Disclamer : Je ne possède que la famille Kynes, Jo et Trenada. Pour le reste, je partage !
WOW ! 7 reviews ?? Contente !!!
Etoile du Soir : La suite ? T'exagères ! J'ai deux autres chapitres de prêt, mais ils sont pas sur ordi encore ! J'ai déjà du mal à remettre tout mes autres !!!Puis dis t'exagères parce que toi aussi tu sais des trucs qui se passeront beaucoup plus tard ! Alors lis le poème à nouveau, et régale toi ! Bisous
Aximili : Salut toi ! Allez, un peu plus d'enthousiasme ! Ou je t'envoie Marc et les jumeaux pour te faire sourire ! Bisous
Kimiko06 : Tiens ? Une review d'une nouvelle lectrice ! Contente moi !!! Ben oui, t'a bien deviné. T'en connais d'autres qui montent sur scène pour s'adresser à tout le monde ? Lol allez, bonne lecture !
sousou : Tu crois vraiment que je vais laisser mes persos se faire la gueule longtemps ? Naaaaaaaaan !!! Leur réconciliation est déjà écrite, c'est juste pour écrire ce chapitre que je tarde ! Bon, bonne lecture !
LolaFree : Ben oui ! Je l'écris la suite ! Elle est l !!! Et bientôt un nouveau chapitre ! Faut encore que je me motive pour copier . . . -.-' Kiss
Dahu : mais oui les choses vont mieux ! Et tu lis ma fic que quand le titre du chapitre est gai ??? . Non mais ! Allez, ça va te plaire pour les chapitres à venir !
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J'explique. Entre certains vers, il y a un nom et des italiques : ce sont les pensées de ce personnage.
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Chapitre 23 : Poème et conséquences.
-Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, j'ai aujourd'hui un message à faire passer.
Toute l'assembla ne souffla mot, attendant la suite. Max regarda Marc avec un sourire sur les lèvres. Il sait quoi faire. Je suis sur qu'il va réussir à leur faire comprendre . . . ne serait-ce qu'un peu ? A ses côtés, Leen ne savait pas si elle devait empêcher le garçon de parler, ou bien le laisser faire. S'il parlait, il risquait sans doute de le faire sur elle, contre son avis. Contre toute discrétion. Mais d'un autre côté . . .
Kai s'arrêta, à la lisière de la cour, restant dans la pénombre. Les yeux fixés sur la scène. Son cœur se serrait un peu, comme pris d'une intuition. Sans savoir pourquoi, il savait que ce poème aurait des incidences, bénéfiques ou pas.
Prenant son temps, Marc arborait un air sérieux qui contrastait avec son air habituel. Il regarda la salle, cherchant des yeux les deux personnes à qui sont poème était destiné. Du coin de l'œil, il vit Leen, les poings serrés, à côté de Max qui lui souriait. Ces deux là ont compris au moins . . . Son regard balaya à nouveau la salle. Les équipes sont là . . . les Bladebreakers y compris . . . Justin, Ben . . . je crois qu'il a compris lui aussi . . . . manque plus que . . . . . Kai ! Le jeune homme venait de le repérer sur le chemin, essayant de rester discret parmi les arbres. Mais il n'avait pas réussi à échapper aux yeux de l'américain. Un sourire se dessina sur les lèvres de Marc. Que le spectacle commence.
Profitant de l'attention qu'on lui portait, il commença son plan, se moquant bien des conséquences pour lui.
D'une chose risquée
Je vais vous parler
Attention accrue. La salle a les yeux rivés sur lui. Personne ne fait un bruit. Les serveurs s'arrêtent. Jamais Marc n'avait semblé aussi sérieux.
