Salut tout le monde !
Bon, je crois que j'ai carrément erdu l'habitude de publier ! 😂
Mais me voilà avec le chapitre suivant, en espèrant qu'il vous plaira.
Bonne lecture !
Chapitre 2
Fin prête pour le lycée, Bella descendit pour commencer à faire le petit-déjeuner en attendant que son père se prépare à son tour. Lorsqu'il arriva, la jeune femme terminait tout juste de lui servir sa tasse de café et la lui tendit.
- Merci Bells, lui dit-il avec un sourire timide. Comment tu vas ?
Bien sûr, elle savait grâce aux Cullen restants qu'ils avaient parlé à son père, mais puisqu'elle, elle n'était pas censée les avoir vus depuis, elle se souvint qu'il fallait qu'elle joue la comédie avec Charlie.
- Ecoute Papa, je ne sais pas si tu es au courant, mais…
- J'ai parlé avec Alice, Jasper et le grand costaud…
- Emmett, lui rappela Bella avec un petit rire par rapport à la description de son père.
- Oui, c'est ça, confirma-t-il. Bref, j'ai parlé avec eux et je sais que leurs parents sont partis, emmenant avec eux Rosalie et surtout, Edward. Il m'ont dit que vous aviez rompu…
- On a pas rompu papa, il m'a quittée, expliqua Bella. Certes, le résultat est le même, mais quand on dit "vous avez rompu" ça laisse entendre une décision commune et ce n'est pas du tout ce qu'il s'est passé.
Elle soupira en tâchant de se calmer. Si la tristesse était plutôt facile à gérer tant elle était bien plus faible que ce qu'elle aurait imaginé, la colère était beaucoup plus forte en revanche. Il avait piétiné tout ce qu'ils avaient partagé en quelques secondes.
- Je suis en colère, un peu triste aussi mais ça va passer, reprit-elle, plus calmement. En plus, il reste Jasper, Emmett et surtout, Alice.
Bella vit son père soupirer et le soulagement pouvait tellement se lire sur son visage qu'elle faillit en rire. Elle n'avait pas le don d'Edward, mais elle connaissait bien son père. Il avait eu peur de devoir gérer une adolescente dépressive et il était heureux d'y avoir échappé.
- Eh bien, je suis content que tu le prennes comme ça, tu avais l'air tellement… accroc à lui que je m'attendais au pire, lui avoua-t-il.
- Tu sais papa, parfois, se rendre compte que des gens ne méritent pas l'intérêt qu'on leur porte peut rendre des blessures bien moins graves que ce qu'elles auraient été, déclara-t-elle. J'aimais Edward de tout mon cœur, mais il a dit certaines choses… Bref, je t'épargne les détails mais au final, il m'a sans doute rendu service.
Ayant fini son déjeuner et considérant que son père était bien assez rassuré comme ça, elle se leva et débarrassa la table avant de prendre ses affaires.
- Bon, il faut que j'y aille, annonça-t-elle. Passe une belle journée papa.
Elle l'embrassa sur la joue avant de sortir de la maison et de prendre la direction du lycée. Elle se gara sur le parking une fois arrivée et rejoignit Alice qui l'attendait déjà devant l'entrée.
- Tu t'es très bien débrouillée avec ton père, la félicita-t-elle en prenant son bras pour entrer dans le bâtiment. Je ne te savais pas si douée pour jouer la comédie…
- La comédie ? s'étonna Bella.
- Quand tu lui parlais, pour le rassurer, tu semblait vraiment bien, on n'aurait même pas dit que tu faisais semblant.
- Alice, je ne faisais pas semblant, lui assura Bella.
- Mais… Bella… Cette nuit, pendant que tu dormais, Jasper nous a envoyé ce que tu ressentais après le départ d'Edward et c'était atroce… Alors c'est vrai qu'il a dit que tu te sentais mieux depuis, mais je n'imaginais pas une si grosse différence.
