(( Noirceur d'âme et âme d'ange ))
Note de nous :
Zoo : Voilà le chapitre un ! Merci pour vos message. RARs à la fin.
Ah aussi ! Pour ceux qui nous on mis dans leur alert, qu'ils recommencent parce ça n'a pas marché, FF déconnait à ce moment. (Comme d'ab quoi !)
Bonne lecture !
Chapitre 1
Comme tout les matins à Privet Drive, Harry se leva en premier. Il grogna de douleur tandis qu'il s'étirait. Il se rendit dans la salle de bain et tomba sur son reflet que lui renvoyait la glace au-dessus du lavabo.
Le résultat n'était pas brillant.
Son visage ne souffrait pas de marque, puisque son oncle ne voulait pas que tout le voisinage sache quel homme violent il était. Mais en retirant le haut de son pyjama dévoilant son torse amaigrit par le régime des Dursley, on ne pouvait pratiquement pas voir la couleur d'antan de sa peau tant il y avait de bleus et d'hématomes. Le plus inquiétants était l'hématome bleu-violet qui s'étalait sur ses côtes de droite.
Il soupira et avec précautions pris sa douche. Il frotta sa peau meurtrie et l'eau chaude détendit ses muscles le soulageant quelque peu.
En repensant à la lettre de Ginny, Harry sentit les larmes lui venir aux yeux.
Cela devait être un erreur se disait-il. Un terrible malentendu. Une bonne explication et tout serait comme avant.
Il tenta calmer sa respiration qui le faisait souffrir.
Il ne pouvait pas rester ici. Son oncle et Dudley allait finir par le tuer.
Tant pis pour ce que dirait l'Ordre. Ce soir il récupérait ses affaires, prendrait le magicobus et s'en irait à Londres. Il louerait une chambre au chaudron baveur et essaierait de s'expliquer avec ses amis. Et tout irait bien.
Il sortit de la douche et s'essuya avec une grande serviette. Il couvrit ses blessures avec le vieux t-shirt informe et trop grand de Dudley ainsi qu'un jean où il devait mettre une ceinture pour qu'il tienne sur ses hanches étroites et auquel il avait du couper les pattes pour qu'il soit à peu près à la bonne taille.
Pas de doute, s'il voulait se déguiser en clochard s'était réussit.
Harry donna sans trop y croire un coup de peigne à ses cheveux indomptables après les avoir séché. Ils tombaient en mèches courtes et longues dans tous les sens et aucune force au monde ne les forcerait à en faire autrement.
Avec un dernier soupir, Harry descendit préparer le petit déjeuner des Dursley.
Il fit cuire le bacon dans une poêle et dans une autre les pancakes dont la pâte avait été préparé la veille. Il fit griller des tranches de pain, et servit sur la table 3 verres de jus d'orange. Il posa le beurre et la confiture de marmelade sans oublier les serviettes. Harry songea amèrement qu'il ressemblait vraiment à un elfe de maison, jusqu'au style vestimentaire.
Sa tante fut la première à se levée. Dans sa robe de chambre rose saumon, portant toujours ses gros bigoudis orange, Pétunia bailla et s'installa à sa place tandis qu'Harry lui servit son café. Il mit son bacon dans son assiette, ainsi que 2 pancakes.
«Merci Harry.» Dit elle d'un air absent faisant sursauter le jeune homme.
Harry avait bien vue que sa tante n'était pas d'accord avec la violence de son mari et fils dirigé contre lui. Mais elle ne faisait rien non plus pour les empêcher de le battre.
L'oncle Vernon descendit enfin à son tour en grognant. Il était déjà habillé, sa grosse moustache frémissante au-dessus de sa bouche. Il portait son 3 pièces brun-beige de mauvais goût. Il s'installa au bout de table après avoir fait un bécotin à sa femme. L'absence du cou de son oncle était remarquable surtout à côté de sa tante qui elle en avait un surdimensionné.
Il s'empressa de servir son oncle pour éviter que celui s'énerve. Alors qu'il repartait vers la cuisinière il reçu une grosse claque sur les fesses qui le fit se retourner brusquement vers Vernom choqué et effaré. Celui le regarda avec des yeux torves : «Dépêche-toi, paresseux.»
Il regarda alors sa tante qui semblait aussi sonnée voir scandalisé que lui.
