Allo, voila l'ultime chapitre, le dernier!

Kyra Black: Où habites-tu Kyra? - Bien oui, c'est déjà la fin, voila le tout dernier chapitre, mais il va y avoir une suite! - Bon voyage! (Je connais pas l'italien même si je suis capable de le lire, mais voila de l'espagnol) Espero que vas a passar buenos tiempos en Italia! ( J'espère que tu vas passer du bon temps en Italie, oh je me par une job de traductrice, let's go!) - Pour ce qui est de la personne qui a vu Marianne et Draco...d'après toi, qui aime Draco au point de l'appeler Drakichou?

Agua: MDR! Ben oui, aurevoir robe blanche, cathédrale, colombe, bambins et tout le reste qui vient avec Drakichou. ahahahah Pauvre Pnasy! - Mais oui, il va y avoir une 2e partiequi s'en vient très bientôt! Dans 1 ou 2 jours! - Tu crois qu'il y a "Vraiment" quelque chose qui cloche avec Hermy? Eh bien...OUI! Tu as eu raison de te méfié, tu sauras tout dans ce chapitre! Toi et tes superbes déductions me faites rire!

Chapitre 13

La fin de l'année, deuxième partie

Après cette après-midi dans le parc, je retourne au château. C'est à ce moment que je me sépare de Draco. C'est décidé, avec tout ce qui m'arrive…je dois aller parler à Harry.

« Marianne! Vite, il faut absolument que je te parle, maintenant! » Crie Ron a l'autre bout du couloir.

« Oui! » dis-je en courant vers lui, nerveuse.

« Suis moi, vient dans la classe vide ici! »

Du coté de Draco

Je me demande bien comment on va se débrouiller…je n'en reviens pas…mais on est tellement jeune...peu importe ce que mon père pensera de ça, il est en prison et n'y pourra rien. Je rentre dans l'appartement et me sert un bon grand café noir, j'en ai besoin. Au moment où je porte la tasse à mes lèvres, j'aperçois une lettre adresser à mon nom qui traîne sur la table.

De mon coté

« Qu'est-ce qu'il y a? Explique moi! » Implorais-je Ron.

« C'est quelque chose que j'aurais du te dire il y a tellement longtemps…parce que si moi je ne te le dis pas, tu l'apprendras d'une façon plutôt brutale. »

« Quoi? Quoi? Quoi? »

« C'est que Harry… »

« Quoi Harry? »

« Il…il te trompe. »

« Je…quoi? Avec qui? »

« ……Hermione… »

Du coté de Draco

Je marche rapidement dans les couloirs de l'école. Je me retrouve finalement devant la porte. Je la pousse et…

« Je t'attendais! » dis une voix.

De mon coté

« Il faut que j'y aille. » dis-je en me dirigeant vers la porte.

Avant même que je tourne la poignée, Ron me dit :

« Je sais que t'es avec Malfoy. »

Je lâche la poignée et accote ma tête sur la porte. Puis il continu :

«…mais je ne crois pas qu'il soit dans vos appartements, si c'est la que tu t'en allais. »

« Faut que je lui dise quelque chose, je n'ai pas le temps. »

« Ça ne sert à rien…parce qu'Harry est au courant. Quelqu'un vous a vu…mais la…Harry a en tête de détruire Malfoy. »

« Il veut le tuer? La je ne vois pas pourquoi. S'il me trompait…avec ma meilleure amie… c'est qu'il ne tenait pas vraiment à moi, pourquoi voudrait-il le tuer alors? »

« Simplement parce qu'il a enfin une bonne raison pour s'attaquer à Malfoy. »

Du coté de Draco

« Je te hais. » lance Harry, un regard dévastateur accrocher au visage.

« Et pourquoi ça? » répondais-je d'un air innocent.

« Pourquoi elle? »

« Pourquoi l'avoir tromper avec la sang de bourbe? »

« Je… » Dit-il, anéanti.