Bella réfléchit à ce que son amie venait de lui dire et c'était vrai que ça l'intriguait. Edward était son monde, son départ l'avait détruite et jusqu'à ce que les autres viennent la retrouver, elle avait vraiment cru qu'elle ne survivrait pas à cette douleur et pourtant… Pourtant, si elle avait la possibilité de faire revenir Edward contre les trois autres vampires qui étaient restés, elle ne le ferait pas car la souffrance reviendrait.
- Ce n'était pas lui, souffla-t-elle en réalisant.
- Quoi ? demanda Alice.
- Je ne souffrais pas à cause de son départ, expliqua-t-elle. Je souffrais à cause du votre. Certes, le fait qu'il soit parti est douloureux, mais si peu que ça en est presque ridicule. Je peux vivre sans lui, mais pas sans vous.
Pourtant, ça avait été Edward son petit-ami, son monde. Elle n'arrivait pas à comprendre comment elle pouvait ressentir ça. Il n'y avait aucune logique, mais elle savait au fond d'elle qu'elle avait visé juste. Était-ce seulement l'idée de ne plus revoir Alice qui l'avait démolie à ce point ? Parce qu'elle n'était pas assez proche de Jasper ou d'Emmett pour que ça l'atteigne à ce point.
- Alice, je n'arrive pas à me comprendre moi-même, rassure-moi et dis-moi que toi, tu y arrives, la supplia presque Bella, au bord de la crise de nerf.
Elles se trouvaient à présent dans le couloir, entourées d'élèves. Alice se stoppa et posa ses deux mains sur les épaules de Bella, la regardant avec un calme qui finit par l'apaiser également.
- C'est peut-être aussi simple que ce que tu as dit à ton père ce matin. Peut-être que sa façon de rompre avec toi t'as tellement déçue que ça t'a permis de passer outre la douleur que tu aurais dû avoir. Peut-être aussi que la promesse de te transformer, si c'est ce que tu veux, aide. Ou peut-être que c'est juste le fait qu'on soit restés. Ou une combinaison de tout ça. Honnêtement, je n'en sais rien, mais on s'en fout royalement parce que l'important, c'est que tu ailles bien. Ok ?
- Ok, finit par dire Bella. Merci.
- A ton service, répondit Alice avec un clin d'œil. Je ne suis pas empathe, mais je crois que je commence à comprendre à quel point tu peux rendre Jasper fou.
Bella pouffa à la déclaration de sa meilleure amie et partit en cours avec elle. Elle était très heureuse de l'avoir à ses côtés et ça tombait bien car l'année dernière, elle n'avait eu quasiment aucun cours commun avec la vampire, contrairement à l'année en cours. Elle nota tout de même qu'à chaque fois que le nom d'Edward était cité lors de l'appel, elle avait un petit pincement au cœur en pensant qu'il ne serait plus jamais là. Ainsi, elle se sentait un peu moins étrange.
Arrivée à l'heure du repas, elle gagna le réfectoire, toujours accompagnée d'Alice, et elles s'installèrent à leur table habituelle, bientôt rejointes par Angela. A leur grande surprise, Lauren, Jessica, Eric, Tyler et Mike aussi alors que d'habitude, ils restaient ensemble à une autre table.
- Alice, je suis surprise de te voir ici, finit par dire Lauren. Ma mère est infirmière à l'hôpital et elle m'a dit que ton père avait posé sa démission en urgence et que toute ta famille était partie je ne sais où à cause d'un parent malade.
- A Los-Angeles, précisa la vampire. Il s'agit de ma grand-mère du côté de mon père. Mon frère Emmett a accepté de rester à Forks pour prendre soin de moi.
- D'accord ! s'exclama Lauren. Donc, Edward aurait pu rester aussi. Ça va Bella ?
La jeune fille pouvait sentir la fausse inquiétude venant de Lauren aussi sûrement que si elle avait eu le don de Jasper.
- Ça va, répondit Bella en haussant les épaules. Je ne suis pas la première à me faire larguer et je ne serais certainement pas la dernière.
