Je te tiens, tu me tiens

Hello! Une ptit' note avant de comencer: je sais que la fic "ne me quittes plus" n'est pas encore cloturée mais je voulais faire une pause... No panic cependant! Je mettrai le dernier chapitre en ligne dès que possible! Bonne lecture!

Auteur: Miel ou Flo-de-Miel

Adresse e-mail: flodemiel Gundam Wing

Genre: romance, angst, songfic.

Couple : hétéro, yaoi, couple 2+1, H+2 (2x1x2 à venir ?)

Disclamers: ceci est une fanfiction et n'est donc nullement une suite officielle de l'anime GW. Je gagne rien pour écrire ça. C'est du 100 gratos. Bref, que du bonheur !
La chanson est de l'artiste Cali et s'intitule « elle m'a dit ».

Chapitre 1 : Elle m'a dit

"Duo?"

Le jeune homme prit d'abord la peine d'avaler ce qu'il mâchait avant de relever la tête vers sa petite amie.

"Mh? Moui ,mon ange?" Demanda t'il alors.

Hilde le fixa dans les yeux, la tête délicatement posée sur ses mains, ses coudes relevés. Elle lui dit sur un ton neutre, comme si elle lui annonçait le bulletin météo:

"Tu sais… Je crois que je ne t'aime plus."

Deux yeux améthyste s'écarquillent. Un tintement de fourchette se fait entendre. Puis rien. Puis, le silence.

"Je crois que je ne t'aime plus." Répéta Hilde en continuant à le fixer, simplement, sa tête posée entre ses deux mains.

Pas de honte, pas de peur, pas de regret. Aucune tristesse ou désolation dans la voix douce de la jeune femme. Elle aurait dit ça un sourire aux lèvres que ça aurait été pareil...

"Je crois que je ne t'aime plus."
Elle m'a dit ça hier,
Ça a claqué dans l'air
Comme un coup de revolver.

"Hilde? Tu… je ne…quoi?" Bredouilla pour finir l'Américain en la fixant, perturbé.

Il s'adossa sur le dossier de sa chaise en bois, tant la nouvelle le faisait chanceler. La jeune fille était sa compagne depuis 2 mois et ils lui avaient semblé que leur relation évoluait bien. Alors pourquoi? Pourquoi ce refus si soudainement?

"Désolé, Duo. Mais je préfère qu'on n'aille pas plus loin. Je te préfère en ami, tu comprends? On pourra encore ce voir, bien sur, et se faire des petits repas entre nous, comme aujourd'hui, mais pas plus…."

L'Américain était décidé à comprendre ce qui avait cloché. Il avait cru être attentionné, il avait cru être un bon petit-ami. ! Alors : pourquoi ?

"Est-ce que j'ai fait quelque chose qui t'a déplu?"

La jeune Allemande émit un petit rire réprobateur qui se traduisait par "c'est plutôt ce que tu n'as PAS fait qui m'a déplu !". Mais elle s'abstint de lui faire toute remarque, car elle s'était promise de ne pas lui avouer sa vraie motivation à le quitter.

"Non, non. C'est juste que je ne t'aime plus". Répéta t'elle en rangeant ses couverts parallèlement à l'intérieure de son assiette, ses gestes trahissant une certaine anxiété.

Duo n'était pas dupe. Il fixait la mine impassible de son ex-petite amie et y décela… de la peine. Mais si Hilde était triste, c'était qu'elle l'aimait encore, n'est ce pas? Qu'est ce qui la motivait donc à ainsi se mentir et à lui mentir? Pourquoi se faisait-elle du tort à elle-même? Duo déclara sur un ton lourd de sous-entendu:

"Es-tu sure de ce que tu avances? Hilde… encore quand je suis arrivé tantôt tu m'as accueilli en me sautant dessus!"

Elle sembla soudain mal à l'aise et se justifia douteusement:

"Oui… Mais j'étais vraiment contente de te voir… mais en toute amitié, sans plus !"

"Oui, oui! Fit Duo avec désinvolture et ironie. Et c'est pour ça que tu m'as embrassé passionnément sur la bouche dès que j'ai passé le pas de ta porte, n'est-ce pas? Ce sont des choses qui se font entre amis…!"