De deux êtres s'aimant
Mais à ce moment totalement ignorants
Leen sentit son cœur se serrer dans sa poitrine. Bien sur qu'elle l'aimait. Mais que pouvait-elle ignorer ? Sa culpabilité, elle la connaissait. Son innocence ? Elle n'en avait pas. Quand à Kai, il voyait bien que son intuition était bonne. Il ne va pas oser ça ? . . . je crois bien que si mon petit Kai. Attends toi à entendre tes quatre vérités . . . Kai soupira. D'un côté il voulait partir, éviter de se confronter aux paroles de Marc, mais de l'autre, il tenait à rester. Enfin . . . ça c'était sa partie remplie de culpabilité qui l'empêchait de bouger. Et pour une fois, elle avait l'avantage sur l'orgueil. Alors il resta.
Comique
Kai : Je ne crois pas.
Tragique
Leen : A un point où les larmes ne servent plus.
Le genre de l'histoire
Reste à vous de voir
Kai Leen : Pour moi c'est tout vu. La tragédie de ma vie. En un acte et sans épilogue.
Marc marqua un temps de pose. Le public se sentait maintenant concerné. Les mots choisis par le jeune américain affectaient chacun d'entre eux. Cette fois ci, ce n'était plus une déclaration dont il était question. Mais purement et simplement de quelque chose qui s'était déjà passé. Les plus curieux attendaient de savoir qui était concerné.
Je ne vais pas nommer
Soupire de l'ancien couple.
Et encore moins désigner
Intérieurement ils le remerciaient.
Ces deux être humains
Qui attendent, en vain
Kai : Attendre ?
Leen : Si je dois attendre, attendre pour comprendre, je le ferais.
Qui attendait ? Qui ne savait pas ce que l'autre ressentait ? Ces questions résonnaient dans la salle attente d'une réponse. Marc fit un temps de pose. Il est temps de leur montrer qui ils sont réellement.
La fille est belle
Sifflements admiratifs. Tout le monde se prenait au jeu. Un rougissement de la fille en question.
Voire parfois même rebelle
Et voilà qu'elle serre du poing.
Elle peut être gentille parfois
Elle se calme. Marc ne la décrivait comme une rebelle que pour mieux repartir ensuite.
Mais aussi triste et mélancolique à la fois
Leen : Parce que tu me connais mieux que n'importe qui . . . mon frère, mon meilleur ami.
Toutes les années que Leen et Marc avaient passées ensemble . . . en tant que frères et sœurs revinrent à la mémoire de la jeune fille. C'est pour moi qu'il fait ça . . . parce qu'il s'inquiète. Dans l'assistance, chacun cherchait qui pouvait être la jeune fille en question. Mais peu de monde connaissait bien Leen. Et dès qu'ils pensaient avoir trouvé de qui il s'agissait, un détail dans le poème ne collait pas avec l'autre. L'identité était encore secrète.
Le garçon lui est froid
Kai : Une image de mon passé. A jamais gravée en moi.
Fort et sur quand on le voit
Kai : Les illusions de nos vies . . . Elles reflètent ce que l'on voudrait être.
Fragile et sensible dedans
Le russe releva la tête.
Mais en aucun cas méchant
Kai : Mon . . . . ami ? Le premier à me comprendre ici. Marc . . . même si je n'apprécie pas d'être ainsi mis dans un poème . . . merci d'essayer d'arranger les choses.
Là aussi, la plupart des gens eurent du mal à deviner de qui il s'agissait. Par contre . . . les Bladebreakers le savaient. Kai ? La description était la sienne. Ils savaient que malgré ses airs froids, un cœur d'or sommeillait en lui. Mais . . .
Tyson : Dans une histoire d'amour ?
Ray : Comment ?
Kenny : Et qui aurait réussi à briser ses défenses ?
Leur amour est commun
Kai : Ou tout du moins l'était.
Et plus que tout ils désirent ne faire qu'un
Leen : Ce fut mon vœu le plus cher.
Mais en tant que connus
Les clients ''normaux'' de l'hôtel regardèrent les équipes de beyblade présentes. Parmi eux . . .
C'est fou ce qu'ils sont têtus !
Eclat de rire général. Marc avait réussi à les détendre. Ainsi que Kai et Leen. Ils se reconnaissaient dans ses paroles. Même s'ils ignoraient que l'autre ressentait exactement la même chose au même instant. L'union était toujours entre eux sommeillant dans leurs cœurs. Elle n'attendait qu'à refaire surface, porteuse d'un sentiment plus fort que tout. L'amour.
