ATTRAPE MOI, SI TU PEUX !

Chapitre 19 : Un matin pas du tout comme les autre...

Harry ouvrit ses grand yeux vert, encore tout ensommeillé.
Il était dans la tente de Drago, dans son lit mezzanine de bois clair, dans ses drap vert tendre et doux.
Il contemplât un moment le plafond de toile vaguement translucide qui laissait largement passer la lumière et la chaleur du jours avant de se retourner sur le ventre pour constater qu'il était seul.
Il l'avait tout de suite senti, mais son cœur se serrât en découvrant qu'il avait passé sans doute une bonne partie de la matinée à se vautrer et se prélasser complètement seul dans le linge soyeux.
Il avait passé la nuit la plus merveilleuse, et accessoirement la plus torride, de sa courte vie amoureuse.
- Courte ? Je me fais rire tout seul.
Inexistante disons plutôt.
Harry ricanât en se rappelant son premier baisé aux fragrances larmoyante qu'il avait échangé en cinquième année avec une sombre petite conne.
- Comment elle s'appelait déjà ? Cela m'est complètement sorti de l'esprit, ironisât il.
- Ho que je suis médisant !
Mais non mais non, je ne suis pas rancunier du tout !

Cette nuit, il l'avait passé lové contre un corps aimé, il l'avait tenu étroitement serré dans ses bras, il avait respirait son odeur, et goutté le moindre des recoins de sa peau velouté.
Il aurait aimé continuer cette activité le matin venu, mais apparemment ce ne serais pas pour tout de suite.
Il n'était pas là, et il devait le retrouver !
- Peut être était il partit, peut être s'est il enfui, lui murmurait une petite voix qui lui nouait les entrailles.
- Non non non…
Harry avait peur, il devait le retrouver tout de suite.
Il descendit vivement les marches de la mezzanine et entreprit de chercher quelques choses à se mettre sur le dos.
Ces vêtements étaient soigneusement plié sur la table basse.
Il soupirât de soulagement.
Si Drago s'était enfui, il n'aurait pas pris la peine de lui retrouver et de lui plier tout ces vêtements.
- Il sait plier lui ?
Etonnant…
Il enfilât son caleçon et son jean's, mi ses lunettes posé à côté de la pile et arpentât aussitôt l'ensemble de la tente.
Sur la table de la cuisine était posé une théière sur laquelle on avait jeté un sort qui maintenait son contenu bien chaud, autours était disposé un verre, une carafe de jus d'orange, du pain et deux ou trois pots pour se faire des tartines plus que correcte.
Harry s'excusât mentalement auprès de Drago pour ne pas faire honneur à son petit déjeuné.
Certes la tente respirait sa présence, ordonnée, classe mais vivante, et ses petites attentions était touchante, voir douteuse venant d'un Serpentard, mais…
Mais il avait mieux à faire !
- Comme le retrouver par exemple!
Il avalât rapidement une tartine beurré pour la forme et se transformât en animagus plus vrai que nature.
Il fit un large bond à travers les tentures de l'entrée et atterri souplement dans la clairière ensoleillé.
Qu'est ce qu'il aimé être un chat !
Il aimait ce que ses sens percevé ainsi.
La vision au raz du sol si particulière, le touché de l'herbes sous ces coussinets, et contre sa fourrure, les odeurs qui envahissaient son palet, et sa vision si précise et différente sur chaque choses.
Mieux que tout, il aimait sentir des instincts animal poindre en lui, comme quand un oiseau s'envolait au loin et qu'il le captivait comme s'il n'avait rien vu de si … désirable.
Mais là, même un oiseau tout mignon, tout frétillant, tout pleins de plumes, n'aurait pu le détourner de son but.
Il sentit d'abord son odeurs alors qu'il serpentait entre les touffes d'herbes, il s'aplatit au sol, oreilles rabattu sur son crane et relevât légèrement sa frimousse féline toute ébouriffé, et il le vit.
