Petite note valable pour tous, pour tout auteur:
Juste avant que vous entamiez votre lecture, sachez que ce n'est pas parce que l'histoire est terminée qu'il ne faut pas envoyer vos soutiens, critiques et commentaires. Cela fait évidemment plaisir de savoir que l'on est lu alors que l'histoire est terminée depuis longtemps, mais cela fait encore plus plaisir que de recevoir des reviews! Donc n'hésitez pas à le faire, cela fera évidemment plaisir à l'auteur, quel qui soit.
Voila le premier chapitre de ma nouvelle fic. En espérant qu'il vous plaises. Bon, les perso sont de JKR, pas besoin de préciser, ainsi que tout l'environnement.
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Chapitre 1 : questions sans réponses.
- allez Ginny, il est temps d'aller te coucher !
- oui mam, dit elle, résignée. Elle avait bien essayé de se coucher plus tard pendant cet été, mais Molly Weasley, le mère de Ginny, l'avait tellement disputée en apprenant ça que, maintenant, notre Ginny respectait le couvre feu imposé par sa mère pour ne pas re subir à nouveau sa colère.
Elle se leva du canapé, dit bonne nuit à ses parents et monta lentement et sur la pointe des pieds l'escalier menant à sa chambre. Elle ne voulait pas réveiller son frère, ou plutôt elle ne voulait pas le déranger car elle savait qu'Hermione était avec son frère.
Comment pouvait-il en être autrement avec ces deux la ! Depuis leur première année à Poudlard, ils s'aimaient. Mais ce n'est pue pendant leur dernière année qu'ils se sont mis ensemble.
Elle était heureuse pour eux deux. Elle entra dans sa chambre, se déshabilla et se mis au lit sans mettre son pyjama.
- Je le mettrais demain avant de descendre, se dit-elle.
Elle aimait la sensation de sa couette sur sa peau de pêche. Elle s'endormi presque aussitôt et se mis a rêver.
Elle était en train de se balader en foret, toute seule, par une belle journée d'été, sans un nuage à l'horizon. Elle connaissait bien cette foret car c'est celle qui se trouve derrière le terrier. Elle empruntait le chemin menant au lac et, une fois arrivée près des rives, elle s'allongea dans un coin d'ombre au bord de l'eau. Elle se détendie en écoutant le chant des oiseaux et les clapotis de l'eau.
« plouf ! »
Tient ! Qu'est ce qui est tombé dans l'eau ? C'est sûrement un poisson qui est remonté à la surface, pensa Ginny.
« plouf ! »
Non ! Ce n'est pas un poisson, se dit elle. Elle se releva et le vit sur la berge opposée. Lui, l'homme qu'elle aimait. Lui, qui lui a sauvée la vie a plusieurs reprises. Lui et ses cheveux d'un noir de jais toujours en bataille. Lui et ses yeux verts. Lui qui était en train de faire des ricochets.
Elle le regarda un moment. Dieux qu'elle aimait ça le regarder. Lui qu'elle trouvait si beau, si séduisant, si sexy. Elle ramassa elle aussi un caillou, s'approcha un peu plus de la berge et fit un ricochet. Le jeune fut surpris de voir qu'il y avait quelqu'un d'autre, il levait les yeux de l'eau et vit Ginny de l'autre coté du lac, et il lui sourit. Elle ne put résister à ce sourire qu'elle ne connaissait que trop bien et qu'il réservait à de rares personnes. Elle rougit presque aussitôt et elle baissa la tête pour ne pas le lui montrer.
C'est à partir de ce moment là que le paysage se modula. Elle n'arrivait plus à voir l'herbe sur laquelle ses pieds reposaient, elle releva la tête pour voir où était Harry mais elle n'aperçut même pas le lac.
A présent elle était dans une pièce sombre, une grande pièce sombre haut de plafond dont les murs semblaient être recouvert d'anciennes tapisseries et peintures. Le sol était en marbre, et en regardant le plafond, on pouvait apercevoir des voûtes, les mêmes que celles qui sont au plafond des châteaux de la Renaissance. De par tous ces détails, Ginny en déduit qu'elle était dans un manoir.
Elle était à l'oppose de la seule source de lumière de la pièce, qui provenait d'une cheminée. Devant cette grande cheminée, il y avait un fauteuil. Elle s'avança doucement, mesurant le son de chacun de ses pas, jusqu'à ce qu'elle entende une voix, qui la coupa dans son élan.
