Annonce: Harry Potter. Toujours pas à moi... -soupir-

NdT: je traduis certaines réponses aux reviews que l'auteur avait faites, comme elles contiennent quelques indices et explications. Les points de suspension entre crochets remplacent les parties peu informatives.

Venus4280: Merci pour tes commentaires. J'aime bien Percy, je ne le considère pas comme étant cruel, mais très peu sûr de lui et un peu 'à l'ouest'. ... Je voulais aussi montrer que tout ne peut pas se guérir en un clin d'oeil, d'où la lente guérison d'Harry depuis son retour des Dursley. Plus d'actions concernant Ron sont au programme...

Note de l'Auteur : Et bien, comme vous sembliez tous si enthousiasmés par la Guerre des Farces, je n'ai pas eu le coeur de retarder plus la première attaque. J'espère que vous apprécierez! Merci encore de lire mon histoire!

Note de la Traductrice : Voilà le chapitre 9! Avec un peu de retard (maudissez Wanadoo, cela fait 3 jours que je tente d'uploader ce chapitre!), et malheureusement, il en sera de même la semaine prochaine, examens obligent... Mais rendez-vous dans 2 semaines, pour le chapitre 10 de cette histoire et le chapitre 6 du Duel! Souhaitez-moi bonne chance et à bientôt!


Chapitre Neuf : Échafaudage de Coups Montés

Hermione Granger éprouva le plus grand mal à conserver un semblant de dignité lorsqu'elle fut propulsée hors de la cheminée des Weasley. Elle s'arrêta un moment pour épousseter les cendres qui s'étaient déposées sur son jean, mais si elle avait su ce qu'elle trouverait dans le salon, elle ne se serait pas inquiétée de l'état de ses cheveux ou de ses vêtements. En effet, elle posa son regard sur une scène pour le moins intrigante. Remus Lupin était littéralement secoué d'éclats de rire, et son bras tremblant agrippé au canapé ne parvenait qu'à peine à empêcher sa chute. Son autre bras était serré sur sa poitrine, et tentait de maîtriser sa respiration coupée par l'hilarité.

Fred et George épiaient le spectacle depuis la porte de la cuisine, et leurs visages portaient les mêmes expressions de jubilation. Ron riait si fort qu'il donnait l'impression de s'étrangler, et même les traits d'Harry révélaient un large sourire. Tous les regards étaient fixés sur le mignon petit caniche, presque miniature, qui arborait une fourrure noire et des yeux bleus, ainsi qu'un ruban rose vif entre ses deux oreilles. Le chien jetait des regards éperdus autour de lui, et grogna à l'intention du professeur Lupin lorsque ce dernier tenta encore une fois de se maîtriser. L'éclat de rire suivant n'en fut que plus fort, et Lupin s'affala près du canapé ; des larmes s'esquivaient de ses yeux et des hoquets joviaux parvenaient à s'échapper de façon erratique de sa gorge, ce qui rendait le chien encore plus furieux.

"Arrêtez! J'arrive plus à respirer!..." hoqueta Remus. "Je n'ai pas autant ri depuis des années!"

"Bien joué, vieux frère," dit Fred depuis l'entrée. Sa tête était seule visible, et semblait flotter dans les airs d'elle-même. George, quant à lui, s'était risqué plus loin dans la pièce, mais conservait une main appuyée sur l'encadrement de la porte, visiblement prêt à s'enfuir pour le cas où le caniche déciderait de les poursuivre.

"Tout à fait, mon cher Fred. Une parfaite réussite," répondit George avec un soupçon de dignité.

"On devrait te renommer maintenant, Patmol. Peutêtre Frisette t'irait mieux. Ou alors Beauté?" demanda Remus, qui finit par s'écrouler sur le plancher, épuisé par tant de rires. "Oh mes côtes! J'ai besoin d'une potion!" s'exclama-t-il. À ce dernier mot, le minuscule caniche brandit ses canines et aboya d'un air menaçant. Du moins, il essaya d'aboyer, mais tout ce qui sortit fut un jappement criard. Le chien s'arrêta net et sembla choqué d'avoir émis ce son aussi indigne. Hermione aurait pu jurer qu'il avait l'air embarrassé, avant qu'il ne s'enfuie au premier étage, la queue entre ses pattes.