- Tu as l'air de le vivre plutôt bien, fit remarquer Mike avec un sourire satisfait. Tu serais partante pour un ciné, ce soir, vu qu'on est vendredi ?
La jeune fille se retint de justesse de lever les yeux au ciel. Quel imbécile pouvait penser que lui proposer un rencard même pas vingt quatre heures après qu'elle ait rompu avec son petit-ami pouvait être une bonne idée ?
- Ah non, Bella ne peut pas, intervint Alice, lui sauvant la mise. On fait une soirée pyjama à la maison. Film romantique, manucure et pop corn au programme !
Tous les garçons présents à la table grimacèrent mais Alice et Angela ne purent retenir leur rire en voyant que Bella en avait fait autant.
- Une autre fois Bella ? insista Mike.
- Ecoute, s'impatienta Bella. Je le prends peut-être bien, mais ce n'est pas pour autant que c'est le moment de me proposer un rencard. Je serais d'accord pour faire une sortie de groupe, entre amis, mais rien de plus.
Avant Edward, elle avait toujours esquivé les tentatives de Mike avec gentillesse, cherchant à ne pas blesser son égo mais là, elle n'en avait plus la patience. D'ailleurs, prenait-il la peine de prendre en compte ses états d'âme avant de lui proposer des rendez-vous ? Non, alors il n'y avait aucune raison pour qu'elle fasse attention à lui. Puis au bout d'un moment, s'il n'arrivait pas à comprendre qu'elle n'était pas intéressée, il fallait bien qu'elle l'aide à imprimer.
- Désolé Bella, je n'avais pas réfléchi.
Maintenant, devant sa mine de chien battu, elle se sentait coupable. Elle garda le silence tout le reste du repas et fut heureuse que personne ne cherche à la faire participer. Elle se languissait que cette journée finisse, même si cela signifiait se retrouver chez les Cullen pour la soirée pyjama d'Alice.
- Allez, rentre chez toi prendre quelques affaires, finit par dire Alice une fois sur le parking du lycée. Dis à ton père que je t'ai proposé une soirée pyjama parce que les garçons sont partis en soirée et que j'ai la maison pour moi, il sera d'accord.
- Ecoute Alice, merci d'avoir inventé cette soirée pyjama, mais…
- Oh, je n'ai pas dit ça pour décourager Mike, je savais que ça ne suffirait pas, l'interrompit-elle. J'ai vraiment envie de passer des soirées comme ça avec toi. C'est le genre de truc qu'on aurait fait tout le temps si j'avais été humaine, répondit-elle avec un grand sourire. Ah oui et si je n'étais pas née en 1901, c'est un détail qui a une légère importance.
Bella pouffa avant de secouer la tête. Finalement, l'idée de passer sa soirée avec Alice, entre filles, n'étaient pas mal. Elle était sa meilleure amie depuis qu'elle la connaissait, mais avec Edward qui n'avait cessé de graviter autour d'elle, elles n'avaient jamais vraiment pu avoir des moments comme ça ensemble.
- Tu as juste à prendre un sac avec le pyjama que j'ai déposé sur ton lit et des rechanges pour samedi…
Elle s'interrompit et son regard devint vague avant de retrouver sa clarté.
- Ah non, prends des rechanges pour dimanche aussi, finit-elle par dire. Dis à ton père qu'Em et Jazz partent en virée tout le week-end et qu'on voudrait rester entre filles. Il m'appellera pour me parler et finira par accepter.
- Pourquoi tout le week-end, qu'est-ce qui a changé ?
- Rien de spécial en fait, répondit-elle innocemment.
Un peu trop pour que Bella la pense honnête en réalité.
- Alice, dit Bella, sur un ton qui exigeait une réponse honnête.
- Bon, d'accord, il va y avoir des promotions dans certains de mes magasins préférés à Seattle, avoua-t-elle. Mais je t'assure, Bella, que ça ne prendra pas notre journée du samedi. On ira aussi dans plusieurs librairies, dans un magasin de musique et les garçons seront avec nous. On va vraiment passer une bonne journée, promis !
