P'tit mot de l'auteur (en fait c'est un mensonge mais personne ne m'en tiendra rigueur)

Je sais que pour beaucoup cette fic était plaisante cependant, je vous confit qu'au départ ce devait être un One-Shot de 30 pages et pas une fic.

De plus je me suis lancé dans une dizaine d'autre fic pour le moment et celle-ci je ne sais plus trop qu'elle était mon idée de départ (vive moi et mon cerveau de pacotille ). De plus pour des raison personnelle elle ne me plait plus du tout du tout du tout, cependant si l'un d'entre vous veux la continuer, y a de problème, vu que je suis sur et certaine de ne pas le faire moi-même. En ce qui me concerne elle est finie.

Voilà pour le mot de l'auteur, qui a changé de nom.


Pour ce qui est des reviews.

Laumie : merci, merci, t'es un amour, mais pour le respect c'est de trop, j'ai une tendance naturelle a avoir la tête qui enfle alors sinon bonne continuation à toi aussi.

Shinkha : C'est super sympa à toi, mais je le dit plus haut je n'ai pas l'intention de la finir. Pour ce qui est des rebondissements, j'écris une autre fiction, pas du tout dans la même catégorie qui en est pleine. Je la publie pour le moment de façon régulière. Bizz et à bientôt.

Juju black : attend que je pleurs un peu avec toi sur le triste destin des ces personnages mais que veux-tu il faut bien un jour que s'arrête l'aventure. ;-)

Sahada : ben non parce que je suis pas spécialement fan de violence et puis parce que moi décrivant une scène de guerre ça tourne tout de suite au gag, donc j'ai préféré évité. De plus je n'ai jamais vraiment eu l'idée que cette guerre se déroule vraiment et je crois que ma Saki non plus. Elle est héroïque de se sacrifier pour le paix je trouve, enfin ce n'est q'une réalité alternative alors je crois que je m'emballe un peu trop. Bonne continuation, encore merci et à plus.

Akeri la malicieuse : Ouh la la trop compliqué pour moi, je suis arrivé à la fin de mon imagination concernant cette histoire, mais ça me fais plaisir que tu l'ais aimée au point de vouloir que je la continu. Merci, bizz.

le mot de la fin: vive le baboin d'amazonie et leur conjénère de papouzie du Sud.