« Ouai, je suis au courant Potter. Tu t'es fais la Granger, vraiment? »

« LA FERME! »

« En tout cas, t'as raté plein de choses durant l'année. »

« Ah ouai? Je crois pas. »

« T'oublis les vacances de Noël. »

« … »

« Ouai, de super vacances. Il y a aussi la semaine de relâche. Tu vois, tout ça sous ton nez, sans que tu t'en rende compte parce que t'étais trop préoccupé à regarder Granger. Comment t'as pu lui faire ça à Marianne? Comment t'as pu tromper cette fille? »

« C'est toi qui me fait la morale alors que ce devrait être moi. Elle a été incorrecte elle aussi, et je suis sûr que quelqu'un d'autre y est pour quelque chose. »

« J'aimerais te dire que oui, mais je te mentirais. Elle est venue me voir elle-même. Mais je vais au moins te dire que…oui c'est vrai : elle t'as mentis, trompé et m'a même donné des conseil coté Quidditch…mais…je peux te dire qu'elle angoissait et ramenait toujours la conversation au fait que c'était immonde ce qu'elle te faisait. »

« Et toi, tu faisais rien? J'ignore ce que vous avez foutu ensemble, mais ce qui est sûr…c'est que tu vas payer pour! »

« Ça m'étonnerais bien, parce que si tu voulais m'éliminer pour de bon, tu serais obligé de la tuer elle aussi…car elle est enceinte…de moi. »

À ces mots, ce con se jette sur moi et essaye de me frapper. Je me relève et me met en garde, baguette à la main.

De mon coté

Je cours vers les appartements préfets. C'est donc ça que Draco voulait me dire dans le parc. Et Hermione…ma meilleure amie, c'est pour ça qu'elle m'évitait. Comment ce fait-il que je n'aie rien vu venir? Je regarde partout, aucune trace de Draco, seulement une lettre. Je la lis et m'enfuis immédiatement.

« 3h00 dans la salle des trophées, viens seul j'ai à te parler.

Harry »

Du coté de Draco

« C'est la seule manière restante que t'as trouvé pour me faire chier? » dit-Harry, frustré.

« Oublie la, veux-tu bien? Si vous vous êtes tromper chacun de notre bord, c'est vous êtes pas fait pour aller ensemble. »

« Pourquoi toi! C'est la seule chose que je ne comprends pas dans toute cette affaire! »

De mon coté

Je cours le plus vite possible dans les couloirs. Harry, non! J'ouvre la porte de la salle des trophées et vois Harry et Draco qui se jètent et pare des sortilèges.

« Arrêtez! Je vous en prie! »

« T'es une belle menteuse Marianne Forester! »

« Ouai, bien toi t'es un beau salaud! Mais je prie d'arrêter! »

Puis, Harry pointant sa baguette vers Draco, s'écrit :

« Fraccio! »

« Non! » criais-je.

Un force venant de je ne sais trop où me fait courir jusqu'entre eux deux et me fait protéger Draco ; l'adrénaline m'aide. Sur le coup, je ne réalise pas que c'est le sortilège fraccio. Je le reçoit de plein fouet et m'écrase au sol. On aurait dit que mes muscles se déchiraient, mes os se cassaient et mes ligaments s'étiraient. Je ne suis plus capable de respirer, comme si mes poumons se compressaient. Prise de convulsion, gisant sur la tuile froide de la pièce, je me tortille de douleur, aveuglé par celle-ci. Une larme coule sur ma joue, signe de mon effort à essayer de résister à cette torture. Puis, le sort cesse enfin après un instant incroyablement long de douleur intense. J'arrête de bouger et je suis sur el bord de perdre connaissance. Draco tombe à genoux à coté de moi et me prend dans ses bras. Harry devait être tellement en colère, le sort était très fort.

« Si tu veux vraiment être utile, va chercher l'infirmière. » dit Draco.

Je me sens faible et excessivement mal. J'ai encore mal dans les articulations à cause du sort. Draco est à coté de moi et me fait parler pour pas que je m'évanouisse. J'ai de la misère à rester éveillé. Il me tient dans ses bras et me serre fort contre lui.

« Reste éveillé, dis quelque chose. »

« …J'ai eu peur… »

« Moi aussi j'ai eu peur pour toi. »

« Non, pas pour moi…pour le bébé. Je sais bien…que je n'ai…qu'un mois de fait…mais avec ce sort… »

« Non, tu ne dois pas t'en faire. »

« J'aime quand…tu me rassure…comme ça. »

« N'importe quand. Mais ne t'en fais pas… »

Il passe une main dans mes cheveux et laisse un baiser sur mon front. L'infirmière arrive enfin, accompagnée de McGonagall et Dumbledore. Avec l'aide Draco, elle me dépose sur un brancard. Je tiens sa main mais la lâche au moment où la civière s'éloigne. C'est à ce moment que je perds définitivement connaissance.

