Disclaimer : Sont pas à moi. Heureusement avec ce que je leur fais faire !

Genre : POV Heero. Pas pour ceux que les mots crus et le yaoi plus ou moins explicite choquent.

Note de l'auteur : Bonne lecture :p

Gomen pour ceux qui attendent la suite de mon originale, ça vient vite c'est promis !

PS : Cherchez pas pour les titres des chapitres !

……………………………………………………………………………………………………………………….

Chapitre 4 : La bouche

J'ouvre les yeux, un peu ébloui par la lumière régnant dans la pièce. A peine sortit des brumes du sommeil, je sens déjà le manque s'insinuer en moi. Je tends le bras, mais découvre une place vide et déjà froide. Il a dû se lever il y a quelque temps déjà. Depuis quand je cherche sa présence dès le réveil ?

Je me redresse en position assise, en me frottant les yeux encore gonflés par le sommeil. Je hausse un sourcil, un peu surpris de me retrouve face à un double pas très bien réveillé dans ce grand miroir. Le miroir… Il m'oblige à repenser à ce qu'il s'est passé ; il m'oblige à revoir toute la scène.

Mais c'est cette étrange sensation, ce nœud qui lie mes entrailles, c'est cette sensation-là qui m'oblige à repenser à ses mots. Il a bien voulu de mon corps, mais il n'a pas voulu de mes lèvres sur les siennes. Pourquoi est-ce que j'y accorde tant d'importance à ses putains de lèvres ? On baise ensemble bordel, il est doué au pieu et faut croire que je suis pas si mauvais ; pas de mots, pas de promesses… pas sur la bouche. Alors pourquoi ça fait mal ?

Je me lève d'un mouvement rageur, plus en colère contre moi-même que contre lui. Je me dirige vers la salle de bain et m'engouffre sous la douche, m'imaginant que le jet d'eau brûlante m'aiderait à me détendre, à dénouer ce fichu lien qui m'enserre le ventre. Mais, même sous la douche, je ne pense qu'à ça ; je ne pense qu'à nos corps à corps, sans cœur. Je ne pense qu'à ses yeux qui se faisaient tendres malgré la tempête qui y faisait rage. Et à mesure que ma gorge se serre, je repense à ses mots, à sa stupide légende.

De simples mots qui ont déchiré quelque chose en moi, des mots qui brûlent et qui donnent froid, des mots qui ont fait exploser ce qu'il restait de mes beaux principes, des mots qui m'ont fait mal. Je n'ai pas le droit d'avoir mal ; je suis vide ; je n'ai pas de sentiments, bon sang ! Et l'eau qui inonde mes joues ne provient que du pommeau de douche, parce que je ne pleure pas ! Parce que je n'éprouve pas ! Parce que je ne fais que ressentir !

J'envoie mon poing cogner de toutes mes forces contre le carrelage blanc de la salle de bain, parce que j'ai besoin d'évacuer, de faire sortir cette colère. Je m'en veux à mort ; je m'en veux d'avoir continué à me gourer dès le départ, d'avoir cherché à maintenir une technique que je savais faillible. Je m'en veux d'avoir cru que je pourrais garder mon âme hors de portée pour toujours. Je savais que je me trompais, mais je n'ai pas voulu l'admettre.

La douleur se propage dans mon poignet comme un courrant électrique, tandis que je ferme les yeux pour ignorer le sang qui coule à présent sur les murs aseptisés. Je me suis ouvert la main en frappant contre le porte-savon ; décidément, je suis con jusqu'au bout.

Je sors de la douche en examinant la plaie. La coupure n'est pas profonde, mais mon poing commence à devenir bleu. Je me dis que c'est vraiment stupide cette manie qu'ont les êtres humains de vouloir cogner dans quelque chose dès qu'ils sont en colère ; comme quoi je suis humain finalement. Je m'habille rapidement, encore perdu dans mes pensées.