Dudley entra à son tour dans la cuisine quand Harry et Pétunia avaient presque fini de faire la vaisselle et Vernon soit partit à son usine. Pétunia servit grassement Dudley de pancakes et de bacon. Vernon avait décidé que puisque Dudley était le nouveau champion de boxe junior poids lourd, il n'avait plus besoin de régime.
Quand Dudley eut tout dévoré à une vitesse phénoménal, il se précipita dans sa chambre pour préparer ses affaires. En effet il était invité à passer la semaine chez Polkiss et Harry pensait 'bon débarras'.
Une fois la cuisine rangée et propre sa tante donna à Harry la liste de ce qu'il devait faire aujourd'hui et alla à son tour se laver et s'habiller.
Harry regarda la longue liste et soupira pour la énième fois de la journée. C'est alors qu'il vit une petite clé accroché au papier par un bout de scotch.
Le premier vrai sourire depuis qu'il était ici apparut sur le visage d'Harry.
La clé du placard sous l'escalier; là où se trouvait sa baguette et toutes ses affaires de sorciers!
La journée était passée assez rapidement. Harry se reposait dans sa chambre ses corvées faites. Allongé sur le dos sur son lit, ses muscles endoloris le jeune homme faisait une petite sieste avant de quitter définitivement les Dursley sans attention de retour.
Il aurait pu le faire plus tôt, pendant que la maison était vide : Dudley chez son ami, sa tante partie commérer avec les voisines, mais Harry voulait au moins faire ses adieux à cette dernière. Il ne considérait pas Dudley et Vernon comme faisant partie de sa famille, mais Pétunia, même si elle n'était pas exempte de toutes fautes, restait la sœur de sa mère défunte.
Harry avait déjà rassemblé ses affaires, et avait demandé à sa chouette de l'attendre au chaudron baveur. Quoiqu'il arrive, quand son réveil sonnerait il partirait.
Ainsi malgré ses muscles en feu il dormait à peu près paisiblement.
Harry se réveilla plus tard dans la soirée quand il entendit les marches-pieds dans l'escalier, lourd et typique de ceux de son oncle. Harry se releva brusquement et vérifia rapidement si sa baguette était bien caché sous son oreiller.
L'oncle entra dans la chambre de son neveu. Harry se mit debout et attendit que l'homme lui dise ce qu'il veule.
« As tu bien fait ton travail, mon garçon?» Demanda t'il d'une voix étrange.
Harry sentit les effluves de l'alcool dans l'haleine de son oncle et il remarqua sa démarche chaloupée. Le jeune homme se raidit de la tête au pied. C'était dans ces moments là que Vernon devenait le plus dangereux.
« Oui mon oncle. » Répondit-il d'un ton docile, mais jetant un coup d'œil vers l'endroit où était caché sa baguette.
L'adulte se frotta les mains et un sourire cruel déforma son visage. « Et bien je suppose que sa mérite récompense. »
Avant qu'Harry n'ait pu enregistrer ce que venait dire son oncle, celui-ci se précipita vers lui, les mains en avant avec un regard qui ne cachait rien de la folie qui s'était emparé de lui.
Harry recula et buta sur le lit où il tomba à la renverse. Vernon ricana et le brun vit avec horreur une bosse déformer le pantalon de son oncle. Il sentit sa bouche s'asséché en comprenant ce qu'avait voulut dire l'homme par 'récompense'.
Il resta comme paralysé, son esprit refusant cette idée sinistre. Ce fut une erreur, son oncle profitant de son apathie se jeta sur lui l'écrasant de tout son poids.
« Avoue! Avoue que c'est de ta faute espèce de monstre! » Hurla Vernon dans une pluie de postillons alors qu'il s'acharnait à retirer le t-shirt de son neveux.
Harry se débattit avec autant de force qu'il pouvait malgré son état d'épuisement. Il devait lutter à la fois contre son oncle et lui-même s'empêchant de ne pas sombrer dans l'inconscience.
« Tu uses de sort! Tu as fait en sorte de m'exciter, sale pédé! C'est ça que tu veux? hein? C'est ça que tu veux ?» Continua l'homme la respiration saccadée, ses mots à moitié haché. Il se pencha et planta ses lèvres rugueuses sur celle d'Harry et avec une main commença à ouvrir sa braguette. Le survivant eut un haut le corps et faillit vomir sur son oncle.
Le jeune homme sentit avec répugnance les mains moites de l'homme passer sans douceur sur sa peau. Cela devait être un cauchemar. Mais la souffrance que lui causait ses nombreuses blessures étaient une preuve accablante qu'il était bien réveillé.