Elle rougit honteusement avant de se lever et de saisir l'assiette de Duo. Elle l'empila sur la sienne puis rapporta la vaisselle à la cuisine. Elle revint ensuite avec une tarte à la fraise entre les mains. Elle déposa la pâtisserie au milieu de la table, la coupa consciencieusement en plusieurs part bien égale puis se rassit. Duo l'avait regardé en silence et à chacun des gestes de la jeune fille, la conviction qu'elle lui cachait quelque chose s'intensifiait.

"Je crois que je ne t'aime plus."
Elle a jeté ça hier,
Entre le repas et le dessert
Comme mon cadavre à la mer.

"Hilde. Dis-moi ce qui ne va pas! Je vois bien que tu n'es pas dans ton état normal. Moi, je n'ai pas envie de te quitter"

Elle baissa la tête et laissa échapper un long soupir remplis de désespoir, ce qui la trahit de plus belle. Devant sa mine dépitée, Duo voulu la consoler et lui témoigner son affection. Il avança donc sa main entre la salière et leur verre afin de la poser sur celle de la jeune fille. Mais aussitôt que leurs doigts furent entrés en contact, elle eut un hoquet de surprise et recula son bras.

"Je crois que je ne t'aime plus."
Ta peau est du papier de verre
Sous mes doigts... sous mes doigts.

Elle déclara alors, comme pour justifier son geste de recul:

"Je vais bientôt partir".

A nouveau, Duo sentit un poids lourd lui tomber dans l'estomac. Ces mots… ces mots il les avait déjà entendus!
Et cela l'avait tant fait souffrir...
Il secoua sa tête en signe de désapprobation et murmura des "non! non!" suppliants, plein de souffrance.
"Hilde! Ne pars pas toi non plus! Ne me quitte pas, je t'en supplie."

Il sentit que ses yeux lui brûlaient et devenaient dangereusement humides. La jeune Allemande se mordit la lèvre inférieure, s'infligeant à elle-même une punition, priant intérieurement qu'on puisse un jour lui pardonner. Elle aurait tant voulu ne jamais lui faire de peine… mais elle ne supportait plus cette situation. Elle avait senti tout autour d'elle le mensonge. Pourtant, à cet instant, c'était Duo qui pleurait à chaude larmes, et non elle. Elle se maudissait intérieurement.

Je te regarde et je pleure
Juste pour rien... comme ça.

Sans raison je pleure,
A gros bouillons je pleure,
Comme devant un oignon je pleure, arrêtons...

Elle m'a dit
Elle m'a dit

Hilde ne toucha pas à sa part de tarte. Elle quitta son siège et alla se tenir à côté de son ami. Elle posa timidement une main sur l'épaule de Duo et lui caressa tendrement le dos. Dans un élan de désespoir, celui-ci s'accrocha soudain à la robe de la jeune fille, pressant son visage contre le bas-ventre de celle-ci, entourant de ses deux bras puissants sa fine taille. Mais Hilde savait qu'elle n'était pas la cause de ce désarroi. Si Duo pleurait, ce n'était pas pour elle mais bien pour lui. Pour ce soldat qui était parti deux mois plus tôt, abandonnant ses anciens compagnons d'arme.
Et encore maintenant, si l'Américain souffrait, c'était à cause du « perfect soldier ». Duo ne pleurait pas pour cette nouvelle rupture, mais à cause du souvenir douloureux de celle qu'il avait connu avec Heero. Les larmes du jeune homme se noyaient dans le tissu de la robe.

Alors elle lui releva la tête et lui dit:

"Non, Duo, pas cette fois! Relève, toi! Pas cette fois, tu entends? Tu ne te lamenteras plus et, désormais, tu agiras ! Alors ne pleures plus et relève toi!"

"Je crois que je ne t'aime plus.
Relève-toi, relève-toi.
Ne te mouche pas dans ma robe,
Pas cette fois... relève-toi."

"Je t'aime" Lança l'Américain entre deux sanglots.