« Ressens, mais n'éprouve pas » hein, comme s'il était possible de dissocier. Je n'ai pas voulu comprendre. J'ai pas voulu comprendre que, parfois, dans certains domaines, il était impossible de catégoriser. Duo est l'un de ces domaines. Comme s'il était possible de le voir sans le regarder, imbécile ! Comme si je pouvais poser le regard furtivement sur son visage sans vouloir m'y attarder indéfiniment. Comme si l'encre de ses yeux n'était pas ma seule attache dans ces moments-là ; comme si leur couleur n'était pas mon garde-fou. J'étais fou.

Comme s'il était possible de ne pas m'enivrer de son parfum, comme s'il était possible de ne pas me perdre dans les effluves salées que dégage son corps lorsqu'il me prend, de ne pas être envoûté par la fragrance sucrée de ses cheveux.

Comme s'il était possible de ne pas se concentrer pour entendre sa voix grave et sensuelle, pour capturer les mots qu'il ne prononce pas mais murmure dans un souffle presque inaudible. Et si je me concentre pour entendre, c'est que j'écoute n'est-ce pas ?

Comme s'il était possible de simplement goûter sa peau alors que ce désir irraisonné me pousse à savourer, millimètres par millimètres, ce goût suave et piquant qui danse sur ma langue dans ces moments-là.

Comme s'il était possible de me contenter de simples effleurements alors que mon corps et mon âme me hurlent le besoin de toucher, l'envie d'être caressé, tantôt tendrement, tantôt avec toute la fougue dont il sait faire preuve.

Comme s'il était possible de ne rien éprouver pour lui…

J'ai présumé. J'ai présumé de tout : de moi, de ma technique, de ma force, de mes sentiments ; je ne veux pas présumer de Duo. Je commence à peine à prendre conscience que je ne sais rien, et s'il y a quelque chose que je veux apprendre, c'est lui. Alors je vais l'apprendre, le regarder, l'écouter, le sentir, le toucher, le savourer.

J'en ai marre de mes théories, de mes raisonnements qui ne trouvent jamais de conclusion ; j'en ai marre de réunir des éléments sans jamais les exploiter, sans jamais oser me rendre compte. Tout ça pourquoi ? Tout ça pour me réveiller un matin, m'éclater le poing sous une douche brûlante, et en sortir avec la simple constatation que je me suis toujours menti ; pour en arriver à me dire, là, comme un con devant ce grand miroir : « Merde, je l'aime. »

…………………………………………………………………………………………………

Pour la première fois je descends prendre mon petit déjeuner en espérant qu'il n'ait pas encore fini le sien. D'habitude ça me gêne de le croiser dans la cuisine en présence des autres ; parce que je n'ai pas envie d'expliquer ; parce que c'est impossible qu'ils ne se doutent de rien et que j'avais peur d'affronter leurs questions. Mais maintenant je sais. Ca fait du bien même si ça fait mal. Je sais quoi répondre si jamais ils me demandent ce qu'il se passe. Et s'ils me demandent pourquoi, je leur dirai simplement « parce que je l'aime ». Ca explique tout ; mais ça ne résout rien.

Ca me pousse à me poser d'autres questions ; ça me pousse à me demander ce que lui peut bien ressentir. Ca me pousse à vouloir ses lèvres plus que tout, parce que posséder ses lèvres, ça voudrait dire que je possède son âme…

Je pénètre dans la cuisine pour constater que seuls Duo et Wufei sont encore là. D'après ce que j'entend de leur conversation, Quatre est parti tôt ce matin en compagnie de Trowa, pour une histoire de ravitaillement.

Je me sers une tasse de café et m'installe en face de Duo, étudiant avec un intérêt que je ne me connaissais pas les circonvolutions que dessine le lait dans le liquide amer. Je sens le regard de Duo se poser brièvement sur moi, juste avant qu'il ne reporte son attention sur le chinois. Il est sur le point de partir, lui aussi. Une fois de plus, je vais me retrouver seul avec Duo, sans trop savoir quoi faire.

Je dis vaguement au revoir à Wufei qui s'en va, et entreprend de me beurrer une tartine, afin de me donner une certaine contenance. Duo toussote et élève une voix amusée :

Oi Heero ? T'es malade ?

Huh ? Qu'est-ce qu'il me raconte encore ?

Non.

C'est nouveau ça ? Depuis quand tu déjeunes le matin ?