Du coté de Malfoy

Pourquoi elle s'est placée en avant de moi? Maintenant c'est à cause moi si elle est à l'infirmerie… c'est sûr qu'il y a le bébé aussi…et si elle el perdait?...je tiens a elle… Je regarde le professeur Dumbledore qui est resté dans la pièce alors que les autres l'ont quitté et lui dit :

« Je dois aller la rejoindre à l'infirmerie. »

« Mr Malfoy, voilà une bien mauvaise attitude pour un préfet en chef. Je ne vous cacherai pas que cela me déçoit un peu de votre part…mais je sais qu'au fond de vous il y a une bonne personne. Je ne veux retirez pas du poste de préfet en chef…ce qui finirait bien mal votre dernière année…mais je vais vous faire faire une promesse. La bonne personne qui est en vous…va je l'espère, prendre conscience de la gravité des événement qui vienne de survenir et apporter du soutient à Mrs Forester qui est dans un très piètre état en ce moment. Je vais aussi vous laisser penser à ce que vous ferez de l'enfant si elle ne le perd pas… »

« Comment le savez-vous? »

« Vous seriez surprit de savoir tout ce que j'ai pu apprendre sur certains ces dernières années, mr. Malfoy. »

Puis, il s'en va. Ce vieux fou s'en va. Je l'entend juste, de l'autre coté du mur dire :

« Mr. Potter, dans mon bureau je vous prie. »

Je ne perd plus mon temps et me dirige vers l'infirmerie. J'y entre et l'aperçois. Hors de danger, certes, mais toujours inconsciente. Je m'approche et prend place dans une chaise à coté de son lit. Je garde le silence pendant quelques minutes, la tête enfouie dans mes mains. Après une grande respiration, je me lance. Même si elle ne doit pas m'entendre, je lui parle.

« Tu sais…à présent, j'aurais toutes les raisons du monde de détester Potter et de vouloir le tuer…mais tu m'as dis un jour qu'on devrait enterrer la hache de guerre…bien je t'annonce que ce ne sera toujours pas possible…je n'arrive toujours pas a y croire. Il a réellement faillit te tuer. Ce sort la, je ne l'ai entendu qu'une seule autre fois, crois moi, tu ne veux pas savoir où…mais je ne sais pas où Potter l'a apprit. Il fait partit des sortilège impardonnable mais est classé derrière le Doloris…il a vraiment fallut qu'il se renseigne pour le trouver… »

Je la regarde quelques secondes. Elle est toujours inerte, tendu sur le lit. À coté d'elle une machine siège. Je croyais que les appareils électriques ne fonctionnaient pas ici. Ça indique le rythme des battements de son cœur. C'est régulier au moins…

« Je vais enfin te dire ce que j'ai envie de faire cet été…je veux être avec toi. Tu pourras venir au manoir. Mon père n'est pas là mais ma mère oui. Elle est tout le contraire de mon père. On sera bien…parce que tu vas t'en sortir. Oui, tu mérites de continuer ta vie… »

Madame Pomfresh me dit que l'heure des visites est terminée. Je dois me résoudre à la quitter.

Les nouvelles vont tellement vite dans cette école. Déjà tout le monde connaît l'histoire. Les bouquets de fleurs et les cadeaux se multiplient au chevet de Marianne qui est maintenant inconsciente depuis 1 jour. Potter essaye de se faire le plus petit possible. Il a écopé d'une énorme retenue. Chaque jour, il passe 2 heures, si ce n'est pas plus, à nettoyer la grande salle après le dîner. Il n'a pas été renvoyé pour des raisons que j'ignore.

Un autre fait plutôt étrange est arrivé. On aurait dit que la rivalité entre les maisons est tombée. Les Griffondors ont l'air de bien s'entendre après la découverte qu'ils ont fait sur leurs préfets en chefs.

J'ai la permission de rater tout les cours que je veux, sauf ceux qui contiennent des examens, pour aller la voir à l'infirmerie. Son état s'aggrave…

En ce mercredi soir, je suis encore assise à ses cotés. Soudain, elle se réveille.