Mais la jeune Allemande savait qu'il mentait. Que ce n'était là qu'une tentative désespérée pour récupérer un peu d'amour… Tout cet amour dont on l'avait privé ! Dont il l'avait privé en partant sur L1 il y a deux mois..!

"Je sais que tu m'aimes encore!"S'exclama soudain l'Américain en relevant sa tête vers la sienne, la fixant avec hardiesse, la défiant de lui répondre que non.

Et il avait tant raison.

Mais elle ne se laissera pas si facilement démasquée: elle avait prit sa décision et s'y maintiendrait. Ce soir, tout devait être finit entre elle et Duo, malgré tout l'amour sincère et profond qu'elle lui portait encore. Qu'elle lui portera toujours. Hilde déclara sur un ton qui se voulait dur:

"Non: je ne t'aime plus. Quand je t'embrasse, je ne ressens plus rien."

"Tu n'as plus d'odeur,
Tes lèvres sont le marbre
De la tombe de notre amour,"
Elle m'a dit ça et son ton était froid.

"Je sais que s'est faux!" Riposta l'Américain qui ne comprenait toujours pas pourquoi la jeune fille agissait ainsi.

Elle décida alors de lui mentir. Et tant pis si cela le faisait souffrir… au moins, cela serait efficace :

"Duo, je suis désolé de t'apprendre ça mais j'ai rencontré quelqu'un d'autre."

L'espace d'un instant, l'expression de Duo se figea et une lueur terrifiée passa dans l'améthyste de ses prunelles. Hilde, voyant qu'il se prenait à sa feinte, continua:

"Je me suis rendu compte qu'il me plaisait. Avec lui, je suis vraiment heureuse. Je suis navrée… Mais quand je suis avec toi, je ne pense qu'à lui. Cette situation ne pouvait plus durer."

"Quand je fais l'amour avec toi
Je pense à lui.
Quand je fais l'amour avec lui
Je ne pense plus à toi"

Elle m'a dit
Elle m'a dit

"J'espère que tu pourras me pardonner, Duo. Il vaut mieux qu'on se quitte. Nous serons chacun plus heureux de notre côté."

"Je crois que je ne t'aime plus."
Elle m'a dit ça hier,
Ça a pété dans l'air
Comme un vieux coup de tonnerre.

"Je crois que je ne t'aime plus.
Je te regarde et je ne vois rien.
Tes pas ne laissent plus de traces
A coté des miens."

Duo restait perplexe. Il craignait que la jeune fille ne lui ait avoué la vraie raison de son choix impromptu mais, d'un autre côté, il trouvait cela complètement improbable. Si Hilde avait eu des rendez-vous avec un homme autre que lui, il s'en serait aperçu! Du moins, il l'espérait…

Elle releva le jeune homme dont la mine perdue lui faisait pitié. Elle s'en voulu aussi d'avoir usé d'un tel mensonge. Elle songea qu'au fond, elle agissait comme Duo.

Lui aussi mentait. Il lui avait dit qu'il l'aimait mais cela avait toujours été faux.

°Notre relation a toujours été fausse. Depuis son début. Et voila que la fin aura aussi été empreinte d'un mensonge. … Je me trompe ! Je ne devrais pas faire la même erreur que lui !°

Non, elle ne commettrait pas la même faute! Elle se persuada intérieurement de tout lui avouer, de cesser cette comédie qui n'avait que trop durée!

Elle le fixa, le menton légèrement relevé (car Duo la dépassait de quelque centimètre), et porta ses mains au visage du jeune homme. Elle le prit délicatement et lui souffla:

"Tu ne m'as jamais aimé, Duo… Pour toi, je n'ai jamais été qu'une bouée de secours, n'est-ce pas? Tu étais si malheureux que Heero Yuy s'en soit aller sur L1 sans que tu ais pu lui avouer ton amour, que tu t'es rabattu sur moi. Mais moi, Duo… moi, je t'aimais vraiment!"

L'ex-pilote de Gundam, pétrifié par cette révélation, resta quelque instant sans voix, la bouche légèrement entrouverte. Il aurait voulu crier "non! C'est faux!", il aurait voulu embrasser la jeune fille, lui promettre d'être plus attentionné mais… cela aurait été mentir. Or…

I run, I hide but I never lie.