Le Serpentard était étendu sur le ventre, appuyé sur les coudes, se faisant doré au soleil, seulement vêtu d'une serviette éponge blanche enroulé autours des anches.
Il croquait distraitement dans une pomme bien rouge, mâchait lentement, ses yeux parcourant lentement les lignes d'un livre posé devant lui, s'attardant sur une illustration ou un schéma, tournant rarement les pages.
Le chat commençât son approche silencieuse, se gavant du spectacle qu'offrait le sensuel Serpentard, se pourléchant les babines, ses narines féline frémissant sous l'odeur fruité.
Harry était arrivé à une distance plus que correcte sans s'être fait le moins du monde remarqué, et il se préparait à bondir en faisant jouer ses omoplates, comme un véritable petit fauve à l'affût.
Il détendit sa musculature et son bond honorable le fit atterrir pile poil où il le désirait, c'est à dire en pleins sur le grimoire ouvert.
Ce qui suivit n'était pas prévu au programme.
Il reçut simultanément de son atterrissage une décharge plus que désagréable dans ses sensibles pattes, ce qui le fit redécoller aussitôt, atterrissant quelques mètres plus loin dans l'herbes les poils parfaitement hérissé, soufflant comme un matou furieux.
Il était très mignon, une véritable boule duveteuse et furieuse.
Au bout d'un certain temps, il reprit ses esprits et se abandonnât sa forme animagus pour pester dans un dialecte compréhensible, ses cheveux encore plus ébouriffé qu'à la normale.
« Mais qu'est ce qu'il s'est passé ? » demandât il, les yeux hagard.
Drago, qui avait sous le coup quand même été très surpris, oscillait entre mourir de rire et mourir étouffer, en effet un morceau de pomme s'était coincer dans sa gorge quand il avait hoqueter de stupeur et la tête de Harry ne l'aidé pas du tout à se remettre de ses émotions.
Harry qui rougissait de honte, commençait à s'impatienter quand le blond lui montrât du doigt le livre.
« kof… regarde bien… kof… avant de sauter sur n'importe quoi… kof… huhuhu hhh… kof »
Harry s'approchât à quatre pattes de l'ouvrage.
Son air suspicieux était vraiment comique et Drago s'étouffait en pleurant de rire de plus en plus.
Le Gryffondor eut la bonté de lui donné des claques violente dans le dos qui rétablit cette situation gênante.
« Waï ! T'es un violent ! »
«Remercie moi, plutôt.Un Malfoy n'est pas sensé mourir les larmes aux yeux comme une vulgaire princesse. »
« Tu parles de quoi là ? »
« Et oui tu as deviné… Blanche neige. »
« C'est toit qui à les cheveux de jais ici, non ? »
« Peu importe… »
Drago se remettait de ses émotions tandis que Harry se repenchait sur le livre.
L'objet était vieux et terne, couvert de poussière.
Le brun avait du mal à imaginer Drago tenant une tel choses dans ses blanches mains.
Le parchemin en lui même avait une couleurs douteuse comme s'il avait été gris à l'origine même sa reliure.
Les symboles lui était totalement inconnus, mais il étaient si pale et effacé qu'il se demandait comment on pouvait bien y lire quoi que ce soit.
Il tendit lentement la main vers le livre et remarquât que les pages se brouillaient, les symboles s'effaçaient sous la poussières et la moisissures, et quand son index effleurât le papier il reçut la même décharge magique qui le fît sursauter en arrière.
« Tu ne peux pas t'en servir, il faut prêter serment. » lui répondit Drago à sa question muette.
« Un serment ? Quel genre de serment ? »
« Ho… Ce n'est pas si terrible. Mon père avait commencer à me débloquer ce genre de livres quand j'avais huit ans. Une sorte de rituelle de sang et d'honneur familiale.»
« Je croyais que le manoir des Malfoy avait été complètement perquisitionné par le ministère, et que tout objets relatif à la magie noire avait été détruit. »
