Bonjour mes très chers lecteurs. Je sais, je sais, j'ai pris plus de temps à mettre ce chapitre que les précédents. J'espère que vous me pardonnez et que vous allez aimer ce chapitre aussi. Donc, c'est ça, je ne vous retiens pas plus longtemps.
Disclamer : les mêmes maudits personnages que les autres chapitres. Mais non, ils ne sont pas maudits, je les aime très fort. Ah, il y a deux nouveaux personnages qui se sont rajouter. Je ne vous en dit pas plus. Voilà, c'est tout ce qu'il y a de nouveau.
Chapitre 6
Souvenirs douloureux
Les deux Serpentard avaient passé une magnifique soirée. Ils avaient même failli passer la nuit à la Salle sur Demande. Effectivement, ils étaient partis vers deux heures du matin et étaient allés dormir sagement dans leur lit respectif. Bien sûr, l'affreuse Pansy Parkinson avait remarqué l'absence de Draco et de Morena et la haine qu'elle éprouvait pour cette dernière devint plus grande encore ; si cela se faisait. Elle n'arrivait pas à trouver ce que la jeune Espagnole avait de plus qu'elle. En fait, la nouvelle était plus intelligente, plus gentille, plus mature, plus drôle, plus naturelle, plus décontractée, plus belle. Bref, elle avait tout pour plaire au beau Draco et Pansy était tout son contraire, donc, ne lui plaisait pas du tout.
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Le lundi matin, en se réveillant, Ron trouva au pied de son lit une pile de livres. Chacun traitait d'un sujet bien précis : la psychologie. Étonné, il se demanda qui avait pu déposer ça là. En feuilletant les bouquins à la recherche d'un nom, il trouva un morceau de parchemin sur lequel était écrit :
« Au champion de Gryffondor,
Voici le seul et unique indice que tu auras pour te guider dans la seconde épreuve. Celle-ci n'a pas vraiment besoin de préparation, mais tu dois toujours être prêt à affronter ce que tu auras à affronter au cours de la deuxième tâche. Un dernier petit détail : l'épreuve se déroulera samedi le dix-neuf décembre en après-midi. Elle aura lieu à l'intérieur de l'école. Tu seras informé de l'heure et de l'endroit exact en temps voulu. Bonne chance.
Albus Dumbledore, directeur de Poudlard »
Au bas de la page, à droite, avait été étampé le sceau de Poudlard. Le rouquin roula la feuille parcheminée et la glissa dans la poche de sa cape qu'il revêtirait après avoir pris une bonne douche. Lorsqu'il fut habillé, il descendit prendre un bon petit déjeuner. Dans la grande salle, il alla s'asseoir avec ses amis qui avaient déjà commencé à manger et leur montra la lettre en leur mentionnant qu'elle accompagnait des livres psychologiques. Ils furent tous surpris et décidèrent d'aller voir Draco pour lui demander s'il avait reçu la même chose. Quand les cinq Gryffondor eurent terminé leur repas, ils se levèrent donc et se dirigèrent vers la table des Serpentard. Rendu là-bas, plusieurs des élèves assis à cette table les regardèrent comme les derniers des dépravés, puis continuèrent à manger comme s'ils n'existaient pas, mais en continuant de leur jeter des regards de menace. Pansy, Crabe et Goyle faisaient partie de ces jeunes. Comme ils avaient aussi fini de manger, Morena et Draco allèrent rejoindre leurs amis de l'autre maison et le beau Malfoy leur fit part que lui aussi avait reçu l'étrange indice. Ensemble, les sept sorciers se rendirent donc au cours de Potion.
Rogue était encore très joyeux et paraissait beaucoup moins fatigué qu'au début de l'année. Quand il vit les sept sixièmes années arriver ensemble, il fut très étonné de voir qu'ils étaient tous amis. Il se dit en s'inquiétant que Draco avait rallié à la cause de Voldemort Harry et ses amis. Il ne se doutait pas que c'était plutôt le contraire. Il les invita donc à s'asseoir avec l'air maussade qui lui était habituel l'année d'avant. Si même le jeune Potter s'était ranger du côté des Ténèbres, il ne valait plus la peine de tenter d'éliminer le maître des mangemorts. Néanmoins, Severus n'avait pas le choix ; il devait enseigner à tous les élèves de Poudlard, même ceux qui étaient en train de tourner mal.
