Carnaval de Québec 3
2 février, 4 heures du matin
Les sorciers sont dans l'autocar qui nous amène au Château Frontenac, la Ville de Québec est magnifiquement décorée pour son Carnaval, c'est féérique. Ils descendent face à l'Hôtel Fairmont le Château. L'accueil qui leur est porté est très chaleureux.
À l'extérieur du Château, ils entendent des musiques: québécoises, acadiennes, amérindiennes, des reels irlandais, écossais, qui sortent des haut-parleurs installés tout au long de la promenade, ainsi qu'aux rues avoisinantes du parcours du défilé du Bonhomme Carnaval et de ces duchesses. Il y a un spectacle féérique de jeux de lumières et artifices prévu pour ce soir; une parade de chars allégoriques, et de nombreux personnages multicolores.
Les sorciers entrent dans le hall d'entrée du Château Frontenac. Celui-ci est parfaitement bien aménagé, au rez-de-chaussé, se trouve le restaurant, le bar-Maritime, le standard téléphonique, l'administration, et le comptoir d'accueil pour les chambres. Ils se présentent au comptoir, ils sont accueillis en rois, des garçons de service montent leurs bagages vers leurs chambres, au 7e étage. L'organisatrice les remercie tout en leur donnant un excellent pourboire. Chacun entre dans sa chambre. Breem entre dans sa chambre, part prendre une douche, elle a trop chaud, elle passe sous la douche, elle s'habille légèrement, elle va dormir quelques heures car le début de la journée ne fait que commencé. Elle admire ma chambre décorée avec goût, c'est avec intérêt qu'elle regarde par la fenêtre le Palais de Glace éclairé pour ce mercredi.
Rémus et Bill alias Sirius, sont installés sur leur lit et dorment. Dumbledore et Rogue dorment eux aussi. De son côté, Tonks dort à poing fermé. Chez la famille Weasley, seuls les parents dorment. Harry ainsi que Ron, Ginny, Hermione, Fred et George sont dans les couloirs du château, à la recherche de passages secrets dissimulés sous les tableaux et les tentures, et vont à la rencontre de spectres, de squellettes, d'esprits ou d'ombres et de fantômes. Ils partent deux par deux, de chaque coté du château.
Fred découvre une petite porte derrière un immense tableau fixé solidement au mur, avec sa baguette, il déplace le tableau vers la droite, George essait d'ouvrir une porte, celle-ci est obstruée par la rouille qui se détache de la clanche du fermoir, il prend sa baguette et il lance un "Alohomora" sur la poignée qui se tourne à merveille, ils entrent dans une toute petite pièce et y découvre un escalier en colimaçon descendant vers les sous-sols du château. Ils illuminent l'escalier, puis ils arrivent à 7 sous-sols plus bas que le rez-de-chaussée, ils entrent dans un antre, il y a des squelettes autour d'une table de bois d'ébène, ils sont couvert de colliers de perles, de chaînes en or et en argent, d'étoffe aux couleurs scintillantes, de rubis et d'émeraudes, ils ont des couronnes en or inscrutés de saphirs, de rubis et de diamants, ils y a des coffrent remplis de pièces d'or et d'argent. Fred et George se regardent et se demandent:
"Est-ce que nous pouvons en amener pour...tu sais quoi?"
"Oui, oui, c'est une excellente idée. Je pense que nous sommes les premiers à les avoirs découvert!"
"Alors pourquoi ne pas se servir, j'ai envie de prendre quelques pièces, trois ou cinq colliers en perles, des chaînettes d'or et d'argent, des bracelets et des bagues de diamants, et une ou deux couronnes, cela doit être monnayable après tout!"
"Je pense que tu as raison, allons-y, ne perdons pas de temps, il faut remonter dans nos chambres avant que quelqu'un ne s'apercoive que nous ne sommes pas là!"
Fred et George prennent les joyaux du tombeau de cadavres assis dans ce repaire. Ils remontent l'escalier en colimaçon, en volant jusqu'en haut, ils connaissent beaucoup de sorts de lévitation. Ils ressortent de la petite pièce, referment le tout discrètement, et ils partent vers leurs chambres, cacher leurs trésors.
Harry et Ron, ont visités le château jusque dans la plus haute chambre fermée à double-tour, ils ont découvert, une élégante femme habillée de vêtements aristocratiques du début du 17e siècle, elle est bien conservée pour son âge. (Bien sûr, c'est une statue de cire et mais eux ne le savent pas). Il regarde sur la table de chevet, des parchemins écrits en anglais (du british). Ils sont étonnés de ce qu'ils y lisent. Fairmont Le Château Frontenac appartient à la Reine d'Angleterre, selon ces documents, il est clair que le Québec a été colonisé par les Britanniques, avant d'être colonisé par les Français. Harry et Ron, ont la même idée, ils prennent les documents et se dépèchent de redescendrent dans leur chambre pour en lire plus, au cas où cela serait débattue devant la Chambres des Lords, en Grande-Bretagne.
Hermione et Ginny, se sont aventurés dans une petite fente à peine assez grande pour les laisser passer, derrière une armure du 18e siècle, elles ont pénétrés dans un long couloir qui part d'est en ouest, et qui fait un tour complet du château à chaque étage comme si elles montaient en carré, ils montent progressivement, elles semblent marcher depuis des heures, elles se retrouvent dans une sorte de labyrinthe qui par un pur hasard les emmènent vers les oubliettes, ces petites chambres où l'on retenait de nombreuses jeunes femmes contres leurs grés, elles entrent dans l'une d'elle, la porte se referme aussitôt derrière elles. Elles sont prises au piège de cette petite tour, la plus haute de l'Hôtel, dans la tour du milieu, près de l'entretoit. N'ayant pas amener leurs baguettes, elles ne peuvent trouvés un moyen de sortir par la magie. Soudain, derrière elles, le fantôme d'une femme apparaît, elle essait de les effrayer, c'est peine perdue, puis elle passe au travers de Ginny et d'Hermione, celles-ci ne réagissent même pas comme l'aurait voulu le fantôme, elle s'approche d'elles et leur souffle sur le visage. Hermione et Ginny lui soufflent dessus, et elles passent leurs mains au travers de son corps fantômatique. Hermione dit à Ginny:
«Ginny, ce fantôme croit-il nous faire peur?»
«Je pense qu'elle essait, mais je doute qu'elle y arrivent!»
«Et bien, disont-lui avant qu'elle ne désespère!»
«Peut-elle nous entendre?»
«Demandons-lui!»
«Belle Dame, nous entendez-vous?»
«Oui, je vous entends, mais vous voilà bien cloîtrés, mes demoiselles!»
«Il n'a aucuns moyens de vous échapper, la preuve c'est que je suis ici depuis 2 siècles, je suis la dernière jeune fille à avoir été emprisonner de force, j'ai tout essayé pour m'en sortir, croyez-moi ce n'est pas de tout repos d'être ainsi priver de liberté.»
«Vous dites que vous êtes la dernière, que sont devenues les autres avant vous?» demande Ginny.
«Je l'ignore, lorsque l'on m'a cloîtré ici, j'ai entendu dire qu'une jeune demoiselle avait fait le mur, et qu'elle s'est jeté dans le vide, ils ont retrouvés son corps sur une des toitures du château, un peu plus bas!»
«Pourriez-vous nous aider à sortir?» implore Hermione.
«Je ne connais aucuns moyens, je vous l'ai dit!»
«Nos amis sont au 7e étage , vous n'avez qu'à les prévenir, ils sont dans la chambre 707, ils vous répondront lorsqu'ils vous verront!»
«Je vous en pris Belle Dame, pouvez-vous vous déplacer dans le château à votre guise?» demande Ginny.
«Bien sûr, comment s'appelle vos amis?»
«Harry et Ron!»lui dit Hermione.
«D'accord, je reviens quand quelques minutes!» La femme fantôme part vers le 7e étage en passant au travers des murs, des plafonds, des chambres.
«Oups, pardon, je ne voulais pas vous effrayé!» dit-elle en passant par le plafond d'une chambre où un couple s'installait pour leur petit déjeuner. Le couple se mit à crier aux fantômes dans la chambre, dans le couloir, dans l'ascenseur, dans le hall jusqu'au comptoir d'accueil.
Un employé leur dit tout simplement:« C'est tout à fait normal, nous sommes dans un château!»
