II- Premier contact

Quand Harry arriva dans cette magnifique capitale, il admira tout ce qui était autour de lui puis son esprit pratique reprit le dessus et il se demanda où il allait loger. Puis il se rappela que son amie Hermione passait ses vacances dans cette ville, il décida donc de trouver son hôtel dont il connaissait le nom. Mais, ne voulant la déranger, il se ravisa et soupira bruyamment : qu'allait-il faire ? Lui, le sorcier le plus célèbre au monde et aussi le plus doué (beaucoup plus que ce Dumbledore complètement dépassé), allait-il rester seul et sans asile ?

Il aperçut ensuite une auberge de jeunesse d'aspect miteux et se demanda si finalement il ne préférais pas dormir sur le quai d'une gare ou encore sous un pont car il avait entendu dire que c' était courant en France. Mais, après un long moment de réflexion intense et douloureuse il décida de ne pas se rabaisser à dormir comme un clochard, quand même !

Soudain il entendit un bruit derrière lui, c'était la foule qui hurlait de peur devant la dizaine de petits bonshommes verts qui descendaient du ciel.
Les gendarmes semblaient débordés et Harry en vit même un qui détalait comme un lapin (de Garenne).

Le jeune sorcier, n'écoutant que son courage (et entendant déjà les éloges qu'on ferait de lui), sortit sa baguette magique de sous son aisselle gauche et, la brandissant vers un marchand de disques minable, il lança un Accio tonitruant et fit venir à lui une vingtaine de CD de musiques puériles (dans le genre Alizée). Toujours en les dirigeant de sa baguette il bombarda les extraterrestres avec ces armes improvisées. Les hommes verts déguerpirent ventre à terre et Harry, ne voulant faire parler de lui dans les journaux moldus, disparut sous sa cape d' invisibilité héritée de son père.