Note de l'Auteur : Velonda, Tanya, (etc) : Merci à vous tous pour vos doux reviews. Je suis tellement contente que vous ayez aimé l'entourloupe, surtout que j'avais peur de ne pas arriver à la transcrire correctement à partir de l'image que j'avais dans ma p'tite tête.

Bonne lecture à tous!

NdT : pas grand chose de nouveau, sinon que ce chapitre était prêt depuis dimanche mais, hélas, je n'ai pas encore la connexion internet dans ma petite chambre d'étudiante et les évènements se sont bousculés. À ce we pour le Duel et le chapitre 13 de cette histoire, et au bas de la page pour la réponse aux reviews!


Chapitre Douze : Suspicions et Surprises

Harry soupira : sa fourchette raclait contre son assiette de façon bien trop audible tandis qu'il essayait de la reposer sur la table. Il pouvait sentir tous les regards posés sur lui, mais il refusa de relever la tête, maudissant silencieusement - et furieusement - le teint pourpre dont il sentait son visage se colorer sous l'embarras. Puis les conversations reprirent et Sirius se pencha vers Harry.

"Fini?" demanda-t-il à voix basse, et Harry acquiesça. À vrai dire, il avait plus mangé ce matin que durant tout le mois précédent. C'était une sensation agréable que celle d'un ventre tendu sous la nourriture ; et dire que certains considéraient la gourmandise comme un péché...

"Le repas était excellent, Mrs Weasley. Et les saucisses étaient pour le moins surprenantes," déclara-t-il, ce qui fit rire la matrone de maison. Remus sourit largement à Harry, et une étincelle malicieuse rejaillit dans le regard de Sirius.

Harry réalisait que, sur un grand nombre d'aspects, la présence de Sirius était bénéfique pour Remus. Lupin avait exprimé plus d'émotions, plus de vitalité ces derniers jours qu'il n'en avait montrées durant l'entière année où il avait enseigné à Poudlard. Oooups. Harry se sentit vaciller et glisser sur le côté, et il tenta de se soutenir discrètement contre le bras du fauteuil. Sirius nota néanmoins le léger mouvement, et se leva rapidement, sa main nonchalamment posée sur l'épaule d'Harry pour le stabiliser.

"Pourquoi ne retournerais-tu pas sur le canapé, Harry?" s'enquit-il, mais il n'attendit pas sa réponse pour le prendre dans ses bras. Harry nota l'inquiétude non dissimulée qui envahissait le visage d'Hermione - et aussi, plus singulièrement, celui de Ron - , et il aurait aimé pouvoir rassurer ses deux amis. Mais il ne pouvait pas. Il ne pouvait même pas leur dire qu'il n'avait pas mal. Il avait mal. Sa cicatrice était maintenant constamment douloureuse, et l'élancement semblait s'accorder avec les battements de son coeur. C'était peine perdue : chaque matin, il tentait de s'habituer au tenaillement, puis il avait un autre rêve, et la douleur augmentait d'intensité... d'un peu seulement. Cela effrayait Harry au plus au point, sans qu'il puisse pourtant l'exprimer. C'était comme si, à chaque rêve, son lien avec Voldemort se renforçait. Cette simple pensée le faisait frémir.

Au début de l'été, quand les rêves ne commençaient qu'à peine, Harry avait pris conscience de ses maux de tête croissants, mais avait récusé la pensée. Une semaine avant que Sirius ne vienne, néanmoins, il avait dû accepter les faits. Les rêves étaient non seulement de plus en plus fréquents, mais également plus poignants et réels. Harry avait toujours entendu dire que la plupart des gens rêvaient en noir en blanc. Ce n'était certainement pas son cas. Comme les rêves augmentaient, leurs détails aussi se peaufinaient. L'odeur de la pièce, son atmosphère poussièreuse, moisie ou au contraire embaumée d'encens brûlé. La sensation du tapis sous ses pieds, ou bien les douces lames lisses de parquet. De la pierre quelquefois. Les sons... le faible essoufflement anéanti de quelqu'un qui savait qu'il n'avait aucune chance, mais qui refusait pourtant de supplier, qui essayait désespérément de retenir ses cris...