La Belle Dame arrive dans la chambre 717, elle crit le nom de Ron et Harry très fortement. Soudain, deux hommes se réveillent en sursaut, c'est Rémus et Bill alias Sirius qui sont ainsi secoués. Regardant cette jeune dame fantôme, ils leurs demandent:
«Qui voulez-vous voir?»
«Êtes-vous Ron et Harry?»
«Non, mais leur est-il arriver quelque chose de grave?» demande Sirius inquièt.
«Non, pas à eux, mais à deux jeunes filles étranges!», «Elles sont enfermés dans une tour d'oubliette, et je ne puis les aider à sortir, je n'y ai même pas arrivé moi-même, il y a deux siècles de cela!»
«Nous allons venir avec vous, dans un instant!»
Rémus et Bill alias Sirus se levènt et suivent le fantôme dans les couloirs tout en haut de la tour du milieu, derrière la dernière chambrette de l'entretoit du Château, jusqu'à un mur de brique où est dissimulé une petite faille dans la paroi, à l'aide de leur baguette, ils agrandissent cette fente assez largement pour qu'ils y passent. Ils entrent dans un étroit passage qui mène à un petit labyrinthe, ils se retrouvent devant une minuscule porte à charnière extrêmement rouillée.
«Alohomora!» dit Sirius.
La petite porte s'ouvre, Hermione et Ginny sont dans la pièce, elles sont surprises des regards de Bill alias Sirius et Rémus. Elles leurs sautent au cou. La petite porte se referme aussitôt derrière eux. Pas de poignée de ce coté-ci de la pièce.
"Que va-t-on faire?"
La Belle Dame leur dit:
«Vous voilà bien cloîtrés mes demoiselles et messieurs!»
«Est-ce une farce de votre part?» lui lança Hermione.
«Non, c'est la triste réalité, vous êtes aussi enfermés tout comme moi!»
«Ça se passera pas d'même!» dit méchamment Hermione.
Elle demande à Bill alias Sirius de pointer sa baguette vers la porte et de la faire exploser. Celui-ci s'exécute, la porte n'explose pas. Il recommence, elle n'explose toujours pas. Rémus et Bill alias Sirius le font à deux, elle n'explose pas. Il y a de la sorcellerie là-dessous. Ils lançent toutes sortes de sortilèges d'ouverture, rien ne marche. Hermione perd patience, elle demande à la Dame d'aller chercher Harry et Ron, à la chambre 707.
«Ah! la voilà mon erreur, je suis allé à la chambre 717, voilà pourquoi ces deux grands idiots sont là!»
«Je vous demande pardon! Comment osez-vous nous appeller?» lui dit Sirius de mauvaise humeur.
«Je vous demande une dernière fois d'aller chercher Harry et Ron!» cria Hermione de toutes ses forces.
«Bon, bon, je pars!»
Le fantôme traverse les murs, les plafonds, les chambres, les meubles sur son passage.
«Oups, désolé, je ne vous ai pas vu venir!»
Un femme de chambre peste contre elle, et lui demande de regarder où elle flotte. Le fantôme de la dame se retrouve dans le couloir du 7e étage, il est au 727, il entre à l'intérieure de la chambre, il y voit dormir un vieil homme avec une barbe blanche, il respire le bonheur avec le sourire aux lèvres et dans le second lit, un homme aux cheveux noirs et gras, ronfle à en casser les oreilles.
«Ouach, qu'il est affreux celui-là!» , «Heumm, heumm, S.V.P, êtes-vous Harry et Ron?»
Dumbledore se réveille, Rogue aussi mais de mauvaise humeur. Il écarquille les yeux en voyant un fantôme devant eux. Dumbledore lui demande:
«Madame, que puis-je faire pour vous?»
«Êtes-vous Harry et Ron?»
«Non, mais leur est-il arriver quelque chose de grave?» s'empresse de demander Dumbledore.
«Non, pas à eux, mais à deux étranges jeunes filles et deux hommes bizarres!», «Ils sont tous enfermés dans la tour d'oubliette!»
«Laissez-nous nous changer et nous vous accompagnons, dans quelques minutes!»
«Bien, je vous attends de l'autre coté du mur!»
Rogue et Dumbledore s'habille en moldu, puis ils prennent leurs baguettes, en cas de force majeure. Ils rejoingnent la dame, qui parcoure les couloirs du labyrinthe menant vers la petite chambrette, ils traversent la faille, et longent la cavité qui se rend jusqu'à
la petite chambre d'oubliette. Dumbledore utilise un sort d'ouverture sur la porte, celle-ci s'ouvre devant quatre personnes ahuries. Dumbledore pénètre à l'intérieure suivit de près par Rogue. Puis, comme dans un coup de vent, la porte se referme derrière eux.
«Vous voilà bien cloîtrés,mes demoiselles, messieurs, ancêtre à la barbe et valet de pied!»
«Est-ce une plaisanterie de votre part, Belle Dame!» s'inquiète Dumbledore.
«Non, c'est le destin qui vous a choisi pour rester avec moi, à travers les siècles à venir!»
«Ça suffit, ça suffit!» dit Hermione, horrifié.
«Oh! Mademoiselle, que vous êtes impulsive!»
«Professeur, faites quelque chose!», «On ne peut pas rester enfermé ici à tout jamais avec elle!»
Le professeur Dumbledore, Rogue, Rémus et Bill alias Sirius se mettent ensemble pour faire exploser la porte de la pièce. Rien n'y fait. Ils se réunissent pour lancer un très fort ALOHOMORA, mais sans succès.
«Très chère Dame, pourriez-vous aller chercher Ron et Harry, à la chambre 707, S.V.P.!»
«Ah! La voilà mon erreur, je suis allée à la mauvaise chambre, c'est au 727 que je me suis présenté, c'est pourquoi il y a un ancêtre et son valet de pied parmi nous!»
«Je ne vous permet pas de nous insulté, de quel droit osez-vous?» lui dit sévèrement Rogue.
«Eh, bien, allez chercher Ron et Harry, À LA CHAMBRE 707, '''S.V.P!"» lui cria Hermione affolée.
Le fantôme repart vers le 7e étage, à la chambre 747, elle entre sans frapper, et crie au-dessus des têtes qui se parlent.
«HARRY, RON, est-ce vous?»
Deux têtes rousses se lèvent en même temps, Fred et George regardent au-dessus d'eux. Un fantôme de femme les scrute tous les deux.
«Êtes-vous Ron et Harry?»
«Non, mais leur est-il arriver quelque chose de grave?»
«Non, pas à eux, mais à deux jeunes filles étranges, deux hommes bizarres, un ancêtre à la barbe blanche et un valet de pied!»
«Bien, montrez-nous où ils sont?»
Les deux garçons identiques suivent le fantôme vers un étroit couloir, puis ils montent d'étage en étage sans même s'en rendent compte. Ils arrivent au bout du couloir, ils entrent par une faille dans une paroi du château, et en ressortent de l'autre coté, ils suivent à nouveau un couloir et ils arrivent devant une petite porte étroite. Ils ouvrent la porte qui grince bruyamment, ils constatent qu' Hermione, Ginny, Bill, Rémus, Rogue et Dumbledore y sont enfermés. Ceux-ci les regardent d'un air abasourdi. Dumbledore leur dit de tenir la porte pour qu'ils puissent enfin sortir de cet endroit mystérieux, trop tard Fred et George ont lâché la poignée de la porte. Celle-ci se referme avec une de ces violences qui fait vibrer tous les murs de la petite chambrette. Tous se regardent avec l'âme en peine.
«Vous voilà bien cloîtré, mes demoiselles, messieurs, l'ancêtre, le valet de pied et les rouquins semblables en tous points!»
«Est-ce une fourberie de votre cru?» demande Rogue énervé.
«Non, c'est écrit dans les étoiles qu'on doit se rencontrer et qu'on doit passer du bon temps ensemble, jusqu'à la fin du monde!»
«J'en ai plein l'dos, j'veux sortir, allez chercher Ron et Harry, au 707 du 7e étage!» dit Hermoine découragé.
Le spectre descend à toute vitesse, bouscule le garçon d'étage, et un chariot se renverse.
«Oups, je m'excuse de vous être rentrer d'dans!»
Le fantôme arrive à la chambre no.737, elle passe la tête au travers du mur au-dessus du lit, et demande:
«SVP, Où sont Harry et Ron, je suis désespéré!»
Deux têtes rousses se lèvent en même temps, ils la regardent stupéfait. Et ils leurs demandent:
«Que demandez-vous?»
«Êtes-vous Harry et Ron?»