Durant tout le cours, les sept amis parlèrent de l'indice pour la deuxième épreuve tout en concoctant un Veritaserum très puissant. Après avoir épuisé le sujet, ils se mirent à parler de l'absence de Voldemort. Justement, pendant qu'ils parlaient de ça, Rogue passa près d'eux.
-Je suis bien content que Voldemort n'est tenté aucune attaque depuis l'année passée, déclara Harry haut et fort.
-Ouais, pour ça t'as bien raison, mais, c'est bizarre, depuis le mois d'août que je n'ai pas eu de nouvelles de mon père non plus. Il a comme qui dirait disparu. Remarque, je m'en plains pas. Il pourrait bien être mort et je m'en porterais très bien, avoua Draco avec une pointe de rancune dans la voix.
-Ai-je bien entendu ? Vous n'avez pas de nouvelles de votre père, monsieur Malfoy ? J'ai cru apprendre que messieurs Crabe et Goyle étaient dans la même situation que vous, mais ils semblent plus inquiets que vous, fit remarquer le professeur.
-Évidemment, ils croient encore dur comme fer que leurs pères suivent le bon chemin. Moi, au moins, je me suis aperçu que servir Voldemort n'était pas la bonne façon de vivre sa vie, confia le beau Serpentard au directeur de sa maison.
-Bien, je suis bien content de vous l'entendre dire. Maintenant, continuez votre travail, ordonna Rogue avant de s'en aller vers son bureau à l'avant de la classe.
Il était rassuré ; Draco était revenu dans le droit chemin probablement grâce à Morena. Finalement, c'était une très bonne chose qu'elle soit déménagée en Angleterre. Cependant, Severus se questionnait sur le revirement de situation ; à peine une semaine plus tôt, Harry et Draco étaient les pires ennemis et, maintenant, ils étaient de bons amis. Étrange, vraiment étrange. Qu'est-ce qui avait provoqué cet événement ? Quoiqu'il en soit, le professeur de Potion était très heureux ; Voldemort était emprisonné à Azkaban et il possédait un futur mangemort de moins. Le cours se termina donc dans une note plus joyeuse que lorsqu'il avait commencé.
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Helena et Harry se promenaient dans l'école, main dans la main, en parlant des prochains matchs qui les attendait. Harry relatait avec émotion la partie de la Coupe du Monde à laquelle il avait assistée, il y a deux ans, mais négligea les évènements qui se passèrent par la suite. Le jeune homme était en train de décrire le moment où Viktor Krum avait fait sa célèbre feinte de Wronski, quand soudain, un courant d'air froid passa dans le corridor et les entoura. Harry s'interrompit à l'instant, se demandant d'où venait ce souffle glacé. Étrangement, il n'y avait aucune fenêtre sur la portion de mur de chaque côté d'eux. Il n'y avait aucune fissure non plus. L'air provenait de nulle part. Les deux jeunes, effrayés, se blottirent l'un contre l'autre. D'un coup, les flammes des torches vacillèrent, puis s'éteignirent. Il faisait maintenant presque aussi noir que dans un four, mais les flambeaux qui se trouvaient derrière eux étaient encore allumés. La température descendait dangereusement. Sur le coup de la panique, Harry pensa qu'un ou pire, plusieurs Détraqueurs s'approchaient de lui et de sa bien-aimée. Il la serra encore plus contre lui essayant de la protéger de son mieux. Celle-ci était très paniquée ; ce genre de situation ne lui était jamais arrivé. En Italie, il n'y avait pas de Détraqueurs et elle n'en avait jamais entendu parler. Mais elle se doutait bien que ce qui était en train de se passer n'avait rien de bon. Elle se colla encore plus dans les bras de son amoureux. Heureusement qu'il était là. Elle n'avait jamais eu autant besoin d'être près de lui et ce besoin était comblé.
Une jeune fille courait. Un long rideau de cheveux blonds ondoyait derrière elle. Le vent sifflait entre les pans de ses vêtements : une grande robe noire qui flottait elle aussi. Dans ses mains, elle tenait fermement sa baguette magique. Au loin devant elle, quelqu'un criait son nom.
-Julia, Julia! Où es-tu ?
Mais Julia n'arrivait pas à répondre. Elle était trop concentrée à continuer de courir. Si elle arrêtait, elle mourrait. Soudain, un éclair vert fendit le ciel et la jeune fille s'effondra. Un affreux rire démoniaque résonnait dans le lointain...
