ATTRAPE MOI! Si tu peux...

Chapitre 16 : Comment l'on s'embauche un Malfoy…

Une odeur acre lui chatouillait les narines, le sortant lentement de son sommeiléveillant ses sens.

Pourtant tout en lui, lui criait de se rendormir, d'oublier la réalité et ses odeurs, et de se replonger dans la nuit douce et rêvé.

Ses autres sens se réveillaient aussi, peu à peu, son corps le faisait souffrir de partout, il avait faim, ses yeux le brûlaient.

Mais surtout, il ressentait un terrible malaise, un profond dégoût qui se répandait en lui.

Il était occuper à essayer de reconnaître, ou de comprendre se mal être, quand il entendît des voix.

« Mais putain ! C'est quoi le problème cette fois »

« Pff… J'en sais rien ! Peut être qu'on à rajouter trop vite la poudre de Xude. »

« Mais on l'a rajouté de toute les manières possible, cette poudre de merde »

« Peut être qu'il fallait faire reposer le chaudron, peut être qu'il faut que ça soit glacé… J'en sais rien ! Il faut réessayer »

« C'est beaucoup trop chère cette histoire ! Si on y arrive pas avec cette dernière livraison, on laisse tombé cette idée »

« Mouai… Je crois malheureusement que tu as raison… »

Drago ouvrît les yeux, il se trouvait dans une large pièce éclairé seulement à la bougie.

Le fait qu'il n'y ai pas de fenêtre ne l'aidé pas à savoir quel moment de la journée il pouvait bien être.

Il était entouré d'étagères et de meubles où reposaient des centaines de fioles, de boîtes, de bocaux, ainsi que des rouleaux de parchemin.

Il y régnait un capharnaüm indescriptible.

- Mais c'est pire que la resserve secrète de Rogue, ici !

Ce lieux était sans conteste un petit paradis pour tout les passionnés de potions et décoctions magiques en tout genre.

Il était couché dans un coin de la pièce, apparemment son lit avait était créé par magie car c'était évident que ce genre de meuble n'avait rien à faire ici.

Plus loin entre quelques tables, il apercevait les silhouettes des jumeaux Weasley.

Les voir, ces deux là, lui fît revenir la mémoire au triple galop, il revécût à froid tout ce qu'il s'était passé la veille.

Je crois que tu va passer un sal quart d'heure, la fouine.

Tu vas rire. C'est un bonbon fait à partir du sérum de vérité, sympa non ?

Malfoy, Quel est ton pire secret ?

J'aime, Harry Potter... Je suis raide dingue amoureux de lui…

George donnât un coup de coude pour sortir les pensées de son frère de la potion raté.

Fred remarquât le Serpentard pétrifiéà moitié relevé sur ses coudes.

Il regardait dans leur direction, mais ne semblait pas les voir.

« Drago » demandât doucement Fred.

Le blond sortît de sa catalepsie et le fusillât du regard.

« Je me permet de t'appeler Drago, maintenant. Cela fait bien quatre jours que tu nous fais ta belle au bois dormant. On a bien essayé de te réveiller dans les rêgles de l'art, on a même soudoyé des apprentis médicomage pour rester discret, mais rien à faire. »

Drago déglutît, ne sachant que dire, il essayât de se lever.

- Quatre jours ! Mais je suis pas bien moi de me laisser aller comme ça en terre ennemi !

Son ventre fît un énorme gargouillis, il ne pût s'empêcher de rougir.

- Je meurt de faim !

« Drago, tu vois cette porte au fond ? Tu y trouveras une salle de bain. Nous, on monte par ces escaliers là, derrière le bordel. On te prépare un bon petit déjeuner. C'est par là haut la sortie, alors n'essaye pas de transplanner, on est au sous sol, tu n'es jamais venu ici et tu ne peux même pas te repérer alors évite, on a pas envie de t'avoir emmurer dans notre atelier. Ok »

Drago acquiesçât et disparût promptement dans la salle de bain.

Hésiter avec eux n'avait pas été une bonne chose.

Dans la salle de bain, il se déshabillât complètement, on lui avait retiré sa cape, il ne lui restait seulement que son jeans et sa chemise toute froissé.