«Non, mais est-il arriver quelque chose de grave à RON, et HARRY?» s'enquiesce Mme Weasley.
«Non, pas à eux, mais à une armée dans ma chambre d'oubliette!»
«Mais de quoi parlez-vous?»
«Mais de deux étranges jeunes filles, deux hommes assez bizarres, un ancêtre ahuri, un valet de pied rabougri, deux rouquins similaires!»
«Où ça, où ça?»
«Venez, suivez-moi je vous montre le chemin!»
Les parents Weasley montent un long couloir étroit, ils montent toujours vers le haut, ils passent par une faille agrandit à cet instant, ils traversent de l'autre côté du mur et se retrouvent encore dans un autre couloir, puis ils passent par une petite porte dans un mur de pierre. De l'autre côté, il y a deux jeunes filles en furie, deux hommes furibonds, un ancêtre étourdi, un valet de pied en maudit, deux rouquins identiques réjouis. Tous se regardent d'un air abruti. Puis la porte se referment bruyamment derrière eux.
«Bien vous voilà cloîtré pour de bon, mes demoiselles, messieurs, l'ancêtre, le valet de pied, les deux rouquins identiques, et des amoureux perdus!»
«Ceci n'est plus drôle, madame, nous voulons sortir tout de suite de cet endroit!» leur dit la troupe de sorciers.
«Dommage, moi qui adore avoir de la visite!»
«Allez chercher RON et HARRY, SVP, sur le champ!» attaque Hermione avec férocité.
Le poing de celle-ci est levé pour lui asséner un coup. Mais la dame est un fantôme, et c'est dans l'beurre que le poing traverse pour atterrir dans le visage de Bill, au niveau de l'oeil. Celui-ci va s'en tirer avec un oeil...au beurre noir.
«Bon, cette fois, je pense être en mesure de trouver la bonne porte. Le 707, c'est ce que vous m'avez dit tout à l'heure, bon, j'y vais.»
Le revenant repart en direction de la chambre 707, traverse dix plafonds de bord en bord, tourne sur la gauche et atterrit dans le couloir près de la chambre 757, toute déboussolé, elle entre au travers du mur, et s'installe sur le coin d'un lit. Puis, elle crie si fort que les deux occupants sautent au plafond.
«SVP, dites-moi où puis-je trouver Harry et Ron?»
«Quoi? Qu'est-ce que tu dis là?» lui dit Tonks, endormie.
«Êtes-vous Ron et Harry?»
«Non, mais leur est-il arriver quelque chose de grave?» demande Tonks, inquiète.
«Oh non, pas à eux, mais à deux jeunes gamines en furies, deux parfaits idiots, deux roux similaires, un aïeul étourdi, un corbeau noir ahuri et deux amoureux perdus dans la tour d'oubliette!»
«Où sont-ils exactement?» lui dit Breem.
«Dans la tour d'oubliette, c'est ma chambre depuis deux siècles!»
«Bon, nous venons avec vous, montrez-nous le chemin!» lui dit Breem.
Le fantôme étourdi, se remet de ses émotions, et poursuit le même chemin inlassablement jusqu'à la tour la plus haute, dans l'entretoit du château. Tonks et Breem ouvrent la porte, un groupe de personnes est réuni dans une minuscule petite pièce ronde. Les deux jeunes femmes se retrouvent poussés dans la pièce par un tourbillon de spectres qui tournent autour d'eux, les enfermant avec cette communauté de sorciers dans la chambrette, une danse d'enfer de vieux reels irlandais, français, britanniques commence, les spectres se mettent à chanter de vieilles ritournelles françaises et britanniques de l'époque du 18e siècle. Dumbledore essaie de fraterniser avec eux, mais rien à faire, ceux-ci ne veulent pas que leurs hôtes se sauvent. Hermione et Rogue, rouge de colère, s'esclament:
«Ça suffit, Ça suffit, On en a assez, Veuillez nous libérer sur le champ! De quel droit osez-vous nous séquestrer?» lui crit Rogue.
Dumbledore demande à la Dame:
«Je vous prie de bien vouloir acquiescer à notre demande!», «Je vous serai gré de bien vouloir nous laisser partir!»
«Vous êtes sûr que vous ne vouler pas rester encore un moment!»
«C'est tellement spécial pour nous les fantômes d'avoir de vrais sorciers dans notre château!»,
«Cela n'arrive pas souvent, on dirait que le monde s'est donné le mot pour ne pas venir dormir ici!»
«Il ne faut pas oublier que c'est le temps du carnaval, que pendant ces jours-là, on s'amuse encore plus à faire peur aux vivants et moldus comme vous les appelez!»
«Non, allez chercher RON et HARRY au 707 du 7e étage, tout de suite!» lui réponds Hermione exaspéré.
«Bon, Ça va les amis (fantômes), vous pouvez repartir, on fêtera un autre jour!» «Je pars tout de suite vers la chambre 707, 7e étage, promis je vous les ramène!»
La Dame décue, traverse les murs et plafonds en diagonales, elle atterrit au 7e étage, prends le temps de vérifier le bon numéro de la chambre, le 707. Elle frappe, sa main passe au travers la porte, «Ah! oui, que suis-je bête? Je suis un fantôme!»
«ÊTES-VOUS: RON ET HARRY?»
Deux garçons se retournent la tête pour voir qui leur crie après. Harry se lève et demande:
«Qui êtes-vous?»
«Êtes-vous: RON et HARRY?»
«Oui, je suis Harry! Et lui, c'est Ron!»
«Enfin, je vous ai trouvé, il y a une horde de sorciers qui me crit après de vous chercher dans les chambres du 7e étage!»
«Qui avez-vous dit?»
«Je veux parlé de deux jeunes filles en furie, deux parfaits imbéciles étourdis , un aïeul rabougri, un valet de pied colérique rougit, deux roux similaires en tout point, un couple d'amoureux perdu, une maladroite aux cheveux roses, et une fonctionnaire!»
«Où sont-ils?»
«Venez avec moi!»
Ils partent derrière le fantôme, qui les conduit au même endroit que les autres. Lorsque la porte s'ouvre sur la chambrette, de grandes exclamations afflûes de tous les sorciers présents, le sourire aux lèvres. Soudain, la porte se referme encore. Pas de poignée à l'intérieure de la pièce. Ron et Harry se regardent impuissants. Tous ensemble lançent un puissant ALOHOMORA.
Rien à faire, cette maudite porte ne s'ouvre même pas. Puis un sort d'explosion intense et violent est lançé sur la porte mais sans succès là encore, la porte est intacte. Tous se regardent avec étonnement.
La dame leur dit:
«Vous devez tâté les murs, vous trouverez une petite paroi qui bougent, c'est une sorte de chute à linges en forme de spirale, qui mène jusqu'au sous-sol du château, dans la buanderie!»
Tout le monde se met à tâter les murs, personne ne trouvent la paroi. Harry pointe sa baguette vers chaque mur et prononce:
«ACCIO CHUTE À LINGES!»
Sur quatre des huit murs, le sort est jeté, aucune sortie possible. Il recommence sur les quatre derniers, rien, c'est sans succès qu'il se retourne vers la Dame et lui demande si elle n'aurait pas un moyen de s'évader moins compliquer.
«Je vous dit de tâter les parois!», «C'est comme ça que je me suis évadé de ma tour d'oubliette, en l792, à l'âge respectif de 72 ans.» «J'y suis resté emprisonner pendant 56 ans avant que je découvre cette petite trappe par hasard!»
Harry, Ron, Hermione, Ginny, Fred et George disent en coeur:
«OUBLIETTE, OUBLIETTE, MONTRE-MOI LE CHEMIN DE LA POUDRE D' ESCAMPETTE!»
Soudain, une trappe se dessine dans une paroi près d'un vieux mur de briques anciennes recouverts de tentures rouge et or, ayant comme emblème un Gryffond d'or. Personne n'a remarqué cette tenture avant d'avoir lancer le sortilège. Coïncidence ou Sorcellerie?
Point de vue d'Hermione
C'est une bonne expérience que de s'être fait enfermé avec un fantôme, et ne pas trouver de sortie qu'à la toute fin. Cela a aiguiser mes sens, j'espère ne pas faire d'autres rencontres de ce genre dans le Château.
Point de vue de Ginny
C'est bien la première fois que je reste enfermé aussi longtemps dans une pièce, et comment ça se fait que l'on ai pas trouver un moyen de s'échapper Hermione et moi. On aurait dit que nous n' avions plus de pouvoir ni de force, étrange sensation.