Une dispute les a brisés
Kai : Ainsi qu'elle a brisé mon cœur.
Et violemment ils se sont séparés
Leen : Plus violemment qu'une tempête en mer.
Et même si ils s'aiment encore pour toujours
Ils relevèrent la tête. Ne croyant pas à ces mots. Pourtant ils l'espéraient si fort . . . Mais la culpabilité et les regrets ont de puissantes voix, faisant oublier celle de l'espoir.
Il faut croire que la colère a vaincu l'amour
Kai Leen : Tout comme mon amour avait réussi à vaincre mes démons.
A ce jour je vais les obliger à s'expliquer
Ils relevèrent la tête. Tout d'un coup inquiets.
Quitte à les faire monter
Sur cette scène où je me tiens
Non mais ça va pas ??? Ils voulaient une réconciliation. Mais aucun des deux n'avaient envie de montrer leur problème aux autres. Marc avait beau bien faire, il n'était absolument pas question que la discussion ait lieu sur cette estrade. Elle aurait lieu, certes, mais en privée. L'humiliation serait alors moins forte.
Et que ça dure jusqu'à demain.
Les clients n'attendaient que ça. Une explication dans les règles. Marc ne fixait personne dans l'assistance, mais il doutait bien que ni Kai, ni Leen ne monterait sur scène. Du coin de l'œil, il vit Leen se triturer nerveusement les mains, signe que son poème faisait son chemin dans l'esprit de la brune. En face de lui, dans l'ombre, il voyait Kai le dos tourné, prêt à partir. Et pourtant, il ne le faisait pas. Avec un petit sourire, il recommença, due voix forte.
Fille du soleil entends mes paroles
Leen releva la tête. J'entends . . . ou alors je ne veux pas écouter.
Fils de la lumière oublie maintenant ton rôle
Kai se retourna vers lui. J'ai joué les durs durant toute la majorité de ma vie . . . j'ai pris un rôle qui ne devait pas être le mien . . . alors comment l'oublier ?
Vos vies ne sont que comédie
Pour appuyer ses dires, Marc mit une
main sur son visage, le cachant à moitié. Jamais il n'avait paru aussi triste
et sérieux.
Sous vos masques forgés par la vie
Puis il enleva sa main. Mimant ses paroles. Ils baissèrent la tête. Une prise de conscience . . . voilà ce que Marc avait voulu faire. Jamais ils n'avaient montré ce qui était réellement en eux. Jamais ils n'avaient baissé la garde. Jamais ils n'avaient montré leurs véritables sentiments . . . et ce qui avait tout déclanché. Les deux concernés relevèrent la tête.
Acceptez vous tels que vous êtes
Leen : C'est ce que je n'ai pas fait avec lui.
Détendez vous, faites la fête
Kai : Une chose que je n'ai jamais pu . . . je dois essayer !
La mienne si vous voulez
Leen Kai : T'inquiètes, tu vas y passer !
Mais au moins vous parlerez
A nouveau le silence dans la salle. Mais il fut de courte durée. Marc reprit plus fort.
Votre silence n'a que trop dur
Vos amis et vos frères sont inquiets
Il ne se désigna pas du doigt. L'air concerné sur son visage en disant long. L'assemblée savait qu'il se comptait dans le tas. Moi je suis inquiet pour toi . . .
Même s'ils ne savent pas pourquoi
Cathy, Ray, Tyson . . .
Au moins, eux sont l
Présents à vos côtés . . . le silence n'est pas la meilleure solution.
Le silence s'installa dans la cour. Le jeune poète semblait attendre quelque chose. Mais qui n'arrivait pas. Alors ils ont décidé de m'écouter ? De ne pas m'interrompre ? A vos risques et périls . . . Alors que la salle croyait la petite déclaration terminée, ainsi que Kai et Leen qui respiraient mieux à présent, Marc reprit de plus belle, sur un ton ravi.
Je m'étonne de ne pas m'être fait arrêt
Sa voix était presque ironique.