Ses chaussures devaient être prêt du lit, du moins il l'espérait.

Il se relaxât longtemps sous le flux d'eau brûlante, remettant ses idées en ordre.

Il se séchât, se coiffât rapidement avec les doigts devant le miroir, mettant ses cheveux humide en arrière.

Ils avaient bien pousser, ils lui arrivaient presque au épaules, quelques mèches s'échappaient et tombaient gracieusement devant ses yeux.

Il renfilât ses vêtement avec amertume après leurs avoir jeté quelques sortilèges pour les rendre fraîchement présentable et sortît de la salle d'eau en entraînant avec lui un nuage vaporeux.

A la place du lit, se trouvait une petit guéridon avec sa cape comme neuve, ses chaussures et sa baguette. Il enfilât prestement ses chaussures, réduit sa cape et l'enfournât avec sa baguette dans la poche arrière de son jean's.

Puis il montât avec appréhension les étroits escaliers de bois, au bout il y avait une minuscule porte qui donnait effectivement sur une cuisine minuscule.

Une bonne odeur de bacon et d'œuf rissolé lui mît aussitôt l'eau à la bouche.

Fred était au fourneaux, George recouvrait la table de chose délicieuse, toast grillé, confiture, marmelade, miel et sirop d'érable trônant dans leurs assiettes et bocaux respectif.

Drago déglutît tandis que son ventre émettait pour la énième fois un gargouillis intempestif.

« Assis toi » lui dît Fred sans même le regarder, George, exactement au même moment venait te tirer une chaise de sous la table en l'invitant d'un geste de la main, sans rien dire.

Drago admirât la coordination tacite entre les jumeaux, son estomac lui faisant docilement, prendre place autour de la table.

« Tu es plutôt café, thé, …chocolat » lui demandât Fred, toujours sans se retourner.

« … lait chaud … » répondît il.

George s'assît en face de lui en soutenant son regard, Drago se sentait mal à l'aise tandis que Fred lui servait un bol de lait fumant.

« Tu te souviens de ce qu'il s'est passé » lui demandât il.

Drago poursuivît un moment ce qu'il était en train de faire, c'est à dire sucrer son lait et se beurrer des toasts pour se les engouffrer avec classe.

- Sans en foutre partout évidemment, mais rapidement, par ce que, quand même, je meuuuurt de faim.

Cette table était très très appétissante, décidément !

Fred et George attendaient dans un silence pesant qu'il daigne bien leur donner sa réponse.

Drago s'arrêtât un instant de manger et dît tranquillement.

« Tu m'a cassé la gueule alors que j'était bourré. » fît il en désignant du menton le concerné.

« Et toi… » reprît en tournant la tête vers Fred.

« Tu m'as obligé à avaler ton fichu sérum de vérité en pilule. »

« T'es physionomiste dit moi. » grognât Fred, amusé.

Il était rare qu'on les distingue l'un de l'autre si facilement.

« Je pourrais vous attaquer en justice et discrédité votre entreprise. »

« Au contraire tu nous ferais de la pub. »

- Pff… Je le savais déjà.

« Mais tu ne comptais pas le faire de toute façon. »

« Hum, vous semblez au courant de mes pensées à ce que je vois… » ironisât le Serpentard.

« Tu te ferais ridiculisé. »

« L'opinion publique est contre toi, et les juges seront trop heureux d'humilier un fils de Mangemort. »

« On serait des héros et toi tu serais l'ennemi à abattre. J'exagère à peine »

« Pas mal, mais vous ne savez pas tout, finalement. »

- Je n'ai tout simplement pas les moyens de me payer un avocat.

« Pourquoi allais tu à Poudlard aussi éméché ?» demandât George.

« En quoi ma vie privée t'intéresse, toi ?» grognât il froidement.

« C'est bizarre d'être différencié sans même qu'on nous appel par nos prénoms, tu ne trouves pas ?» demandât t il à son frère. Fred acquiesçât.

« D'habitude les gens sont tout fier d'y arriver, alors il nous donne du Fred et du George à tout bout de champ. Ce qui ne disent pas nos prénoms sont ceux qui ne nous différencie pas, d'habitude. »

« Qu'est ce que ça peut me foutre ?»