Drago osât des épaules comme si ce sujet lui était totalement insensible.
« Et bien, ils ont tout simplement mal fait leurs travail puisque j'ai le meilleur en ma possession. »
« Mais… Pourquoi ? » s'alarmât Harry.
Décidément avoir la confirmation que le Serpentard fricoté encore ettoujours avec la magie noire le laissé dubitatif.
Drago fronçât les sourcils, n'appréciant pas trop qu'on lui demande des explications avec ce ton outragé.
« Ces livres sont de pure merveilles ! Ils sont unique ! S'ils avaient brûlé avec les autre leurres, je t'assure que cela aurait été une très grande perte ! Un perte pour l'humanité ! »
Harry regardait le Serpentard s'enflammer pour ces convictions et cela l'amusât quelques peu.
« Pour l'humanité ? Je ne savais pas que tu avais ce genre de choses à cœur. Mouarf… »
« Tu sais ce n'est pas par ce qu'à Poudlard on n'enseignait pas la magie noire que c'est forcément une chose maléfique. Tu ne connais finalement pas grand choses du monde magique, Harry. » bougonnât le blond.
Le Gryffondor allait répondre une réplique cinglante maisil ravalât ses ardeurs.
« Oui, c'est vrai. A part ce qu'on a bien voulut me montrer je ne sais pas grand chose d'autre. Et d'ailleurs, je m'en fiche un peu pour tout te dire.»
Drago penchât la tête sur le côté, de manière interrogative.
« Etrange, non ? »
« Qu'est ce qui est étrange ? »
« Que le plus grand sorcier de notre époque, le célèbre Harry Potter, celui qui à survécu puis vaincu et bla bla bla, ce contrefiche du monde sorcier. Qu'est ce que tu fous ici dans une forêt perdu au lieu de devenir attrapeur ou aurore ou je ne sais quoi encore de glorieux ? »
« Et bien je profite de la vue, en tout cas. » répondît le Gryffondor d'un ton narquois avant de reprendre.
« Et moi cher Drago Malfoy… Pourrais je savoir ce que vous faite, vous, le beau, le bellâtre, le Serpentard, le riche, le glorieux, le sirupeux blondinet peroxydé de gel, ici, dans une forêt perdu, sous une tente minuscule, vêtu d'un simple pagne, les cheveux si peu coiffé même pas séché, et en si mauvaise compagnie ? Et je ne parle pas de moi, mais de ce livre dégouttant qui m'a griller outrageusement les patounets !»
Le blondinet peroxydé en question était passé par plusieurs expression, mais sur la fin il n'avait qu'un sourire moqueur imprimé sur le visage.
« Je cherche quelques choses. C'est à propos de ce que je t'ai dis hier. »
« Haaa, tu ne peux pas être plus précis ? Il fait dire que hier tu m'as susurré tant de ses choses, j'en ai encore l'esprit tout confus. »
« Laisse tombé, tu le sauras bien assez tôt. » sourît le Serpentard en se remettant en position d'étude intensive de livres vieux et poussiéreux tandis que l'autre s'allongeât auprès de lui.
«… »
« Mmh ? »
« Harry ! »
« Mais quoi ? »
« Je ne peux pas lire si tu regardes le livres ! »
« Mais je ne regarde pas ton livre ! »
« Mais l'enchantement s'en fous que tu le lises ou non, il détecte simplement que c'est possible ! Alors met toi autrement ! »
Harry lui jetât un regard noir et pour se venger s'assit à califourchon sur le dos du blond, tourné vers ses fesses.
« Fais moi la lecture, au moins. » rouspétât Harry.
Drago soupirât, un peu soulagé que le Gryffondor ne soit pas plus vexé par ses humeurs.
« D'accord, mais tu ne comprendras rien car je ne conte pas en plus te fairela traduction.»
Il lut très lentement quelques lignes dans une langues biscornues et chantante qu'il articulait avec douceur.
Harry écoutait, savourant le plaisir que lui procurait ses sens, alors que sournoisement il glissait les mains sous la serviettes.
« Hey Harry ! »
« Hum ? »
« A l'origine j'était sorti pour ne pas te déranger ! »