Hermione discernait enfin ce qui s'était passé. Les jumeaux avaient dû jouer un tour à Sirius, le transformant en un caniche par une potion. Son propre sourire, bien qu'encore confus, ne put que s'élargir quand elle repensa au ruban rose, et quand elle s'aperçut que le chien n'était pas encore arrivé à l'étage. Effectivement, il peinait à monter chaque marche du fait de sa petite taille, et, avec un air désabusé, jetait de temps à autre un regard menaçant à travers la barrière en direction des jumeaux, le tout accompagné d'un grognement. Hermione le trouvait vraiment craquant.

"Vous êtes les personnes les plus stupides de la terre! Vous pouvez être sûr qu'il essaiera de se venger," s'adressa Ron aux jumeaux ; ces derniers, maintenant que la menace canine était partie, se pavanaient dans le salon comme s'ils étaient maîtres de la place.

"Je tremble de peur. Tu me protégeras, pas vrai, Fred" répliqua George, faisant mine de s'abriter derrière son frère.

"T'inquiète, George. Je ne le laisserai pas gâcher notre journée!" s'écria Fred, et il s'élança en l'air pour retomber en une position défensive, les jambes écartées et une main tendue devant lui. Hermione dut faire appel à toute son imagination pour reconnaître la position héroïque typique des films moldus que Fred avait imitée, bien que, à sa connaissance, les jumeaux ne soient jamais rentrés dans un cinéma moldu.

Lupin avait enfin réussi à s'arrêter de rire, et se redressait lentement, essuyant les larmes de son visage et secouant la tête ; et son visage, éclairé d'un brillant sourire, paraissait des années plus jeune. "Oh, vous pouvez rire, les enfants, mais vous auriez vraiment dû prêter attention à son ultimatum de l'autre jour," intervint-il. Ron acquiesça, et tourna finalement son attention vers la cheminée.

"Hermione!" s'écria-t-il joyeusement. Harry, qui, durant toute la scène, était resté sur le canapé où il était installé, releva brusquement la tête à cette exclamation, et son visage se détendit en un grand sourire quand il la vit lui aussi.

"Hé, Hermione," lança-t-il, les yeux encore scintillants de la blague faite plus tôt. Hermione traversa la pièce et le serra dans ses bras. Elle utilisa le bref moment de surprise que ce mouvement déclencha pour juger de la condition physique de son meilleur ami.

Harry avait perdu beaucoup de poids. C'était évident, d'autant plus qu'elle sentit ses omoplates saillir douloureusement de son dos. Il avait davantage l'air d'être en première année qu'en cinquième, même si ses yeux, bien que pétillants de joie, étaient obscurcis et solennels. Les yeux d'un vieil homme dans un corps d'enfant. Sa peau était froide et sèche au toucher, et elle nota la faiblesse de ses bras lorsqu'il les leva pour la serrer contre lui. La pâleur de son teint contrastait durement avec ses cheveux noirs. Ces derniers apparaissaient comme les seuls éléments n'ayant pas changé depuis la fin de l'année dernière ; si Hermione les exceptait, elle pouvait dire, aussi sûrement que Madame Pomfresh, qu'Harry n'était pas en bonne santé. Elle regarda Ron un instant, ses yeux sollicitant des réponses aux questions qui tourbillonnaient en elle, mais tout ce qu'elle y lut fut une inquiétude sourde et sibylline. Ron tordit ses lèvres en un sourire rassurant, mais Hermione sut que les choses étaient probablement encore pires que ce qu'elles paraissaient.

Comme Hermione se détachait de son ami, Mrs Weasley entra dans la pièce et s'exclama dès qu'elle la vit, ses bras grands ouverts. "Hermione! Je suis si contente de te voir, mon enfant. Comment se sont passées tes vacances?" Elle donna à son tour une chaleureuse embrassade à Hermione.

