Disclaimer: Je déclare ne pas posséder les droits d'auteurs d'Harry Potter, et donc n'avoir techniquement aucun droit d'utiliser les noms et l'histoire de ces livre à des fins personnels. Je déclare aussi ne pas avoir touché d'argent pour avoir écrit les lignes qui vont suivre. J'ai conscience de violer le droit de la propriété intellectuelle et j'ai aussi conscience que si J.K ROWLING vient faire un tour sur ce site, je peux en prendre plein la gueule pour pas un rond, mais j'suis un rebel et t'façon, pour m'attraper, faudra que ses avocats cours plus vite que moi... NA!

L'histoire: Cette histoire ne correspond pas à l'architecture des romans de Rowling, et les personnages peuvent agir et parler différemment, mais je promet de faire de mon mieux pour respecter l'ésprit de ces romans.
Basée sur un polar que j'avais partiellement écrit qui n'avait pas du tout pour trame de fond l'histoire d'Harry Potter, cette histoire est pour l'instant au niveau T (pour troll je suppose... non, c'est pas ça? Ah, donc pour les 13ans et +... et pourquoi T alors?) et est susceptible de changer de niveau si je trouve qu'elle est trop noire pour un américain moyen...

Précision: J'ai aujouté 2 lignes dans le chapitre 1. Elles sont faciles à trouver, et elle serviront plus tard.


Chapitre 6

Quelque part.

Un souffle glaciale sur sa nuque.

Une odeur entêtante d'encens.

Une douleur insupportable lui martelant le crâne.

Il ouvrit lentement les yeux.

La pièce n'était éclairé que par la lueur de quelques bougies aux flammes vacillantes, dont les mouvement dessinaient des figures grotesques sur de solides murs de pierres dépourvus de toute forme de décoration.

Son corps, figé en position assise, ne répondait pas à ses ordres. Il restait prostrés, face à un des quatre murs gris, se laissant lentement hypnotisé par les ombres qui dansaient librement sur les pierres.

Son souffle régulier émettait des sifflements aiguë, inhabituels, et il sentait avec angoisse quelque chose qu'il ne pouvait voire se faufiler entre ses pieds.

« Maître? »

Le soudain éclat de voix, qui lui parut familier le secoua de sa torpeur en un sursaut que son corps n'effectua pas, ses yeux continuant obstinément a observer le mur.

« Ton retour ne peut, dans ton intérêt, que signifier la réussite de ta mission », sussura-t-il d'une voix aiguë qui n'était pas la sienne, et qu'il reconnut d'ambler.

« En effet, maître. Son cadavre doit déjà faire le bonheur des rats du métro! », annonça la voix sans chercher à cacher le ton de satisfaction qu'elle employait.

« Ton rejouissement est tout à fait déplacé », prononça-t-il d'une voix glaciale. « Cette mission était un prétexte, et la seule raison pour laquelle je n'ai pas envoyer Pettigrew est parce que j'ai plus besoin de lui ici que de toi. »

« M... mais, m... maître... », ânonna misérablement la voix

« Tais toi! » Ordonna-t-il

Silence...

« Qu'en est-il d'Apocalypse? » entama-t-il.

« Ils sont désorganisés maître, reprit l'autre voix, qui semblait avoir définitivement perdu de sa superbe. Leur meneur, Loki, a été abattu par un agent de la Guilde des lumières, et leur action, depuis, se limitent à quelques actions disparates. Mais l'un d'eux semble avoir pris le pas sur les autres. Il se fait appelé... Charon, je crois. Je n'ai pas eu le temps d'en apprendre plus à son sujet. Il semble tout faire pour ne pas être localisé. »

Le silence retomba.

« Apocalypse n'a jamais eu l'étoffe des mangemorts, même du temps de Malthus. reprit Harry. Ils sont incontrôlables, m'avait-il dit. J'aurais sans doute dû le faire revenir à ce moment là. Mais peu importe, il a eu le sort que méritent, et tu a fait alors ce que tu devais pour laver l'affront qui nous avait été fait, avec, comme toujours, beaucoup trop de zèle d'ailleurs. »

Le silence après cette dernière phrase pesait par le malaise qui émanait de l'assassin, qu'il ne parvenait toujours pas à voir.

« Comment s'est déroulé l'opération ici? » demanda tentativement la voix.

Le corps qu'habitait Harry sembla frissonner. Mais Harry doutait que ce fut le fait du froid. Il semblait plutôt retenir autant qu'il était possible un rage intense.