Depuis que je me suis rendu compte que je t'aimais, baka. Je ne formule pas ma réponse ; ça lui ferait un choc le pauvre. Et puis même si j'ai enfreint les règles, ce n'est pas une raison pour le mettre mal à l'aise.

Je le suis du regard, tandis qu'il sort de la cuisine sans un mot. C'est étrange, d'habitude c'est plutôt moi qui ai tendance à fuir sa présence, et non l'inverse. Encore une fois, ses mots reviennent me hanter, tandis que j'avale une gorgée de café pour me dénouer la gorge. 'Pas sur la bouche'.

Je repense aussi à sa légende ; je ne savais pas que Duo croyait en ce genre de chose. Parce que si on y réfléchit, c'est plutôt imagé comme légende. Quelle idée de la prendre au mot ! Je sens un sourire se dessiner sur mes lèvres alors que je me rends compte que Duo a une manière de réfléchir très irrationnelle.

Sentant sa présence derrière moi, j'efface rapidement le petit sourire de mon visage. Je sens ses doigts effleurer ma nuque, sans vraiment la toucher. Juste un léger déplacement d'air, comme si ses mains s'étaient entichées de ma peau, mais que son esprit s'y refusait. Alors ce n'est que le souffle de son mouvement, la chaleur de ses doigts, cruellement légère, que j'ai à peine le temps de percevoir avant qu'elle ne s'efface.

Il se dirige nonchalamment vers la place en face de moi, les mains dans les poches. Il me lance un regard un peu accusateur juste avant de se saisir d'une chaise et de s'installer tout près de moi. J'avoue que j'ai du mal à comprendre ce qu'il me veut.

Tend le bras.

Là c'est tout de suite plus clair. Le ton qu'il utilise me pousse à obéir sans même réfléchir. Il étudie avec attention les bleus que j'ai sur le poing, ainsi que le léger gonflement de mon poignet, juste avant de sortir un genre de tube de sa poche. Il dépose un peu de gel dans le creux de sa main, puis sur mon poing, tout en commentant :

Ca fera rapidement disparaître les bleus, et ça devrait soulager ta foulure. Evite d'utiliser ton poignet quelques temps. Si t'as besoin d'un truc, demande-moi, ok ?

Il accompagne sa dernière phrase d'un clin d'œil, tandis que je hausse un sourcil. Je préfère ne même pas me demander s'il y avait une allusion quelconque dans ce qu'il vient de me dire. Par contre, il me tue. Il me voit à peine cinq minute et il trouve le temps de capter la moindre blessure.

Comment tu l'as remarqué ?

Ton café.

Hein ?

T'as bu ton café de la main gauche.

Et alors ?

Et alors d'habitude, c'est la main droite que utilises pour porter la tasse à tes lèvres.

Je réponds pas, parce que de toutes façon je sais pas quoi dire. Je me demande soudain s'il aime ou non le café, s'il est gaucher ou droitier, et j'en sais rien. C'est étrange cette impression de le sentir s'éloigner de plus en plus à mesure que les secondes s'égrènent. J'ai soudain tellement envie qu'il parle, pour dire n'importe quoi, simplement pour que je puisse apprendre sa manière de s'exprimer, les sujets qu'il aime aborder. Et tout cela a pris tellement d'importance soudainement, tellement d'importance que c'en est à la fois grisant et effrayant.

Il délaisse ma main et se lève sans un mot, entreprenant de débarrasser la table. Je le suis du regard un instant pour le voir disparaître dans le salon. Je me lève à mon tour pour aller déposer ma tasse dans l'évier. De là je peux l'apercevoir zapper distraitement depuis le canapé. Je m'approche et vient m'asseoir à côté de lui, soutenant le regard étonné qu'il me lance.

Je vais finir par croire que tu es réellement malade, Heero

Pourquoi ?

Depuis quand tu regardes la télé ?

Hn.

Aaah ok, ça explique tout !

Il se foutrait pas un peu de moi là ? Bon ok, c'est clair que 'hn' n'est pas une réponse, mais je ne sais franchement pas quoi dire. C'est quand même ironique de se sentir à ce point mal à l'aise en compagnie de la personne avec qui on couche. C'est grave, je suis moins gêné quand je suis nu, sous lui.

