Un coup du sort : de Griffes et de Sang
Auteur : Chris (chrisanimefanyahoo.fr)
Titre : Un coup du sort de Griffes et de Sang
Série : Harry Potter (livres 1-4)
Déclaration : Je n'ai pas les droits sinon je vous jure le tome 5 ne serait pas ce qu'il est !!
Chris un rien en rogne contre l'auteur,, et surtout toute triste
Genre : longue fic ;; sentimentale mais pas sûre ; ;
Couple : Sirius Black X Severus Rogue (enfin Snape, je préfère Snape d'ailleurs) mon couple fétiche
Neville X Hermione. Harry X Ginny. Draco X Ron. Seamus X Kôji (allusions).
Dédicace: Pour mes lecteurs !! Merci à vous toutes et à tous Vous êtes adorables !! Merci à Mano
PS : Je suis désolée d'être si longue… Ce n'est pas les idées qui me manquent mais le temps.
NDA : Julius, le chef des cerbères, et les créatures bleues / les gardiens m'appartiennent. Amélia ; Julius et Cécilia m'appartiennent.
Chapitre 38 : Mystères Poudlard – salle à manger principaleHermione, Ginny collée contre Harry, Neville, Draco assis près de Ron regardaient tous avec une grande attention le jeune Potter qui avait assisté au combat et qui donc savait plus de choses qu'eux.
Ils ne voulaient pas être en reste, surtout qu'eux aussi avaient vu la créature monstrueuse qu'ils pensaient, à juste raison d'ailleurs, responsable des nombreux dégâts dans une partie de Pouldard et des derniers graves événements qui s'étaient produits dans l'école de sorcellerie.
« Pour commencer et pour vous rassurer, nous avons réussi à neutraliser cette chose… »
Tous les adolescents poussèrent un soupir de soulagement dans un bel ensemble.
Harry repensa à ce qu'il avait vu, il n'était plus sûr de rien.
Ce qui s'était passé cette nuit semblait avoir changé beaucoup de choses, c'était comme si son monde venait de s'écrouler et qu'il n'avait plus rien à quoi se rattacher.
« Je ne suis pas sûr de tout avoir compris… » continua l'adolescent en proie à des doutes compréhensibles. « Il faudra peut-être demander confirmation au professeur Dumbledore… »
Ron, son ami de toujours, le regarda puis posa sa main sur son épaule comme pour lui communiquer un peu de sa force et de son courage.
« Harry… Parle, confie-toi… Cela te fera du bien… » suggéra Ron avec une grande douceur.
Draco l'approuva et passa son bras autour des épaules du rouquin.
« Ron a raison, Harry… » ajouta Malefoy. « Il faut que tout cela sorte sinon, tu risques de t'empoisonner et de te pourrir la vie à ressasser cela. Parler te libéra… »
Harry s'abîma un instant dans la contemplation de sa tasse de thé ou du moins ce qu'il en restait.
Il était vraiment dommage de ne pas croire aux arts divinatoires car sûrement que le fond de sa tasse aurait voulu dire quelque chose aux yeux de son professeur.
Après un soupir, il regarda ses amis, se demandant comment ils supporteraient la nouvelle et si leurs épaules étaient à même d'assumer le choc.
Puis il commença après avoir rassemblé son courage, parler ne pouvait que lui faire du bien, Draco avait raison.
Après un hochement de tête en direction du Serpentard, en signe de remerciement, il éclaircit sa voix.
« Après que le mur soit tombé et vous ai avalé, j'étais vraiment perdu… » Il frissonna en repensant à ce sentiment d'angoisse qui l'avait étreint quand il avait été séparé du soutien de ses compagnons. « Mon parrain et le professeur Rogue m'ont ordonné de fuir… »
Hermione hocha la tête, cela était la chose la plus raisonnable à faire.
« Mais bien sûr… Vous me connaissez… » continua t-il en souriant.
La jeune adolescente aux boucles mordorées fit une moue. Dans quels ennuis s'étaient encore fourrés Harry ? Il n'y avait pas à dire mais lui et Ron avaient vraiment l'art de se fourrer jusqu'au cou dans les pires ennuis ! Tous cela pour rien ou par pure curiosité !