De mon coté

« Draco?... »

« Oui je suis là! »

« Draco…j'ai…j'ai perdu le bébé…je… » Dis-je d'une voix tremblotante en laissant quelques larmes couler sur mes joues. »

« Non, pleure pas. »

« Écoute…j'ai besoin de parler…à Harry. » dis-je très faiblement.

« Il est déjà dans le couloir, il était pas sur si t'accepterais de le voir. »

Draco ouvre la porte et l'appel. Harry rentre et est rouge de honte.

« Draco, peux-tu nous laisser seul un moment?... »

Après un instant s'hésitation, il ferme la porte et j'en déduis qu'il attend dans le couloir.

« Je crois qu'on doit se parler. »

« Ouai…je…pourquoi ne m'as-tu rien dis? »

« Parce que…j'avais peur de ta réaction…mais toi, avec Hermione, tu te rend compte! » dis-je au bout de ma voix et de mes forces.

« Oui je…bon. Oublions cela et…je crois qu'on devrait…tout simplement se laisser… »

« Je crois que oui…c'est la seule chose à faire… »

« Tu peux pas savoir comment je suis désoler pour le sort, il ne t'était pas destiné, tu le sais bien! »

« Je sais…pas besoin de t'excuser… »

En faite…en protégeant Draco…je venais de prouver que c'est lui que j'aime…

« Oui tu en a besoin de mes excuses, c'est à cause de moi si t'es dans cet état! »

« Mais non, c'est moi qui ai choisis…en un certain sens, de me retrouver comme ça… »

« Je…bon… »

« C'est correct Harry, va rejoindre Hermione, passez de bon moments ensemble…»

« Toi aussi…avec Malfoy… »

Puis il sort de l'infirmerie et Draco reviens me voir. Je n'ai tellement plus d'énergie. J'ai l'impression que toute vitalité en moi ressort par mes pores de peau…

« Écoute… » Dis-je. « À cet instant…je viens de réaliser un truc. Je le sais…je le sens… »

« Quoi? »

« Je sais que…ma vie…va s'arrêter ici dans l'infirmerie, dans ce lit demain ou même aujourd'hui. Je le sens… »

« Mais non, qu'est-ce que tu dis là? »

« Ne me dis pas le contraire…je sais je connais ce sort…je sais que les chances de survit sont minime… »

« Je te l'assure, tu vas continuer ta vie, je te le promets… »

Le « bip » régulier de la machine mesurant les battements de mon cœur ralentit le rythme. Draco s'en rend compte.

« Madame Pomfresh! » dit-il en se retournant vers le bureau de celle-ci.

« Draco!...Écoute moi bien….je ne veux pas que…tu passe ta vie à te morfondre. »

« Mais non! »

C'est alors que Madame Pomfresh arrive et essaye de comprendre ce qui se passe. Elle nous laisse se parler mais regarde la machine à coté de moi.

« Écoute…je veux que tu passe de bon moments…et même que tu rencontre quelqu'un… avec qui tu vas vivre heureux… »

« Oui, ce sera toi! »

«Je t'ai dis « écoute » », murmurais-je suivit d'un sanglot «…fait ça pour moi, jure le moi. Je veux que tu me le jures. Jure le moi Draco… »

« Je ne peux pas te jurer une telle chose, tu ne vas pas mourir!...? »

Draco se retourne et regarde Madame Pomfresh qui lui rend à son tour un regard remplit de désolation et de tristesse. Le professeur McGonagall arrive dans la pièce elle aussi, elle se trouvait dans le bureau de Pomfresh.

Draco reste là quelques instants et soudain dit quelques mots, comme s'il se parlait à lui-même.

« Pourquoi elle? C'est moi qui devrais mourir à sa place, elle mérite de vivre elle! »

Le rythme du « bip » de la machine à coté de moi ralentit encore. Je me sens très faible, c'est la…je le sais…c'est le moment… McGonagall est dans un coin, elle en est aux larmes. Le professeur Dumbledore arrive lui aussi a présent. J'ai de la misère à respirer. Je regarde Malfoy qui a le regard rempli d'eau, chose que je n'aurais jamais cru voir un jour.