« De toute façon, tu ne pouvais allé que voir Sevychou. Mais pourquoi ?»

- Eux aussi ils l'appellent Sevychou ?

Drago continuât à manger avec volupté, alternant le sirop d'érable, et la marmelade d'abricot sur les toasts.

George soupirât, mais après tout il ne s'attendait pas à ce qu'il lui réponde au chose que des « Va t'faire foutre ». Il commençât lui aussi à prendre sérieusement son petit déjeuner.

Fred lui repartît dans un monologue à propos de la potion, il notait dans un carnet les dernières réactions en faisant part à son frère de ses remarques, l'autre lui répondait seulement par onomatopée.

Drago écoutât un peu la conversation, amusé, puis il se décidât à y placer son grain de sel.

« Au fait, puisque c'est la poudre de Xude qui semble vous poser problème, j'ose espéré que vous savez qu'il ne faut jamais la mettre tel quel dans une potion. »

« Hein ?»

« Il faut toujours lentement la diluer dans autre chose avant de la mettre dans la potion, sinon son action est trop forte et annule l'effets de tout les autres produits . »

« Comment ça dans autre chose ?»

« Oui, ça doit être un élément neutre, comme tout le monde le sait, ça n'entre donc même pas dans la composition. En fait ça dépend de ce que va être la potion après. Si c'est un onguent, du jaune d'œuf de dragon donnerait un plus à la consistance du produit final, si c'est à boire, de l'essence d'amande douce donnerait un meilleur goût, etc… »

« Quoi »

« Diluer la poudre de Xude avant ?»

« Mais pourquoi notre fournisseur nous aurait parlé de ce produit sans nous expliqué cette particularité ! » s'exclamât George.

« Pour qu'on lui en rachète évidemment ! » lui répondît son Frère.

« L'enfoiré ! Depuis le temps qu'on se fournît chez lui, nous faire un coup pareil! »

« Il faut que j'essaye tout de suite ! » s'enflammât Fred en faisant valser son bol de café en courant vers la porte du fond.

« Viens par là ! » fît George en agrippant le bras du Serpentard, l'entraînant dans leur antre à la suite de son frère.

Drago eut juste le temps d'attraper une dernière tartine dégoulinante de miel.


Quelques heures plus tard, les trois garçons ressortaient noir de crasse mais étonnement complice dans leur discussion endiablé.

George avait la peau bleu ciel, ces taches de rousseur, ces yeux ainsi que ces cheveux étaient d'un bleu roi profond.

Fred lui prenait la main et regardais les différences de tons entre ses ongles et l'intérieur de sa paume de main avec le reste.

« Et pour ce qui est de ton engin, il était de quel couleurs ? »

« T'a qu'a essayer la version fuchsia et tu verras si c'est plus claie ou plus foncé ! »

« On va d'abord voir avec toi combien de temps ça dure et après quand on aura fait les réglages j'essayerai. Mais pas en fuchsia ! »

Drago posât sur la table la poignée de gélules grossières, qu'il tenait dans la main.

« Comment vous avez pu ouvrire un second magasins avec des idées aussi perverse. Vous n'avez donc jamais de plaintes ? » soufflât il, amusé.

« On est pas responsable si les gens font un mauvais usages de nos créations. Si au lieu de se servir de cette pilule qui colore la peau pour un bal masqué, il le glisse dans la nourriture d'une tierce personne. Ou sont nos tord la dedans ? »

« De toute façon, ce que nous vendons n'est pas mortel que je sache, et les effets sont toujours limité. »

« En tout cas, merci Drago. » fît George en lui attrapant la main pour la serrer.

« Oui grâce à toi on a avancer d'une façon impressionnante ! Alors qu'on étaient complètement bloqué ! »

« Prêt à abandonner ! »

"Vraiment désespréré ! "

« A pressent le projet et quasiment bouclé ! »

« Yehhh »

Fred et George exécutaient une drôle de chorégraphie ridicule, d'autant plus ridicule que l'un des deux était à moitié nu et de couleurs bleu.

