Note de la Traductrice: Bonjour à tous! Un grand merci de tous les reviews qui m'ont été envoyés, j'y réponds à la fin du chapitre. Vous l'aurez remarqué, cette traduction s'est faite plus attendre que d'habitude, mais la reprise des stages et des cours y est pour beaucoup, tout comme l'éloignement de mon cher ordinateur. Vous pouvez néanmoins compter sur un chapitre par semaine au minimum! Réclamations et acclamations sont attendues dans la partie reviews ;)

Chapitre 6 : Visions du présent

Un vent se leva et vint caresser le visage d'Harry, un vent porteur d'ombres noires et grises, de doux murmures, de mains presque tangibles qui frôlaient sa peau en un geste réconfortant.

"Harry." Des voix sans face soufflèrent dans son oreille, mais il n'en avait pas peur. "Venge-nous," supplièrent-elles, leurs sonorités se mêlant et s'entrelaçant en un immense choeur de rage et de peine. Leurs hurlements de douleur devinrent rapidement insupportables à écouter, et Harry pressa ses mains sur ses oreilles, sans parvenir toutefois à bloquer les sons. Désespérément, il commença à crier lui aussi, les suppliant de se taire. Si seulement il savait comment les aider... Mais même lui, le Survivant, ne savait rien, ne pouvait rien pour elles. Et qu'aurait-il été capable de faire? Abruptement, il n'y eut plus que du silence, et Harry dut ajuster sa vue à la lumière qui naquit devant lui. Il distinguait maintenant des objets, des murs...

Il se tenait dans le coin d'un petit salon. Bien que dépourvue de fenêtres, la pièce paraissait confortable et chaleureuse. Un tartan en tricot élimé était étalé sur le canapé brun, jurant par ses couleurs vives, presque violentes, avec le calme environnant. Une lampe posée à terre voyait sa clarté adoucie par une écharpe rouge, aux franges écarlates, posée sur son abat-jour. La lumière qui régnait dans la pièce en était enténébrée et lui donnait une agréable ambiance. Une table de bois sombre, dans le milieu de la pièce, reposait sur son côté, brisée en morceaux, deux de ses pieds étaient arrachés comme par un choc soudain, un poids bien trop important qui serait tombé au milieu du meuble et l'aurait fait s'affaisser. Un plateau avait été projeté non loin de là; il était rempli d'éclats de porcelaine, et le thé qui s'en échappait assombrissait la moquette usée aux alentours.

Une femme âgée était étendue sur le sol, et elle cherchait à reprendre sa respiration. Elle avait de longs cheveux argentés qui se délaçaient de son chignon et leur masse emmêlée encadrait négligemment son visage. Ses yeux étaient fermés sous la douleur, mais elle n'était pas inconsciente. Des photos ensorcelées étaient alignées sur les étagères de la pièce ; des livres leur concurrençaient la place, tout comme les bibelots et les photos moldues qui complétaient la décoration. Plusieurs photos magiques avaient dû auparavant se tenir sur la table à café, puisqu'elles étaient maintenant éparpillées autour de la vieille dame sur le plancher. Les personnes représentées, inconscientes des évènements tragiques qui régnaient autour d'eux, souriaient et agitaient leurs mains joyeusement vers Harry et l'agresseur de la femme.

Un fauteuil, probablement celui où la femme était assise avant l'attaque, était renversé dans un coin de la pièce. Un panier rempli de laine colorée avait subi le même sort, et ses pelotes partiellement dévidées crachaient leurs fils en une toile d'araignée multicolore. La pièce était silencieuse, comme enchantée ; seules les respirations de la femme rompaient régulièrement le silence.

Ce n'était pas de simples Mangemorts qui avaient envahi cette place. Voldemort lui-même se tenait là, seul et imposant au milieu du salon, mais des cris distants, suivis de rires cruels, trahirent la présence de Mangemorts et de leurs victimes dans la demeure.