Elle roula donc des yeux, Neville posa une main apaisante sur son bras.
« Je ne les ai pas écouté. Maintenant que je ne suis plus sous le coup de l'excitation et de la curiosité, je réalise à quel point j'ai été fou… »
Oui, cela avait été pure folie de que de foncer vers Sirius alors qu'un monstre puissant se tenait en face d'eux en pleine possession de ses pouvoirs.
Sur le coup, il n'avait pas réfléchi et il s'était lancé tête baissée vers celui qu'il considérait comme son père traversant la pièce et se mettant ainsi face au danger.
L'adolescent expliqua ce qu'il avait fait à des amis qui le regardèrent avec stupeur.
« Alors que s'est-il passé Harry ? » demanda Ginny en frissonnant, son ami avait vraiment frôlé la mort. Elle espérait que son insouciance disparaîtrait avec le temps et qu'il s'assagirait.
« Rogue s'est précipité vers moi et il m'a sauvé la vie. » dit-il en montrant bien par le ton de sa voix qu'il n'en revenait toujours pas. Rogue, le maître des potions, son professeur qui le haïssait et qui ne cessait de lui asséner détention sur punition, celui qui détestait les Gryffondors… l'avait sauvé lui.
« Mon parrain est un homme bien malgré les apparences. » soutient mordicus Draco en insistant sur ce qu'il venait de dire. « Certes, il n'aime pas les Gryffondors mais cela est réciproque. De plus, nous Serpentards, nous n'aimons que les nôtres… Nous sommes ô combien à l'opposé de vos idéaux de camaraderie. Ce qui nous importe le plus est le pouvoir sous quelque forme que cela soit... Pour en revenir à ce que je disais. Je connais mieux le professeur Rogue que vous. »
Il planta ses yeux dans l'assemblée suspendue à ses lèvres et les laissa méditer et digérer ces informations. Cela semblait difficile à admettre pour tous et encore plus pour Neville, le souffre-douleur de leur professeur détesté. Celui qui leur avait enlevé si injustement des points et qui le ferait sans aucun doute à nouveau.
« Notre responsable, celui qui représente les Serpentards nous prend tels que nous sommes et nous acceptent, il nous pousse sans cesse à nous surpasser. Vous le jugez sur les apparences, certes il ne vous aime pas et c'est réciproque… Mais il n'empêche que c'est un homme bon sous ses dehors sévères… »
Neville ne pu que frissonner… Le professeur Rogue était un homme bon ? Il ne goûtait certainement pas la plaisanterie, il ne pouvait y penser sans avoir d'incontrôlables frissons à la pensée de l'homme penché sur son épaule observant ses erreurs et ne lui pardonnant aucune faute… Ce professeur était sans aucun doute le pire cauchemar de sa vie.
« Il est plus un père pour moi que ne l'ai mon père biologique… » ajouta Draco presque en un murmure douloureux exprimant ainsi pour la première fois les relations distantes qu'il entretenait avec sa famille. « Il vous a toujours protégé. Dois-je vous le rappeler ? »
C'était surtout à Harry que s'adressait cette dernière remarque : Rogue l'avait soutenu sur son balai quand en première année, l'un des partisans de lord Voldemort avait essayé de l'assassiner. Puis, il les avait tous défendus quand Remus s'était transformée en loup-garou sous leurs yeux ébahis. Il s'était interposé entre le monstre assoiffé de sang et de chair malgré l'intervention de Sirius et eux.
Il est vrai que le courage et l'abnégation de leur professeur avait déjà été prouvé pour avoir été mise à rude épreuve. Harry connaissait peu d'homme qui aurait fait son geste afin de le sauver.
« Je lui en suis très reconnaissant et je sais, nous savons tous ici, que c'est toi qui as raison, Draco. » finit par dire l'adolescent aux yeux émeraude en regardant chacun des membres assis.
« Pourquoi ? » demanda Neville quelque peu hésitant.
« Pourquoi quoi ? » répliqua aussitôt le Serpentard devant une question aussi vaste que celle-ci.