Apparemment ça devait être l'un de leur rituel, l'entente entre jumeaux a ses limite.

Drago pouffât en les imaginant répéter cette scène pitoyable.

Fred lui mit la main sur l'épaule en regardant son frère d'un regard entendu.

George fît apparaître un parchemin qu'il tendît au Serpentard.

« Que… Mais ! A quoi vous jouer ! » s'exclamât t'il en découvrant un contrat de travail en bonne et du forme.

« On ne jouent jamais avec l'argent ! »

« Tu sais les ex pauvres ça pourra jamais penser le fric comme un Malfoy. »

- Si il savaient que les ex riches peuvent devenir économe au point de squatter les forêts…

« Tu as un travail ? »

« Nan… »

« Tu en cherches un ? »

« C'est possible… »

« C'est bien ce que je pensais ! Tu allais chez Sevychou pour te faire pistonner ! » s'exclamât George.

« Mmmmh, n'impoooorte quoi toi ... » rouspétât le Serpentard en accentuant sur le côté traînant.

« Fait pas le fier ! Je suis sur que depuis la fin de la guerre, t'es un crève la dalle ! »

« Quand on est bleu, on se la ferme ! »

« Maintenant on a deux boutiques. » reprît Fred calmement. « Une au chemin de traverse et une ici à Pré-au-Lard. On commence à avoir pas mal de moyens. On pourrait faire encore plus de créations qu'avant en achetant des matériaux rare, etc… Mais on perd tellement de temps en gestions que ça faisait longtemps qu'on pensait embaucher. »

« En fait on était plus partant à la base, pour une petite vendeuse à croquer. »

« Mais un p'tit blond à croquer, comme toi, ferait tout aussi bien l'affaire ! Drago signe »

« Signe »

Les jumeaux allaient repartir en chorégraphie, mais Drago les stoppât en posant le parchemin sur la table.

« Il est hors de question que je fasse « vendeuse » de farces et attrapes »

« Mais ça ne serait pas ta fonction première. » assurât George.

Fred lui donnât un coup de coude.

« Mais qui t'a parlé de ça ! C'est nous qui avons la côte avec les clients » reprît le jumeau qui n'était pas bleu.

« Toi tu ne ferais que nous aidez au niveau de la mise au point de nouveaux produits »

« Traiter avec le fournisseur, faire des tests, des potions… »

« Je n'ai pas envie de tester vos foutus produits, même si c'était moi qui les faisait ! » renchérît Drago.

« En général, on les teste d'abord nous, puis on paye des volontaires pour faire d'autre tests complémentaire. »

« Sur ce pont là ça irait ! Non ? »

« Que tu sois un Serpentard offre certain avantages. »

« Nos différences feront notre force ! »

« Drago ! »

« Signe ! »

Une plume apparut sur la table, posé dans son encrier.

Drago se penchât sérieusement sur le contrât. Il le lût avec une extrême lenteur, puis levât les yeux au ciel en murmurant.

« Je ne sais pas, après tout… C'est un métier dangereux, voir humiliant sous certain aspect. Je sais que j'aurais à tenir la boutique et à tester ces trucs, exceptionnellement ! De plus… »

Drago prît sa baguette en poche et jetât un sort au parchemin avant de reprendre.

« Je suis fils d'une famille sang pure, qui baigne dans la magie noire, et autre, depuis toujours. J'ai aussi été, pendant sept années, le petit chouchou d'un professeur de potion, lui aussi sang pure, extrêmement talentueux, qui m'a enseigner quelques trucs, plutôt secret si vous voyez ce que je veux dire… Nos différences, incontestable, feront votre fortune. Alors j'exige que l'employé irremplaçable que je représenterait sois mieux payer. »

Fred prît le parchemin pour observer le changement au niveau du chiffre.

« Sans compter que j'ai, selon la tradition Serpentaresque, un esprit particulièrement pervers et ingénieux pour ce genre de choses. »

Fred passât le parchemin à son frère.