Bella sourit avec tendresse et se demanda si en plus de ses visions, sa meilleure amie avait aussi un don de persuasion. Ce n'était pas possible de réussir sans arrêt à lui donner envie de faire des trucs qu'elle avait toujours détestés.
- Ok, je vais venir à la villa pour tout le week-end, céda Bella de bon cœur.
Avec un petit cri de victoire, Alice déposa un baiser sur sa joue avant de rejoindre sa voiture, probablement nouvelle puisque Bella n'avait jamais vu cette Porsche jaune auparavant. Puis elle percuta qu'ils avaient probablement dû investir dans un nouveau véhicule, puisqu'Edward avait dû partir avec sa Volvo, Rosalie avec sa BMW et Carlisle avec sa Mercédès. Il ne restait plus que la Jeep énorme d'Emmett et alors qu'elle se mit en route pour rentrer chez elle, Bella pouffa en imaginant la toute petite Alice au volant d'un véhicule aussi imposant.
Comme l'avait prévu le petit lutin énergique, Charlie ne posa pas de difficultés et lui donna son accord après un petit appel à Alice. Elle trouva un pyjama ridiculement petit, composé d'un mini-short et d'un débardeur sur son lit. Elle hésita un moment à l'échanger contre l'un des siens, mais se dit que finalement, il n'y avait pas de mal. Après tout, les deux garçons ne seraient pas là et même s'ils l'étaient, ce n'était pas comme s'ils allaient prendre plaisir à la mater. Comme si elle pouvait susciter du désir pour l'un d'eux… Elle n'en avait déjà pas suscité à son ex petit-ami…
Elle hésita à prendre un nécessaire de toilette mais elle renonça finalement, sachant qu'à chaque fois qu'elle se rendait chez les Cullen, ils avaient toujours tout ce qu'il lui fallait. La jeune femme pensa aux bons petits plats d'Esmé qui eux, ne seraient pas au programme, et son cœur se serra. Elle aimait sa famille de tout son cœur, mais sa mère ne s'était jamais conduite comme elle aurait dû. Elles avaient un autre type de relation qui était très bien, mais ces quelques mois avec Esmé lui avait donné quelque chose qu'elle avait beaucoup apprécié.
Mettant son coup de cafard de côté, elle embarqua son sac alors que son père l'appelait d'en bas pour lui dire qu'Alice était là. Elle descendit avec bonne humeur, embrassa la joue de son père puis grimpa dans la voiture de sa meilleure amie. La soirée se passa bien et Bella fut heureuse que tout ne soit pas à sens unique. Certes, Alice lui fit une manucure devant "N'oublie jamais", mais elle eut aussi le droit de lui en faire une tout en parlant de plein de choses. Les garçons étant partis chasser, elles avaient vraiment été entre filles.
- On devrait faire ce genre de soirée plus souvent, confia Bella alors qu'elle se retrouvait allongée.
Elle se trouvait dans le lit d'Emmett car Alice lui avait dit que comme il était seul, c'était préférable. Bella avait très bien compris le sous-entendu comme quoi elle allait certainement faire des choses avec Jasper, ce qui la fit rougir comme une folle et provoqua le rire de la vampire.
- Contente que tu aies aimé ma Bella, répondit Alice, heureuse.
Elle ne tarda pas à s'endormir. Elle se réveilla sept heures plus tard, au son d'une porte qui se refermait.
- Alice est partie chasser, dit la voix de Jasper.
- Ce n'est pas trop tôt, bougonna Emmett.
- Ne fais pas ton jaloux parce que tu dois contenter Popol toi-même depuis peu, se moqua Jasper.
Là, Bella sentit sa gêne grimper en flèche en imaginant Emmett en train de se faire plaisir seul tandis qu'elle imaginait les bruits d'Alice et de Jasper ensemble. Bon, ok, une partie de son imagination n'était pas vraiment répugnante… Si, si, tout l'était, carrément !