« Sache que…je t'aime…je te garde une place sur mon nuage… »

« Non! »

« …au revoir… »

« Non…non… »

La dernière chose que je vois c'est une larme qui coule sur sa joue. Il serre ma main dans la sienne.

Un long bruit sonore, continu et agressant traverse maintenant la pièce. Biiiiiiiiiiiiiiiiip. La machine a vient de donner son verdict…c'est ainsi que je m'éteint…

Du coté de Draco

« Non! » m'exclamais-je en la serrant dans mes bras et en commençant a pleurer pour de bon. « Marianne… »

Je n'ai même pas pu lui dire combien je l'aimais… La machine continu de produire son « biiiiiiiiiiiiip » caractéristique.

J'entends McGonagall et Pomfresh qui pleure en arrière de moi. Dumbledore dit alors quelques mots :

« Je suis désoler…sachez le…mais repensez à ce que je vous ai dis la dernière fois… »

« biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip. » se son m'agresse.

« Ce que vous m'avez dis la dernière fois? Vous ne m'avez rien dit d'autre que prend soin d'elle et prend tes responsabilités de père. Comment voulez vous que je fasse cela maintenant! » Dis-je, colérique.

« C'est pourtant ce que tu as fais…et je suis sur que tu pourras continuer… »

« Ah oui? Et comment d'après vous! »

« Biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip bip bip bip bip bip bip bip bip. »

Je me retourne immédiatement…son cœur s'est remis à battre. La machine recommence sa musique régulière. J'accoure près de son lit.

« Marianne, répond! »

« Mais qu'est-ce qui se passe? » dit McGonagall.

Mme Pomfresh s'empresse vers la machine et essaye d'en tirer le plus d'information possible.

« Marianne, dis moi que t'es vivante! »

« …Draco?... »

« T'es vivante! » dis-je en la serrant dans mes bras. « T'es revenue! Merci mon dieu… »

« Draco…c'est toi?... »

« Oui, je suis là, et tu es la, c'est tout ce qui compte… »

Je sens maintenant qu'elle me serre dans ses bras elle aussi.

« Mais comment ce fait-il? » dit McGonagall.

« Vous n'en croirez pas vos oreilles… » Dit Mme Pomfresh en revenant vers les 2 autres membre du personnel, des feuilles dans ses mains. Elle est revenue…parce que quelque chose en elle était encore vivant…un enfant… »

« Mais non, vous savez très bien qu'elle l'avait perdu. »

« Elle en a perdu un des deux oui. Elle portait des jumeaux. Un d'eux a survécu et c'est lui…qui l'a sauvée… »

De mon coté

« Draco relâche moi, je manque d'air!... »

« Excuse moi! » dit-il en desserrant sa prise. « J'ai eu tellement peur… »

Draco se retourne et semble jeter un regard vers Dumbledore qui semble soudain très captivé par les moulures qui ornent le plafond. Aujourd'hui…j'ai perdu la vie durant 3 minutes…ça fait drôle de dire ça…mais je ne remercierai jamais assez Draco pour cela…

Je reprends rapidement des forces et je sors de l'infirmerie à peine 3 jours après. J'aurais pu quitter l'infirmerie plus tôt mais Mme Pomfresh ne voulait pas. J'ai du faire mon examen d'Histoire de la magie dans mon lit. Je ne mentionnerai pas l'incident survenu avec le pot d'encre…ce fut bien drôle en tout cas.

Je me promène dans le couloir et je sens les regards se retourner sur mon passage. Évidement, l'école est assurément au courrant. En allant vers la grande salle, je croise Hermione. C'est le moment de mettre les affaires au clair.

« Hermy! Je veux te parler! » Dis-je.

« Je…oui. » répond-t-elle nerveusement.

« Écoute, je veux pas qu'on arrête de se parler pour ça. »

« Je sais, je me sens incroyablement mal la. »

« Mais non, dit toi qu'on était un peu dans la même situation. T'es un très bonne amie, on se chicanera pas pour un mec la! »

« Ouin…mais tu ne m'en veux pas? »

« Bien…oui en un sens je t'en veux de ne pas m'en avoir parler. »

« Je sais… »

« Mais bon, ça n'a plus vraiment d'importance maintenant. »

« J'ai une question maintenant… »

« ……….Malfoy! » dit-elle d'un air qui se voulait décourager.