Cette voix était grave et froide, elle ressemblait à un sifflement. Pour Ginny, cette voix était irréelle, et pourtant, à sa grande surprise, elle la comprenait. Elle appelait un certain Nagini.
Mais qui était il ? Et à qui appartenait cette voix ? Et qu'est ce que, elle, Ginny, faisait dans ce manoir ? Elle ne comprenait rien mais elle voulait savoir. Elle resta là où elle était, debout, immobile, à attendre et à observer le fauteuil qui était tourné vers la cheminée. Elle ne pouvait donc voir son occupant. Elle se mit alors à observer la pièce et vit entrer un homme et un serpent par une porte qu'elle n'avait pas remarquée.
Les deux nouveaux venus s'avançaient maintenant vers le fauteuil. Une fois arrivé devant la cheminée, l'homme, qui était encagoulé, se prosterna devant le fauteuil. Il avait un genou à terre et sa tête était baissée, regardant le sol.
- excusez moi maître !
- Tu n'as pas à t'excuser, Lucius, tu ne trouveras rien sur ce qu'il c'est passé.
- Mais alors, maître, pourquoi me demandez vous de faire ces recherches ?
- J'ai mes raisons lucius.
- pouvez vous m'expliquer alors, maître ?
- commencerais tu à douter de moi, Lucius ?
- comment pourrais- je, maître.
- alors exécutes mes ordres !
- Mais maître ...
- ' Endoloris '
Lucius criait de douleur, Ginny pouvait l'entendre. Mais son cri n'était masculin. Comment cet homme encagoulé pouvait-il avoir un cris si aigue et si strident ? Comment...
C'est alors que Ginny se rendit compte que ce cri n'appartenait pas à lucius. Ce cri, c'était le sien ! Elle avait mal, très mal. Elle était par terre, recroquevillé sur elle-même à cause de la douleur. Elle se tenait la tête entre ses mains, c'était comme si elle allait exploser. Elle avait une douleur intense sur le front.
Elle s'était réveillée par terre, sa tête enfouie dans son oreiller. Elle avait toujours mal à la tête. Elle se demandait si elle avait crié en rêvant. Heureusement qu'elle lance toujours un sort de silence à sa chambre avant de s'endormir.
Elle se leva et s'assit sur son lit. Elle repensait à son rêve. Elle avait rêvé de Voldemort. C'était la deuxième fois cette semaine. En fait, c'était la deuxième fois tout court. La première fois, c'était il y a trois jours et elle avait tout d'abord rêvé d'Harry, tout comme cette nuit.
Harry ! Cela faisait maintenant un mois et demi qu'ils ne c'étaient revus. Ron, son frère, ne l'avait pas revu depuis la sortie du Poudlard express, il y a un mois et demi, et il n'avait plus eu de nouvelles depuis.
Ce n'était pas normal. Ça ne ressemblait pas à Harry. D'ailleurs, ce n'était pas Harry qui rêvait de Voldemort ? Il devait y avoir quelque chose d'anormal, soit chez Harry, soit chez Voldemort. Après tout, que les deux soient concernés, ça c'est normal !
Elle, elle n'avait pas de lien particulier avec Voldemort, alors pourquoi avait-elle rêvé de lui ? Et aussi, en y repensant, ce rêve n'en était pas un. Quelque chose lui était arrivée, à elle. Peut être avait elle un lien particulier avec Harry, ce qui lui permettait de ressentir ce qu'il ressent, où, dans ce cas particulier, de voir et ressentir les visions d'Harry à propos de Voldemort.
Ce lien était ce l'amour ? Ils c'étaient mutuellement avoués leurs sentiments, mais, lui, avait refusé d'entamer une relation avec elle.
« Je ne veux pas te voir souffrir, je ne veux pas être la cause d'une de tes peines. Je sais que je le serais, mais je ne veux pas que cette peine te soit trop grande, trop insurmontable. Je ne sais pas si je vais en sortir vivant de cette guerre. Je ne veux pas te donner d'espoirs. Par contre, si je survis, je reviendrais te reconquérir et t'épouser.» avait il dit à Ginny.
Mais depuis ces paroles et le merveilleux moments qui les suivit, plus une nouvelle. Que lui était il arrivé ? Quelqu'un savait il où il était ?