« Ha bon ? Tu ne me déranges pas du tout tu sais… »
Drago refermât le livre qui claquât violemment, et se retournât pour attirer à lui l'impudent, la serviette ne cachait pas grand chose de son excitation.
« Tu es un allumeur ! »
« Et c'est qui qui se vautre dans l'herbe avec une serviette éponge minuscule ? »
« c'est pas pour tes beaux yeux en tout cas. Je me lave tout les jours sous la cascade. »
« Ha oui ? J'ai de beaux yeux ? »
« Magnifique… »
Harry restât muet de satisfaction sous le premier compliment que le Serpentard lui accordait.
Drago pour mettre le Gryffondor encore plus mal à l'aise, lui attirât le visage si prêt qu'il sentait son souffle sur lui.
« …les plus beaux… » murmurât le blond en effleurant les lèvres de l'autre avec sa langue.
« …je n'en ai jamais vu de plus beau… »
Harry s'était jeter sur le tentateur lui faisant ravaler ses murmure enfiévré.
Tout deux, enlacé, s'embrassaient, roulant l'un sur l'autre, se mordant, se déchirant.
La serviette avait volé quelques mètres plus loin et Drago qui était maintenant au dessus s'était jeter sur les boutons du jean's du Gryffondor tout en s'attaquant à la peau tendre de son cou.
Harry gémissait et se tortillait sous lui, ondulant des anches et le rendant fou tout en l'empêchant de le défroquer purement et simplement.
Drago lui maintenait les bras d'une main et lui bloquait les jambes de son corps et faisait glisser le pantalon lentement.
Ils se regardaient dans les yeux, c'était dans ses moments là qu'il le ressentait le plus, lui, ses envies, ses sentiments.
Il était si bien dans se désir là, avec lui, pour lui…
Mieux que ça, il se sentait vraiment exister!
Les yeux de Drago se brouillaient de désir, et il envoyât le jean's valdinguer plus loin en s'attaquant lentement au caleçon, le faisant rouler le long des anches et embrassant la peau tendre du ventre de plus en plus bas, petit à petit.
Harry gémissait en fourrageant dans le cheveux du Serpentard, ne se lassant jamais de leurs douceur.
Tout était parfait.
Tout…
Ou presque tout…
Drago occupait à ce qu'il faisait sentit Harry exploser de stupeur ce qui le fit lui aussi sursauter vivement.
« Qu'est… qu'est ce qu'il y'a ? » demandât il.
Les yeux vert de Harry scrutait, étonné quelques choses derrière lui.
"C'est la poste!"
Drago se retournât lentement.
Dans la clairière, derrière eux.
Une grande belette orange aux allures de chat, venait de refermer ses ailes sur son dos à quelques mètres du couple.
C'était un Voxis.
Et pas n'importe lequel, c'était le male de Dumbledor.
Drago ne l'avait jamais vu, mais quand il scrutât les yeux si bleu de l'animal, il avait tout compris de suite.
Le Serpentard de forte méchante humeurs d'être déranger non seulement dans une activité privée, mais aussi dans sa clairière secrète, mais encore et par dessus le marché par ce vieux fou de Dumbledor.
Il se levât pour chercher sa serviette et s'en entouré dignement la taille, il donnât aussi le pantalon à son propriétaire puis, enfin, s'occupât de l'animal.
Le Voxis dut sentir son humeur massacrante car il s'envolât avant même que Drago ne l'eut atteint en lui lâchant en pleins vol une lettre cacheté de Poudlard.
Drago se saisit de l'enveloppe et la décachetât avec rage.
Harry pouvait le voir bouger tremblant de rage aux mots décris dans la lettre, il se levât et ramassât l'enveloppe au sol.
La lettre ne lui était pas adressé du tout compris t il en lisant l'adresse inscrite.
Drago froissât rageusement la lettre est se retournât sur lui même, les lèvres pincées.
« Il te passe le bonjour ! » explosât il en lui donnant la lettre chiffonné avant de disparaître dans sa tente.
Harry interloqué dépliât la lettre espérant comprendre une tel attitude et lu.