"Harry?" l'appela Sirius, frappé par le regard qu'il avait dû voir sur le visage d'Harry.

"Oui?" répondit Harry d'un ton neutre. 'Woua, quelle merveilleuse façon de fêter ton anniversaire, Potter,' se réprimanda-t-il fermement, essayant de se secouer l'esprit. 'Maintenant arrête ces sornettes.' Il finit son sermon mental et sourit à Sirius.

"Ça va?" demanda son parrain. Harry inclina la tête, ferma les yeux et serra fort ses bras autour du cou de Sirius en une embrassade chaleureuse alors qu'il le portait vers le canapé.

"J'ai adoré ta revanche sur les jumeaux. Je n'avais jamais rien vu de pareil. J'ai hâte qu'ils découvrent que toi et Remus êtes les fameux Maraudeurs," dit Harry. Il détestait entendre la faiblesse de sa voix, mais réussit toutefois à y instiller sa joie. Sirius s'arrêta, surpris de l'étreinte pendant un bref moment, avant de répondre d'une façon similaire, pressant son filleul contre lui. La tête d'Harry se retrouva tout contre l'épaule de Sirius, et il l'enfonça plus encore jusqu'à ce que son visage soit près du cou de Sirius, tout en savourant la sensation de la nouvelle robe de son parrain.

Remus avait insisté pour que Sirius l'achète pour ce jour d'anniversaire. Ce à quoi Harry avait répondu qu'il ne se souciait pas des habits de Sirius, tant qu'il ne s'accoutrait pas d'une tenue d'Adam. L'épais tissu éraflait discrètement sa joue, et il y détecta une légère senteur de savon rémanente. Il pouvait également sentir ce qui avait dû être le shampoing ou la mousse à raser de Sirius. Un soupçon de menthe et de romarin.

Harry prit une grande inspiration comblée, seulement à peine ennuyé alors que ses sens commençaient à osciller. Il s'endormait. Il tenta d'ouvrir ses yeux un moment : après tout, il venait juste de se lever. Mais Sirius le maintint contre lui. Finalement, sa prise sur son parrain faiblit, et il soupira doucement, se laissant porter vers le sommeil, trop fatigué pour le combattre et trop heureux pour s'en soucier. Le dernier son qu'il entendit fut le petit rire gentil de Sirius alors qu'il le plaçait sur le canapé, puis tout fut merveilleusement silencieux.


"Ginny!" s'écria joyeusement Ron lorsque sa soeur apparut sur le seuil de la cheminée, ses cheveux et sa robe couverts de cendres. Elle lui renvoya un grand sourire, avant que sa respiration ne soit coupée lorsque Hermione la prit dans ses bras. Pour la première fois, la différence de taille entre les deux filles apparaissait nettement à Ron. Hermione surplombait Ginny tout comme il surpassait Hermione. Il regarda les deux filles, surpris de leur complicité. Il n'avait jamais réalisé qu'elles étaient si proches l'une de l'autre.

"C'est formidable de te voir, Ginny," entama Hermione, serrant son amie fortement. Ginny la tapota sur le dos, clairement ravie bien qu'étonnée de cette démonstration affectueuse, puis ses yeux se posèrent sur Harry qui dormait encore sur le canapé. Ron inclina la tête en direction de la cuisine, les engageant à aller y parler.

"Salut vous tous, bonjour Professeur Lupin," chuchota Ginny.

"Ginny, appelle-moi Remus je te prie," lui répondit le professeur d'un ton blasé et Hermione étouffa un petit rire. Ron la regarda un moment, le sourcil levé, mais ne put saisir l'humour de la phrase.

