Disclaimer: Je déclare ne pas posseder les droits d'auteurs d'Harry Potter, et donc n'avoir techniquement aucun droit d'utiliser les noms et l'histoire de ces livre à des fins personnels. Je déclare aussi ne pas avoir touché d'argent pour avoir ecrit les lignes qui vont suivre. J'ai conscience de violer le droit de la proprété intelectuelle et j'ai aussi conscience que si J.K ROWLING vient faire un tour sur ce site, je peux en prendre plein la gueule pour pas un rond, mais j'suis un rebel et t'façon, pour m'attraper, faudra que ses avocats cours plus vite que moi... NA!

L'histoire: Cette histoire ne correspond pas à l'architecture des romans de Rowling, et les personnages peuvent agir et parler différement, mais je promet de faire de mon mieux pour respecter l'éprit de ces romans.
Basée sur un polar que j'avais partiellement écrit qui n'avait pas du tout pour trâme de fond l'Histoire d'Harry Potter, cette histoire est pour l'instant au niveau T (pour troll je suppose... non, c'est pas ça? Ah, donc pour les 13ans et +... et pourquoi T alors?) et est susceptible de changer de niveau si je trouve qu'elle est trop noire pour un americain moyen...



Chapitre 5

Une chaleur infernale était tombée sur Paris. La capitale avait consommée jusqu'à la trame ses jours de pluie et cuisait maintenant sous un soleil ardent.

Les jardins du Luxembourg ne connaissait plus le répit, harassé toute la journée par un flot incessant de promeneurs guettant, la tempe bourdonnante et l'oeil aux aguets, la moindre parcelle de gazon libre pour s'étaler et rôtir tranquillement sous un astre sans pitié.

Feu…

Traversant ce flot d'ombres sans visages, tentant de se convaincre que son allure et l'apparente détermination de sa démarche le distinguait de cette marrée semblant surgi des rives du Styx, il aspirait de grande bouffé chaudes, ponctuée de petites bouffée acre qui rendait sa respiration légèrement saccadée.

9h10, en retard...

Des chaussures de noires, un costume gris et une cravate bleue , une main perdue au fond de sa poche, l'autre portant régulièrement une tige ardente à ses lèvres, Magus se laissait inonder d'un flot de musique néo-métal sur le rythme duquel il calquait son pas rapide, regardant distraitement de ses yeux sombres comme à travers ses congénères.

La musique forte l'empêchant de sombre dans un abîme de pensée, son esprit restait fixé sur une idée simple.

Se dépêcher…

La ville en cette période, ne comptant pas un espace à l'abri des regard proche de sa destination, il n'avait pu transplaner et avait du se résoudre à prendre le bus, puis traverser le parc.

Parvenu à la sortie, il tourna rapidement à droite, descendit un rue et se trouva face à un hôtel particulier, d'architecture hausmanienne, dont l'entrée était gardée par un homme aux aspects d'agents de la CIA.

Magus lui fit un signe de tête en passant, avant de pénétrer dans le bâtiment, et d'être envahie par un souffle d'air frais des plus bienvenus.

La clim, quelle invention!

Il alla directement à l'ascenseur, et y pénétra. Il appuya sur le bouton du dernier étage et patienta. Parvenu à l'endroit voulu, il souleva une trappe cachée et tourna la clef qui se présentait devant lui. Les murs à l'arrière de l'ascenseur s'ouvrirent, libérant le passage vers un second ascenseur, d'aspect plus moderne et dépourvu de bouton, dans lequel il pénétra aussitôt.

Posant la main sur une des paroi de l'engin, il dit alors

« Magus Desforges, chevalier de la Guilde, pour le Haut Conseil. »

Il patienta. L'ascenseur se mit enfin en marche et descendit longuement, avant de s'arrêter et d'ouvrir ses portes sur une salle richement décorée d'armes anciennes, aux parquets fraîchement cirés et à l'odeur de vielle bibliothèque.

Un énorme table rectangulaire en marbre trônait au fond de la salle, derrière laquelle de tenaient 11 fauteuils de style Louis XV occupés par autant de vieillards aux mines affligés de chaque cotés d'un trône médiévale en bois finement sculpté, vide.

De l'autre coté de la table se tenait Corentin, son coéquipier et ami, et, à coté de lui, nul autre que le Primo consul de France, entouré du Consul de l'intérieur et le Consul de la défense.

Sur le coté, se tenait, sur le fauteuil des hôtes de marque, un autre vieil homme, d'aspect complètement différent cependant, semblait-il, et que Magus était sûr d'avoir déjà vu quelque part.

« Messieurs, dames les membres du Conseil, monsieur le Primo Consul, messieurs les membres du gouvernement », prononça alors Magus d'un ton lugubre.

Personne ne répondit.

Puis un des vieillards se leva, que Magus reconnu comme étant le chef des opération extérieurs de la Guilde, Choderloze Anthropomicen, et fit un mouvement de sa baguette pour faire apparaître un fauteuil, que Magus ne put s'empêcher de considérer des plus quelconque, vu le reste du mobilier.

« Chevalier, approchez. » lança-t-il alors d'un ton solennel, joignant le geste à la parole.

Magus fit ce qu'on lui avait demandé et s'assit sur le fauteuil qu'on lui avait réservé.

« Nous vous avons convoqué en cet heure de drame, commença-t-il dans un but précis: retrouver l'assassin du président du conseil. »

Magus tomba des nues...