« Vous feriez mieux de signer, c'est maintenant ou jamais. »

« Si on te paye ce prix là, il va falloir faire quelques changements. »

« De quel ordre ? »

« On va faire une sorte de test, le contrat serrât de trois mois. »

« Ok, pas de problème. Vous le renouvellerez avant la fin de cette période. »

« Et tu ne rouspéteras pas à tester tes potions, et aussi, tu tiendras bien gentiment la boutique avec ta gueule d'amour quand il le faudra. »

« Mouai… C'est acceptable… A ce prix là, je serais une bonne petite soubrette. Quand les gentils patrons ne seront pas là, je m'occuperait bien de la gentille clientèle. » déclarât Drago en étirant ces yeux en deux fentes carnassière qui en disait long.

« Très bien. »

« Marché conclu. »

Quand George posât le parchemin sur la table, leurs deux signatures à lui et à son frère étaient apparues.

Drago signât lui aussi, en souriant comme un sadique.

Fred jetât alors un sort qui dupliquât le parchemin en trois, Drago prît le sien, qu'il enroulât et glissât dans sa poche.

« On va s'occuper de la paperasserie. C'est pour ça que le contrat ne débute que dans trois semaines. C'est pour que tout sois en ordre. » expliquât Fred.

« Mais pas seulement, au niveau juridique. Il faut aussi qu'on mettent en ordre l'atelier et qu'on rachète toutes sortes de fournitures. »

« Oui, et ça peut prendre du temps à la livraison, parfois. »

Drago acquiesçât.

Ce délais lui allait parfaitement.

Il avait de son côté certaine choses à organiser aussi.

Fred et George était en train de lui présenter la boutique, par où on avait accès de la cuisine, par une autre petite porte discrète.

« A propos… » demandât timidement Drago.

Les jumeaux se retournèrent étonnéà se timbre de voix inhabituel.

« Quoi ? »

« Je souhaiterais que vous ne parliez de notre nouvel accord, avec personne… »

Le mot « personne » était prononcé avec une tel tension, que les jumeaux comprirent l'allusion tout de suite.

« On ne lui en parlera pas. »

« Ni à lui, ni à personne, si tu veux. »

Drago acquiesçât de la tête gêné, de demander une faveur.

Une faveur qui touché directement l'une de ses faiblesses dévoilée.

« Drago… »

« On ne connaît pas ton histoire… »

« Et on te demande pas d'en parler, d'ailleurs ... »

« Mais… »

« …Harry rodait par ici ces dernier temps. »

« Ha ? » fît Drago, comme si ça l'intéressait à peine.

George regardait ailleurs. Fred se tordait les doigts.

« Oui étrange non ? »

« Je ne sais pas. » répondît Dragoévasif.

Un silence pesant s'installât.

Apparemment les Griffondors avaient envie d'approfondir le sujet, mais quelques choses bloqué leurs curiosité.

« Bon… Je vais y aller. A dans trois semaines, et rangez bien votre foutoir avant que j'arrive. Sinon, c'est bien simple ! Je ferais du sal boulot et ce sera de votre faute ! » reprît le blond qui n'avait vraiment pas envie de s'éterniser dans cette ambiance.

« Ouai… Ok, a plus, Dray. »

« Meurt pas de froid sous un pont, l'hivers approche à grand pas » se moquât George.

« C'est ça, on lui dira. » fît ce dernier en sortant de la boutique.

Sur le pas de la porte il mémorisât les coordonnées pour transplanner correctement danstrois semaines.


« Pfff… C'était chaud sur la fin. » fît Fred en s'épongeant le front.

« Oui, on a bien faillit transgresser l'un des plus grand tabous de l'humanité. »

« On l'a eut notre employé parfait ! »

« Yehhhh ! Bon… Il va nous faire cracher, mais s'il est aussi prometteur que se qu'il laisse paraître, on va décoller ! »

« C'est clair ! On pourrait même ouvrir notre prochaine boutique à Paris dans le cours de l'année prochaine ! »

« C'est vrai que les commandes par là bas sont plus que florissante. »

« Avec Noël a préparer, la fouine nous serrât plus qu'utile. »

« Croisons les doigts ! »

« C'est bizarre… T'on bleu devient de plus en plus clair. »

« Ha oui, t'a raison. »

« Il faudrait un peu plus corser le mélange. »

« Il faut au moins que ça dure une journée. »


NDA :
Ouarf ! J'ai enfin fini ce chapitre ! Pffiiiu…

Je sais pas pourquoi mais il a été assez dur, et longà écrire, peut être par ce que j'arrive moins à saisir le monde magique et les Griffondors.