« Pourquoi… » commença le Gryffondor quelque peu enveloppé. Il hésitait. Hermione lui donna un coup de coude, ce qui le poussa à continuer. « Pourquoi a t-il fait cela ? Il déteste Harry plus que tout ! Cela se voit, il le punit plus que moi, c'est tout dire ! »
« Rogue est un homme et un professeur responsable, malgré tout ce que tu penses, Neville. » expliqua Malefoy. « Il est prêt à beaucoup pour protéger la vie de ses élèves. Il pense que nous sommes sous sa responsabilité. Ainsi, selon lui, il doit nous protéger. Est-ce que tu comprends ? C'est pour ça qu'il a sauvé Harry. D'après ce que j'ai compris, Sirius était en train de lancer un sort, donc il était totalement incapable d'agir. Non seulement Rogue se trouvait plus prêt d'Harry mais en plus, il ne lançait pas de sort. Il n'y avait que lui qui pouvait faire quelque chose. Il a vu que Potter était en danger et il s'est lancé tête baissée. »
L'adolescent fit signe que ce que disait le blond correspondait bien à ce qui s'était passé.
« Ensuite, je me suis évanoui. Quand je me suis réveillé, Albus, les gardiens et les cerbères étaient là. Sirius était devant moi avec le professeur Rogue gravement blessé. Nous avons tous lancé le sort mortel en même temps. Au début, j'ai cru que cela ne marchait pas… »
Il hésitait à continuer, fallait-il leur dire la vérité ? Même lui ignorait tout des tenants et des aboutissants de ce qui s'était passé.
« Continue Harry. » demanda Hermione. « Tu ne peux pas t'arrêter en si bon chemin… »
Elle avait sans doute raison, elle pourrait même peut-être comprendre plus de choses que lui, Hermione était une encyclopédie vivante à elle toute seule.
« Finalement, une chose étrange s'est produite. Il y a eu une grande explosion, le monstre a disparu comme si ce n'était que de la fumée. »
« Il a disparu comme cela ? » s'étonna la jeune fille aux boucles mordorées.
« Oui… Mais le plus étrange… »
Il déglutit péniblement, il comprenait que les choses ne semblaient pas être toujours ce qu'elles étaient… Il faudrait qu'il se montre plus méfiant à l'avenir.
« A la place de cette chose… » C'était vraiment dur à dire, surtout pour lui qui avait aimé son professeur et qui avait même espéré un instant qu'une idylle naisse entre elle et son parrain… « Mais à la place, il y avait Cécilia Grant, notre professeur des arts divinatoires. »
La nouvelle fit tomber un silence de plomb très pesant, Harry venait de partager son fardeau avec ses amis, comme ils en avaient manifesté le désir mais maintenant, ils devaient sans doute regretter leur décision et ne plus savoir quoi penser, tout comme lui.
« En es-tu bien certain ? » demanda Hermione, la première à reprendre ses esprits et à comprendre les implications que cela pouvait avoir.
« Malheureusement oui, le professeur Dumbeldore ou bien les autres pourront vous confirmer. »
La discussion sur le sujet fut close, les jeunes adolescents tentèrent de distraire Harry de ses noires pensées mélancoliques.
Pendant ce temps, Albus racontait lui aussi ce qui s'était passé aux autres professeurs qui furent tous sur le coup de l'incroyable nouvelle.
L'un des leurs, un professeur, une personne avec qui ils avaient travaillé, avec qui ils avaient rit et mangé, était à l'origine de tout cela.
« Mais comment ? Je croyais qu'elle avait été recommandée par l'école Adachia d'Italie. C'est bien cela, n'est-ce pas Albus ? » demanda Minerva d'autant plus bouleversée qu'elle participait elle aussi au recrutement des professeurs depuis plusieurs années.
Albus se tourna vers sa vieille amie de toujours, secouant la tête.
« Je ne comprends pas plus que vous. Elle a en effet d'excellentes références et elle semblait être un professeur très apprécié en Italie. J'ignore ce qui a pu arriver et comment il se fait que cette jeune femme soit aussi un monstre… »
Il se passa sa main sur le front, puis enleva ses lunettes et Minerva eut l'impression de voir crouler ses épaules sous l'effet d'un poids ô combien lourd à porter !