Alors que son oncle posait une main à un endroit que personne n'avait touché, Harry réussit à lui mettre un coup de genoux dans l'entre jambe. Vernon poussa un crie aiguë et Harry en profita pour se dégager.
Grâce à ses réflexes dut au quidditch, et à l'habitude qu'on tente de le tuer, Harry roula sur lui-même, attrapa sa baguette et la brandit vers son oncle. Vernon le regarda les yeux exorbités soufflant comme un bœuf, le visage rouge de colère.
« Surpris Vernon? » Demanda Harry la voix tremblante de rage. Mais la main qui tenait sa baguette ne tremblait pas.
Le survivant était tellement en colère que des étincelles rouge et or sortirent de sa baguette. Vernon resta immobile, effaré de l'aspect soudain effrayant qu'avait pris son neveux. Ses yeux émeraudes derrière ses lunettes étincelaient d'un feu vert ardent montrant une volonté de fer que rien ne pouvait briser.
Harry fut tenté de maudire son oncle, mais il se retint. L'homme ne valait pas la peine qu'il risque de se faire renvoyer de Poudlard. Il recula et ferma la malle qui contenait toutes ses affaires. Vernon amorça un mouvement.
« NE BOUGE PAS! » Cria Harry, le ton faisant l'effet d'un fouet qui claque dans les oreilles de son oncle. Il resta immobile, la peur l'ayant dessoûlé et rendu un peu de raison.
Harry tout en restant face à Vernon sortit de sa chambre en traînant sa malle. Une fois dehors il referma la porte et vit alors la clé dans la serrure. Il ferma à clé et mit aussi les différents verrou qu'avait installé son oncle lui-même. Rassuré de savoir l'homme bloquer dans son ancienne chambre, il remit la baguette dans la poche de son pantalon. Il descendit les escaliers avec sa malle.
Il pris sa veste sur le porte manteau et il sortit du 4 Privet Drive. La nuit était déjà tombé, et les rues étaient vide. Il s'éloigna un peu de son quartier et sortit sa baguette qu'il agita.
Quelques seconde plus tard, un grand bus violet se gara devant le survivant. Un jeune homme qui avait un acné assez repoussante sur le visage descendit et son visage s'éclaira à la vue du brun.
«Harry ! Eh Erny c'est Harry! Et bien ça faisait longtemps Harry! Comment ça va Harry? Je suis content de te voir Harry. Je disait justement à Erne que ça faisait longtemps qu'on n'avait pas vu Ha...»
«Bonsoir Stan, moi aussi je suis content de te voir. Je peux monter?» Coupa Harry avant que l'autre ne répète une sixième fois son nom.
«Bien sûr Harry.» (ndS: et de six -.- ndZ : Lol)
Stan pris la malle de Harry et le conduisait à l'avant du véhicule. Erny se retourna vers lui et lui sourit gentiment.
«On t'emmène où petit?»
«Au chaudron baveur, s'il te plait.» Répondit Harry. Il aimait bien ces deux là, qui quoi qu'on raconte sur lui le traitait toujours de la même façon.
La magicobus partit, laissant Privet Drive revenir de nouveau à la normal. Avec des gens ordinaires avec des vies banals.
Personne ne fit attention au chat tigré qui repartit chez sa maîtresse, ni aux hurlements de rage d'un homme moustachu et gras, qui s'acharnait sur une porte qui le maintenait enfermé dans la chambre de son neveux qui puait la crotte de hiboux.
Draco remit sa robe en place. Il s'admira un instant dans le miroir de sa salle de bain.
Il était grand, musclé avec art et ses cheveux d'or blanc retombaient avec grâce sur ses épaules.
Il était parfait.
Ses yeux aux reflets anthracite admirèrent sa stature noble, sa peau pâle, son visage aux trais réguliers, la rougeur de ses lèvres ourlées et la perfection de son port.
Il eut un sourire satisfait et hautain, un brin narcissique. (ndS: un brin ? Dray : Oh c'est bon hein !) Et dire que le « sauveur » du monde sorcier était petit, frêle et maigrichon.
Vraiment pitoyable.
Le blond soupira. Il sortit de la pièce pour se diriger vers son armoire. Là il sortit sa cape d'été qu'il posa négligemment sur ses épaules. Il partit ensuite à la recherche de sa mère.