Cher ancien élève.

Je me permet de vous écrire pour vous témoigner mon inquiétude à propos de votre mère.
Vous n'êtes pas sans savoir que depuis la fin de votre scolarité vous vous êtes détourné de votre famille, et en l'occurrence la seule personne qui semble vous tenir un tant sois d'affection.
Celle ci, morte d'inquiétude m'a depuis quelques temps écrit des lettres pour me supplier de vous ramener à la raison.
Il paraîtrait que je sois son dernier recours, puisque toutes ses tentatives pour renouer avec vous on échouer.
J'en ai parlé avec votre ancien directeur de maison et celui ci m'a dis être également au courant de votre situation familial, lui aussi ayant reçut des lettres de Madame Malfoy, mais pourtant ne préconisant aucun conseils.
En effet, le professeur Rogue semble être entièrement en accord avec toute vos actions.
Que pouvais je attendre de mieux de ça part ?
Pendant un temps certain, rassurer votre mère en lui écrivant que vous étiez en lieu sur à Paris avec vos camarades semblât lui suffire.
Si vous vous demandez comment je pouvais bien le savoir, je vous répondrais qu'étant donné que cet appartement dans le 19ième m'appartient, je suis au courant de certaine chose.
Tout cela pour en revenir au fait que vous êtes à présent bien loin de se que j'appelleraisla sûreté.
Je ne puis donc point rassurer madame votre mère sur ce fait.
La pauvre femme, a qui j'ai rendue visite, semble allé au plus mal et n'être plus que l'ombre d'elle même.
Je ne saurais que vous conseiller de la rassurer par vous même, par lettres à défaut de part votre présence.
Je comprend votre attitude et la trouve honorable, mais évoluer seul, tracer son propre chemin dans la vie, ne veut pas forcément dire abandonner ses racines.