"Très bien, Mrs Weasley. Maman et Papa sont partis pour un voyage de quelques semaines. Papa a décrété qu'ils devaient renouer leurs liens maritaux, alors j'attends avec impatience de voir la tête que Maman va faire!" répondit Hermione en secouant la tête. Ses parents formaient irrémédiablement un couple trop romantique à son goût. Et comme si cela n'était pas suffisant, son père avait le don pour réaliser des projets ineptes et irréfléchis. Hermione se souvenait encore du voyage à Paris qu'il lui avait offert quand elle avait huit ans.

"Je voulais que tu voies la ville la plus romantique du monde avec un homme qui t'aimera toujours de tout son coeur," lui avait-il dit solennellement au pied de la Tour Eiffel, alors qu'elle se tortillait pour essayer de voir l'extrémité du bâtiment longiligne. Hermione sourit devant le regard embrumé de Mrs Weasley ; à la voir, elle aurait mis sa main à couper que Mrs Weasley pleurait de joie chaque fois qu'elle assistait à un nouveau mariage.

"C'est magnifique," s'exclama cette dernière avec une douce voix, puis elle reprit son expression austère habituelle lorsqu'elle nota tous les garçons rassemblés dans le salon, sans compter le professeur Lupin, et elle partit précipitamment en direction de sa cuisine en maugréant. Hermione réussit à comprendre des propos comme "Il faudrait que Ginny soit là, on serait trois femmes dans la maison" et "ce ne serait pas de trop pour contenir tous ces gaillards". Elle sourit à cette diatribe, puis reporta son attention sur la gente masculine présente.

Elle donna une brève étreinte à Ron (qui s'agita d'une façon ridicule, mais elle le serra fort contre elle néanmoins), puis se dirigea vers le professeur Lupin, toujours à terre, et le prit dans ses bras quelques moments.

"Je ne sais pas comment vous remercier, Professeur, pour l'avoir sorti de là," dit-elle intensément. Lupin fut apparemment surpris de l'émotion qui se dégageait d'elle, et elle vit ses yeux s'assombrir.

"Harry a beaucoup de chances d'avoir des amis comme vous. Je t'en prie, appelle-moi Remus," ajouta-t-il en lui rendant brièvement son accolade. Hermione se demanda combien de fois il avait prononcé cette phrase ces derniers temps ; à voir son sourcil levé en une moue ironique, elle devinait que c'en était presque devenue une litanie pour le professeur.

"J'espère que j'aurai également le droit à un accueil aussi chaleureux," intervint Sirius. Hermione ne put retenir un rire en voyant le parrain d'Harry descendre les escaliers, enlevant un certain noeud rose de ses cheveux, l'air exaspéré. Un instant plus tard, les jumeaux s'étaient enfuis de la maison, leurs hurlements de rire résonnant encore à travers la pièce. "Courez mes amis, courez, mais aucun endroit ne vous cachera indéfiniment," marmonna Sirius pour lui-même, et Hermione vit le mouvement de tête dubitatif d'Harry.

"Ils n'ont aucune idée de ce qui les attend," dit ce dernier avec un grand sourire. "Après ça, je crois que j'aurai enfin l'occasion de voir cette excentricité pour laquelle tu es si connu..."

"Je préfère ne pas jouer le sérieux," répondit Sirius, mais se reprit lorsque Remus pouffa. "D'accord, j'aurais pu le dire d'une autre manière, mais ça ne change rien! C'est plus amusant pour un Maraudeur de se venger que de paraître magnanime."

Ron s'adressa à Hermione "As-tu amené tes affaires?" Elle répondit par l'affirmative et montra la valise posée près de la cheminée, arrivée quelques minutes après elle.

"C'est un peu lourd," avertit-elle.

"Oh, ce n'est pas un problème," objecta Remus ; il se leva et se dirigea vers les escaliers, et, d'un mouvement de baguette, la valise se souleva dans les airs et le suivit docilement. "Ron, quelle est la chambre prévue pour Hermione?" demanda-t-il.

"La dernière à droite."