Qui d'autre était là ? Des larmes s'échappèrent des yeux de la femme et son corps s'agita de sanglots réprimés au déchirement des cris qui retentissaient depuis le hall. C'était la voix d'un homme. Harry aurait tant voulu s'asseoir près de la vieille dame, soutenir son chagrin, foncer vers Voldemort, attaquer les Mangemorts dans les autres pièces, faire quelque chose. N'importe quoi.

Combien étaient encore dans cette demeure ? Qui d'autre était avec elle ? Harry essaya de se reprendre, de brandir sa baguette magique, mais bien sûr elle n'était pas là. Elle n'était jamais là. Il n'était pas ici, mais l'était quand même.

"Endoloris," prononça Voldemort d'une voix lente et victorieuse ; la femme se cambra sous la douleur en criant de tout son être, et Harry sentit le même sort le traverser depuis sa cicatrice dans tout son corps. Ses membres brûlaient comme s'ils étaient en feu, et ses veines semblaient remplies de glace en guise de sang.

À chaque fois qu'Harry était soumis à ce tourment, il devait tendre toute sa volonté pour ne pas céder aux ténèbres qui l'entouraient. Il savait que s'il lâchait prise et perdait connaissance, il ne pourrait pas se réveiller et serait obligé de rester jusqu'à la fin de la torture. Il verrait ce qui arriverait à cette pauvre femme et aux malheureux compagnons qui étaient encore dans cette maison chaleureuse. Il ne pourrait pas supporter d'assister à tout cela. Pas encore. Elle avait l'air d'une si gentille grand-mère tricotant des pulls pour ses petits-enfants. Le sort s'arrêta, et Harry tomba à côté d'elle, la respiration entrecoupée de gémissements. Il aurait voulu être à un autre endroit, n'importe où ailleurs que ce lieu de douleur. Et souhaitait tellement qu'elle et son mari le soient aussi.

"Endoloris," reprit Voldemort après une pause succincte. Il ne posait pas de questions. Il ne cherchait rien de particulier. Ce qu'il voulait... il l'avait déjà. Un peu d'amusement pour la nuit. Les cris qu'Harry tentait de retenir s'échappèrent malgré tout sous la torture, alors qu'il sentait tout son corps se morceler sous le sort, ses poumons brûlants et incapables de respirer correctement. Comment pouvait-il l'aider, elle? Il ne pouvait même pas s'aider lui-même. Quelle chance avait-il face à cette monstruosité?

Au bout de ce qui sembla être une éternité ou deux, le supplice sembla diminuer d'intensité, et Harry réalisa que le maléfice avait effectivement été rompu. Voldemort s'approcha, se pencha sur la femme, et ses yeux rouges buvaient sa douleur, ses longues mains jouaient avec sa baguette. Un léger sourire de plaisir flottait sur ses lèvres. Harry se sentait nauséeux, un observateur récalcitrant de cette obscénité.

Il savait qu'il ne pourrait plus tenir longtemps. Il détourna ses yeux du monstre au-dessus de lui et regarda la dame épuisée près de lui ; ils étaient presque face à face. Du sang perlait du coin de sa bouche, et sa respiration toujours aussi rapide faisait entendre des râles. Elle ouvrit ses yeux péniblement, et ceux-ci s'écarquillèrent, probablement à la vue d'Harry. Les hurlements masculins provenant de l'autre chambre avaient cessé, et des voix échauffées approchant du salon se firent entendre. Le mari de la femme était sûrement mort. Mais l'attention d'Harry était entièrement retenue par les deux saphirs pâles qui le fixaient, les deux yeux de la femme voilés par la douleur et la peine.

"Oh, mon enfant," murmura-t-elle, d'une voix si faible que seul Harry l'entendit. "Réveille-toi."