Le fardeau des ans et des soucis ne semblaient pas avoir épargné Albus qui se trouverait bientôt seul face à une horde de parents cherchant des explications alors qu'il ne pouvait rien expliquer.
La vieille femme connaissait suffisamment son ami pour savoir que cette situation le torturait et ce à plusieurs titres.
Il se jugeait responsable, voire coupable de tout ce qui était arrivé.
Il avait la responsabilité du bien être des enfants et il avait failli à sa tâche.
Il n'avait pas pu les protéger, l'un d'entre eux était mort. C'était une telle tragédie !
Une vie prise dans la fleur de l'âge comme si on l'avait piétiné…
Cela la révoltait tout autant que Dumbledore.
Il aurait dû voir venir les choses, c'était certainement ce qu'Albus pensait, il aurait dû empêcher tout cela d'arriver et ne pas engager cette italienne.
Mais il était impossible d'aller en arrière.
Elle posa sa vieille main ridée sur l'épaule du vieil homme s'assurant par là qu'il comprenait que quoiqu'il fasse ou quoiqu'il se passe, il pourrait compter sur elle.
« Pensez-vous que notre collègue ait pu être hypnotisé ? » avança comme hypothèse l'un des professeurs.
Albus lissa sa longue barbe blanche puis secoua la tête négativement.
« Cela me semble impossible. L'hypnotisme aurait peut-être pu l'amener à commettre des meurtres si sa volonté était faible. Cependant, il est impossible de pousser quelqu'un à tuer des gens si la personne est contre. Or dans le dossier de Cécilia, je sais de source sûre qu'elle a toujours adoré les enfants… »
« De plus, il me semble que se transformer en monstre n'est pas une chose possible avec l'hypnotisme… » ajouta Minerva.
Tous le monde connaissait les talents du professeur en ce qui concernait les transformations et par conséquent, ils la croyaient sur parole.
« Alors que signifie tout cela, Albus ? » demanda l'un des nains, professeurs de sorcellerie des premières années en se grattant une pustule.
« Je ne sais pas… Je suis comme vous mais tout ceci n'est pas arrivé par hasard… »
Soudain, Julius, le chef des cerbères arriva en courant.
Certains élèves remarquèrent son arrivée.
Ils n'avaient jamais vu l'un d'entre eux courir, qu'est-ce que tout cela signifiait ?
Harry et ses compagnons ne manquèrent pas de voir cette arrivée improvisée.
Ils se regardèrent puis d'un accord commun, d'un hochement de tête, ils se levèrent et se rapprochèrent de leurs professeurs en pleine discussion.
« Albus… » commença Julius de sa voix gutturale. Il était vrai que les gardiens parlaient peu aux humains et de façon générale.
Le vieil homme se tourna surpris de l'intrusion. Il fronça les sourcils.
Il se mit à avoir peur, si Julius était venu en courant, c'était que les ennuis se profilaient à l'horizon.
Tout cela ne lui disait rien qu'il vaille !!
Dumbledore se mordit la lèvre violemment, il était censé être le sage, le doyen de l'école et guider les autres mais il se sentait parfois vraiment très démuni !!
« C'est Cécilia… » commença Julius. Albus craint le pire. « Il faut que vous veniez voir… »
C'est comme si le gardien était incapable de s'exprimer par mots.
Dumbledore se décida à le suivre, les professeurs lui emboîtèrent le pas, ainsi qu'Harry et ses amis.
Ils arrivèrent bientôt à l'infirmerie.
Poppy et Amélia dormaient tranquillement chacune sur une chaise du sommeil du juste.
A vrai dire toutes les personnes présentes dans la pièce semblaient dormir d'un sommeil très profond.
Soudain, ils virent une nouvelle tache de sang que le gardien leur désigna.
Ils s'approchèrent de concert, peu rassurés à vrai dire.
Le lit de Cécilia, car il s'agissait bien de cela, contenait la forme de leur professeur.
Mais il était certain qu'elle ne se réveillerait jamais vu la blessure béante.
D'ailleurs, c'était son sang qui goûtait.