Il m'intrigue, cet homme qui a su faire de moi un être servile, esclave de cette chose que j'ai cherché à fuir de toute mes forces, cette chose que mon corps a connu avant que mon cœur ne la reconnaisse, cette chose que les autres nomment « amour ».

Il m'intrigue à me connaître mieux que je ne le pense, à me blesser avec ses mots, à me faire du bien avec son corps. Pire, tout en lui m'obsède : son corps, sa peau, sa bouche, et même ses mots. Ses mots qui résonnent sans que je le veuille, à m'en donner mal au cœur.

Pas sur la bouche.

Pourquoi pas ? Les autres, d'accord, je m'en fous. Mais ça a toujours été différent avec moi, non ? Alors là ça devrait l'être également. Pourquoi ais-je droit aux même mots que cet homme ? Mais, finalement… Il ne l'a pas dit. Quand j'y réfléchis, ces mots, il ne les a pas prononcés.

« Alors j'aimerais bien, Heero, que quand tu embrasses quelqu'un, tu te souviennes de cette légende. N'embrasse que celui que tu aimes. Donne-ton corps et couche, mais ne donne tes lèvres et ne fais l'amour qu'à celui que tu aimes. »

Il ne s'agissait pas de moi, mais de lui. Il ne m'a pas dit qu'il refusait de m'embrasser, juste qu'il aimerait que le jour où je donnerai mes lèvres, je le fasse par amour. Qu'est-ce que ça veut dire ?

Ca veut dire que tu ne m'as finalement pas rejeté…

Juste que tu as voulu m'apprendre quelque chose. Et toi ? Tu donnes ton corps, sans promesses. Tu m'as donné plus que tu n'as reçu, et pourtant tu ne semblais pas t'en plaindre. Qu'est-ce que ça veut dire, Duo ?

« - Je te détend. Je te détend. Mon but n'est pas de prendre mon pied ; c'est que toi, tu prennes le tien.

- Qu'est-ce que ça t'apporte ?

- T'occupe. C'est pas tes affaires. »

Depuis le début, tu n'as cherché qu'à partager quelque chose avec moi. Tu aurais pu trouver n'importe qui, n'importe quand, comme ce type que tu as dragué dans la boite. Mais finalement, c'est toujours ma peau que tu caresses, c'est toujours moi que tu possèdes, et moi, c'est toujours toi que je veux…

« - Qu'est-ce que tu veux Heero ? »

Tu me le demandes à chaque fois. Tu cherches sans arrêt à ce que ce soit moi qui définisse les termes de notre accord.

« - Heero ? Dis-le moi. »

Même quand tu as du mal à te contrôler tu veux me l'entendre dire. Tu refuses de m'imposer quelque chose que je risque de ne pas vouloir. Tu refuses de t'imposer, toi

Mais finalement tu me connais mieux que quiconque. Tu connais mon corps, tu sais quoi faire pour m'entendre gémir. Tu sais quels gestes me feront te supplier encore, et encore. Tu sais lire dans mes regards ce que j'attends de toi. Et ça ne se résume pas qu'à nos corps, ne, Duo ?

« - C'est nouveau ça ? Depuis quand tu déjeunes le matin ? »

Depuis quand tu sais que je ne déjeune pas. Comment pourrais-tu le remarquer sans y prêter attention ? On ne déjeune pratiquement jamais en même temps, et pourtant tu le sais…

« - Et alors d'habitude, c'est la main droite que utilises pour porter la tasse à tes lèvres. »

Qui pourrait accorder de l'importance à ce genre de détails ? Qui pourrait vouloir connaître à ce point une personne ? Tu me connais comme je veux te connaître, Duo. Tu me connais comme…

Un homme amoureux.

Cette pensée me fait presque sursauter, en raison du frisson qui me parcourt l'échine. Est-ce que je l'aime au point de délirer ? Au point d'interpréter la moindre de ces réactions de la manière qui me plait ?

Encore des théories, encore des éléments que je réunis sans aller au bout de mes pensées, sans exploiter la moindre information.