Les yeux d'Harry s'ouvrirent brusquement à cette phrase, et il sentit des mains sur ses épaules et son visage. Ses paumes lui faisaient mal, mais il ne pouvait pas serrer ses poings de douleur ; il réalisa que Remus Lupin avait pris ses deux mains dans les siennes et l'en empêchait. Mrs Weasley caressait doucement son front, repoussant gentiment ses cheveux, et le suppliait de se réveiller avec des mots tendres, comme si Ron n'était pas en train de hurler frénétiquement juste à côté d'elle:

"Harry, réveille-toi!". Il secouait son ami vigoureusement, tellement soucieux de le tirer de son rêve qu'il en négligeait complètement les blessures infligées par les Dursley.

Harry essaya de se relever. Il devait s'en aller, fuir la torture qui le hantait. Mais tout son corps tremblait sous la douleur résiduelle, et des mains vinrent l'empêcher de bouger. Il commençait à comprendre ce qu'il voyait et entendait. Il était au Terrier, avec les Weasley. Sirius et Remus Lupin l'avaient ramené ici. Harry chercha autour de lui. Où était Sirius? Est-ce qu'il allait bien? Harry sentit ses yeux se renverser un moment, alors qu'il essayait désespérément de reprendre sa respiration et de calmer son coeur affolé. Il était au Terrier. Il était en sécurité ici...

Harry revit les yeux de la femme derrière ses paupières closes et réprima un sanglot. Sa cicatrice le brûlait encore, mais bien moins qu'auparavant. C'était donc ça. C'était la fin. La femme ne pourrait pas survivre à un autre sort de Douleur. Soudain, la peine infligée par sa cicatrice disparut. Harry cessa de se débattre et la tristesse l'envahit tout entier. Les mains autour de lui arrêtèrent leurs courses folles, leurs propriétaires semblaient guetter anxieusement ce qu'il se passerait ensuite. Harry ne bougea pas, il combattait les émotions qui le subjugueraient totalement s'il ne se calmait pas. Il devait d'abord mettre de la distance avec ce qu'il avait vu. Mais elle avait l'air si gentille...

"Harry?" tenta la voix de Ron. Ses amis... 'Concentre-toi sur cette pensée!' Il essaya de former des mots, mais ne parvint pas à trouver sa voix.

"Ron," souffla-t-il. Remus serra sa main d'une manière rassurante, et il sentit Mrs Weasley se pencher pour l'embrasser sur le front qu'elle n'avait jamais cessé de caresser tendrement. "Tu es de retour, Harry," murmura-t-elle. Ron desserra sa poigne sur les épaules d'Harry, soupirant de soulagement.

Harry grimaça de douleur, ses côtes n'appréciaient nettement pas l'effort qu'il faisait pour contrôler sa respiration. Il se risqua à ouvrir ses yeux de nouveau. Quelqu'un lui mit ses lunettes en place aisément. Ça ne devait pas être Sirius alors, sans doute Ron ou Mrs Weasley. Il entrouvrit un peu plus ses paupières, et examina la pièce. Il était dans la chambre de Ron, sans se rappeler y être monté. Quelqu'un avait dû le porter jusqu'ici sans doute. Mr et Mrs Weasley étaient présents, tout comme Ron et Remus. Où était Sirius?

"Ron, où est Sirius?" demanda-t-il d'un ton inquiet. Celui-ci fronça les sourcils, et Harry ne manqua pas le regard sombre qui traversa le visage du professeur Lupin.

"Euh, c'est..." amorça Ron.

"Je suis là, Harry," intervint Sirius, et Harry sentit ses muscles se détendre légèrement devant l'évidence : les Weasley, Remus et Sirius étaient au moins en sécurité. Sirius se précipita, plus qu'il ne marcha, vers le lit d'Harry. Il posa une petite fiole remplie d'un liquide bleue sur la table de nuit, et s'agenouilla près de son filleul.

Harry nota l'échange silencieux qui passa entre Sirius et Remus, ainsi que l'expression particulière de son ancien professeur, puis il sentit ses paupières s'appesantir. Non! Il les rouvrit brusquement.

"Harry?" demanda le professeur Lupin.