"Où est Ginny" s'enquit Hermione quelques instants plus tard. Elle appréciait la compagnie de la soeur de Ron, et, au fil des années, avait constaté qu'elles avaient beaucoup plus de points communs qu'elle l'avait jugé au premier abord.

"Maman l'a envoyée passer quelques semaines avec Charlie," répondit Ron d'un ton neutre, mais l'expression de son visage mettait nettement Hermione en garde de ne pas poser plus de questions à ce sujet. Elle inclina subrepticement la tête en réponse à ce message silencieux, et se détourna à temps pour voir Sirius et Remus disparaître au premier étage. L'écho de leurs voix parvenait néanmoins jusqu'au salon.

"Le noeud papillon me manque déjà," déclara Remus. Un bruit sourd s'ensuivit, provenant probablement de la mise à terre de la valise d'Hermione. Elle imagina sans peine l'expression indignée que devait exposer Sirius. "La couleur fluo t'allait si bien."

"Fais gaffe, Lunard, ou il se pourrait que je décide d'élargir mon champ d'action lors de ma revanche ; tu as l'air d'avoir bien trop apprécié ce petit incident." Harry pouffa lorsqu'ils entendirent la réponse de Sirius.

"Je n'ai jamais vu Remus rire aussi fort," dit-il. Hermione nota avec tristesse la ténuité de sa voix, et dut réprimer un soupir. Elle aurait volontiers sacrifié une partie de ses livres pour, en échange, ensorceler à jamais ces monstrueux Dursleys.

"Que la fête commence," annonça-t-elle solennellement quand Remus et Sirius revinrent. Elle ne se trompa pas sur l'air enjoué de ce dernier - elle pouvait sentir l'entourloupe émaner de lui mille lieux à la ronde. Sa réplique fit mouche, et toutes les personnes de la pièce se tournèrent vers elle, l'expression plus ou moins intriguée. Harry avait reconnu la phrase Moldue, bien sûr. Remus également. Les autres, bien que décontenancés par la tournure inusuelle de la phrase, avaient néanmoins compris le sens global : les choses ne resteraient pas très longtemps calmes au Terrier...

Remus vint s'asseoir sur la chaise près d'Harry, ses longues jambes posées sur la table à café. Hermione se tourna presque involontairement vers la cuisine, comme pour guetter la venue de Mrs Weasley : cette dernière n'aurait sûrement pas apprécié de voir des chaussures poussiéreuses juchées sur sa table. Remus dut noter son air mitigé, puisqu'il enleva ses pieds et haussa les épaules.

'Hé, j'ai été jeune moi aussi,' semblaient clamer les traits de son visage. 'Les inepties comme les sets de table, les nappes ou les repas équilibrés ne me concernent pas.' Hermione adopta un air sarcastique et lança un regard appuyé en direction de Sirius. Remus s'esclaffa, mais transforma rapidement son rire en quinte de toux, un sourire narquois caché derrière sa main. Sirius ne remarqua rien - ou du moins fit mine de ne rien voir.

"Alors, quand est-ce qu'on leur dit pour les Maraudeurs? Avant ou après?" demanda Ron, curieux.

"Après!" répondirent Harry et Remus à l'unisson. Le rictus de Sirius s'élargit. Hermione rit.


Harry s'endormit finalement juste après le dîner, et Ron profita de l'occasion pour informer Hermione de tout ce qui s'était passé depuis son arrivée au Terrier. Cela faisait maintenant cinq longues journées qu'il n'avait pu prendre la potion de Sommeil, et chaque nuit, ses rêves s'intensifiaient. La potion ne pouvant être prise en continu, Ron expliqua qu'Harry n'avait d'autre choix que de faire de son mieux pour dormir sans aide. Et il n'eut pas besoin de préciser combien cela était difficile.

Madame Pomfresh n'était pas encore certaine de l'étiologie des tremblements et des convulsions d'Harry. Elle supposait que, vraisemblablement, ces symptômes étaient liés aux Sortilèges Impardonnables que Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom infligeait à ses victimes et à Harry, mais, selon elle, le simple lien mental avec un Mage Noir au sommet de sa force pouvait être la seule cause. Ron lui décrivit, avec des phrases parfois douloureusement détaillées, les quelques occurrences où il avait dû secouer son ami de toutes ses forces, criant son nom désespérément, essayant de briser l'emprise -quelle qu'elle soit- que le Mage Noir avait sur Harry.