Il ne put s'empêcher de baisser les yeux de honte car elle avait 100 fois raison. Se rendant compte de sa malhonnêteté envers la jeune Allemande, il se sentit coupable et plein d'amertume. Il lui murmura doucement:

"Pardon. Pardonne-moi, Hilde. Je ne suis… qu'un idiot."

Elle lui releva le menton en lui affichant un sourire serein et le consola en disant:

"Je ne t'en veux pas. J'aurais sans doute aussi agit comme toi".

"Je ne t'en veux pas,
Je ne t'en veux plus,
Je n'ai juste plus d'incendie

Au fond du ventre c'est comme ça"

Elle m'a dit
Elle m'a dit
Elle m'a dit
Elle m'a dit

Ils se serrèrent une dernière fois dans les bras et Hilde en profita. Elle savait que ce serait sans doute un des derniers gestes intimes qu'elle porterait à Duo. Quand ils se relâchèrent, elle lui adressa un faux sourire.

Ses yeux pétillants et sa voix enrouée trahissaient sa tristesse. Mais si elle laissait ainsi Duo s'en aller, c'était aussi par amour…

"Une navette s'en va pour L1 pars dans une heure. Duo: je veux que tu la prennes!"

"Mais Hilde…!" Riposta aussitôt celui-ci.

"Non!" Coupa t'elle d'une voix tranchante. "Tu partiras ce soir même, Duo! Je ne veux pas que mon sacrifice ne serve à rien, tu comprends! Alors tu vas me faire le plaisir de rentrer chez toi, de préparer une valise et de partir sur L1 retrouver mister je-suis-un-glaçon-Yuy!"

Duo esquissa un sourire. La jeune Allemande avait lancé cette dernière plaisanterie la gorge serrée. Son sacrifice la faisait énormément souffrir mais elle n'y laissait rien paraître. Elle poussa Duo vers la porte en répétant des petits "allez! allez!" pressés. Elle affichait un sourire trompeur quand elle embrassa Duo sur la joue et lui dit de partir au plus vite. Celui-ci, dans l'entrebâillement, lui demanda:

"Je voudrais juste savoir Hilde: Comment as-tu compris… pour Heero."

Elle pencha affectueusement la tête sur le côté et expliqua.

"Tu ne me touchais jamais Duo. Tu m'apportais des fleurs, des chocolats, tu me disais que tu m'aimais… toutes des sortes de clichés, sans doute tirés dans des films romantiques. Mais jamais une seule fois tu n'as pris l'initiative de m'embrasser ou de me prendre sur tes genoux ! Ton amour n'était pas intiatif ! C'est la première chose qui m'a interpellé car tous tes actes sonnaient faux. Ensuite, j'ai remarqué que, dès qu'on parlait de Heero, tu avais soudain ce regard plein de tendresse et d'admiration. Tu ne cessais de lui faire des éloges malgré le faite qu'il soit parti... Voilà…."

"Et c'est tout? C'est grâce à ces quelques indices douteux que tu as compris?"

Elle lâcha un petit soupir avant d'avouer pour finir:

"Te souviens-tu de la fois où je t'avais hébergé une nuit, au tout début de notre relation?"

Il acquiesça affirmativement.

"Nous avons dormis ensemble cette nuit là, même si, comme d'habitude, tu ne m'as pas une seule fois touchée. A l'aube, je me suis réveillée car tu parlais dans ton sommeil. Tu… tu étais entrain d'appeler… d'appeler à voix haute... Heero." Déclara t'elle d'une voix hésitante.

"C'est… c'est vrai?" Demanda l'Américain, honteux et confus.

"Oui!" Certifia Hilde. "Tu le suppliais de revenir, tu disais que tu l'aimais ! Ca a été un vrai coup de poignard dans le cœur pour moi."

Un rouge gêné lui monta aux joues et il balbutia quelques excuses:

"Excuse moi… excuse-moi de t'avoir ainsi menti. Mais moi-même je ne me rendais pas compte."