"Oui, professeur?" Il se sentait glisser tout entier dans le sommeil, mais la terreur forçait ses yeux à rester ouverts. Il ne voulait pas dormir, et risquer un autre rêve.

"Harry, pour commencer appelle-moi Remus," dit-il calmement. Harry eut un sourire mitigé, mais acquiesça lentement, s'enrobant tant qu'il le pouvait dans la tiédeur de la vie au Terrier. Rien de mauvais ne lui arriverait ici. Il n'était plus avec les Dursley. Mrs Weasley continuait à lui caresser les cheveux, et Harry s'émerveillait de la douceur inhérente à ses gestes. Ses doigts rafraîchissaient son front brûlant, et il était tellement comblé par tous ces petits gestes de confort que sa gorge se noua quand il repensa à la femme âgée. Il ne savait même pas son nom, et maintenant il était trop tard.

"Harry, comment te sens-tu?" demanda le professeur Lupin. À vrai dire, Harry avait envie de hurler et de rager face à l'injustice de ce monde. C'est ce qu'il aurait voulu faire, mais il se retint. Il était condamné à apprendre encore et toujours une unique leçon: il était impuissant face à ce qui arrivait. L'idée même le remplissait d'une fureur qui pourrait tout briser autour de lui, et d'une tristesse qui le ferait se rouler en boule et supplier que tout s'arrête.

"Ma cicatrice brûle moins, professeur Lup... Remus. Mes côtes font toujours aussi mal, et..." commença Harry. Il s'arrêta un moment afin d'évaluer son état physique, si possible sans inquiéter les personnes qui l'entouraient, mais il savait bien qu'il n'arriverait pas à les duper, quoi qu'il dise. Ses mains tremblaient violemment dans celles de Remus, et Harry comprenait maintenant que ses ongles avaient dû faire saigner ses propres paumes en les serrant si fort sous la douleur, avant que le professeur ne le retienne. Au moins, la vieille femme n'avait plus mal maintenant.

"Oui?" relança Remus.

"J'ai l'impression que tout... que tout mon corps brûle," chuchota Harry, réticent de l'admettre. À cela, l'inquiétude de Sirius sembla redoubler, et ses yeux bleus cherchèrent ceux d'Harry. 'Gris contre verts', pensa Harry, bien qu'il y ait fort à parier que les siens soient plus divergents que ceux de Sirius, s'il en jugeait sur la difficulté avec laquelle il observait son parrain. Harry sentit ses joues se mouiller, ses quelques larmes paraissaient rouler d'elles-mêmes, car son coeur était trop douloureux et trop épuisé pour qu'il puisse penser à pleurer la vieille dame.

Il ferma les yeux quelques secondes, puis se força à les maintenir ouverts. Personne ne lui demandait rien sur son rêve, ce dont Harry était profondément reconnaissant. Il ne pouvait pas le raconter. Pas encore. Peut-être, plus tard, à la lumière du jour, et au son d'une des blagues des jumeaux et des cris maternels qui en résultaient. Peut-être alors qu'il arriverait à écrire pour Dumbledore, surtout si Ron et Hermione étaient à côté en train de se chamailler pour une partie d'échec, ou en pleine discussion à propos d'une des multiples lectures d'Hermione.

"Repose-toi, Harry, tu en as besoin." Sirius brisa ses réflexions gentiment, son visage était tout près du sien, sa présence tout aussi réconfortante que la chaude couverture sur son corps tremblant. Ses dents claquaient épisodiquement, et la douleur de ses côtes ne passait toujours pas. Remus serra la main dans la sienne, une autre marque de réconfort qu'Harry accueillit sans retenue.

"J'ai sommeil, mais... je ne peux pas dormir," admit Harry. Ron posa une main maladroite sur son épaule, et Harry lui sourit faiblement. "C'est juste que je ne veux plus rêver." Il aperçut Mr Weasley près du lit, ce dernier n'avait pas approché afin de laisser la place à Ron et aux autres, mais il était là et son visage montrait tout aussi bien ce que lui-même ne disait pas: il comprenait Harry, son angoisse de dormir. Et transparaissait également toute l'affection qu'il éprouvait pour l'ami de son fils.