Cher Drago, je souhaite que ma lettre vous ai quelques peu ouvert les yeux.
Il serait dommage que vous regrettiez quoi que ce soit, et un malheur est bien vite arrivé.
Votre mère me parait souffrante ces temps ci pourtant elle ne manque pas de soins.

Albus Dumbledor
Directeur de Poudlard

PS : Seriez vous assez aimable pour passez le bonjour à Harry de ma part ?
Je vous en seriez grés.

Harry se grattât la tête en se demandant s'il devait laisser Drago seul ou non.
Il en voulait à Dumbledor d'essayer de le manipuler ainsi par les sentiments, mais sa cause semblait suffisamment importante pour l'excuser.
Toutefois il aurait pu au moins faire semblant de ne pas savoir pour eux !
« Pff… »
Harry laissât tomber la lettres au sol et décidât de se couler doucement dans la tente.
Drago était maintenant habiller d'un jeans bleu et d'une chemise blanche, il était à genoux sous la mezzanine en train d'écrire une lettre sur la table basse.
Il était si concentré qu'il ne lui accordât pas la moindre attention.
Harry se fit discret et achevât de prendre son petit déjeuné en essayant de deviner à qui il écrivait.
Il n'eut plus aucun doute quand il le vit cacheter deux enveloppes.
Drago allât à l'entré surélevé de la tente, posant ses coudes dans l'herbes, il sifflât en mettant deux doigts dans sa bouche.
Quelques temps plus tard un grand et digne hiboux se posât devant lui en tendant une patte griffue et austère.
Le Serpentard lui accrochât l'une des deux lettres en lui soufflât doucement la destination à l'oreille.
Puis quand le grand duc s'envolât, il n'attendit pas longtemps avant que le Voxis apparaisse à l'entrée de la tente.
Drago n'eut pas à se poser la question d'où accrocher la lettre sur l'animal, car avec ses petites pattes habile il attrapât l'enveloppe et décollât à son tour.
Harry le trouvât tout à coup bien triste et abatu, pourtant il ne le voyait que de dos, mais sa posture légèrement abandonné, ses soupirs ne lui laissait pas de doute.
Il s'approchât doucement du blond pour le prendre dans ses bras tendrement pour l'entraîner à s'asseoir autour de la petite table.
Drago fronçât les sourcils interrogatif, quand Harry lui tendit une tartine.
« Pff… Vous les Gryffondor, vous n'êtes quedes ventres sur pattes. » ironisât le blond.
« C'est que je ne veux pas que tu me lâches en pleines actions en me faisant de l'hypoglycémie. »
« Hum, je vois. Tu t'es mis en tête que tu pouvais m'épuiser… »
Drago sourit en croquant dans la tartine d'une façon qui en disait long, les yeux pétillant de malice.
Harry lui sourit tout aussi malicieusement.
La journér promettait d'être belle.


NDA:
Bonjours toute le monde!
Est ce que ça va bien?
Moi quand j'ai tapé ce chapitre ça n'allais pas fort, je le trouvais nul, puis en le relisant je me suis dit que finalement ça allais.
Alors je vous laisse reviewer car vous êtes les seuls juges.
l'histoire ... snif ... tend de plus en plus vers sa fin.

Onarluca:
halala!
Désolé je t'ai même pas envoyé le mail!
PUTAIN!
Sinon merci d'aimer mon histoire, mais quand je lis des fics tu as toujours été la pour reviewer à tout le monde!
Je me demande si je suis dans tes fics préféré...
Tu as un conte FF ?
ET JE FAIS UNE OVATION POUR TOI!
MA REVIEWEUSE N°100!
BISOUUUUS!

Vert Emeraude:
Tu voudrais un bon lemon bien décris?
C'est ça?
Mais euuuuuh...
On verras, mais je crois que ça va rester évasif, désolé.

Artoung:
Oui j'aime vraiment ce que tu fais.
D'ailleur quand je dois convaincre quelqun d'aimer les yaois je passe toujours un lien de "Tu m'as bien regardé, potter?"
Elle est tellement bien cette histoire, courte mais intence!
Sinon j'espère que tu aimes encore ce chapitre, mais surtout que tu aimes vraiment beaucoup ma fic!
Tu comprends...
J'ai un peu peur d'être une pietre ecrivaine de yaoïs...
snif...
T.T

DarthJo:
Ha moi outratlantique n'est pas ma fic préféré...
Et sinon c'est pour ça qu'on aime Harry et Drago c'est par ce qu'ils se detestent à la base, donc c'est normal qu'ils soient des petits sadique.
Personellement j'aime beaucoup les fics très dark,et je ne comprend pas pourquoi j'écris un PG-13, MDR!
Etrange non?

Manue:
kikou toi!
C'est normal qu'il y ai quasiment pâs de faute je l'ai fait coriger par quelqun.
Mais cette fois ci non, héhé.


Nee chan and Chana:
Limite Poufsouffle!
Harrrrrgh!
Trop la hooooOOOoooote!
Michante Chana!

Her-Mio-Neu:
Hargh, c'est trop nul pour ton permis...
Pff...
Y sont trop cons ces examinateurs!
Que des frustrés de la vie!
J'espère que tu aimes toujours ma fik!

BISOUUUUS TOUT LE MONDE!
Ceux aussi que je connais pas si il me lise.