« Retrouver, comment ça retrouver? Entama-t-il, vous devez bien avoir une idée du résponsable! »

« Nous avons une idée, en effet, poursuivit Anthropomicen »

« Je ne fais pas parti de la caste d'intervention, Monsieur » reprit Magus

« Nous n'avons pas besoins d'eux, répondit le Conseiller, nous avons besoin d'un membre de la caste d'infiltration »

« Pour arrêter un tueur? » demanda Magus, sceptique.

« Votre mission ne s'achève pas là. Voyez vous, le meurtrier n'est pas un homme seul. Il agit avec une organisation »

« Apocalypse? C'est un membre d'Apocalypse? » s'étrangla Magus.

Apocalypse, groupuscule activiste agissant dans l'ombre, s'était rallié à Voldemort lors de la première guerre, plongeant la France dans un chaos semblable à celui de la Grande-Bretagne à la même époque. Magus avait passé quelques mois dernièrement à pourchasser leur chef avec succès et avait été contraint de l'abattre lors d'un duel qui avait laisser très peu de choix à Magus. Sa mort n'avait pas changer grand chose, et avait même plutôt jeter de l'huile sur le feu.

« Non, M. Desforges, dit alors le Primo Consul, j'ai bien peur que cet assassin là n'ait pas de base d'opération sur le sol de la République... »

Le puzzle se mit alors en place dans l'esprit de Magus.

« Un Mangemort... Un Mangemort! Depuis quand sont-ils redevenu assez organisés pour entamer des opérations de ce genre hors du territoire britannique?

« Depuis que le ministre de la magie britannique a préférer ignorer la résurrection insensée de Voldemort plutôt que de bousculer les habitudes tranquilles de sont mandat », lança le Consul de la défense, en regardant de biais l'inconnu qui ne sembla pas s'émouvoir outre mesure de la remarque.

« Donc, repris Magus, laisser moi comprendre, vous voulez que je parte en Angleterre, que j'infiltre un des groupe les plus dangereux de toute l'histoire de ce siècle que je découvre l'assassin du Président du conseil de la Guilde, que je le capture et que je le ramène en France... »

« C'est à peu près ça », lâcha Cotentin, un sourire au bord des lèvres, tapant son doigt contre son front dans un signe qui voulait dire « Tous malades! »

Magus était d'accord. La mort de Bartholome de Chandernier, l'homme qui avait redresser la France de la magie après le retrait des troupes de Grindelwald en 1945, et qui depuis avait veiller sur sa défense, notamment pendant la guerre contre Voldemort et Apocalypse, avait visiblement traumatisé ce que la France comptait de sorciers les plus haut placés.

« Et c'est tout ce que la Guilde a trouvé! 200 ans d'opérations militaires pour en arriver là! » lança Magus, effaré.

« Chevalier, veuillez faire montre de respect devant le conseil! » tonna un des conseiller.

« Vous m'envoyez me faire exécuter, j'aimerais au moins savoir si vous avez penser à autre chose, un plan B, n'importe quoi, mais autre chose que d'envoyer un agent se faire broyer pour des nèfles! » tempêta Magus.

« En fait, ils ont penser envoyer tous les membres de la Guilde à l'assaut de l'Angleterre au début, et puis finalement ils ont débouchés la dessus... » lança Corentin, d'un ton léger.

« Vous obéirez aux ordres sans discuter! » s'obstina le conseiller, lançant un regard meurtrier à Corentin.

« Messieurs, je vous en prie, nous pouvons parvenir à surmonter ce drame sans nous déchirer » tempéra le Primo Consul.

« Mais quelle solution avons nous? », demanda un des conseillers « Nous ne pouvons pas laisser se crime impuni »

« Et que faire des menaces dont nous avons eu vent dernièrement, demanda une conseillère « Un agent de la Guilde infiltré en Angleterre nous serait d'une aide inestimable »

« Et vu les relations que nous entretenons avec le ministère de la magie britannique, nous ne pouvons pas simplement frapper à leur porte et leur demander des renseignements » rappela le Consul de l'intérieur.

« Renseignements qu'il n'ont sûrement pas vu leur actuelle passivité face à la situation... » marmonna le Consul de la défense.

Magus ne savait que penser. Il était près à tout pour investir les Mangemort, pour raison d'Etat, comme pour raisons personnelles, sa revanche était à ce prix. Mais il voulait qu'une telle opération soit un peu plus qu'un suicide militaire.

Il vit alors l'inconnu se lever. Le silence se fit presque instantanément. L'homme avait une longue barbe immaculée, une robe et un bonnet de sorcier bleu et de fines lunettes dorés. Mais c'est à ses yeux, quand ceux-ci se posèrent sur lui, qu'il reconnut finalement, l'homme qui, 20 ans auparavant, lui avait sauvé la vie.

De fins yeux bleus qui pétillaient...

« Si le Haut Conseil m'y autorise, j'ai une suggestion à faire qui pourrait peut-être aboutir à un certain consensus. » déclara calmement Albus Dumbledore.


Reviews:
hermionedu69,
voilà, j'éspère que c'était asser rapide! J'ai déja la suite en tête donc le reste devrait venir bientôt.
La fourmi
, j'éspère que cette suite te parraitra aussi bien, même si on est encore dans la periode d'intro du personnage de Magus.
Syrma, continue à m'encourager parceque j'ai beaucoup de mal à trouver du temps pour écrire, et vos remarques me motivent.