"Maman rêve de le remplumer un peu," dit-il, après un long mais confortable silence.

"Et bien, nous pourrons lui donner un coup de main. Tu es prêt à cuisiner un gâteau pour demain?"

"Tu penses qu'il sait que c'est son anniversaire demain?" demanda Ron un peu plus tard. Hermione soupira.

"Je ne pense pas. Mais d'après ce que j'ai compris, tout le monde est d'accord pour qu'il ne retourne jamais là-bas, pas vrai?" Ron acquiesça. "Donc, à partir de demain, tous ses anniversaires seront fêtés comme il se doit," affirma-t-elle.

Ron sourit légèrement, mais continua d'un ton moins enjoué. "Je suis inquiet, Hermione. J'ai toujours su que les choses étaient dangereuses, mais... tout a changé si horriblement quand Cédric est mort, et je n'ai strictement aucune idée pour aider Harry à sortir de là." Hermione fut surprise de son observation. Elle avait remarqué la même chose elle-même, mais n'aurait jamais pensé Ron capable de noter cette espèce de... flétrissure? Cassure? Peu importe ce que c'était, cela avait changé Harry.

"Je suis inquiète, moi aussi. Mais autant considérer les choses positivement : ta mère va le remettre en forme, les jumeaux vont le faire rire, et toi et moi, nous serons là pour le soutenir et le motiver. Et Sirius et Lupin lui offriront ce qu'il n'a jamais eu... un lien avec ses parents. C'est suffisant, Ron," dit-elle d'un ton encourageant. "Viens, allons voir le reste de ta famille."

Et tous les deux, ils se dirigèrent vers la cuisine, d'où provenaient des voix rieuses, préparant la fête du lendemain.

A suivre...


Prochain Chapitre : Hermione découvre nettement ce que ne faisait qu'insinuer Ron : l'amplitude des cauchemars d'Harry... Sans compter une petite mise au point entre deux personnes... Rendez-vous pour tout cela dans le chapitre Dix: Souvenirs

NdT: Est-ce que le mot 'étiologie' est compréhensible pour tout le monde? Je pourrais le remplacer par 'cause' ou 'causalité', mais le mot juste était vraiment celui-là... Ai-je besoin de préciser dans quel domaine je fais mes études! ;)

Reviews Answers!

Merci à tous ceux qui me laissent des reviews! Un petit coucou à Onarluca, Yaya, Cicin, Thealie, Orphée Potter. Le temps avant les révisions est court et ne me laisse pas beaucoup de temps pour vous écrire, mais encore merci à vous! Sinon pour les autres revieweurs:

Linaewen Ilca: merci pour tes petites corrections, j'ai été rectifier tout ça! J'espère qu'il n'y en a pas dans ce chapitre, mais si tu vois une erreur, n'hésite pas à me la signaler. Un GRAND merci de ton review, encore une fois, ça me fait super plaisir! Surtout quand tu dis que tu vois la scène se dérouler devant ses yeux, c'est pas moi qui suis à l'origine de la scène, mais le fait que je l'ai transcrite correctement est un très beau compliment ;).

Florilège: Haha, la prépa... - bon courage, d'après ce que j'ai compris de mes amis, c'est plus ou moins un enfer! C'est quoi MS? Je suis d'accord qu'Harry est assez AU pour le moment, et que Sirius est trop coool! Sinon, je t'encourage vivement à lire l'autre fic aussi. Non pas parce que je l'ai traduite, mais surtout parce qu'elle est extra!

Ilys: bah comme d'hab je termine par toi! J'irai lire avec plaisir tes "pitites fics" dès la fin de mes partiels :). Il y en a une en particulier que tu voudrais que je lise en premier? Arf, et sorry, mais il n'y a pas eu de blagues de Sirius dans ce chapitre, premier point décerné aux jumeaux! Tout cas merci encore de ton joli review! A plus!