« Ah ah ah. Oui…et crois moi, si une personne au début de l'année m'aurait dit que je tomberais amoureuse de lui…je me serais esclaffer de rire et aurait dit a la personne que les cauchemars ne sont pas fait pour se réaliser. »

« Ah…mais…Malfoy! »

« Ah ah ah »

On s'en va en riant. Maintenant j'ai retrouvé ma meilleure amie.

Les journées de juin passe…les ASPICs sont passées. Nous voilà maintenant tous réunis dans la même pièce, revêtu de toge. On prend une photo des finissants. J'y siège en plain milieu, à coté de Draco. Les deux préfets en chef. Une rangé d'élèves plus bas, se trouve Harry. Il ne semble tellement pas avoir le moral.

« Aller, fais au moins un sourire pour la photo. »

« Ouin, ouin… »

« S'il te plait fait ça pour moi. Je ne veux pas que tu restes un peu fâché après moi… »

« Mphhf… »

« Écoute, je tiens beaucoup a toi….pour te le prouver, et pour te redonner le sourire…j'ai réfléchis…et j'aimerais que tu sois le parrain… »

Il se retourne et me regarde d'un air drôle. Pendant une seconde j'ai l'impression qu'il va me balancer une vacherie par la tête.

« Et si j'en ai pas envie? » dit-il d'un air blagueur que je lui connais bien.

« Bah la je te renie! » dis-je en riant.

« On sourit! » dit le photographe.

En cet instant, tout sur une photo, on immortalise cet instant précieux. Un panneau noir installer aux pieds des élèves dit, en lettre dorées :

« Finissants de 1997-1998

La rivalité, c'est du passé. »

Avant de refermer le carnet noir a reliure de cuir, je relis ce qui est écrit sur la première page.

« Le « avant » est écrit, il faut maintenant faire le « après ». »

J'ouvre le journal et trouve un page blanche à la suite de celle remplie de dessin et de notes. Je prend une plume et commence à écrire.

« Une vie parfaite. Voilà ce que j'ai. J'aime ma famille, mes amis et même un mari que j'adore plus que tout. Il s'appel Draco. Eh oui, le grand Draco Malfoy, celui que je croyais mon ennemi juré. Cela fait maintenant 15 ans que je suis avec lui et c'est le parfait bonheur. C'est arrivé lors de ma 7e et dernière année à Poudlard…quelle belle année c'était.

Je dis que ma vie est paradisiaque car en plus : j'ai un bon travail (rédactrice en chef d'un magasine de mode-vedettes-cinéma, oui, moi et les magasine, je sais!), je suis apprécier de mes collègues, je suis mariée et j'ai un enfant. J'ai aujourd'hui 32 ans et Évelyne, ma fille, en a bientôt 15. Elle est tout le portrait de son père. Un petit air supérieur et des yeux bleus cristallins. Les principaux atouts que je lui ai transmit son ma manière d'argumenté et mes cheveux bouclé blond miel. C'est un beau mélange je dois dire. Eh dire qu'à son age, je venais tout juste de rencontrer Harry, oui Harry Potter, le survivant. Vous voulez savoir ce qu'il lui est arrivé? Il s'est marié lui aussi…avec ma grande amie de toujours…Hermione! Ça ne m'étonne pas en fait. Avec les année, Draco et Harry on apprit à…comment dire… « S'endurer » l'un l'autre, la tension est toujours là entre eux par contre…ah les hommes, pas moyen qu'il laisse tomber leur enfantillage. »

Avant de reposer ma plume…je réfléchis un peu et je laisse une dernière note.

« Le avant et après est maintenant immortalisé, reste à voir ce qu'il va nous arriver maintenant… »

Je jette un dernier coup d'œil au photos...celle digne du film Titanic est et sera toujours la meilleure…je me souviendrai toujours de ce moment…jusqu'à ma mort…enfin, deuxième mort…

FIN

Alors? Un kleenex? Deux? Avez vous aimez ca? Reviwer moi ca pour me donner votre avis! Je vous rappel que d'ici un ou deux jour Faire un choix n'est pas toujours facil 2 s'en vient!

Aurevoir mes amis, kissssssssssss