"Comment va-t-il?" demanda doucement Ginny, ses yeux ne quittant pas la forme allongée d'Harry. Ron fixa sa soeur intensément, et elle tourna son regard vers lui. Pendant un long moment, ils se regardèrent, puis Ginny inclina la tête et baissa soudain ses yeux, mais Ron eut le temps d'y découvrir les larmes qui y perlaient. Il y avait plusieurs choses qui effrayaient Ron et qu'il n'était pas prêt à exprimer de vive voix, mais le fait était que Harry n'allait pas mieux. Ginny l'avait tout aussi bien compris. De nouveau, il pointa la cuisine, leur indiquant silencieusement qu'il serait mieux qu'ils tiennent toute conversation là-bas. Hermione et Ginny acquiescèrent sans bruit.

Ron avait deviné la vraie raison pour laquelle sa mère avait envoyé Ginny rester avec Charlie. Plus rien n'était sûr, maintenant, avec Harry. Quelques jours après sa venue au Terrier, Mrs Weasley avait décrété que les propres cauchemars récurrents de Ginny risqueraient de se manifester de nouveau, compte-tenu des hurlements de terreur et de douleur qu'Harry émettait chaque nuit. Elle avait donc immédiatement envoyé sa fille ailleurs, au plus grand dégoût de celle-ci d'ailleurs, et elle l'aurait maintenue hors du Terrier jusqu'au début des cours si Charlie avait pu la garder. Malheureusement - pour Molly, non pour Charlie - ce dernier avait découvert un nid de dragon en Albanie dont l'abord nécessiterait quantité de temps et d'organisation, et il avait été forcé de renvoyer Ginny chez elle plus tôt que prévu.

"Alors, vous avez fini vos devoirs?" plaisanta Hermione lorsqu'ils entrèrent dans la cuisine, débutant la conversation d'une manière assez peu inusuelle, et brisant par la même occasion le lourd silence qui semblait être tombé sur le groupe. Ron leva les mains vers le plafond en un grand geste dramatique.

"Oh! Pourquoi moi? Pourquoi... Arg!" Ron couina comme il fut soulevé du sol par deux paires de mains, ses jambes battant l'air de surprise. Ginny, surprise, leva la tête et découvrit Fred et George : ils étaient étendus sur le plafond, comme si au lieu de tomber et d'embrasser le plancher, ils s'étaient trompés de destination. Ils la saluèrent, Ron fermement maintenu entre eux.

"Salut, petite soeur. Bienvenue! Tu sais, Fred, il faut absolument qu'on aille choper la formule de ce sort. Y'a tellement de trucs à faire dans cette posture. Imagine... si on combine ça avec un charme de Lévitation, on pourrait vadrouiller dans tout Poudlard sans être détectés. Personne ne songe à regarder au plafond de toute façon, ce serait parfait," commença George, une étincelle dans les yeux.

"Fais-moi descendre," rétorqua Ron ; il ne se débattait pas, mais semblait plutôt se préparer pour ce qu'il savait être la suite...

"Comme tu veux," répondit légèrement Fred, et tous deux lâchèrent sur-le-champ l'infortuné rouquin, qui - lui - ne défiait pas les règles habituelles de la pesanteur. Toutes les personnes présentes se figèrent pendant un moment alors que Ron s'abattait presque dans la poubelle, qui s'écarta heureusement au dernier moment. Complètement immobile maintenant, il s'inquiétait - plus que de l'état de son dos - d'avoir fait trop de bruit et d'avoir réveillé Harry. Anxieusement, il pointa un oeil dans le salon, mais Sirius le vit et lui fit un signe de la tête négatif. Ron soupira, soulagé de constater qu'Harry dormait encore. Sirius, par contre, darda les jumeaux, qui semblèrent honteux et se tortillèrent comme deux gredins pris en flagrant délit. De même, Ginny ne put maintenir le regard tranchant de Sirius et baissa les yeux, mal à l'aise.

"Désolés," articulèrent les jumeaux faiblement en direction de Sirius, et ils se levèrent, encore un peu gênés. Se tenant de toute leur hauteur - bassesse -, leur tête oscillait à quelques dizaines de centimètres de celle de Ron, et leurs cheveux pointaient dans tous les sens. La formule de Sirius n'agissait apparemment que sur les corps et non les accessoires, ce qui fournissait un autre sujet de ridicule pour les jumeaux.