Hermione, Neville et Ginny détournèrent la tête du spectacle, bientôt rejoint par Harry, Draco et Ron. Les jeunes gens décidèrent de se retirer.
Albus et les autres professeurs constataient les dégâts : Cécilia avait eu la tête tranchée.
Voilà qui ne résoudrait rien mais qui épaississait le mystère : qui avait pu faire cela ?
C'était sûrement pour la faire taire et l'empêcher de révéler des secrets qui auraient compromis des personnages influents.
En tout cas, ce n'était pas n'importe qui le responsable de ce meurtre : s'introduire dans l'école de Pouldard sans se faire repérer par les cerbères ou bien les gardiens relevaient quasi du miracle !
Ensuite, l'assassin n'avait laissé aucune trace, aucun témoin. Il avait endormi l'assemblée.
Après son forfait, il était parti aussi vite qu'il était venu sans se faire repérer !
Voilà un mystère qui s'ajoutait aux autres, Albus sentit ses épaules se voûter.
Sur ces entrefaites, le ministre de la magie accompagné de plusieurs acolytes et adjoints arriva puisque Dumbledore l'avait averti des sombres évènements.
Albus l'accueillit et entreprit de lui raconter les derniers événements, soutenus par Minerva mais aussi les gardiens et les autres professeurs.
Il y allait de l'avenir de l'école de prouver qu'ils n'avaient rien pu faire contre cette intrusion, qu'ils n'avaient pu la prévenir…
L'une de leur pièce maîtresse, à savoir la capture de Cécilia, venait d'être anéanti.
Le ministre constata les dégâts de ses yeux, il fit noter les dégâts matériels et demanda à plusieurs reprises une description de leur adversaire.
Suite aux diverses révélations, il exigea le dossier de leur ancien professeur, ce qu'il obtint sans peine. Il vérifierait dès qu'il aurait le temps les références de Cécilia Grant.
« Je ne peux rien conclure pour l'instant, Albus… » déclara le ministre. « Vous avez évité le drame à vos élèves en luttant contre cette chose sans avoir aucun élément. Vous ne serez sans doute pas mis en cause. Mais il faudrait enquêter sur les raisons de la venue de votre ancien professeur décédée ici et les raisons de son attaque. Pensez-vous que vous pourriez le faire ? »
Trop heureux de s'en tirer à si bon compte, Albus approuva le ministre qu'il remercia chaleureusement.
Les deux hommes se retirèrent afin de discuter de ce qu'ils diraient aux parents des élèves mais aussi aux journaux. Une nouvelle d'une telle importance, la mort d'un professeur et une école de magie attaquée, tout cela finirait par filtrer d'une façon ou d'une autre.
Certainement par les élèves, autant prévenir les évènements et les divers mécontentements avant de les causer.
Minerva annonça aux élèves la mort tragique de leur professeur aux élèves. Elle leur fit croire qu'elle était morte en asseyant d'arrêter le monstre qui menaçait l'école, dont elle révéla à cette occasion l'existence. Elle s'empressa de rassurer les élèves, les Elfes et les fantômes en précisant que le monstre avait été anéanti par l'ensemble des professeurs.
Harry et ses compagnons savaient qu'elle ne disait pas la vérité et qu'elle modifiait les faits.
Mais ils comprenaient bien pourquoi elle le faisait : il fallait préserver les jeunes têtes en n'impliquant pas leur professeur mais il fallait aussi rassurer tout le monde sur le fait que le danger avait été éliminé.
Tous les élèves purent regagner leurs appartements et leurs chambres sans aucun problème dans un silence de marbre et soulagé.
Le cauchemar semblait fini aux yeux de tous.
Mais tant les professeurs, Albus à leur tête, et les adolescents se demandaient bien quelle était l'origine de toute cette histoire et ce qui les attendait à l'avenir.
Fin ou à Suivre ?Chers lecteurs, voulez-vous une suite ou est-ce que je m'arrête là ?
A vous de décidez et de me dire par mail ou en me laissant des reviews sur ffnet ou alors des messages sur le livre d'or de mon site : Harmonie :
http:perso.numericable.fr/chswiatho/