Elle s'empourpra un peu plus lorsque l'empathe éclata de rire, lui faisant comprendre qu'il avait capté tout ce qu'elle avait ressentit.
- Qu'est-ce qui te fait rire bâtard, ronchonna Emmett.
- Notre discussion vient de fortement mettre Bella dans l'embarras, elle est réveillée.
- Sérieusement, entre les insinuations d'Alice hier soir et ce que tu viens de dire à Emmett, j'en sais beaucoup trop sur votre vie sexuelle à tous les deux, se plaignit Bella. Vous n'étiez pas aussi… sans gêne, avant.
Il était vrai qu'elle n'avait jamais rien entendu sur les activités coïtales des membres de cette maison et même si c'était tout de même un peu drôle, ça lui convenait très bien.
- Ah Bella, c'était parce qu'Edward nous avait formellement interdit de faire la moindre allusion devant toi, lui expliqua Jasper avec un sourire en coin. Non pas que nous soyons du genre exhibitionniste ou à en parler tout le temps, mais ça n'est pas un sujet tabou.
- En tout cas, je note que m'imaginer en train de m'effeuiller le baobab ne te choque pas autant que de les savoir tous les deux en train de prendre leur pied, s'amusa Emmett.
Une fois encore, son imagination fit le boulot en visualisant un Emmett nu en train de… faire ce qu'il avait dit et une pointe de désir perça, ce qui l'embarassa plus que jamais auparavant. Elle croisa le regard surpris de Jasper et lui adressa un regard suppliant auquel il répondit d'un clin d'œil. Considérant ça comme sa promesse de ne pas en parler, elle fila dans la salle de bain pour se laver sous le rire d'Emmett.
Une fois sous l'eau, elle soupira longuement et se surprit même en refroidissant la température. Qu'est-ce qui clochait chez elle ? Emmett était son frère… Non, il n'avait jamais été son frère. Alice était sa meilleure amie, sa sœur, Jasper pourrait très vite le devenir, mais Emmett…
Emmett était juste quelqu'un qu'elle avait toujours adoré et qui était en couple avec Rosalie. Elle l'avait connu engagé avec la vampire et elle s'était toujours dit que ça ne changerait pas. Sauf que ça avait changé et qu'en fait, ça la forçait à reconsidérer les choses.
Juste d'un point de vue physique, si elle devait l'avouer, il était plus dans ses goûts qu'Edward. Elle aimait les hommes à forte carrure et il l'était, c'était indéniable. Puis pour ne rien gâcher, il avait un beau visage, une belle prestance. Pour le reste, il était gentil, drôle, il avait de l'esprit. Elle avait toujours reproché à Edward son manque d'humour.
Non, objectivement, Emmett lui correspondait bien plus qu'Edward ne l'avait jamais fait, mais c'était la première fois qu'elle se permettait d'y réfléchir sérieusement parce qu'avant, il y avait Rosalie.
- Bella, dépêche-toi, Alice ne va pas tarder à rentrer et voudra partir dans la foulée, l'informa Jasper.
- Ok, je fais vite, répondit-elle sans hausser la voix, sachant qu'il l'entendrait très bien.
Finalement, elle secoua la tête, peu importait qu'Emmett soit à son goût ou qu'elle ne le considérait pas comme son frère. Même s'il ne le montrait pas, il devait avoir le cœur brisé d'avoir perdu Rosalie et il considérait bien Bella comme sa petite sœur. Certes, il lui plaisait, mais elle n'avait aucun sentiment romantique à son égard et c'était très bien comme ça. De plus, comment quelqu'un qui avait passé des décennies avec une femme comme Rose pourrait s'intéresser à elle ?
Elle profita de ses derniers instants sous la douche pour mettre tout ça de côté et se promettre qu'elle n'y penserait plus jamais.
Et voilà !
Je vous remercie de m'avoir lu et vous dit à très vite pour la suite !
Bizzz.
