est une affaire très importante, tu es au courant de ce qu'il se passe en Grande Bretagne en ce moment ?

Evidemment… Mais en quoi ça nous concerne ?

Tu verras par toi-même !

Le foyer de la cheminée s'enflamma tout d'un coup et apparut au milieu un tête d'un homme chauve aux joues creuses et à l'air rigoureux.

Maître Mori, toujours pile à l'heure , s'exclama Maeba en souriant. Je viens de commencer à parler à Aki de ma mission.

Le regard de la tête se dirigea alors vers le tanuki qui déglutit difficilement.

Euh… Maître, ça a un rapport avec Vold…

Tais-toi, son nom porte malheur chez nous aussi , s'écria le vieillard. Mais comme tu dis, cela a un rapport avec ce sorcier. Contrairement à notre Assemblée, je ne compte pas rester les bras croisés pendant qu'il prend de la puissance. C'est pourquoi j'ai demandé à Maeba de partir enquêter à Poudlard et trouver des éléments importants prouvant que ce n'est pas seulement ce pays qui est touché mais bien le monde entier. Dumbledore et son groupe, l'Ordre du Phénix, ont besoin d'autant d'aides possibles. Si les sorciers d'Orient mettaient un peu de côté leur antipathie pour les sorciers d'Occident, bien des victimes pourraient être épargnés.

Vous avez donc envoyé Ryûji comme espion donc ?

Imbécile , s'écria le vieillard. Maeba ne veux de mal à personne et Dumbledore a très bien compris le but de sa présence à Poudlard !

Vous ne lui en avez pas parlé, n'est-ce pas , demanda le professeur.

Non, mais lui et moi nous nous comprenons très bien. C'est une très vieille connaissance !

Il y a une chose que je ne comprends pas, Maître Mori, souffla Aki. Si vous voulez vraiment arranger les choses ici, pourquoi ne venez-vous pas à Poudlard ?

Mori resta un instant interdit et cette attitude surprit même Maeba et le tanuki.

Je suis parti de Poudlard il y a longtemps… Vous ne le savez peut-être pas mais j'y ai enseigné en tant que professeur d'Arithmancie. C'est à cette époque que j'ai rencontré Dumbledore. Un événement assez fâcheux s'est produit un jour et depuis je ne peux y remettre les pieds… Désolé, je ne peux pas vous en dire plus.

Nous comprenons Maître , dit Maeba avec une voix douce. Mais ne serait-il pas mieux pas de mettre les choses au clair avec le Directeur ?

Tu as sans doute raison… Je vais le voir de ce pas ! Prends soin de toi, tu n'as toujours pas perdu ta grande sensibilité et c'est pour cela que je t'ai choisi. Essaye de trouver des informations sur le jeune Potter. Et quant à toi, animagus de pacotille, tourne autour de toi les meilleurs professeurs et les meilleurs livres de magie, tâche d'en tirer profit si tu ne veux pas rester sous cette forme toute ta vie !

La tête disparut alors aussi vite qu'elle était apparue. Aki trépigna de rage sur sa chaise tout en crachant un ou deux jurons, sous le regard amusé, malgré une certaine tristesse, de Maeba.

Dans son bureau le professeur Dumbledore était penché sur un parchemin. Le phénix Fumseck somnolait sur sa perche lorsqu'une étincelle dans l'âtre attira son attention. Le Directeur vit apparaître la tête de son ancien collègue dans le foyer.

Il y avait longtemps, Kaito , fit le vieil homme en souriant.

Mori resta un instant silencieux.

Vous avez déjà compris le but de ma visite, n'est-ce pas ?

Cela fait toujours plaisir de vous voir. Nos anciennes parties de mah-jong me manquent. Poudlard vous rappelle donc tant de si mauvais souvenirs ? Vous n'avez jamais vraiment voulu me parler de ce qu'il s'était passé à l'époque. J'avais bien compris que cela avait un rapport avec ce professeur…

Cette histoire date d'il y a cinquante ans, j'étais jeune à l'époque , fit le sorcier japonais avec une mine des plus tristes. J'ai fait une terrible erreur dont je ne me remettrais jamais. Excusez-moi car je ne peux en parler.

Sachez que moi aussi, je n'ai pas réagi à ce moment-là. Je l'aurai dû pourtant. ''Elle'' comptait sur l'aide de quelqu'un et je n'ai rien fait du tout… Et elle est devenue ce qu'elle est devenue !

Mais ce que j'ai fait est encore plus grave… Alors, vous non plus, vous ne l'avez pas oubliée ?

Je ne l'ai que peu connue mais j'y repense de temps à autre. Surtout depuis que… Ah mais je ne voudrais pas vous retenir plus longtemps, coupa soudain Dumbledore soudain soucieux de ne pas causer plus de peine à son vieil ami. Votre présence ici doit vous épuiser ! Surtout, ne vous inquiétez pas pour votre élève, je prends soin de lui et je vous remercie de votre souhait de nous aider !

Je vous en prie , fit Mori en courbant la tête. Au revoir !

Lorsque son ancien collègue disparut, Dumbledore resta pensif et continua la phrase qu'il n'avait pas fini.

« Surtout depuis que son loup a approché la jeune Cassandra Payne et que d'étranges événements tournent autour d'elle. Elle ne lui ressemble peut-être pas physiquement mais… Je ne saurais dire pourquoi mais je sens 'sa' présence. Est-ce que vous auriez comploté quelque chose avant la mort de votre demi-vie, Professeur Lucretia Grimal ? Je me suis souvent demandé comment Voldemort avait fait pour faire de vous, jeune femme honorable au visage d'ange, un démon ! Peut-être est-ce que je le saurais un jour… »