J'en déduis que j'ai été écout
Cette fois ci un grand sourire était sur son visage.
A moins que vous ne soyez trop timides
Il regarda tout d'abord dans la direction de Leen, puis regarda vers Kai. Un détail sauta à ses yeux. Détail qu'il vit malgré la pénombre. Il en profita pour enchaîner.
Pour avouer que vos yeux sont humides
Sa voix était douce. Il sourit tendrement à l'assemblée. Dans son coin, Kai essuya doucement la trace argentée qui était sur sa joue. Leen elle, gardait les yeux clos, pour empêcher les larmes de la vérité et de la culpabilité couler sur ses joues.
Que mes paroles volent à vous
Telles l'envol des oiseaux.
Votre bonheur est le bonheur pour nous
Et nous sommes toujours là avec vous.
Arrêtez cette trop longue séparation
Kai Leen : Trop longue . . . à mon goût.
Et au moins avouez que l'autre a raison
Là, les deux tournèrent la tête en même temps, mus par une impression intime, un lien entre eux. Leurs regards se croisèrent, et ils virent le visage de l'autre, même à travers la distance, même à travers l'ombre. Les spectres jouaient à nouveau leurs rôles, et leurs faisaient passer leurs émotions. Tout ce qu'ils ressentaient à présent de l'autre était la tristesse. Je l'ai blessé(e) . . . je dois m'excuser.
Enfants des cieux oubliez votre rancœur
Leen : Je n'en ai plus contre lui à présent.
Vos malheurs et toutes vos peurs
Kai : Mais ma peur de la perdre est plus présente que jamais.
Ayez l'esprit libér
Leen Kai : Grâce à toi. . .
Et maintenant, retournez vous aimer.
Leen Kai : . . . C'est à présent le vœu que je fais.
Marc descendit de scène, sous les applaudissements de la salle. Kai préféra partir avant que le jeune garçon ou qui que ce soit d'autre ne vienne l'aborder. Il avait besoin de réfléchir . . . si son choix était le bon. Alors il parti au seul endroit où le souvenir de son amour serait assez puissant pour le pousser à avouer : le lac. Marc se dirigea vers Max et Leen, un grand sourire sur les lèvres. Max souriait aussi, le plan de Marc risquait de marcher après tout !
-Alors soeurette ?
-Je . . . je ne sais pas . . . je ne sais plus . . .
-Moi j'ai déjà trouvé, et tu sais très bien que j'ai raison.
-Je . . . . merci.
Marc la prit dans ses bras.
-Pas de quoi petite sœur . . . je crois que tu sais ce que tu dois faire.
Elle releva la tête. Puis l'hocha doucement.
-Oui . . . je le ferais.
Puis elle se sépara de lui, puis partit en courant hors de l'hôtel.
-Tu sais que tu vas te faire tuer ?
Marc soupira.
-Je sais Max. Mais c'est pour eux . . . j'espère qu'ils s'en rendront compte !
-J'espère aussi . . .
-D'ailleurs tu es autant que moi dans la panade, vu que tu t'en es mêlé.
-Me le rappelle pas !
Puis les deux allèrent s'asseoir à la table des Bladebreakers, où le bavardage sur le poème allait de bon train.
¤¤¤
Il était assis sur la grève de la plage, perdu dans ses pensées. Je dois m'excuser . . . mais comment ? Tout au long, j'ai cru que j'avais raison . . . est-ce que je me serais lourdement tromp ? Il n'entendit pas le pas léger sur le sable derrière lui.
-Je vois que tu es retourné au point de départ.
Il se retourna, surpris, pour se retrouver face à un vieillard et un jeune labrador au pelage doré.
-Ne sois pas surpris mon petit. Je suis Trenada, le vieil ermite.
-Je suis . . .
-Kai, des Bladebreakers. Je sais.
Il s'assit à côté de lui, alors que Thunder allait immédiatement se coucher contre Kai. Les russe le caressa distraitement.
-Je vois que Thunder t'apprécie . .
-Nous . . . avons déjà fait connaissance.