Point de vue de Rémus
Comment ont-elles pu se laisser entraîner de cette façon, elles qui sont si studieuses et si à cheval sur les principes, mais quand je les ai vu, cela m'a donné un choc, elles étaient ahurie, on aurait dit qu'elles ne nous attendaient pas Sirius et moi.
Point de vue de Bill alias Sirius
Ce Château est étrange, rencontrer des fantômes, des esprits, des ombres, ça va mais se faire enfermé dans une pièce qui refuse de nous laisser partir ça s'est bien insolite.
Point de vue de Rogue
Mais qu'est-ce que c'est que ce Château, un fantôme qui nous séquestre par dessus le marché, c'est vraiment étonnant, et qu'est-ce qu'elles avaient fait pour se retrouver là, en haut d'une tour d'oubliettes, elles sont vraiments idiotes celles-là. Je vais le faire remarquer à ce vieux fou, que des jeunes filles ne doivent pas se promener seules dans un Château que l'on ne connait pas.
Point de vue de Dumbledore
C'est très chères jeunes filles qu'elles sont aventureuses, les chanceuses, j'aurai bien aiméaller explorer ce Château moi aussi. Mais cela n'est plus de mon âge. Heureusement que tout le monde était sain et sauf.
Point de vue de Fred
WOOOUUU! C'est super comme endroit, on a fait une découverte enrichissante puis on a été enfermer avec un fantôme dans une prtite chambrette à huit murs, quelle expérience époustoufflante.
Point de vue de George
WOOOW! Ça s'est du sport, c'est le fun, on a de quoi se payer une autre boutique, et en plus on vit des aventures très drôles, surtout que personne n'est arrivé à faire sauter la porte de cette pièce. J'espère qu'il y aura d'autres événement bizarres.
Point de vue d'Arthur
Qu'est-ce qui leurs aient passer par la tête de s'aventurer seules dans ce Château qu'on ne connait même pas, Ginny retient bien les leçons de ses frères à ce que je vois. Devrais-je les punir? Non, c'est la première fois qu'une chose aussi étrange nous arrive, alors pour moi, je pense que c'est une expérience inoubliante.
Point de vue de Molly
Qu'est-ce qui leur a prit de faire ces idioties à ces deux-là, Ginny aurait pu disparaître à tout jamais, oh Merlin, que ces enfants sont difficiles à contrôler, je vais la réprimandé lorsque nous seront de retour au Terrier, elle le mérite, et ce n'est pas Arthur qui va m'empêché.
Point de vue de Tonks
WOW, c'est formidable, un fantôme qui séquestre à elle toute seule, huit personnes, elle aurait des chances si elle était vivante de faire partie des aurores. Elle est étrange mais à la fois drôle et simple. C'est le fun de pouvoir s'amusé de cette façon.
Point de vue de Breem
Voilà quelque chose d'inhabituelle qui met de l'ambiance dans une vie, l'atmosphère des 50 ans d'histoire du Carnaval, prend des allures totalement incroyables. J'espère que d'autres manifestations du genre arrive pendant notre séjour ici.
Point de vue de Ron
WOOOUU! Ça s'est super cool, on découvre des documents qui relate de l'authenticité du propriétaire de ce Château, puis on file au secours des autres enfermés dans une tour d'oubliette, et on s'enferme avec eux, puis un sortilège d'Harry nous en fait sortir, c'est vraiment la classe ici dans cet Hôtel.
Point de vue d'Harry
Qu'est-ce qui nous est passé par la tête de nous enfermer ainsi, Hermione, Ginny, Rémus, Sirius, Rogue, Dumbledore, Fred, George, Mr. et Mme Weasley, Tonks, Breem, Ron et moi-même, C'est vraiment ahurissant parfois d'être le bras droit de tout le monde. Vais-je avoir la paix pendant ce voyage? Non, je pense pas mais c'est bien quand même de partir à la découverte de ce Château. On aura de quoi parler à notre retour à Poudlard.
Trois heures plus tard, tous sont de retour dans leurs chambres, la plupart se changent pour aller prendre leur petit déjeuner. Breem est à la salle à manger avec Mlle Tonks, Mr. Lupin, Mr. Bill Weasley, Mr. et Mme Weasley et les jeunes. Le professeur Rogue et Dumbledore ne sont pas descendu déjeuner. Cette petite escapade fantômatique a duré tout près de 2 heures 30.
La première activité débute à 8 heures AM. La température extérieure est agréable, il fait -14°, donc c'est une belle jounée en perspective. Tous attendent le mini-bus les conduisant dans les rues de la ville, pour les visites de sites historiques et actuels. Ils montent à l'intérieur du bus. Celui-ci les amène pour la visite de la Haute Ville de Québec. La guide (Mlle Breem Tipik) leur dit que celle-ci est situé sur les rives du fleuve St-Laurent. Ils descendrent près de la Citadelle. Tous regardent avec émerveillement le paysage qu'offre la vue de ses vieux bâtiments militaires du 17e siècle. Après, ils rentrent visiter les bâtiments, tous sont en admiration devant les armoiries, les vêtements l'artillerie de l'époque, étalée dans plusieurs salles, ils explorent le tunnel de la Citadelle. Puis, en ressortant pour aller se promener le long du chemin d'où de gros canons sont posés fièrement contre toutes attaques extérieures de l'ennemi.
Puis, ils s'intallent dans le bus, à la découverte de la Haute-Ville. La guide leur indique que celle-ci occupe un promontoir de plus de 98 m, soit le Cap Diamant, et surplombe le fleuve, qui à cet endroit, ne fait qu'un kilomètre de large. Et que cet étranglement est d'ailleurs à l'origine du nom de la ville, puisque Kebec signifie en algonquin «là où la rivière rétrécit». Mais aussi, Québec s'est déjà appelé «STADACONA» village huron lorsque l'explorateur de France Jacques Cartier visita la région en 1534. La ville fut le berceau de la Nouvelle-France, évoquant davantage l'Europe que l'Amérique par son atmosphère, et son architecture. La Haute-Ville se pare de couvents, de chapelles et de bâtiments publics dont la construction remonte parfois au XVIIe siècle. Elle est enserrée
de murailles, dominée par la Citadelle, qui lui confèrent le Statut de Place Forte et qui, pendant longtemps, ont préservé son développement, favorisant une densité élevée de l'habitat bourgeois et aristocratique, celle-ci fut construite en 1693, donc trois siècles d'histoire militaire, elle est surnommé «le Gibraltar de l'Amérique», l'ouvrage n'a jamais eu à essuyer le tir d'un seul canon, mais fut longtemps un élément dissuasif important. Les représentations de l'escadrille navale de Nouvelle-France se font pendant
la saison estivale.
Aussitôt remonter dans le bus, ils continuent leur visite sur de l'Hôtel du Parlement qui est mieux connue sous le nom d'Assemblée nationale; ce vaste édifice construit entre 1877 et 1886 est le siège du gouvernement actuel qui est Libéral. Il arbore
un fastueux décor néo-Renaissance français, reflet de la particularité ethnique du Québec dans le contexte nord-américain.
Ils repartent vers le Château, arriver près de celui-ci, ils prennent le funiculaire pour le Vieux Québec. La Basse-ville commerciale
et portuaire du Vieux-Québec est une étroite bande de terre en forme de U, coincée entre les eaux du fleuve St-Laurent et l'escarpement du Cap Diamant. C'est sur le site de la Place Royale que Samuel de Champlain (1567-1635) choisit en 1608 d'ériger son «Abitation» à l'origine de la Ville de Québec.
Puis, la guide Breem les amènent «Aux Petits Cochons Brulés», c'est un restaurant qui offre la cuisine québécoise.