Les couloirs qu'il traversait étaient richement décorés. Un parquet de bois de rose, récemment ciré, s'étendait sous ses pieds. De multiples tableaux représentant ses ancêtres trônaient sur les murs, eux-mêmes recouvert de tentures vert-sombre brodés aux fils d'argent.
Le symbole brodé représentait un long serpent enlaçant une boule de cristal. Il s'agissait de l'emblème de sa famille.
Draco s'était toujours demandé sa signification mais n'avait jamais pu avoir de réponse, celle-ci n'étant mentionnée nul part dans les livres familiaux.
Son père lui-même l'ignorait.
Enfin il arriva à la porte du boudoir de sa génitrice. Il toqua mais n'obtiens aucune réponse. Il ouvrit alors l'accès pour pénétrer dans la petite salle.
Elle était vide te toute présence humaine.
Le serpentard secoua la tête, dépité. Sa mère était encore partie sans le prévenir.
C'était la cinquième fois cette semaine.
L'air résigné il appela un elf.
Il lui donna l'ordre de prévenir ses parents de son absence, il se rendait au chemin de Travers pour faire quelques emplettes.
La créature acquiesça et partie sans demander son reste.
Alors qu'il s'apprêtait à transplaner il se demanda si sa mère avait une mission pour « l'autre ».
Cela faisait plusieurs jours qu'Harry vivait au chaudron baveur. Il avait eu la visite des membres de l'Ordre dont Rémus. Il leur était reconnaissant de ne pas avoir tenté de le renvoyer à Privet Drive.
Mais aucune visite des Weasley et aucun membre de l'Ordre du phénix ne semblait pourvoir expliquer leur étrange attitude envers Harry. Harry, qu'il n'y a pas encore si longtemps ils le clamaient haut et fort, faisait partie de leur famille.
Remus lui avait expliqué que plusieurs articles parlant de lui, l'avait descendu et pratiquement accusé d'être soit à la solde de Voldemort, soit d'être lui-même un futur mage noir. On avait parlé de ses dons comme le fouchelangue et d'après de soi-disant spécialiste, il allait forcement un moment ou un autre mal tourner. Ensuite, les articles avaient raconté les échos de ce qu'il lui était arrivé à Poudlard mais le montrant avec le rôle du méchant qui se faisait passer pour un héros. Sans parler qu'ils étaient revenus à sa célèbre cicatrice sauf que cette fois-ci il ne simulait plus ses douleurs. Non, il avait bel et bien un lien avec le seigneur des ténèbres mais c'était pour mieux espionner en faveur du lord.
Si Harry avait eu Hermione et Ron avec lui, le soutenant, il aurait ri de ce ramassis de sottises. Mais il était seul. A part les membres de l'Ordre mais qui était trop pris pour s'occuper de lui, et quelque proche il semblerait que "le sorcier moyen", le considérait comme une menace à la sécurité d'autrui.
Heureusement pour lui, Tom propriétaire du Chaudron baveur, membre de l'Ordre s'était montré d'une grande gentillesse. Lui donnant sa meilleur chambre pour le prix d'une normal et veillant à ce que ses autres clients ne l'importune pas. Certains de ses pensionnaires avaient carrément menacé d'aller voir ailleurs s'il ne renvoyait pas le survivant. Mais Tom les avaient simplement regardé de haut et dit que de toute façon cela l'ennuierait d'avoir sous son toit de tels imbéciles.
Et c'était ces petites choses qui aidaient Harry à tenir. Déjà déprimé par la mort de son cher parrain et le mauvais traitement des Dursley (Maugrey et Remus avaient rendu une visite à son oncle mais refusèrent de raconter à Harry ce qui s'était passé) mais le retournement de veste de gens qu'il considérait comme sa famille l'avait profondément blessé.
Il se baladait parfois au Chemin de Traverse avec l'espoir de les rencontrer. Mais il n'avait pas osé se rendre au magasin des jumeaux. Ils préféraient parler à Ron avant pour comprendre mieux ce qui se passait.
Pour l'instant il avait vu Seamus qui s'était comporté étrangement avec lui, n'arrêtant pas de toucher son bras et Neville et Luna qu'il avait surpris ensemble. Harry pouffa au souvenir, Luna en le voyant s'était jeté dans ses bras sans changer d'expression, toutes fois ses grands yeux bleu brillaient et ses joues étaient légèrement roses; Neville rouge écrevisse semblait avoir oublier comment parler et lui serra la main en balbutiant et tentant de lui faire comprendre qu'il pouvait compter sur leur soutient. Harry resta un peu avec eux, mais n'étant pas du genre à tenir la chandelle, il préféra laisser le nouveau couple seul.