"Je t'ai amené de la potion de Sommeil. Tu n'auras plus de rêves cette nuit, promis," reprit Sirius, et il déboucha la fiole déposée sur la table de nuit. Il commença par lui tendre la potion, mais sembla reconsidérer son action lorsqu'il vit combien son filleul tremblait. Il souleva gentiment la tête d'Harry, sa main placée confortablement derrière son cou.

"Bois tout." Et Harry s'effectua, et un calme profond et bienvenu l'envahit complètement avant même que sa tête ne soit reposée sur l'oreiller. Il réprima la petite voix d'un coin de son esprit qui chuchotait qu'il ferait mieux de ne pas se réveiller et de rester là bien au chaud. Puis toutes les pensées furent effacées, et Harry soupira de soulagement et s'endormit.

À suivre...


Prochain chapitre: la potion de Sommeil, le refuge offert par les Weasley, les potions de Madame Pomfresh... tout cela est bien pensé mais malgré tout, ce ne sont que des Solutions temporaires

Réponses aux reviews si gentiment laissés!

Cicin: C'est vrai que la revanche de Sirius aurait pu être plus forcée sur le plan de l'action ou des entourloupes (ça me fait penser à Amélie Poulain et son voisin ça ) mais brr, moi il m'a fait un peu froid dans le dos quand je traduisais!

Thealie: et non, rien n'est facile pour eux, et... ça va pas aller en s'arrangeant pour l'instant héhé!

Ilys: je suis d'accord, vive Sirius et ses menaces pour protéger Harry! Le thème du "Sirius protecteur" (style 'chien pas content qui grogne en dévoilant ses crocs' va d'ailleurs se retrouver dans quelques autres chapitres, tu verras ;). J'attends toujours tes reviews des chapitres avec impatience!

Cesk: j'ai été voir, si ton chapitre se finit bien par le 'amen' de Sirius (en quelque sorte!), c'est que c'est tout bon! Contente que tu apprécies la fic et sa traduction!

Linaewen Ilca: quel plaisir de lire ton review merci merci, et bonne année à toi aussi!

Elaur: bienvenue sur cette fic, bonne lecture

Vert: toi aussi tu es accro aux derniers chapitres! j'en ai même imprimé certains pour ma part, et bizarrement plutôt ceux qui font intervenir un point de narration particulier d'un certain personnage ;). Je trouve que t'y vas fort quand même pour la 'vraie loque'! Dans cette fic, un peu c'est vrai (et je m'en rends compte d'autant plus quand je traduis), mais dans l'autre je ne suis pas d'accord, j'aime au contraire beaucoup ses réactions assez naturelles. Je voulais traduire une 3ème fic où Harry serait vraiment volontaire pour faire une balance, mais la seule que j'ai envie de faire pour l'instant serait "Harry Potter and the Power of Time" et sa traduction en français (HP et le pouvoir du temps) est déjà commencée par quelqu'un d'autre. Néanmoins si j'en trouve une autre avec un bon potentiel, peut-être que je m'y lancerai :). Comme toi, j'ai un faible dans les fics où Sirius et/ou Remus interviennent beaucoup, et celles-ci correspondent assez souvent à des scénarios où Harry est un peu moins actif et plus passif. Tout cas ton review m'a fait très plaisir, et je te souhaite moi aussi de bonnes fics et une très bonne année... et un très bon tome 6!

Thamril: je soutiens ton "vive Sirius" ;-) merci pour le review!

Florilège: il a une sonorité sympa ton pseudo! Ton review m'a bien fait sourire, à la fois pour Ilys (elle est mignonne avec ses "Fight siri" je trouve! mais c'est vrai qu'elle m'a parlé d'une certaine Ire des Fans, faudrait que je me méfie... ) et pour tes commentaires très agréables à lire pour moi! Thanks et à plus tard!