Rémus prend l'omelette baveuse avec des oreilles de crisse, et une bonne bière blonde "La Brador" à 6 d'alcool. Bill prend du ragoût de boulettes, servi avec des patates rondes bouillies et des pattes de porc, servi avec une bière noire, la "Porter" à 5.6 d'alcool. Dumbledore, un mironton de sanglier, il est fin connaisseur, il demande un peu de sherry alcoolisé à 5. Arthur et Molly prennent un casserol maison de porcelet aux légumes, servi avec vin blanc à 6. Tonks et Hermione choisissent soupe aux pois et au lard, suivi de galantine de porc, et du creton de grand-mère, du foie gras et des patates aux fines herbes, des légumes à vapeurs, Dora prend un verre de bière blonde "La Molson". Rogue semble un peu dégoûté par le menu, comme d'habitude il n'aime rien, il choisit donc des saucisses de porc aux petits oignons, accompagné de purée de navets et patates à saveur de cannelle, celui-ci prend une bière blonde, "La Wild Cat", lui aussi. Harry et Ron demandent le pain de viande maison au sanglier, servi avec pommes de terre au four, accompagné de betteraves marinées, et un verre de Coka-Cola et un de Sprite. Ginny et Breem choississent le filet de porc à la sauce aux canneberges, servi avec petites patates rôties et légumes à vapeur, elles prennent comme boisson, chacune un verre de 7-UP diète. Fred et George, quant à eux, décident de prendre le cassolet de sanglier et légumes de la forêt, accompagné de patates rondes persillées, ainsi qu'une bière blonde 'La O'keefe." Pendant le repas, des airs
de chansons connues de Mme La Bolduc se font entendre.
Après ce copieux dîner, ils remontent par le funiculaire, puis ils partent en direction du Palais de Glace situé en face du Parlement et des sculptures de glace et de neige décorés sur les rues de la ville. Ils participent à quatre pour former et sculpter une forme qu'ils s'ont au préalable décidé sur un choix de plusieurs croquis. Les jeunes s'amusent en se lançant des balles de neige. Les plus vieux se cachent, et n'en mène pas large quand ils sont pris d'assaut par une bande de jeunes écervelés à la poursuite d'une bonne bataille. Rogue, comme à son habitude, n'est pas raffolant de ce genre de plaisanterie, alors celui-ci se cache pour ne pas être repéré. Malheureusement pour lui, les jumeaux l'ont déniché derrière un muret transparent situé près d'une sculpture, ils lui en font baver, pour une fois que les jumeaux peuvent s'en donner à coeur joie sur Rogue, ils ne vont pas le làcher de si tôt.
Retour vers le Château en passant par la Fortification de Québec (la Porte St-Louis), descendant la rue qui mène à ce splendide Hôtel. Chacun monte vers sa chambre, ils partent se changer pour le repas du soir. à la salle à manger de l'Hôtel, les repas sont de première classe, un 5 étoiles, ça se comprend.
Au menu, il y a:
Tournedos «Surprise»,
Navarin d'agneau,
Coquilles St-Jacques,
Assiette de fruits de mer à la sauce «mer rouge»,
Boeuf en croûte avec sauce brune,
Filet de doré amandineavec court-bouillon,
Steak tartare à la sauce au vin rouge,
Escalope de veau gratiné au fromage emmenthal,
Rosbif de boeuf au jus,
Cubes de filet de porc à la sauce forestière,
Darne de saumon poché à la sauce Hollandaise,
Brochette de poulet marinée aux fines herbes et petits oignons,
Canard à l'orange et servi avec pommes de terre Mousselines,
Spaghettini à la Carbonara,
Charcuteries Maison.
En accompagnement de légumes: Zucchinis sautés à l'ail, Champignons farcis, Tomates bijoux, Têtes de violons à la vapeur, Macédoine de légumes du côté-jardin, Escalopes de pommes de terre à la Dauphinoise, Pommes de terre en robe des champs, Pommes de terre mousseline persillées, Riz frit aux légumes, Riz pilaff, Riz à la créole, Nouilles aux aromates.
Comme desserts, il y a:
Délice aux pommes,
Gâteau aux épices à l'ancienne,
Gâteau Forêt Noire,
Crème caramel brulé,
Flan royal,
Sabayon au sucre d'érable
Soufflé aux amandes,
Gâteau au fromage,
Profiteroles au chocolat,
Paris-Brest à la praline,
Bombe Alaska ou Gâteau Norvégien,
Pièce de fruits montées,
Corne d'abondance de fromages du Québec.
Comme boissons alcoolisés:
Champagne,
Beaujelais de France,
Pisse-dru de France,
Chablis de Californie,
Chabanais rouge ou blanc,
Clos de la Maréchale 1981 rouge,
Bordeaux rouge de France,
Chambolle-Musigny Les Charmes 1982 rouge,
Mommessin Export rouge ou blanc,
Gran Codorniu,
Le Pinot noir,
Le Pinot blanc,
Chandon Brut,
Brandy,
Cointreau Cognac,
Sherry,
Porto,
Xérès,
Rhum,
Vodka,
Gin,
Tequila,
Irish coffey,
Whisky,
Tia Maria,
Sangrilla,
Du Bonnet rouge,
Bailey's
Bières Canadiennes:
Molson, Labatt, O'Keefe, La Brador, La Bleue, La Porter, La Wild Cat, et plusieurs bières importées.
Comme rafraîchissements, il y a: le Coke, Sprite, 7-UP, Pepsi, Crush Orange, Crush Soda, Rootbeer, Ginger Ale.
Vers 6 heures 30 pm, ils sortent de table, la soirée ne fait que commencée. La guide, Mlle Tipik, les amène vers les rues du défilé, où un spectacle de jeux de lumières et de feux d'artifices les attendent ainsi que la parade des chars allégoriques, et du traditionel serre-main des centaines de personnages multicolores. Il est 9 heures pm quand elle les amène au Petit Pub du Croissant mouillé, où les festivités commencent autant pour eux: "Les Longues Babines", groupe de chanteurs de vieilles chansons traditionnelles québécoises, acadiennes et d'autres nationalités, avec danses multi-ethniques et traditionnelles de ceintures flèchés, de balai,
servi avec la boisson alcoolisée officielle du Carnaval: "Le Caribou." (Cocktail chaud à basse de brandy, vodka, sherry et porto). Des participants jeunes et moins jeunes sont choisis au hasard dans le pub, et sont ensuite invités à participer aux chansons, ou à composer un poème sur les festivités du Carnaval ou sur leurs impressions de la Ville de Québec, ou à en chanter une de leurs chansons sur l'estrade, et à faire deux, trois p'tits pas de danse avec les autres spectateurs. Pour les jeunes la boisson servie: Punch à la villageoise, non alcoolisé.
Dumbledore, Rogue, Rémus, Bill, Arthur, Breem, Dora et Molly prennent un verre de Caribou, puis semblent s'étouffer, c'est normal, C'est une boisson à 100 d'alcool. Rémus et Bill alias Sirius lancent un défi à Rogue, Tonks et à Breem, celui de boire le plus de verres possibles. Breem et Tonks déclinent l'invitation. Rogue les regarde de toute sa grandeur et les envois promener. Pas grave, on va s'amuser tout seul leur dit Bill.
Le chansonnier choisit au hasard en pointant du doigt: un homme à la barbe blanche. Il lui fait signe de monter sur scène. Dumbledore s'exécute, et il se met à chanter un morceau de:
«Tout est meilleur quand on chante!» dit-il.
«C'est bon pour le moral» «C'est bon pour le moral. C'est bon, bon! C'est bon, bon!»
«C'est bon pour le moral» «C'est bon pour le moral. C'est bon, bon! C'est bon, bon!» ,
"Bonbon au citron avec ça!"
Puis Dumbledore retourne à sa place, féliciter par les autres clients. Les danseurs se sont arrêtés, et attendent la prochaine toune.
Point de vue Dumbledore
C'est charmant comme endroit, l'atmosphère est tipiquement de la Nouvelle-France, de l'Irlande, de la Grande-Bretagne, de l'Acadie, et les chansons traditionnelles sont tellement belles. Oh non, pas moi, je ne veux pas chanté, je suis trop vieux, trop vieux pour ce genre d'élucubrations. Trop tard, j'ai été pointé du doigt, alors aussi bien montrer le bon exemple.
Les danseurs ont repris leur danse-carré avec comme accessoire un balai, ils dansent autour de celui-ci, puis le passent à son voisin, et reprennent la danse ainsi. Le chansonnier pointe à nouveau son doigt, il regarde vers Breem, qui se lève avec sourire aux lèvres. Celle-ci interprète: Chevalier de la table ronde. Et le chansonnier l'accompagne à la guitar.
«Chevalier de la table ronde, allons voir si le vin est bon.»
«Allons voir oui, oui, oui, allons voir non, non, non, allons voir si le vin est bon.»
«Allons voir oui, oui, oui, allons voir non, non, non, allons voir si le vin est bon.»
«J'en boirai cinq à six bouteilles, un homme sur mes genoux.»
«J'en boirai oui, oui, oui, j'en boirai non, non, non, j'en boirai cinq à six bouteilles.»