Elle se força à affiché un sourire amical puis le poussa au-dehors et s'exclamant d'une voix faussement joyeuse:

"Allez! Va vite retrouver Heero, maintenant!"

"D'accord! " Affirma t'il en hochant la tête. "Tu es vraiment une amie géniale Hilde!"

Ils se firent des signes de la main alors que le natté descendait les escaliers de l'immeuble. Hilde referma ensuite sa porte et, enfin seule, elle se permit d'éclater en sanglot, se laissant glisser sur la paroi de bois, jusqu'au sol.

Elle ignore combien de temps elle était restée là, à pleurer, à se lamenter... Elle était pourtant fière et heureuse de son acte. Elle aimait Duo, oui, et c'était d'ailleurs pour ça qu'elle lui avait rendu sa liberté… Elle se releva en séchant ses joues humides, étalant par la même occasion le mascara qui avait coulé au-dessus de ses pommettes. La jeune fille se dirigea alors vers la pièce centrale, alluma la télé et dévora toute la tarte au cerise devant une émission burlesque auquelle elle ne prêtait pas vraiment attention. Toutes ses pensées étaient dirigées vers Duo. Elle espérait de tout cœur que Duo et Heero se retrouve positivement et que, même, une romance naisse entre eux. Puis d'un autre côté, elle redoutait que cela se produise. Sans qu'elle ne s'en aperçoive, elle avait terminée la dernière part du gâteau et se mit alors en quête de chocolat. Elle en trouva deux plaquettes dans l'armoire de la cuisine et s'en alla les dévorer dans le canapé du salon. Hilde pleura encore en songeant à son ex-petit ami. ? A ce baka de natté que jamais elle ne pourrait oublier…

Hilde saisit alors la télécommande et éteignît le poste (trop bruyant à son goût) avant de se coucher entièrement dans le fauteuil. Elle fixa le plafond, puis les meubles, puis la fenêtre. Son regard était vide. Ses lèvres légèrement pincée. Ses yeux étaient rouges.

Alors j'ai éteint la télé
Mais je n'ai pas trouvé le courage,
Par la fenêtre de me jeter :
Mourir d'amour n'est plus de mon âge...

« Embarquement de la navette 632 en partance pour L1 dans 5 minutes. Les passagers sont priés de se rendre au plus vite à la voie d'embarquement C-4. »

Duo courrait comme un forcené à travers les couloirs de l'aéroport, un sac à dos à moitié placé sur son dos. Sa natte malmenée suivait les mouvements vifs de son corps qui esquivait les corps des personnes entrant dans sa trajectoire. L'espace était large, clair et le plafond si haut qu'on se sentait bien misérable face à une telle grandeur. Le sol était recouvert de cette étrange matière en plastique blanc, propre au aéroport.

Après sa course effrénée, Duo arriva enfin devant le comptoir C-4. Une hôtesse saisit son billet, le pointa, puis le lui rendit et déclarant (sourire au lèvre obligé) :

"Bon voyage, monsieur maxwell. J'espère que vous passerez un agréable moment sur L1. "

"I hope too ! " Lui répondit-il en effectuant un de ses clins d'œil charmeur dont seul lui avait le secret.

Il s'engagea ensuite dans le couloir étroit de la passerelle, déterminé à faire tomber sous son joug un certain Heero Yuy.

° J'y arriverai, Hilde. Je te le promet... Pour toi, je réussirai…° Songea t'il avant de disparaître dans l'entrée de la navette, jurant que la sacrifice de la belle ne soit inutile.

Elle m'a dit
Elle m'a dit…


suite à venir...

Je sais pour vous, mais j'ai l'impression que Duo est parti pour se prendre une belle gamelle! ... Rooooh, c'que chui méchante. °bon, ok, je me tais°.

Au début, je voulais juste écrire un O.S. et ainsi mettre la chanson de Cali en valeur...mais si la fic se termine maintenant, pas mal resteront avec un sentiment de frustration. C'est vrai quoi! On ne sait même pas si le sacrifice de Hilde aura servit!... Alors je vais cogiter et concocter une suite.