Disclaimer: Je déclare ne pas posseder les droits d'auteurs d'Harry Potter, et donc n'avoir techniquement aucun droit d'utiliser les noms et l'histoire de ces livre à des fins personnels. Je déclare aussi ne pas avoir touché d'argent pour avoir ecrit les lignes qui vont suivre. J'ai conscience de violer le droit de la proprété intelectuelle et j'ai aussi conscience que si J.K ROWLING vient faire un tour sur ce site, je peux en prendre plein la gueule pour pas un rond, mais j'suis un rebel et t'façon, pour m'attraper, faudra que ses avocats cours plus vite que moi... NA!
L'histoire: Cette
histoire ne correspond pas à l'architecture des romans de Rowling, et
les personnages peuvent agir et parler différement, mais je promet de
faire de mon mieux pour respecter l'éprit de ces romans.
Basée sur un polar que j'avais partiellement écrit qui n'avait pas du
tout pour trâme de fond l'Histoire d'Harry Potter, cette histoire est
pour l'instant au niveau T (pour troll je suppose... non, c'est pas ça?
Ah, donc pour les 13ans et +... et pourquoi T alors?) et est
susceptible de changer de niveau si je trouve qu'elle est trop noire
pour un americain moyen...
Chapitre 2
Privete Drive, Litte Whinging, Surrey.
Se redressant sur son lit, Harry tenta lentement de reprendre son souffle. Portant la main à son front, la brulante chaleur qui émanait de sa cicatrice.
Tandis qu'il reprenait son souffle, une pensée revenait continuellement marteler son ésprit embrumé.
Un homme vient d'être assassiné...
Ses visionsne lui avaient jamais montrer que les agissements de Mord Voldemort, mais il ne pouvait, là, s'agir de lui... Cette façon de bouger, de jouer au chat et à la souris... Voldemort était un être vicieux, mais il ne perdait pas de temps pour abattre un être qui lui était inferieur à ce point, mais surtout, il ne se laissait pas pas prendre en traitre lors d'un combat. Or l'homme qui venait d'être détruit avait clairement eu le dessus l'espace d'un instant, avant d'être rattrapé par l'innéluctable fin qui avait été la sienne.
Non, ce n'était pas Voldemort... Mais qui était-ce? Un de ses serviteurs zélés? La plus part d'entre eux pourrissait au fin fond d'une geôle à Azkaban. Et l'on ne s'échapait pas de là si facilement... Sirius lui-même avait mis 13 ans.
Sirius...
Il aurait pu lui demander, envoyer une lettre à son parrain pour obtenir un semblant d'information.
Il aurait pu.
Mais Sirius était mort lui aussi. Au combat. Un combat commencé par sa faute... comme toujours, d'une façon ou d'une autre...
Son regard s'obscurcit... S'était ce besoin de se meller de tous, de vouloir d'être au coeur d'une action dont il réclamait la primeur, et dont tous l'écartait pour son propre bien, qui avait tuer Sirius
entraîné par sa volonté de se mesurer à tout le monde, il avait ignorer tous les avertissements et avait fonçé tête baissée au coeur d'un piège qu'il aurait put... qu'il aurait dù voire, comme d'autres à sa place, et qui aurait pu coûter la vie de tout ses amis et des membres de l'ordre.
Mais en fin de compte, seul Sirius était mort.
Seul Sirius...
Il suffit que je m'en mêle pour que l'enfer se déchaîne et que ça MERDE! Murmura-t-il entre ses dents.
Non, il n'avait pas envie de savoir qui avait tuer qui et pourquoi. Il ne voulait rien savoir. Rien...
Il se leva, et, évitant soigneusement la mare de vomit au pied de son lit, iil s'approcha de la fenêtre ouverte.
Private drive... le milieu de nulle part, songea-t-il.
Mais au moins, songea-t-il encore, personne ne sachant quelle légendes entourait son nom et sa cicatrice, personne ne le regardait avec envie, admiration ou même pitié... Personne ne le regardait en réalité, et Harry trouvait ça étrangement reposant.
Enfin presque personne... Regardant dans le jardin, il eu la sensation prenant qu'on l'observait. Un silence pesant sembla envahir le jardin. Puis du coin de l'oeil, il crut détecter un mouvement, une ombre se déplaçant. Il tourna rapidement la tête, scruta fiévreusement l'endroit... et ne vit rien.
Il respira lentement l'air chaud de la nuit... il était en sécurité ici, dans l'endroit qu'il détestait le plus au monde, et qu'il commençait à considérer comme le seul véritable havre de paix de sa vie. Bien plus encore que les épais mur de pierre du château de Poudelard.
Il contempla encore quelques instants le ciel étoilé, puis revint près de son lit, décidé à reprendre malgré tout sa nuit sans se soucier d'avantage de quel drame l'autre monde pouvait encore souffrir.
Il nettoierait le vomit demain.
S'allongeant sur son lit, il tassa ses oreillers et y plongea la tête, prêt à sombrer dans un paisible sommeil.
C'est alors qu'il entendit un bruit d'explosion au rez-de-chaussé, qu'il identifia sans peine comme celui de la porte d'entrée volant en éclats, et qui fut suivit d'un trop reconnaissable bruit de pas pressé.
Quelle que fut l'ombre qu'il avait vu dans le jardin, elle était maintenant dans la maison...