«J'en boirai oui, oui, oui, j'en boirai non, non, non, j'en boirai cinq à six bouteilles.»
«Chevalier de la table ronde, allons voir si l'amour est bon.»
«Allons voir oui, oui, oui, allons voir non, non, non, allons voir si l'amour est bon.»
«Allons voir oui, oui, oui, allons voir non, non, non, allons voir si l'amour est bon!»
Les clients tapent des mains, certains dansent la gigue. Breem descends de l'estrade applaudis par les clients du Petit Pub.
Point de vue de Breem
Wow, super cool, j'ai chanté, c'est le fun, j'irais bien encore, ça swingne dans le fond d'la boîte à bois. Charmant ce Petit Pub. Je crois que Dora et moi, ont plaît beaucoup ici, il y a deux beaux mecs au bar qui nous regardent toutes les deux, Mmmm, je leur ferait pas de mal pour une p'tite gigue.
Le chansonnier reprend son pointage de doigt, celui-ci indique Fred et George. Ceux-ci demandent une feuille de chansons québécoises. Il en prennent une intitulée: Pour boire il faut vendre. Le musicien l'accompagne à l'accordéon.
«Pour boire, il faut vendre, pour boire, il faut vendre.»
«Le chapeau de ma blonde, le chapeau de ma blonde.»
«Je l'ai vendu, argent reçu, j'ai eu 5 sous.»
«Et puis un coup, j'ai fait la culbute,»
«Pis j'ai perdu ma tuque.»
«Pour boire, il faut vendre, pour boire, il faut vendre.»
«Les bottines de ma blonde, les bottines de ma blonde.»
«Je l'ai vendu, argent reçu, j'ai eu 5 sous.»
«Et puis un coup, j'ai fais la culbute,»
«Pis j'ai perdu ma tuque.»
Les gens sont très content, l'atmosprère est joviale, ils applaudissent, ils rient, ils boivent, ils dansent, ils chantent, ils dorment même la tête accotée sur les tables. Un second spectacle commence, les danseurs et danseuses s'exécutent avec des ceintures flèchées, sur des airs de violonneux, de reels d'enfer.
Point de vue Fred
C'est vraiment super, ces chansons ont du rythmes, ça fait danser, et cela amuse tout le monde. Bon, il est temps que j'aille danser, Hermione m'invite.
Point de vue de George
Superbe! Cette ambiance est formidable, j'aimerai bien retourner chanté, cette fois-ci tout seul. Han, J'ai chanté devant tout le monde, moi qui je chante que sous la douche. "Oué, c'l'fun!"
Le doigt pointe vers Molly, elle se lève puis revient s'asseoir, elle ne sent pas la force de chanter.
«Molly! Molly! Molly! Molly! Molly!»
Crièrent-t-ils à son endroit pour l'inciter à se lancer dans la chanson. Elle monte sur l'estrade, prend un petit livre, et cherche une chanson simple.
«En passant par la Lorraine, avec mes sabots!»
«En passant par la Lorraine, avec mes sabots!»
«J'ai rencontré trois capitaines, avec mes sabots, dondaine, oh! oh! oh, avec mes sabots!»
«J'ai rencontré trois capitaines, avec mes sabots!»
«J'ai rencontré trois capitaines, avec mes sabots!»
«Ils m'ont appelé: Vilaine! avec mes sabots, dondaine, oh! oh! oh, avec mes sabots!»
«Je ne suis pas si vilaine, avec mes sabots!»
«Je ne suis pas si vilaine, avec mes sabots!»
«Puisque le fils du roi m'aime! avec mes sabots, dondaine, oh! oh! oh, avec mes sabots!»
Puis elle fait sa révérence, descend s'asseoir à la table près d'Arthur, elle est applaudit de tout le monde, elle se rassit sur sa chaise. Les danseurs de gigue ont commencé leur spectacle.
Point de vue de Molly
Je n'en reviens pas, je n'en reviens pas, j'ai chanté devant tout le monde, c'est excitant, je suis si fière de moi. Mon Arthur m'envoie des petits yeux doux. Si le chanteur me pointe encore une fois, je saute sur l'occasion pour y retourner. J'espère qu'Arthur sera choisit, j'aimerai bien savoir ce qu'il va trouver à chanter.
Le doigt pointe une jeune fille, Hermione est appelé à monter sur l'estrade. Celle-ci regarde dans le cahier, puis elle commence:
«V'la l'bon vent, v'la l'joli vent, V'la l'bon vent mamie m'appelle!»
«V'la l'bon vent, v'la l'joli vent, V'la l'bon vent mamie m'attend!»
«Derrière chez nous y a-t-un étang, derrière chez nous y a-t-un étang!»
«Trois beaux canards s'en vont baignant!»
«V'la l'bon vent, v'la l'joli vent, V'la l'bon vent, mamie m'appelle!»
«V'la l'bon vent, v'la l'joli vent, V'la l'bon vent, mamie m'attend!»
«Trois beaux canards s'en vont baignant, trois beaux canards s'en vont baignant!»
«Le fils du roi s'en va chassant!»
Puis Hermione descend de l'estrade, elle est félicité par ces amis.
Point de vue d'Hermione
J'ai bien aimé cette chanson, mais pour ce qui est de chanter, c'est pas mon truc. S'il se repointe sur moi, je le fige.
Le chansonnier pointe en direction de Rogue, celui-ci fait signe qu'il ne chantera pas. Dumbledore lui prit de bien vouloir accepter comme les autres. Rogue se lève avec une fureur palpable, ses yeux lancent des éclairs. Il fusille du regard Dumbledore pour l'avoir embarquer dans cette galère, mais plus méchamment il dévisage Breem, pour l'avoir amener dans ce Pub, puis il se met à chanter:
«Mademoiselle, voulez-vous danser la bastringue, la bastringue.»
«Mademoiselle, voulez-vous danser la bastingue va commencer.»
«Oui, monsieur, je veux bien danser la bastringue, la bastringue.»
«Oui, monsieur, je veux bien danser, c'est pour vous accompagner.»
«Mademoiselle, vous avez dansé, la bastringue, la bastringue.»
«Mademoiselle, vous avez dansé, vous allez vous fatiguer.»
«Oh! monsieur, je sais bien danser, la bastringue, la bastringue.»
«Oh! monsieur, je sais bien danser, je suis prête à r'commencer.»
«Mademoiselle, j'n'peux plus danser, la bastringue, la bastringue.»
«Mademoiselle, j'n'peux plus danser, je vous prie de m'excuser.»
Rogue a un timbre de voix ridiculement rauque, à en écorcher les oreilles, surtout ceux de Rémus. Rogue retourne à sa place.
Le doigt pointe à présent Bill alias Sirius. Celui-ci ne se fait pas prier, c'est sûr, il adore ça être le point de mire. Il débute avec:
«C'est l'aviron qui nous mène, qui nous mène, c'est l'aviron qui nous mène en haut!»
«M'en revenant de la jolie Rochelle, m'en revenant de la jolie Rochelle!»
«J'ai rencontré trois jolies demoiselles.»
«C'est l'aviron qui nous mène, qui nous mène, c'est l'aviron qui nous mène en haut!»
«J'ai rencontré trois jolies demoiselles, j'ai rencontré trois jolies demoiselles!»
«J'ai pas choisi, mais j'ai pris la plus belle!»
«C'est l'aviron qui nous mène, qui nous mène, c'est l'aviron qui nous mène en haut!»
«J'ai pas choisi, mais j'ai pris la plus belle, j'ai pas choisi, mais j'ai pris la plus belle!»
«J'la fis monter avec moi sur ma selle!»
«C'est l'aviron qui nous mène, qui nous mène, c'est l'aviron qui nous mène en haut!»
Sirius fut acclamé par toutes la troupe de sorciers et des clients de l'établissement sauf par Rogue qui ruminait encore sur sa prestation médiocre.
Point de vue de Sirius
J'en reviens pas, j'en reviens pas! J'ai vraiment chanté, vraiment chanté devant des québécois. WOW, c'est drôlement le fun, et cette chanson était vraiment faite pour moi. OULALA! Il y a un méchant Rogue qui n'a pas l'air content!
Cette fois-ci le doigt se dirige vers Rémus et Arthur. Ceux-ci semblent un peu déboussolés, mais ils sont encouragés de tous, nerveux ils montent sur la scène.
«Bonhomm', bonhomm', si tu jouais, Bonhomm', bonhomm', si tu jouais!»