Ce rire se répercutait aussi dans la tête d'Helena, transperçant son âme de part en part. Pourquoi repensait-elle à cela ? Elle s'était promis de tout oublier. Pourtant, elle n'arrivait pas à s'enlever cette affreuse image : un homme grand et mince au regard d'un bleu éblouissant qui la regardait en souriant. Pourquoi souriait-il ? Il n'avait aucun droit de lui sourire de la sorte. Et elle se souvint qu'elle lui avait répondu par un clin d'œil moqueur. Elle lui avait fait confiance. Pourquoi lui avait-elle fait confiance ?
Ces pensées tournaient rapidement dans sa tête sans vouloir s'arrêter. Pourquoi refaisaient-elles surface ? Il s'était passé tant de mois durant lesquels elle avait réussi à ne pas y penser. Sans le vouloir, des larmes coulèrent doucement sur ses joues blanches et glacées. Elle essayait de se réchauffer en serrant Harry, mais son étreinte était absente. Elle se sentit soudainement seule, terriblement seule. Le rire revint avec force et la déstabilisa. Ses genoux flanchèrent et Helena tomba sur les dalles froides du couloir. Elle mit ses mains sur ses oreilles, ne voulant plus entendre ce rire affreux et démoniaque qui la faisait tant souffrir. Helena sentit quelques mouvements à côté d'elle, sans savoir que c'était son petit ami qui tentait en vain de produire un Patronus.
Harry était sous la panique, ne voyait que l'image de Sirius qui tombait au ralentit dans le voile sombre et disparaître à tout jamais. Il hurlait son nom, il le suppliait de l'aider mais le jeune homme restait stoïque à ses appels, foudroyé sur place par la peur. Il avait essayé d'éloigner ce cauchemar toute l'été chez les Weasley, avait essayé d'oublier le visage de Sirius, de son parrain qu'il n'avait pas eu le temps de connaître. Et maintenant, Helena, celle pour qui son cœur battait, risquait de mourir s'il ne faisait pas quelque chose. Il avait sorti sa baguette magique de la poche, en bégayant un « Spero patronum » vers le bout du couloir où allait bientôt apparaître le Détraqueur. Quelques étincelles argentées étaient sorti, puis, rien. Il évoquait des souvenirs heureux, mais à chaque fois, ils disparaissaient et laissaient place à un cri long et aigu lancé par sa mère juste avant de se faire tuer. Il finit par abandonné lorsqu'il vit Helena tomber à genoux, les mains sur ses oreilles.
Après quelques secondes qui avaient paru une éternité, une main squelettique apparut à l'angle du corridor. Elle fut suivie d'un bras, puis du corps d'un Détraqueur. L'être se dirigeait vers les deux jeunes quand, soudain, un jet de lumière argentée éclaira de milles feux tout l'espace. Un grand serpent argenté aussi glissa vers le monstre en faisant siffler sa langue. Le reptile rampa jusqu'au Détraqueur qui restait là sans bien comprendre ce qui était en train de se passer. La vipère grimpa doucement le long de sa future victime. Elle s'entoura ensuite autour du cou du gardien d'Azkaban. Celui-ci suffoquait, mais ne tentait rien pour se défendre. Rogue apparut peu de temps après son propre Patronus. Il avait sa baguette magique levée et on sentait le courant d'énergie qui passait du sorcier au sortilège. Le Détraqueur tomba dans un bruit sourd et le serpent se volatilisa immédiatement. En même temps, les affreuses pensées d'Helena cessèrent aussitôt. Ses larmes arrêtèrent de couler, le rire se noya dans les pas de Rogue venant vers eux. Après avoir sécher rapidement ses pleurs, elle décida de ne rien dire de tout cela. Elle n'était pas encore prête à en parler. Le professeur rangea sa baguette et replaça sa cape noire avec un sourire chaleureux, mais inquiet. Il aida Helena à se relever puis Harry. Ceux-ci le regardaient, yeux rougis pour une, yeux terrifiés pour l'autre.
-Désolé pour ce petit contretemps. J'étais en réunion avec ce Détraqueur très indiscipliné, mais il a sentit votre présence, alors, comme j'étais parti quelques minutes, il n'a pas pu s'empêcher de sortir du local pendant mon absence. J'espère qu'il ne vous a fait aucun mal, expliqua Severus.
-Je crois que ça va aller, dit Harry, encore un peu bouleversé. Merci d'être intervenu.