« Parfaitement bien, persifla-t-il. Le vieil imbécile s'est bien sûr empressé de partir pour la France dès qu'il a ressentit la mort de l'autre vieil imbécile. »

« Alors, Quedever... » s'interrompit l'autre avec un étrange espoir dans la voix

« Alors Pettigrew a parfaitement réussit à lancer la Lyche sûr sa proie... reprit l'autre dans un sifflement aux intonation de folie haineuse. »

« Alors, il est... »

« NON, IL N'EST PAS... » coupa l'autre d'un éclat de voix meurtrier.

« Mais comment pouvez vous... » entama l'autre, effrayé...

« COMMENT JE PEUX LE SAVOIR? Hurla Harry d'une voix suraiguë, « JE LE SAIS PARCE QU'IL NOUS REGARDE EN CE MOMENT MÊME, PAUVRE ABRUTI! »

Le corps qu'habitait Harry se leva alors brusquement, se retourna et fit face à un gigantesque miroir dans le reflet duquel Harry vit Voldemort le regarder directement, des ses yeux rouge dont perçait une haine et une rage folle.

« NE VAS TU DONC JAMAIS CREVER, POTTER! SI CETTE PROPHECIE DOIT S'ACCOMPLIR, C'EST UNIQUEMENT PAR TA MORT QU'ELLE LE FERA, ET JE ME DERAIS UN PLAISIR DE BRULER CHAQUE PARCELLE DE TA PEAU ET DE FAIRE BOUILLIR TON SANG MELLE J'USQUA CE QUE TU ME SUPPLIE DE T'ACHEVE! MAITENANT DEGAGE, SORT DE MA TÊTE! »

« SORT DE MA TÊTE! »

SORT DE MA TÊTE

La lumière éclata alors au visage de Harry qui, pour la deuxième fois de la nuit, se tourna redressa dans son lit, la main sûr sa cicatrice brûlante, puis se tourna sûr le coté et vomit à en perdre conscience.


Reviews:

Général: Bon, le sentiment général à propos de cette histoire c'est qu'elle est bien écrite au niveau du style, mais qu'elle est bizarre... Je ne sais pas trop comment le prendre, en fait. D'un coté, je me dis que c'est bien parce qu'elle est original, du coup, mais bon, d'un autre coté, ça peut vouloir dire « mouais, chais pas, chelou tout ça, faut éclaircir... » ... Entre les deux mon coeur balance... Donc dites moi si c'est bizarre au point d'être chiant et je reverrais ma copie (après avoir avalé une demi bouteille de vodka en gueulant « t'façon chuis un incompris, le monde est truffé de con qui ne comprennent rien à mon art, bla, bla, bla...). Mais dites vous quand même que j'ai débuté cette histoire en en connaissant déjà la fin, donc je sais où je vais... si,si je vous jure!

Bon, d'accord, où elle est cette bouteille de vodka?

Thealie: La suite est là, et elle est aussi bizarre que le reste (l'auteur bois la premiere gorgée de vodka). J'espère que tu aura le la patience de me lire encore un peu, le temps que les choses se mettent en place (pitié!). Bisou.

Mélandir: OUI, elle est très O-R-I-G-I-N-A-L mon histoire. MERCI! Je t'aime toi tu sais! (nouvelle gorgée de Vodka). Pour ce qui est des jour ou j'écris, en fait, y'en a pas en particulier, c'est un peu quand ça me vient (les soirs de nuits blanche, généralement, c'est à dire en moyenne 2 ou 3 fois par semaine... insomnies... enfer... fatigué... trop de boulot... j'vais faire un infarctus a 25 ans...). Mais je crois qu'il y a des alertes avec si tu t'inscrit. Voilà, continue à m'envoyer tes avis! Bisou!

Syrma: La fidèle, à qui je dédis cette nuit blanche relativement productive. J'espère pouvoir continuer à poster les chapitre aussi vite mais les partiels arrivent et les chapitres vont commencer à s'étoffer. Mais je ferais des efforts, promis. BIZOUUUUU!

Bartiméus: Nous y voilà... Alors ça a bien commencé (« excellent ») puis ça a baissé petit à petit (très bien, puis bizarre, et enfin louche...). Alors, je m'inquiète! C'est louche bien, ou louche pas terrible? Non, mais parce que, même si ça fait pas toujours plaisir, c'est vachement important, la critique! S'est comme ça qu'on évolue! Mais dans c'est cas là, il faut me dire si tu trouve que ça baisse, si on commence à douter etc... Bref, si tu a le courage de te pencher la dessus, j'attends les critiques! A+ (je dis pas bisou, parce que je pense que t'es un mec et que tu pourrais mal le prendre, mais le coeur y est!).

Vaaliyah: J'ai peur de ne pas avoir beaucoup de temps à moi en ce moment, mais si l'offre tient toujours, d'ici la fin de mes partiels, pourquoi pas! Et merci pour le compliment! A+.