Donc, mon Drago, a pactisé avec le diable, je ne sais pas si vous êtes déçut qu'il ai fait cela, mais dîtes vous que ce n'est pas non plus ce qu'il s'imagine faire toute sa vie.

Et puisà moins de retourner chez moman (ce qu'il ne veut pas !), a t il vraiment le choix ? Moi je trouve qu'il s'est plutôt bien demerdé !

Bon sinon, désolé, Harry n'est pas dans ce chapitre, et oui c'est frustrant.

Mais voilà, la fin arrive à très grand pas, et je voulais rendre l'avenir de mon Dray plutôt clair de se côté là.

Pour être exacte, après celui là, il ne reste que quatre malheureux chapitres.

Promis, il ne parleront que de notre couple fétiche et de comment ça va se finir entre eux.

J'avais parlé de « Happy End », il me semble…

Et bien pas d'inquiétudeça finira en apothéose ! Même si ça sera pas vraiment « Happy »ça sera encore mieux !

Enfin, personnellement, j'adoOore ma fin !

Maintenant j'espère que je l'aimerais toujours une fois la fic terminé et posté!

C'est vraiment trop bien, d'avoir écrit une aussi longue fic, je suis contente, hihihi !


Dobbie :
Dans ce chapitre Fred et George sont plus cool. Mais Dray n'oubliera jamais sa mésaventure en forêt, je suis sur qu'il trouvera milles occasions de leurs faire payer. Et le mieux de tout, c'est qu'il n'a même pas oublié qu'il était amoureux, le coquinou, niark !

Onarluca : Effectivement, les jumeaux on fait quelques choses, mais ça ne concerne en rien notre couple adoré. Mais c'est plutôt bien quand même, nan ? Pour ce qui est de Harry, Dray se débrouillera par lui même, pour une fois.

Her-Mio-Neu : Ce chapitre aussi est un peu long. T'as remarqué ? J'espère que je te surprendrais encore, comme tu me l'as dit une fois.

Artoung : Tu vois les jumeaux redeviennent plutôt correcte dans ce chapitre.

Sinon, surtout ne te gène pas pour me piquer l'idée, par ce que je considèrerais ça comme une grand honneur et ça me ferais super plaisir de t'avoir inspiré !

Déjà, Dobbie met en scène une petite Voxis dans sa fanfiction, et j'en suis super heureuse !

Et puis, j'ai tellement adoré ton histoire avec les lunettes magique, surtout la fin où Harry, invisible pour Dray, se traîne à ses pieds jusque dans sa douche ! Arf !

Tout ça pour dire ! N'hésite pas ! Je t'en pris ! GO GO GO !

En faite, c'est plutôt la vérité qui a fait tombé Drago dans les vaps, comme tu la vu dans se chapitre, il ne s'en est pas remis tout de suite.

Sinon, dans ma fic, tu sais Greg n'est pas un gros porc, au contraire il est grand et baraqué avec un style de fringue très sympatoche. Et de toute façon, tu sais quoi ? Moi aussi je les aime ces deux là ! Surtout ma p'tite boule de nerf, Vinc.

Slydawn : Ils seront de nouveaux face à face dans le suivant, désolé.

Cltho : Oki, alors mon passage est cruel. C'est trop bien, tout le monde l'aime bien comme ça. Alors tant mieux ! Merci à toi et à tes gentilles reviews !

Vert Emeraude : Oui c'est un très bon point, on va pouvoir enfin passer aux choses sérieuse ! Toutefois, désolé de casser quelques espoirs, mais je ne pense pas décrire les scènes de baises.

Nee Chan et Chana : J'espère que ça va mieux vous deux. Ne vous inquiétez pas, le couple d'amoureux arrivent bientôt. Pas d'affolement, pas de débandade.