-Ainsi qu'avec sa maîtresse.
Kai ne dit rien.
-Je suis au courant de beaucoup de choses Kai . . . je joue un peu le rôle de grand-père dans cette famille.
-Alors . . . que savez vous ?
Il prit un temps avant de répondre.
-Je sais . . . que cette dispute était une erreur.
Kai s'arrêta de caresser le chien.
-Comment . . .
-Comment je le sais ? Benoît.
Kai leva les yeux au ciel.
-Ne lui en veux pas. Depuis tout petit, il vient tout me confier. Et il était à l'étage à l'instant où vous vous êtes disputés.
-Ca explique.
-Oui . . . laisse moi te poser une question . . . est-ce que tu l'aimes vraiment ?
-Je . . .
Kai fit le vide en lui, recherchant une réponse. Pas sous l'effet de la colère, ou même de la peine. Une réponse venant du plus profond de son âme. Puis doucement, la solution vint peu à peu à lui.
-Oui . . .
Pas plus fort qu'un souffle.
-Je l'aime . . . et je crois . . . . plus que je ne pourrais jamais aimer.
Trenada lui sourit.
-Alors pourquoi la laisse tu partir ?
Kai le regarda.
-Parce que j'ai peur . . .
-La peur de l'amour n'est pas la meilleure solution.
-Mais c'est la seule solution que je pense pouvoir faire.
Trenada hocha la tête.
-Reste l'aveu.
Kai le regarda sans comprendre.
-Tout simplement avouer tes peurs . . . à la seule personne en mesure de t'aider.
-Leen . . .
-Oui, Leen. La seule à qui tu pourras dire à nouveau ces mots . . .
-La seule . . . . que j'aime.
Trenada hocha la tête en souriant. Il a compris.
-Tu sais ce qu'il te reste à faire.
-Oui . . . m'excuser. Je ne veux pas la perdre . . . merci.
Il se releva précipitamment, alors que Trenada s'allongeait sur la grève de sable. Thunder vint lécher le visage de son vieux gardien.
-Rejoins le mon beau . . . et conduit lui à sa belle.
Le chiot aboya joyeusement, avant de se mettre à la poursuite de Kai.
-Encore une bonne chose de faite . . .
¤¤
Il courrait rapidement en direction de l'hôtel. Je dois la retrouver . . . et m'excuser ! Arrivé à hauteur des arènes, un bruit l'arrêta. Il se retourna pour voir la fourrure claire arriver en courant. Thunder s'arrêta à ses pieds. Kai sourit un peu.
-Retrouve là pour moi . . . s'il te plaît.
Le chiot bondit joyeusement avant de se mettre à pister la jeune fille, entraînant le russe à sa suite. Si Kai n'avait pas autant absorbé par sa course, il aurait vu les têtes surprises des clients qui le voyaient courir, s'il ses pensée n'était pas si concentrées sur Leen, il aurait pu voir que Thunder l'emmenait loin de l'hôtel. Mais il lui faisait confiance. Après dix minutes de courses, Thunder s'arrêta et Kai put reprendre son souffle. Ils étaient dans le parc, au centre du pont. Il regarda autour de lui, sans rien voir. Le chien continua tranquillement sa route, jusqu'au rebord de l'étang, dans un endroit isolé et éloigné. Puis Kai repoussa sans bruit les branches de saule pleureur qui lui bouchaient la vue.
¤¤¤
Je dois lui dire. Oui. C'est à moi de m'excuser . . . dès mon retour à l'hôtel.
Elle était en face de l'étang, dans un petit coin de tranquillité où elle avait l'habitude de venir quand elle se sentait mal. Les bras croisés sur sa poitrine, elle réfléchissait. Sa décision était prise. Et rien ne lui ferait changer d'avis. Pas même la voix qu'elle entendit derrière elle . . .
-Leen . . .
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FINI !!!!!!!!! Le chapitre st termin ! Rassurez vous, j'ai la suite ! Mais il me faudra 4 reviews minimum ! Prochain chapitre : Pardonnés.