Mais la rencontre avec Neville amena de nouvelles questions: qu'en était-il de Ron et Hermione? Étaient-ils eux aussi ensemble? Il savait que les Weasley semblait avoir décidé de rompre tout lien avec lui et qu'Hermione était avec eux Il espérait pourtant que son amie réputée pour son intelligence aller l'épauler pour se réconcilier avec la famille de son meilleur ami. Après tout à chaque fois que lui et Ron se disputait, elle était là pour les aider à faire la paix.
Harry avait passé ses derniers jours à rattraper son retard et s'était même avancé. Il n'était pas beaucoup sortit, préférant fuir les regards chargés de peur, de dégoût et de haine que la plus part des sorciers lui lançaient, même certains élèves avec qui il croyait pourtant bien s'entendre. Il s'était réjouit d'avoir réussit ses BUSES, ayant des notes excellentes sauf en divination. La meilleur à ses yeux étaient sans doute l'Optimal en Potion pour les deux épreuves pratique et théorique. Bon, il allait avoir l'hybride aux cheveux gras encore pendant deux ans, mais qu'elle revanche c'était!
Le survivant ne se rendait pas compte, mais il était devenu un des meilleurs élèves de son années et en pratique, la question ne se posait même pas: il surpassait même les élèves plus âgés. Attisant la jalousie de beaucoup dont une qu'il pensait encore pouvoir appeler amie.
Ainsi, ses devoirs de vacance terminés, Harry se promenait en cette belle journée d'été dans la grande rue commercial. Il avait même aperçut de loin Malfoy sont rival. Mais le serpentard avait pris bien 20 centimètre et à son grand agacement le dépassait au moins d'une tête. Il devait faire la même taille que Ron. Devant l'élégance inné et, il fallait l'avouer, la beauté du blond, il s'était sentit petit et laid et avait décidé ainsi de l'éviter. De toute façon il n'était pas d'humeur à déclenché un duel inutile.
C'est alors qui les vit.
Son cœur manqua un battement, et le temps sembla passer au ralentit. Hermione et Ron, main dans la main, se baladaient comme-ci de rien n'était.
Harry alla à leur rencontre, et leur fit face. Il sentit son sang se glacer dans ses veines quand il vit les mines de ses amis joyeuse il y a quelques secondes se déformer par la haine et le dégoût. Le pire s'était Ron. Ses oreilles devinrent rouge, et il se mit devant sa petite amie comme pour la protéger.
Harry frissonna devant le regard glacial que lui lança le roux. Seul Malfoy, Rogue, Voldemort et ses mangemorts lui réservaient d'habitude ce regard là.
Inspirant profondément et décidé à prendre la licorne par la corne, il commença: «Ron, Hermione je...»
«C'est Weasley et Granger pour toi, Potter» Aboya Ron.
Harry écarquilla les yeux de surprise. « Vous...je... vous ne croyez tout de même pas tout ce qu'on raconte sur moi!» Dit il les yeux vert s'embuant de larmes qu'il tenait tant qu'il pouvait de contenir. Il aurait pourtant préféré être en colère. Mais il n'en avait pas la force.
«Tais toi Potter. Tu es mal placé pour nous dire ce que nous devons croire où pas.» Déclara Hermione avec mépris. « Viens Ron, partons. Il n'en vaut pas la peine.»
Les mots frappèrent Harry comme des coups de poignard. Alors que les deux Griffondors repartaient, le brun avança et tendit la main pour toucher l'épaule du roux. Ron recula comme s'il avait la peste et avant qu'Harry n'ai put réagir, le frappa dans le ventre.
La violence du coup fit voler Harry jusqu'au stand de l'animalerie. Il s'écrasa contre les cages des hiboux et chouettes dans un nuage de plumes.
Respirant difficilement, le coup de Ron avait réveillé les douleurs de ceux de son oncle, il releva la tête, les larmes menaçant de couler. Du duvet étaient collés sur ses joues et Harry regarda ses deux amis qui avaient chacun un sourire goguenard aux lèvres.
Le cœur brisé, se sentant humilié, il vit alors Malfoy qui avait assisté à la scène. Mais au lieu du regard plein d'allégresse morbide qu'il aurait cru voir, le blond le regardait comme s'il avait vu un fantôme.