«Si tu jouais de ce violon-Là, si tu jouais de ce violon-là!»
«Zing, zing, zang, de ce violon-là, zing, zing, zang, de ce violon-là!»
«Bonhomme!»
«Tu n'es pas maître dans ta maison quand nous y sommes!»
«Bonhomm', bonhomm', si tu jouais, Bonhomm', bonhomm', si tu jouais!»
«Si tu jouais de cett' flûte-là, si tu jouais de cett' flûte-là!»
«Flute, flute, de cett' flûte-là, flute, flute, de cett' flûte-là!»
«Zing, zing, zang, de ce violon-là, zing, zing, zang, de ce violon-là!»
«Bonhomme!»
«Tu n'es pas maître dans ta maison quand nous y sommes!»
«Bonhomm', bonhomm', si tu jouais, Bonhomm', bonhomm', si tu jouais!»
«Si tu jouais de ce tambour-là, si tu jouais de ce tambour-là!»
«Boum, boum, boum, de ce tambour-là, boum, boum, boum, de ce tambour-là!»
«Flute, flute, de cett' flûte-là, flute, flute, de cett' flûte-là!»
«Zing, zing, zang, de ce violon-là, zing, zing, zang, de ce violon-là!»
«Bonhomme!»
«Tu n'es pas maître dans ta maison quand nous y sommes!»
Point de vue de Rémus
Vite faut que je descende de l'estrade, en 4e vitesse, je n'aime pas être regarder comme un chien dans un jeu de quilles. Je suis tout de même bien heureux d'avoir participé et d'avoir chanter cette rengaine entraînante. Cela me rappelle de bons souvenirs de jeunesse.
Point de vue d'Arthur
WOUAIS! Pas si mal pour un vieux croulant comme moi, ma belle Molly semble fière de moi, elle me lance des regards attendrissants. Bien, je vais descendre et me rapprocher d'elle, c'est mon amour.
Et le doigt se place devant une femme aux cheveux bruns, c'est Tonks. Celle-ci est encouragé par tous. Elle monte sur la scène.
Elle trouve une chanson bien originale:
«De temps en temps moi j'ai les bleus, de temps en temps moi j'ai les bleus!»
«Les bleus royales, les bleus marines, les bleus turquoises, les bleus pastels!»
«Les bleus d'amour, les bleus tout court!»
«C'est pas si mal de temps en temps, j'en connais qu'ont les bleus tout l'temps!»
«De temps en temps moi j'ai les bleus, de temps en temps moi j'ai les bleus!»
«Les bleus azurs, les bleus aquas, les bleus poudres, les bleus pervenches!»
«Les bleus d'amour, les bleus tout court!»
«C'est pas si mal de temps en temps, j'en connais qu'ont les bleus tout l'temps!»
Point de vue de Tonks
Je regarde Rogue pendant la chanson, naturellement il ne me sourit pas, il a vraiment les bleus à présent. Je suis heureuse de participé à cette fête, j'ai été bonne ce soir, j'ai même reçu une bière à ma table par d'un des hommes que Breem m'a fait allusion tout à l'heure. Il est vraiment craquant, mmmm, j'y ferais pas mal, c'est sûr.
Le chansonnier demande à Ginny de monter, elle récite à l'assemblée un poème:
«Toutes les tours de ce magnifique Château, ont des vues sur nous!»
«Du monde, il y en a autour de vous!»
«Heu...désolé, j'abandonne, c'est trop dure!»
Le chansonnier lui donne le petit cahier. Puis, elle se met à chanter:
«Je veux toute, toute, toute la vivre ma vie!»
«Je ne veux pas l'emprisonner!»
«J'la veux toute, toute, toute!»
«Pas juste des petits boutes!»
«Je veux toute, toute, toute la vivre ma vie!»
«Laissez-moi donc faire!»
«si je saute en l'air!»
«laissez-moi exagérer!»
«laissez-moi rire si j'ai le goût de rire!»
«mais laissez-moi me tromper!»
«Je veux toute, toute, toute la vivre ma vie!»
«Je ne veux pas l'emprisonner!»
«J'la veux toute, toute, toute!»
«Pas juste des petits boutes!»
«Je veux toute, toute, toute la vivre ma vie!»
Ginny descend de la scène, elle est applaudit de tous, Molly et Arthur la serrent dans leurs bras. Ils la complimentent.
Point de vue de Ginny
C'est pas croyable, j'ai chanté devant tout le monde, que c'est gênant, je ne veux plus jamais être obliger de chanter en public, je déteste ça.
Puis, Harry et Ron sont visés, ils montent sur la scène et regardent quelle chanson ils vont interpréter. Puis, ils commencent:
«La loutre veut pas sortir du trou, la loutre veut pas sortir du trou!»
«Faut aller chercher l'bâton, l'bâton veut pas battre la loutre!»
«La loutre veut pas sortir du trou!»
«La loutre veut pas sortir du trou, la loutre veut pas sortir du trou!»
«Faut aller chercher le chien, le chien veut pas mordre l'bâton!»
«L'bâton veut pas battre la loutre, la loutre veut pas sortir du trou!»
«La loutre veut pas sortir du trou, la loutre veut pas sortir du trou!»
«Faut aller chercher le fusil, le fusil veut pas tirer le chien!»
«Le chien veut pas mordre l'baton, l'baton veut pas battre la loutre!»
«!La loutre veut pas sortir du trou!»
«La loutre veut pas sortir du trou, la loutre veut pas sortir du trou!»
«Faut aller chercher l'chasseur, l'chasseur veut pas prendre le fusil!»
«Le fusil veut pas tirer le chien, le chien veut pas mordre l'baton!»
«L'baton veut battre la loutre, la loutre veut pas sortir du trou!»
«La loutre veut pas sortir du trou, la loutre veux pas sortir du trou!»
«Faut aller chercher la femme, la femme veux pas tenir l'chasseur!»
«L'chasseur veut pas prendre le fusil, le fusil veut pas tirer le chien!»
«Le chien veut pas mordre l'baton, l'baton veut pas battre la loutre!»
«La loutre veut pas sortir du trou!»
«La loutre veut pas sortir du trou, la loutre veux pas sortir du trou!»
«Faut aller chercher une loutre, une loutre qui l'fait sortir du trou!»
«La loutre est près d'sortir du trou, la loutre est bien sortie du trou!»
Point de vue de Ron
Et bien, il s'en est fallu de peu pour que je chante tout seul, je n'aime pas chanté devant les autres, sauf devant mes amis et si j'y suis contraint. J'espère qu'il ne me raccrochera pas pour une autre rengaine. J'ai hâte de partir pour le Château.
Point de vue d'Harry
Je me sens léger, cela m'as fait du bien de chanter, même si je me suis tromper à quelques reprises, je suis plus détendu, j'avoue qu'Hermione a une jolie voix, mais Ginny, c'est incroyable de constater qu'elle a une voix superbe. J'ai hâte de retourner à l'Hôtel, dans ce genre d'endroit, la plupart fument, et c'est très irritant pour le nez et la voix. J'ai bien apprécié chanter avec Ron, tous les deux ont fait la paire, comme ses frères Fred et George.
Tous applaudissent avec vigueur, ce spectable est l'un des meilleurs que le proprio dit avoir vu. Ils les remercie tous d'être venus.
La plupart étant fatigué, ils décident de regagner le Château. Il est 23 heures 30, lorsqu'ils reviennent au Château, les plus pompettes sont Rémus, Bill alias Sirius, Dora, Breem, les autres sont juste geurlots, tandis que les jeunes commencent à peine à s'amuser. Par contre, Rémus, Bill, Dora, Breem vont quand même au bar-Maritime passer leur veillée. Les jeunes montent vers leurs chambres, puis ils reviennent sur leurs pas et décident ensemble d'explorer le Château, comme ça, ils sont sûrs de ne pas s'embourber dans des complications fantômatiques.
Ils partent vers le 8e étage vérifier s'il n'y aurait pas d'autres passages secrets, ils empruntent les escaliers de secours, soudain ils entendent crier une voix d'enfant, ils se précipitent vers sa direction et là ils voient un enfant suspendu au dessus du sol solidement attacher, Fred et George le soutiennent pendant que Harry et Ron coupent ses liens. L'enfant tout heureux leur dit que c'est bien gentil de leur part mais que demain il sera encore dans cette position, son grand frère adore ce genre de plaisanterie. Il se présente à eux, il se nomme Alpho Bobard. Puis, celui-ci disparait sous leur yeux en claquant ses doigts.