Severus leur jeta un petit sourire en coin et allait parti quand le Gryffondor le rappela :
-Professeur! Je voulais savoir : pourquoi étiez-vous en réunion avec un gardien d'Azkaban ?
«Tout le monde savait que les Détraqueurs s'étaient alliés à Voldemort, mais Rogue était sensé être revenu dans le bon camp» pensa Harry.
-Je ne sais pas si je devrais vous en parler...Hésita l'ancien mangemort. Bon, d'accord, suivez-moi.
Après avoir fait léviter le monstre dans une classe, ils se rendirent dans cette classe pour pouvoir discuter sans être dérangés. Pendant le trajet, le jeune homme regarda sa petite amie, encore chagrinée par cette « rencontre ». Il lui prit la main, tentant de la réconforté et cela marcha. Elle lui sourit et se colla un peu plus contre lui. Après avoir fermé la porte, Rogue leur raconta tout : la perte de pouvoir de Voldemort, son emprisonnement et la raison de la présence d'un Détraqueur dans la très réputée école de Poudlard.
-Au mois de juillet, nous avons rencontré les gardiens de la prison pour les ramener de notre côté et ils ont accepté. Bien sûr, nous leur avons promis quelque chose en retour ; ils pourraient tous s'abreuver de l'âme de Voldemort. Si celui-ci est ici, c'est parce qu'ils commencent à s'impatienter ; ils veulent tous avaler l'âme du Maître des Ténèbres. Nous, nous les en empêchons. C'est à vous, monsieur Potter, que revient la tâche de débarrasser le monde du Mage Noir, rappela le professeur de Potion.
-Et vous croyez vraiment que j'en suis capable ? Il ne faut pas oublier que Voldemort est très puissant, presque autant que Dumbledore. Moi, je n'ai que seize ans. Et je n'ai même pas été choisi pour le Tournoi des Quatre. C'est Ron qui devrait le tuer, pas moi, avoua Harry.
-Ça, ce n'est pas moi qui vais en décider ; c'est vous. Bon, maintenant, vous savez tout. Je vous suggère fortement de partir avant qu'il ne se réveille, répondit-il en désignant le Détraqueur. On se revoie au prochain cours.
Songeurs, les deux amoureux sortirent du local pour se retourner à leur salle commune.
-Qu'est-ce que c'est cette bête étrange que vous appelée Détraqueur ? Je n'avais jamais eu aussi peur de toute ma vie. Comment ils font pour aspirer l'âme des gens ? Qu'est-ce c'est Azkaban ? Demanda précipitamment Helena dont l'esprit était très embrouillé par les derniers événements.
-C'est pas nécessaire que tu sache tout maintenant. L'important, c'est que t'aies rien. Je sais, moi, ce que ces monstres peuvent faire. Ils ont failli m'enlever mon parrain alors que je venais juste de faire sa connaissance. De toute façon, ça n'a pas changé grand chose qu'il survive ; il est mort quand même. Et je ne veux surtout pas que ça t'arrive ; le baiser du Détraqueur, c'est, d'après moi, la pire mort qui existe. Je donnerais tout pour pas te perdre, confia le jeune sorcier qui avait vécu beaucoup trop de choses en seize ans.
Les deux jeunes s'embrassèrent amoureusement. Ils avaient eu plus de peur que de mal et ils étaient très contents de pouvoir encore se serrer dans les bras l'un de l'autre. Néanmoins, la jeune fille continua de penser à l'effet que le Détraqueur avait eu sur elle. Car, c'était assurément à cause de lui si ses mauvais souvenirs avaient refait surface. Mais elle était loin de se douter que Harry aussi avait été replongé dans son passé. Ils se dirigèrent donc, main dans la main, vers la tour de Gryffondor. Arrivés là, leurs amis se rendirent bien compte qu'il s'était passé quelque chose.
-Mon Dieu, mais vous en faites une de ces têtes ! Qu'est-ce qui s'est passé ? Demanda Ayumi en paniquant, elle n'aimait pas voir son amie dans un tel état.
-On est tombé face à face avec un Détraqueur, mais Rogue est arrivé juste à temps ; il nous en a débarrassé, expliqua Harry qui semblait plus remis de ses émotions que Helena.
-Un quoi ? S'affola la Japonaise en entendant le nom du monstre ; elle non plus ne connaissait pas ces créatures et juste le nom lui semblait dangereux. Tu pourrais nous expliquer un peu mieux ce que tu veux dire ?