Honteux, Harry se remit debout et couru sans se retourner pour rentrer à l'auberge sous les rires mauvais de ses deux anciens meilleurs amis.
La journée était chaude.
Le chemin de Travers grouillait de monde on ce 30 août. Beaucoup d'élèves achetaient leurs fournitures de dernières minutes.
Draco avait un rictus de dégoût collé sur ses lèvres.
Les effusions dont-il était le spectateur lui donnaient la nausée. Les gens ne pouvaient-ils donc pas être plus discrets ?
Bien que peu habitué aux expansions, il n'avait rien contre les « câlins » mais pas quand ils étaient exécutés avec autant exubérance.
Il faillait avoir un tant soit peu de dignité.
Voir Londubat se faire étouffer par une fille aux yeux gros comme des soucoupes et aux longs cheveux blonds fillasse, dont-il ignorait le nom, n'était pas un spectacle des plus appétissant. Surtout quand la fille en question portait de gigantesque boucle d'oreille en forme de navet vert clignotant et que le griffondor poussait des cris de cochon qu'on égorge, la figure encore plus rouge qu'en cours de potion.
Bref un spectacle peu ragoûtant.
Remarquez, voir la Patil griffi sauter dans les bras de sa meilleure amie puis lui raconter d'une seule traite les derniers potins n'était pas des plus agréable n'on plus.
Ce qui avait surpris le serpentard était le fait qu'il l'avait entendu murmurer le nom de Potter d'un air mystérieux. L'autre avait eu l'air horrifié et avait demandé si c'était vrai. Patil avait hoché la tête et lui avait murmuré autre chose que Draco n'avait pu entendre. Le visage des deux filles s'était tordu dans une grimace dégoûtée et haineuse.
Elles étaient ensuite parties acheter des sous-vêtements. (ndZ : C'est ce qu'on appelle la futilité.)
Draco avait continué sa marche, se demandant ce qu'il était encore arrivé au brun. Il avait ensuite haussé les épaule, s'en moquant comme d'un veracrase.
Il passa une heure à flâner, achetant quand même de nouveaux ingrédients pour ses potions et un livre sur les rêves : « Comment analyser notre monde onirique. ».
Alors qu'il sortait de la papeterie, une chevelure noir échevelé attira son regard.
Harry Potter se tenait à quelques pas de la, dos à l'animalerie sorcière. Bizarrement il le trouva plus chétif qu'avant.
Sa peau habituellement halée était pâle, presque translucide. De grosses cernes s'étalaient sous ses yeux et ses iris étaient à présent d'un vert passé.
Devant lui se tenait Wesley et Granger. Ils le fixaient tous deux avec la plus grande répugnance.
Quand le brun fit un pas en avant pour toucher le roux celui-ci s'écarta vivement et frappa son ami au ventre. Le griffondor fut emporté par la force du coup et vient choir au beau milieu des cages en faisant tomber la plupart.
Il gisait à présent dans un amas de métal et de plume. Celles-ci volaient au tour de lui le faisant ressembler à un ange tombé du ciel.
Il releva la tête laissant voir à Draco ses yeux embués de larmes alors que sur ses joues trempées se collait du duvet. Sa chute avait relevé son haut et un énorme hématome violacé s'étalait aux yeux de tous.
Le blond eu comme un flash. Potter ainsi installé ressemblait étrangement à l'ange de son rêve.
Avant qu'il n'ait eu le temps de réagire, le survivant s'était déjà relevé et partait en courant vers le chaudron baveur.
Weasley et Granger eux se moquaient méchamment du brun, riant de lui d'un rire mauvais.
Draco chassa de sa tête la ressemblance entre son ange et Potter mais lança tout de même un regard dégoûté aux deux préfets.
Il tourna ensuite les talons, cherchant un endroit pour transplaner la tête encore pleine, malgré lui, de petit brun aux joues couvertes de duvet blanc, un nuage de plumes l'entourant.
Que s'est-il encore passé ?
Le vide.
Encore et toujours le vide.
Il flottait dans ce vide noir oppressant.
Son corps ne lui appartenait plus, il avançait comme une marionnette.
Ses pieds rencontrèrent encore la douceur des plumes blanches qui formait comme un chemin en suspension.
Au fur et à mesure les plumes se tachèrent de sang, les rendant dur et raides sous ses pieds. Certaines s'envolaient pour venir se coller sur son pyjama, le tachant de sang.