"Pourquoi n'allez-vous pas dehors pour jouer au Quidditch?" suggéra Ron d'une voix glaciale. Ses deux frères se regardèrent sérieusement pendant un moment.

"Tu sais... je pense que voler la tête à l'envers pourrait se révéler intéressant," répliqua Fred, et Ron sentit ses yeux se dilater. Il avait seulement voulu les taquiner un peu.

"Vous n'en ferez rien!" les interrompit Mrs Weasley d'une voix furieuse et sans appel. Ron, encore une fois, fut impressionné de voir comment leur mère semblait toujours surprendre les jumeaux juste avant que leurs manigances ne deviennent trop sérieuses. Faisant fi des protestations des deux garçons, elle continua sa diatribe, donnant l'impression d'avoir assisté à toute la conversation, ce que Ron savait ne pas être le cas. Peut-être jugeait-elle qu'elle en savait suffisamment pour s'inquiéter de l'état des choses... "Et pourquoi êtes-vous tous entassés ici? C'est la première fois qu'Harry dort aussi bien depuis plusieurs jours. Si j'étais vous, je me méfierais : son parrain pourrait être quelque peu énervé si vous le réveilliez." Puis son regard se posa sur Ginny. "Ginny, tu es rentrée! Viens, je vais t'aider à défaire tes valises," s'exclama-t-elle chaleureusement, et Ron scruta Ginny alors qu'elle suivait sa mère vers les escaliers.

Elles évitèrent les jambes de Fred et George tandis que ces derniers se dandinaient devant l'escalier, parlant à basse voix. Puis ils se tinrent à la rampe un moment, avant d'atterrir les pieds au plafond du premier étage.

Ron resta seul avec Hermione, et il en profita pour observer Sirius depuis la porte de la cuisine, qui contemplait son filleul endormi. C'était un homme grand et élancé. Il faisait tout rapidement et brusquement. Il marchait avec de larges, puissantes foulées, et se laissait tomber sur les chaises avec si peu de ménagement que le mobilier commençait à protester profusément. Les sièges de toute la maison tentaient de décamper peureusement lorsque Sirius les approchait avec une soudaine faiblesse des jambes.

En ce moment-là, Sirius se tenait près d'Harry, perché sur une chaise, comme prêt à bondir au secours ou à la défense d'Harry à tout moment. Son visage était pâle, anguleux et émacié, mais les rares fois où Ron l'avait surpris à sourire le faisaient ressembler à un nouvel homme. Ron ne savait pas précisement si les sombres cernes qui cerclaient les paupières de Sirius provenaient de ses propres cauchemars ou de ses longues veilles près d'Harry. Il avait les yeux d'un gris clair presque irréel, et parfois, Ron y décernait des souvenirs qui le faisaient frissonner. Douze ans à Azkaban. Il ne pouvait même pas envisager une seconde de ce supplice.

Hermione l'interrompit dans ses pensées : "Est-ce que Ginny a encore des cauchemars?" Ron se retourna, surpris, mais elle haussa simplement les épaules.

"Dans les dortoirs des filles, il n'y a pas grand-chose qui passe inaperçu. Garde ça à l'esprit," finit-elle d'un ton sarcastique. Ron se sentit rougir sans qu'il en devine bien la raison. Hermione lui sourit d'un air malicieux, puis reporta son regard sur Harry après que Ron eut répondu par la positive à sa question.

"Dumbledore vient aujourd'hui," ajouta-t-il. Elle acquiesça.

"Et Madame Pomfresh?" Ron ne fit que répondre d'un signe de tête songeur. "Je me demande s'ils ont réussi à convaincre le professeur Rogue de mettre au point une nouvelle potion de Sommeil pour Harry," reprit-elle songeusement. La mâchoire de Ron en tomba presque.

"Tu veux rire?" s'exclama-t-il, interloqué. Hermione leva ses yeux au ciel.

"Ron, enfin, il est Maître des Potions. Il fait partie des dix meilleurs au monde. Harry a besoin de quelque chose pour l'aider à dissocier les attaques de son sommeil, ou bien..." La voix d'Hermione s'atténua, et Ron grommela.