Ginny se mise à pleurer. Elle était toujours assise sur son lit, la tête enfouie dans ses bras. Etait ce à cause d'Harry ou à cause de son mal de tête.
D'ailleurs, c'était bizarre qu'elle est mal à la tête. En se réveillant, tout à l'heure, elle était toujours posée sur son oreiller malgré sa chute. Mais pendant le rêve, elle se rappelle avoir eu un violent mal de crâne avant de se réveiller. Etait ce la cause de celui qu'elle avait maintenant ?
Le lendemain matin, il va falloir qu'elle en parle avec quelqu'un, avec Hermione. Il va falloir lui parler de son rêve et de toutes ces questions sans réponses.
Ginny se recoucha et finit sa nuit sans un seul autre rêve.
Le lendemain matin, après un bon petit déjeuné, Ginny arriva, non sans mal, à isoler Hermione. Elles étaient dans la chambre de la cadette Weasley. Hermione, qui avait comprit que c'était important, isola la chambre.
- Que voulais tu me dire Ginny, dit elle en faisant face à la rousse.
- C'est pas simple ! En fait, il m'arrive des trucs bizarres en ce moment.
- Qu'entends tu par bizarre ? Tu veux dire étrange, impossible...
- Je veux dire que je fais les mêmes rêves qu'Harry.
- Hein ! Attends là ! Répètes et expliques s'il te plait.
- disons que la nuit dernière, j'ai rêvé de Voldemort. Enfin, ce n'était pas un rêve, c'était plutôt une sorte de vision car le rêve me paraissait réel.
- Tu es en train de me dire que tu as un lien avec Voldemort...
- Ou un lien avec Harry, coupa Ginny, et, à ce moment là, j'arrive à entrer dans les rêves d'Harry, enfin plutôt dans ses visions, expliqua-t- elle précipitamment.
- Bon ! Racontes moi ton rêve, demanda Hermione.
- Ginny s'exécuta et elle lui raconta tout, dans les moindres détails. Quelques minutes après la fin du récit, Hermione pris la parole :
- Donc tu n'as pas vu Harry ?
- Non, à part près du lac, mais là, je suis sur que c'était un rêve, et non une vision.
- Et tu as entendus Voldemort appeler Nagini ?
- oui, mais sa voix était bizarre, elle était froide et ressemblait à un sifflement.
- Et tu as eu mal à la tête. Dis moi, tu ne t'es pas cognée la tête en dormant ?
- Je ne pense pas. Elle était sur mon oreiller à mon réveil donc je l'ai ramassée et remise en place.
- arrêtes de plaisanter, s'il te plait. Essayes de te souvenir où tu avais mal exactement.
Ginny montra son front du doigt. Rien de surprenant, sauf que si Harry avait fait le même geste que Ginny, il aurait montré sa cicatrice. Hermione en était certaine.
- Je pense que tu étais Harry pendant ta vision. Tu as compris le fourchelangue, car Nagini est le serpent de compagnie de Voldemort, et là, tu viens de me montrer l'endroit exact de sa cicatrice, expliqua Hermione.
- Quoi ! Mais, mais... Balbutia Ginny.
- Tu as bien un lien avec Harry, il te reste à le découvrir. Tu ferais bien de contacter Harry et de lui expliquer. Parles en aussi à Dumbledore.
- D'accord, je le ferrais.
- Bon ! Voila une bonne chose de faite. A oui, dit Hermione en se tapant le front, ta mère veut aller sur le chemin de traverse cet aprèm pour tes fournitures scolaires. Tu ferais bien d'aller la voir maintenant.
- Merci, à tout à l'heure.
Ginny commençait à sortir de sa chambre, et, arrivée au pallier, elle se retourna et s'adressa à Hermione :
- Surtout, pas un mot à qui que se soit, d'accord ?
- Bien sur Ginny. Dis moi, combien de fois ai-je divulguée un de tes secrets ? demanda Hermione avec une pointe de malice.
- Ginny esquissa un geste qui voulait dire « c'était juste pour préciser » et elle sortit rapidement de sa chambre.
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Juste pour vous dire que je ne pourrais pas poster régulièrement les chapitres de cette fic car je n'est pas d'ordi perso sur mon lieu d'étude. J'essayerais de faire de mon mieux, mais ne vous attendez pas à un nouveau chapitre toutes les semaines, voir toutes les deux semaines. Voila, c'était juste pour ça.