"Mince alors, il y a d'autres sorciers dans cet Hôtel." s'esclame Harry, éberlué.
Puis, ils décident de se séparer en un groupe de trois: Ginny, Fred et George, Hermione, Ron et Harry, baguette en poche, SVP, ils partent à l'aventure. George sonde les portes des chambres au hasard, tandis que Fred regarde à l'intérieure. Ginny fait le guet dans le couloir. George sonde la porte de la chambre 801, celle-ci n'est pas barrée, il ouvre la porte, Fred entre à l'intérieure avec lui, et tous les deux voient deux êtres bizarrement verts qui les scutent d'une drôle de façon, des «E.T.»
Ils ferment la porte à toute vitesse. Ils vont dans la chambre d'à coté, le 803, il ouvre la porte qui n'est pas barré, ils entrent tous les deux, et ils voient deux étranges créatures poilus et immenses, qui les scutent d'une drôle de façon, des «Yétis».
Ils referment cette porte aussi rapidement que la première. Il sonde à nouveau une porte, la chambre 806, celle-ci aussi n'est barré à clé, ils ouvrent la porte et voient deux grosses marionnettes géantes insolites d'un poil orange qui les regarde d'une étrange manière avec des yeux exhorbités, des «Youpi».
Ils referment la porte derrière eux et se sauvent à toutes jambes vers la direction d'Harry et les autres. Ensemble, ils discutent de ce que Fred, George ont vu dans les trois chambres du 801,803, 806. Puis, ils continuent leur exploration.
Pendant ce temps, au bar-Maritime, installés dans de luxueux sièges autour d'une jolie table de marbre, Bill, Rémus, Breem, Tonks prennent du bon temps, un concours est organisé entre eux, celui qui tolère le mieux l'alcool, et combien en boira-t-il. Tonks bois douze Rhum-coka et s'affaise sur son siège. Rémus bois seize Vodka-orange, il tire sa révérence et s'installe confortablement. Breem continue la cadence, elle en est à son 19e verre de Bailey's, Bill alias Sirius tient tête à celle-ci avec 19 verre de Tequila-citron. Bill prend son 20e verre, et Breem lui chante la traditionnelle chanson qui accompagne le buveur.
«Eh glou, eh glou, eh glou, eh glou!»
«Et porte-le au front-ti-bus, au nez-ti-bus, au menton-bus, à l'aqua-bus, au nombril-bus!»
«Eh glou, eh glou, eh glou, eh glou!»
«Il est des nô-ôtres, il a bu son verre comm-me les au-autres!»
Breem en est à 20e verre, et les autres lui chantent le même refrain. Elle semble bien tenir l'alcool, elle lève le coude assez bien.
Bill en est à son 21e, il regarde ses amis avec un drôle d'air, il ferme les yeux à plusieurs reprises, il semble bien qu'il va tirer sa révérence dans pas grand temps. Breem continue même si elle se sent amochée, 21e verre de Bailey's a de la difficulté à entrer dans le gorgoton. Bill se force à prend le 22e verre de Tequila, celui-ci a la vue trouble, les effets nocifs semblent faire leur travail.
Breem prend son 22e verre et regarde Bill avec un sourire triomphant. Bill ne capitule pas facilement, il a la tête dure, il n'aime pas se faire battre pas une femme sur ce point-là. Rémus et Tonks dorment déjà dans leur siège. Breem fait face à nouveau à Bill en avalant son 23e verre. Celui-ci la suit à nouveau pour un 23e, puis en reprend un 24e, pour la baver, Breem suit de plus belle même si son corps ne la suit plus, elle se jète à corps perdu sur le 24e verre, elle regarde Bill d'un air conquérant. Bill ne voit pas cela du même oeil, il se force à boire son 25e, elle le suit tout autant pour un 25e verre, puis après plusieurs oeillades tous les deux, se déclarent forfait, à égalité. Breem se lève et part vers la salle de bain, lorsqu'elle en revient trois personnes dorment paisiblement dans un fauteuil. Elle les monte tour à tour à leur chambre en employant un sort de légèreté sur eux et emploie un Alohomora pour ouvrir leur porte, elle les installe sur leur lit. Puis, elle se dirige vers sa chambre, part sous la douche tiède et en ressort pour s'engouffrer dans son lit. Il est 4 heures am.
Entre-temps, Rogue et Dumbledore ont disputé une longue partie d'échec, ni l'un ni l'autre n'a gagné, il devront terminé leur partie demain. Il est 2 heures 46 lorsqu'ils se mettent au lit. Dumbledore porte un pyjama bleu foncé en ratine, Rogue a mis un pyjama noir en satin.
De leurs côtés, les jeunes sont parvenue à trouver un passage secret, découvert en tâtant les murs de chaque coté du couloir du 8e étage. Ils ont tassé une tapisserie de la grandeur du mur, puis, il se sont introduit dans une brèche incrustée dans la paroi, ensuite ils sont aspiré par une rafale d'ombres tournoyante autour d'eux. Ils sentent leurs corps flottés dans les airs, tous les six sont amené vers le centre du Château, dans une grande pièce ronde avec chaudrons et bouilloires de fonte, assiettes, écuelles et cuillères de bois, de vieilles tables et bancs de bois usés, les murs peint à la chaux, un vieux foyer auquel un chaudron est installé, mijotant un ragoût de boeuf. Les jeunes sont surpris de la clarté de cette pièce qui est éclairée par un puit de lumière au-dessus d'eux. Les ombres les invitent à dégusté leur ragoût servi sur la table. Ils se regardent en ne sachant pas quoi faire. Hermione s'aventure la première sur cette assiette ragoûtante, elle goûte puis fait un signe de tête aux autres pour leurs dire que c'est bon. À ce moment, les autres font de même. Soudain, chacun remarque que les autres disparaient et deviennent invisible. La panique s'empare d'eux. Ils se bousculent entre eux, ne sachant pas où ils sont tous. Puis, ils se crient de retourner le plus vite possible vers nos chambres, et allez voir Dumbledore, s' ils n'arrivent pas à trouver une solution à cet énorme problème.
De retour à leurs chambres, ils s'engouffrent dans celle d'Harry. Ils se lancent des sorts de visibilité, rien ne marche, ils se lancent des contre-sortilèges, mais rien n'y fait. C'est à contre coeur qu'ils vont frappé à la chambre de Dumbledore et Rogue.Trois coups sont frappés à la porte, Rogue se lève, il ouvre la porte, il n'y a personne devant lui, il referme. Deux coup sont frappés à la porte, une seconde fois. Il se relève et ouvre à nouveau la porte, il n'y a toujours personne. Rouge de colère, il retourne dans son lit, quelques minutes plus tard, ça frappe encore à la porte, il se relève et ouvre encore la porte, rien, n'y personne. Les jeunes s'en donnent à coeur joie de voir la face de Rogue devenir rouge et maugréant des jurons. Il repart vers son lit et se couche, ne fermant pas les yeux. 5 minutes plus tard, ça cogne encore à la porte, il se lève furieux, il ouvre la porte, personne. Il referme, et fait semblant de marcher vers son lit, quelsques minutes plus tard, ça cogne encore, il ouvre la porte immédiatement devant lui, toujours personne. Il réveille le vieux Dumbledore, il lui demande de bien surveiller la porte, pendant que lui se poste tout près d'elle, parce que quelqu'un s'amuse à nous réveiller.
Dumbledore s'asseoit sur son lit, regarde Rogue près de la porte. Trois coups sont donnés sur la porte au même moment Rogue ouvre celle-ci, il n'y a personne. Rogue est très fâché, Dumbledore lui conseille de se recoucher, qu'il va élucidé ce petit problème lui-même. Trois coups sont frappés à la porte, Dumbledore en pyjama rose bonbon avec de petites étoiles bleus, ouvre la porte, il est tiré par des mains invisibles qui l'amène vers la chambre de Harry. Les jeunes lui expliquent ce qui leur est arrivé. Puis Dumbledore leur lance un puissant sortilège de visibilité, rien ne marche. Il dit des mots dans une langue ancienne et lance à nouveau le sort, rien ne change. Alors, il dit à ceux-ci de se coucher, on y verra plus clairement au matin. Dumbledore s'en retourne dans sa chambre, dormir pour le reste des heures avant l'aube.
Les jeunes se couchent avec l'espoir que tout redeviendra normal au matin.
Fin du chapitre