-Qu'est-ce qu'un Détraqueur vient faire à Poudlard ? T'es sûr que vous allez bien ? Vous devriez manger un peu de chocolat. Entendez, je vais en chercher, s'exclama Hermione, inquiète pour ses amis, avant de disparaître dans l'escalier menant au dortoir des filles.
Elle redescendit avec un sac de friandises qui contenait du chocolat, mais bien d'autres bonbons. Lorsque l'Italienne eut repris des couleurs, les trois jeunes qui n'étaient encore au courant de rien bombardèrent de question les deux arrivants. Le jeune homme leur expliqua calmement ce que Rogue leur avait raconté quelques minutes plus tôt. L'auditoire très attentif comprit alors pourquoi ils n'avaient pas entendu parler de Voldemort depuis longtemps. Et ils en étaient très contents. Ils comprirent aussi pourquoi leur professeur de Potion qui, avant, était d'humeur exécrable avait brusquement changé de comportement ; il était très heureux de la capture de son ancien maître, mais comme il y avait participée, au début de l'année, il était extrêmement fatigué. Il n'avait, maintenant, plus du tout peur de montrer à quel point il était du côté du jeune Potter. Heureux d'avoir fait le point sur les derniers événements, les cinq compagnons repartirent sur une note plus joyeuse en parlant de l'hiver qui commençait et de Noël qui arriverait dans moins de deux mois tout en mangeant les bonbons qu'Hermione avait descendus.
Vers dix heures, alors qu'ils commençaient à penser à aller se coucher, ils avaient cours le lendemain, le professeur McGonagall entra dans la salle commune pour faire une annonce aux élèves dont elle était la directrice.
-Je sais qu'il reste encore un mois et demi avant l'événement dont je viens vous parler. Toutefois, j'ai décidé que le plus tôt vous seriez informé et le plus tôt vous seriez prêts. Donc, nous avons décidé d'organiser un bal à l'occasion de Noël. Il aura lieu le dimanche qui suivra la deuxième épreuve. Vous devrez vous trouver une tenue adéquate pour pouvoir y participer. C'est tout ce que je voulais vous dire, termina-t-elle avant de ressortir par où elle était entrée.
Le silence dura quelque seconde, puis les conversations reprirent là où elles avaient été laissées. Peu à peu, les élèves montèrent dormir.
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Le lendemain, alors que la grande salle commençait à se vider, une petite boule de plume entra en trombe par une fenêtre ouverte malgré l'air froid qu'elle laissait aussi pénétrer dans la pièce. Le minuscule hibou se précipita en virevoltant dans tous les sens vers son propriétaire exaspéré. Ron s'empressa d'attraper Coq au vol lorsqu'il passa devant lui pour ne pas qu'il continue à s'exciter. Il détacha, avec des gestes brusques, le rouleau de parchemin que l'animal avait d'attaché autour de la patte.
-Voyons, Ron, sois un peu plus délicat avec Coquecigrue. Il est si doux et si fragile. Tu ne vois pas que tu l'écrases, s'indigna Ginny en jetant un regard dédaigneux vers son frère, puis chaleureux vers le pauvre oiseau. Tu es trop horrible avec les animaux. Ça me répugne. Viens, Daniel, il me rebute trop celui-là. Et dire que c'est mon frère.
La jeune fille poussa un soupir de découragement avant de s'éloigner avec sa nouvelle flamme : Daniel Wargrave, un élève de quatrième année et le deuxième batteur de l'équipe de Gryffondor. Elle avait vite délaissé le beau William Stephensen quand elle avait entendu la rumeur qu'il s'était trouvé une petite amie dans l'école. Cependant, elle était loin de se douter que c'était Ayumi l'élue du cœur du charmant professeur. Mais elle avait d'autres chats à fouetter ; elle avait maintenant un petit ami, elle aussi, et elle comptait bien s'amuser avec lui.
Après avoir fait une première lecture, dans sa tête, Ron relut la lettre qu'il venait de recevoir. C'était la réponse tant attendue de ses deux frères.