Lorsqu'il arriva près de l'ange un paysage s'était formé. Il était constitué de voûte de crystal brillant sous une lumière inexistante.
L'ange gisait en son milieu. Seule une de ses ailes lui avait été arrachée, l'autre étant encore accroché à son dos, brisée à deux endroits.
Une mare de sang s'étendait sous le gisant. Ses habits blancs s'en étaient abreuvé et étaient à présent imbibé du liquide vital, les colorants de rouge.
Tout ce vermeil jurait avec le blanc parfait de sa peau.
Il s'approcha encore et pu ainsi voir que l'ange portait un tatouage à la forme étrange. On aurait dit un X.
Il était comme gravé dans sa chaire et rougeoyait.
Il l'observa un instant puis ses yeux reportèrent leur attention sur le visage de l'ange. Certaine mèche, qui le cachait à sa vue étaient collé à ses joues par des coulés de larmes.
Alors qu'il aurait voulu les retirer pour enfin admirer le visage de l'ange, sa tête se tourna à nouveau vers le tatouage.
Celui-ci s'était ouvert et du sang s'écoulait à grosse goutte des branches du X.
Le débit augmenta, des flots d'un sang noir et épais se répandaient, envahissant la pièce.
Draco se réveilla alors que le corps de l'ange disparaissait sous son propre sang.
À suivre…
Voilà la fin de ce long chapitre !
RARs :
Zoo : Fait par Severus. Vous en avez de la chance !
Sucub: Si tu le dis.
Severus : Ouais ! Elles m'ont forcé ces folles mais je ne cèderais pas à leur dernier caprice ! Dansé en cuir un slow avec Potter sur « Déshabiller moi ». Faut pas rêver nan plus ! (Sucub: boude rabat-joie)
Bon on commence par pimouss avec sa review horrifié. Ben vi zont pété les plombs. A la limite c'est des Weasley et une miss je sais tout donc on ne peux pas s'attendre à grand chose d'autre venant de leur part. Potter nous laver de nos péchés ! Et moi je suis Morgane et Dumbeldor Merlin. Encore que, il est possible que le vieux fou sois vraiment Merlin ! Mais s'est ses bonbon au citrons qui me font douté. C'est trop pervers (Sucub: c vrai que c bon les candy lemon ). Je ne peux rien te dire pour les rêves parce que les deux folles me surveilles et qu'elles ont dans leurs mains le scénario qui déterminera mon rôle dans l'histoire. Mon dieu j'ai peur. (Zoo : Tu peux ! sourire sadique ! ) Ah et nan c'est pas de l'imperium ! Tu verra tout ça plus tard. Pour la suite ben en toute logique tu viens de la lire. Elles sont désolé pour le retard mais elles n'y sont pour rien pour une fois ! Problème de Modem ! Elles te font de gros bisous et te dise une gros merci pour ta review (Beurk, beurk, beurk !)
Ensuite viens Sorcha. Elles sont ravie que tu trouve ça géniale ! Pour le manga elles me font dire que ça aurais pu mais nan, il ne s'agit pas d'Angel Sanctuary (Sucub: Kiraaaaaaaaaa... pardon ). Elles sont pressées de voir tes autres proposition. Il y a un énorme indice dans ce chapitre il paraît. Moi je sais pas, je suis trop intelligent et évolué pour lire des mangas. (Zoo : Seeeeeevvvvvvv ! Le scénarios ! Sucub: quand à quarante balais on continus à jouer à la dinette on se tait ;p) Eumh ! Elles te remercie infiniment pour ton mots et me disent de te donné pleins de bisous ! (Pourquoi moi !)
Zoo et Sucubei remercie également serpentis-draco pour son mot ! La suite est là !Bisous de leur par ! (Beurk !)
Et bien elle est là la suite Lovely A. Le prologue donnait envi de lire la suite ? A bon ! Je ne comprend pas comment on peux lire ça mais bon, c'est sûrement dû au faite que je connais déjà toute l'histoire, du moins ce que les deux folles on déjà inventé. Y a qu'un truc que j'ignore c'est mon rôle exacte dans cette histoire. J'avoue que ça me fais un peu paniquer mais passons (Sucub: mais non Sev regard de Burns des Simpson aaaiiiiiit confiance). Toutes deux espèrent que cette suite t'ai plus. Elles de font pleins de bisous (EURK !) et te dise un gros merci.