"On sait tous ce qui pourrait arriver, Hermione..." répliqua-t-il d'un ton sec. Hermione fit un signe de tête et leva une main pour l'interrompre.

"Non, ce n'est pas ça," dit-elle en fixant intensément Harry.

"Alors quoi?" demanda Ron impatiemment.

"Laisse-moi réfléchir. Harry a encore droit de prendre la potion pendant trois jours, c'est bien ça?" Ron hocha la tête, encore irrité.

"J'ai peut-être une idée. Mais je dois d'abord obtenir plus d'informations avant de..." répondit-elle pensivement, mais ce fut Ron qui l'interrompit cette fois-ci.

"Avant quoi?"

"Je te dirai quand je serai sûre que c'est faisable," objecta-t-elle, et Ron la fixa un moment.

"Je déteste quand tu me laisses poireauter," bougonna-t-il. Hermione rit, mais redevint vite sérieuse.

"J'aurai besoin de poser quelques questions à ton père ce soir, mais je ne suis pas sûre qu'il voudra y répondre."

"Pas de problème. Si tu penses que ça pourra aider Harry, il te filera un coup de main. Je ne l'ai jamais vu aussi bouleversé, surtout lorsqu'ils ont ramené Harry des Dursley..." la rassura Ron, avant de faire une pause. "Hermione, est-ce que tu savais... pour eux?" demanda-t-il. Il vit la douleur et la honte, encore brûlantes, envahir le visage d'Hermione alors qu'elle lui répondit.

"Je me sens nulle de ne rien avoir vu, Ron. Je veux dire, on savait tous que quelque chose n'allait pas. Tu m'avais déjà raconté ce qui s'était passé lors de notre deuxième année, mais en réfléchissant, on pouvait être certain qu'ils ne s'arrêteraient pas là," dit-elle d'une voix emplie de dégoût. Curieusement, Ron se sentit mieux à ces paroles. Même Hermione n'avait rien suspecté.

"Bon, on a plus qu'à attendre que Papa revienne à la maison. Ensuite, je pourrai donner son cadeau à Harry, j'ai hâte de voir la tête qu'il va faire!" s'exclama soudain Ron, avec un grand sourire. Il aurait presque pu sauter en l'air tellement il était pressé. Les yeux d'Hermione contenaient une petite pointe de curiosité, mais Ron la dénia. "Sois patiente et tu verras bien ce que c'est," rétorqua-t-il d'un ton moqueur, heureux de pouvoir la taquiner avec un mystère pour une fois. Hermione rit, et souriants tous deux, ils s'en furent rejoindre Sirius dans le salon.

À suivre...


Prochain chapitre : Un cadeau un peu en avance pour Harry, en provenance d'un être... pour le moins inattendu! D'autres éléments viennent se greffer sur le problème des rêves et de Voldemort, mais également quelques solutions, dans le chapitre treize : Options Alternatives.

NdT : Woua, 88 reviews au total, c'est formidable, merci mille fois! Je n'ai pas le temps ce soir de répondre longuement aux reviews, et de plus, je souhaite mettre ce chapitre en ligne aussi vite que possible, mais sachez - pour la 12ème fois seulement! - que chaque review est un stimulant fantastique, dont aucun effet néfaste n'a été décrit à ce jour, et dont les propriétés dactylogènes sont bien connues... En bref, merci et à ce we!

Mini-RAR :

Thealie : Remus n'y a sans doute pas participé, bien que pour une réponse totalement certaine, j'irai demander à l'auteur un de ces jours!

Linaewen Ilca : non non, je ne suis pas anglaise, loin s'en faut! Et yep, c'est bien le mot guide ou tuteur que je cherchais. Comme fic à traduire, j'en ai une en tête avec un bébéHarry et un génialissimeSirius et un modéréRemus, mais si j'ai un seul conseil à te donner, c'est de traduire une fic pour laquelle tu as vraiment accroché et qui te paraît assez claire... ensuite, le reste est une histoire de grande passion et de plaisir à lire les reviews! Enfin voilà, fais signe si tu te lances finalement!