-C'est écrit :
« Bonjour petit frère, nous sommes très heureux d'avoir enfin de tes nouvelles. Effectivement, on commençait à s'inquiéter pour toi ; peut-être n'avais-tu pas survécu à Poudlard sans nous. Et cela nous fait de la peine de voir comment tu te débrouille parfaitement sans notre précieuse aide. Nous sommes cependant très contents pour toi. Pour en revenir à l'objectif principal de ta lettre : la récompense de votre tournoi d'échec. Nous sommes d'accord pour y contribuer. Cela nous fera une bonne publicité. Nous nous sommes donc entendus pour offrir au gagnant de votre tournoi une trousse complète du petit farceur comprenant toutes nos inventions pour manquer des cours, mais aussi plein d'autres friandises pour jouer de bons tours à ses amis ou ennemis. Celui qui arrivera en deuxième position recevra les bonbons dont nous avons parlés précédemment. Et le troisième aura quelques échantillons de nos meilleures inventions. Nous avons même convenu d'un prix de participation : un certificat cadeau d'un gallion dans tous les bons magasins qui vendent nos magnifiques produits. Tu nous réécriras lorsque ce sera le temps de distribuer les prix aux gagnants.
Au plaisir de te relire,
Fred et George »
-Bon, c'est bien, on va pouvoir commencer le tournoi d'échec. C'est dommage qu'ils ne nous donnent pas plus de leurs nouvelles. Je vais leur répondre pour leur dire que j'ai bien reçu leur lettre, expliqua Ron en sortant un bout de parchemin.
-On a pas le temps! Dépêche-toi, on va être en retard à notre cours de DCFM, s'impatienta Ayumi en arrachant la plume des mains de son ami pour la ranger en vitesse avec la feuille et l'encrier.
Celui-ci n'était pas bien fermé et il s'ouvrit en déversant tout son contenu sur la jeune fille pressée de voir son amoureux. Sous le coup de la surprise, elle lâcha tout et poussa un cri strident. Le matériel scolaire tomba de ses mains pour finirent sa chute sur le sol dans une flaque d'encre bleu nuit et un fracas de verre. Dans toute la grande salle, quelques éclats de rire et quelques applaudissements résonnèrent accompagnés de «bravo» moqueurs. La jeune fille soudain très gênée, baissa ses beaux yeux bruns en signe de soumission.
-Bon, tu vois, à cause de toi, j'ai plus d'encre. Tout ça pour arriver à l'heure à un cours. En plus, c'est Will le prof, même si on arrivait en retard, il dirait rien, cria le rouquin en lançant des regards furieux à tous ceux qui étaient encore dans la pièce.
Puis, il prit son sac et s'en alla à grandes enjambées. Ayumi ne sachant pas que faire, lança rapidement un sort pour nettoyer son habit et le plancher, prit ses affaires et partit en courant rejoindre l'autre. Elle le rattrapa rapidement, car elle avait de grandes jambes et pouvait courir vite, mais pas trop longtemps.
-Ron, suminasen! 1 J'avais seulement très hâte de revoir mon petit copain. Tu comprends sûrement ; si tu devais te cacher pour aimer Hermione, tu crois pas que tu aurais envie de la voir à tout moment ? S'il te plait, écoute-moi, implora-t-elle en empoignant fermement le bras du fuyard pour le forcer à s'arrêter. C'est juste de l'encre, je vais t'en acheter une autre bouteille. Pourquoi est-ce que t'es fâché pour de l'encre ?
Ron se retourna et la foudroya du regard. Ayumi eut même peur qu'il lui saute à la gorge.
-Parce que, dans ma famille, on a pas beaucoup d'argent. L'encrier, je venais tout juste de le commencer, il était neuf. Et puis, mes frères, ça fait trois mois que je les ai pas vus, j'aurais peut-être aimé ça leur répondre tout de suite. Mais non, madame veut voir son petit Willy-chou, alors tout le monde doit se dépêcher pour elle. Si tu veux aller le voir, vas-y et laisse-nous tranquilles avec tes amours, on a assez des nôtres, s'enragea-t-il avant de donner un coup sec de son bras pour le déprendre et de repartir sur le mode marche rapide.
Ayumi soupira de découragement ; décidément, il ne s'était pas levé du bon pied ce matin-là. Elle se rendit donc seule à la classe de DCFM, car Ron était parti dans le sens contraire. Quand elle arriva, William était en train de parler avec Pavarti Patil. Celle-ci rigolait idiotement et le professeur avait l'air de trouver ça charmant. La Japonaise alla s'asseoir directement dans le fond de la classe sans adresser un regard de plus aux deux seules autres personnes présentes.
-Bonjour Ayumi. Ça va bien ce matin ? Questionna ironiquement Will sans comprendre pourquoi elle était de mauvaise humeur.