Un énorme merci à Sahada pour son très beau poème. Comme te la déjà dit la Griffi il ne s'agit pas exactement des pensées de Harry, pour le moment du moins, parce qu'il lui reste encore un peu d'espoir. (C'est bien un Griffondor ça tien ! Harry : On vous à pas demandé votre ami prof !). Encore merci de la par des deux folles et de gros bisous ! (Mais pourquoi moi !) (Sucub: un poème pour zoo... et moi je comptes pour du beurre! boude déja que j'ai pas eu le strip tease de sev et ryry)
Merci aussi à Fanou d'adorer ! (Même si Zoo trouve qu'elle aime trop chercher les chose qui cloche ! Zoo : Mais c'est pas drôle !) La suite est ! Là désolé pour l'attente mais y avait un problème de modem ! (Je n'ai aucune idée de quoi je parle ! Zoo : t'ai toi et contente toi de répondre ! ) Elles continuent ! Tu parles elles adorent leur histoire. (Zoo : ça te dérange ? Sucub: ouai, tu nous cherche? è.é) Donc merci de leur par et bisous. (De leur par aussi parce que moi je n'embrasse pas ! Zoo : Tu veux dire que tu n'embrasse que les hommes bien sûr ! Sev : Sans commentaire ! Zoo : I am winner ! Sucub: 1-0 pour Zoo )
Trop court! Comment ça trop court ! (Je précise que je ne fais que répéter ce que les deux folles me disent d'écrire !) Je comprend que tu te pose des question CamDark. Moi aussi je m'en poseraient à ta place. La première serais : Pourquoi je lis ce truc ? Enfin chacun ses goûts ! Enfin les deux auteurs sont désolé de faire travailler ton pauvre cerveau ! Zoo est aussi très contente parce qu'elle n'est pas le seule à avoir une conscience chiante. La suite est là, longue ! Elles espèrent qu'elle t'a plu. Elles te remercient et te font des bisous doux ! (Nan mais vraiment pourquoi moi !)
C'est normale que tu veuille tuer certaines personnes Misspotter95 ! Dans celui là aussi logiquement ! Et dans les prochains ! Enfin les deux folles sont ravie que tu adores ! Tu peux pas savoir les cris qu'elles ont poussés quand elles ont lu que tu trouvais qu'elles écrivaient bien ! Mes pauvres oreilles ! Enfin merci de leur part ! (j'en ai mare de dire toujours la même chose ! Zoo : Souviens toi le scénario ! Sev : Grrmbbb ! Sucub: il est mignon quant il grogne) Bisous de leur part aussi !
Ma chère Ornaluca, (chère parce qu'elles m'ont dis que tu m'adorais et parce que je te connais déjà !) Sucubei et Zoo sont ravie que ça te plaise ! La suite est là et elles espèrent qu'elle à comblé ton impatience ! (Ce qu'elles peuvent sortirent comme connerie alors ! Zoo : Sev ! Severus : Oui je sais, le scénario !Sucub: non mon pied sur tes fesses! Severus: ok ok je retire!) Bisous de LEUR part et un gros merci.
Et la dernière Nfertiti qui n'en revient toujours pas de la connerie Weasleyienne. Faut pas leur en demander trop non plus ! Ce ne sont que des Weasley après tout et des Griffondor en particulier ! (Zoo : SEVVVV ! Harry : Ouais hein ! Y en a mare de cette haine des Griffons! Sucub: c drôle, moi je suis d'accord avec Sev. Faut pas trop en demander au griffy et ma reaction et tt à fait objective!) Les rêves de Draco vont être morbides encore assez longtemps. (Zoo : Zont pas faciles à écrire en plus !) La suite est là et elles espèrent qu'elle t'a plus. Euh les explication de quoi ? Héhé ! Moi je les aies toutes ! D'ailleurs je pourrais faire du chantage et…Hhmmmfff Zoo bâillonne Sev et le donne en pâture à Sucubei qui se pour lèches déjà les babines. Laissant les deux serpentard seuls (c'est pas sérieux d'ailleurs) elle se retourne vers Nfertiti avec un sourire innocent. Merci à toi pour ton mot et bisous !
Vilà fini ! Merci à Sev (regard noir au directeur des Serpentard qui sert pour le moment de poupée à Sucubei) pour les RARs !
Un petit commentaire ?
Sucubei caressant les cheveux de son nouveau jouet, et si nous parlions de ce strip tease! hausse un sourcil.
Severus: muuuuuuuuuuuuummmmffff (oskouuuuuuuuuuuuur)