Qu'est-ce je dois faire, Duo. Te poser la question ?

Je tourne la tête vers lui et son image m'engloutit.

L'encre de tes yeux… mon ancre.

Il regarde la télévision d'un air absent, et moi je le regarde d'un air certainement très absorbé, surtout sa bouche, pleine, tentatrice, sensuelle. Me concentrer uniquement sur ses lèvres et rester de marbre relève du défi, tant elles m'obsèdent. J'aimerais les goûter, doucement, mordiller la chair tendre et légèrement rosée, puis la guérir de ma langue, devenir vampire et aspirer son âme hors de lui, capturer ses lèvres et envoûter son cœur. J'aimerais…

Il me dévisage à présent.

Qu'est-ce que tu veux , Heero ?

Ce que je veux…

Embrasse-moi.

……………………………………………………………………………………………………………………….

Tsuzuku ( je vais me faire descendre part en courant )

Réponses aux reviews :

Lily.B : hehe ! Vi tu es toujours au poste (ouf, je t'ai pas lassée lol) et ça fait vraiment plaisir. Je vais pas répondre à tes questions, parce que tu trouveras les réponses dans ce chapitre (si tout va bien), mais c'est vraiment super de voir tant d'enthousiasme ! Merci ! Et merci aussi pour 'En silence'.

Yosei : Merci à toi pour ces gentils compliments ! Je suis contente de participer à 'ton bonheur personnel' lool, ça me fait plaisir ! J'espère que tes tests se passeront bien ! Merci !

Kaorulabelle : he he c'est un cas le petit Heero ! lol. Merci beaucoup pour ta review, voilà la suite !

Luna : lool ! Au boulot ! Mdr. Je suis super contente que ça continue à te plaire ! tes remarques sont très chouettes, elles me permettent vraiment de voir ce que tu ressens en lisant, c super ! Merci beaucoup pour ta review. (Je suis contente que tu ne te lasses pas)

Gayana : lool. Gomen, gomen ! He he, le miroir… Ce fut dur, je suis contente que tu apprécies! Lol. Hey ! Tu m'en poses des questions, je vais quand même pas raconter la fin ! lool. Micii gaya !

Shima-chan : he he ! Contente que tu aimes la 'torture' de Heero. Merci beaucoup pour tes reviews ! Et merci beaucoup pour celle sur 'en silence' elle est adorable !

Nicole Pavlovna : loool. Tout s'expliquera ne t'inquiètes pas. Micii pour ta review !

Katoru : Micii micii ! C'est génial que ma manière de traiter les persos te plaise! Micii beaucoup !

Mithy : Tu sais bien à quel point tes reviews me font plaisir ! Mdr, pas de soucis ça arrive à tout le monde de louper une phrase (c'est bien plus ennuyeux quand c'est une question d'examen. Lool. n'est-ce-pas Shiny ! ) . Merci beaucoup !

Lian Landra : Ah merci c'est très gentil ! Malheureusement je ne sais pas si ça sera fini avant la fin de tes vacances. Mais je suis très contente que tu l'aies lue ! Merci !

Lihiel : lol. Pas de soucis pour ces deux-là, tu verras bien. Micii pour ta review !

Miss Faust : lol. Je suis contente que tu aimes toujours ma manière d'écrire! Merci beaucoup pour ta review, et ne te fais pas de soucis, c'est quand même pas une obligation de me lire. mdr. En tout cas merci !

Kasufu : lol, ta logique ne se trompe pas(mais faut encore un peu attendre). Merci beaucoup, je suis ravie que tu aimes mon 'style'. Arigato !

Linoa M : he he, je suis contente que ça t'ais plu, même si les titres des chapitres peuvent paraître bizarres. Lol. Merci pour ta review !

Yohina : lol, c'est pas tant qu'il y a quelque chose à comprendre, ce ne sont que les réflexions de Heero… elles ne sont ni justes ni fausses, c'est juste que c'est comme ça qu'il pense, et il évolue ! Vi, j'espère que tu trouveras les réponses à tes questions dans la suite. Merci beaucoup pour cette review, et pour l'autre adorable que tu m'as laissé pour 'en silence'. Micii !