-Oui, très bien merci, répondit-elle sur un ton sans réplique.
Comme le professeur avait terminé d'expliquer la matière vue au dernier cours à Pavarti –elle avait été absente– celle-ci alla à sa place habituelle. Peu à peu, les autres élèves arrivèrent, tous, sauf Ron. Le beau jeune homme qui donnait le cours n'attendit pas son arrivée et commença le cours sans lui. Pendant toute l'heure qui dura, Ayumi n'écoutait pas ; elle ruminait de bien mauvaises pensées. Qu'est-ce que Pavarti avait à tourner autour de SON William ? Si elle voulait un petit copain, elle n'avait qu'à chercher ailleurs. Celui-là était déjà pris et Ayumi n'était pas prête à le partager.
À la fin du cours, la Japonaise resta pour parler au professeur. Quand tout le monde fut sorti, elle s'avança vers lui et le gifla. Sans trop comprendre que lui valait cette attention plutôt fracassante, le jeune homme encaissa le coup. Mais, lorsqu'il eut massé sa joue gauche énergiquement pour enlever la douleur, il rompit le silence.
-Qu'est-ce que j'ai fait ? Pourquoi me frappes-tu ? Pourquoi t'es de si mauvaise humeur ? Questionna Will qui n'acceptait pas d'être giflé pour rien.
-Et tu as le culot de me demander ce que j'ai! Non, mais, ça va pas toi ? Et après ça, tu vas dire que je suis pas à ton écoute. Il me semble que tu devrais savoir pourquoi je suis comme ça. Tu t'es pas vu avec Pavarti ? S'emporta la jeune fille qui avait encore un peu mal à la main d'avoir frappé si fort.
L'autre éclata de rire. Un rire franc impossible à arrêter. Il se tordait en deux. Ayumi le regardait sans comprendre pourquoi il agissait ainsi et plutôt choquée de son attitude. Après une minute à attendre qu'il cesse de rire, elle le releva de force et le regifla pour qu'il arrête pour de bon. Le prof, surpris par ce geste, cessa immédiatement de rire et plongea ses beaux yeux d'un noir troublant dans le regard haineux que lui lançait sa petite amie. Il la regarda avec compassion, mais surtout avec amour et cela suffit à adoucir sa belle. Pour la deuxième fois en une avant-midi, elle baissa la tête, regardant timidement ses souliers maintenant propres comme un sous neuf. Elle s'en voulait d'avoir fait mal à ce bel homme qui se tenait devant elle, qui l'aimait et qu'elle aimait aussi. Le jeune professeur beau comme un dieu lui prit doucement le menton et la força à relever la tête. De nouveau, leurs regards se croisèrent. L'un remplit d'amour et l'autre désolé, mais toujours un peu fâché.
-Pourquoi tu as ri ? Demanda enfin la belle jeune fille.
-Parce que c'est complètement absurde ce que tu as dit. Tu crois vraiment que moi et Pavarti... Tu te fais des idées. Je faisais juste lui expliquer ce que j'avais enseigné au dernier cours. Tu te rappelles, elle était absente ? Expliqua calmement William.
-T'es sûr que tu viens pas d'inventer ça pour pas que je sache la vérité ? Soupçonna Ayumi.
-Voyons, tu me fais pas confiance ? C'est toi que j'aime pas Pavarti. Je sais qu'elle m'aime et qu'elle voudrait bien me mettre le grappin dessus. Je le sais, je le sens. Mais je te suis fidèle et tu le sais, assura tendrement le jeune homme en prenant sa douce dans ses bras pour la serrer contre lui.
L'esprit complètement embrouillé, Ayumi répondit tout de même à l'étreinte. La tête posée dans le creux de l'épaule de l'autre, elle continuait quand même à se poser des questions. Peut-être faisait-elle quelque chose de travers pour que son petit ami regarde ailleurs. Oui, elle en était sûre, Will lui mentait, mais elle fit tout pour ne rien laisser paraître. Quand ils se séparèrent, elle avait retrouvé le sourire et l'embrassa avant d'aller rejoindre ses amis. Ceux-ci étaient intrigués ; elle avait retrouvé son air songeur et elle ne leur avait toujours pas dit si elle avait vu Ron avant le cours.
-Qu'est-ce qui se passe ? Où est Ron? S'emporta Hermione en voyant la Japonaise arriver.
-Je vais te dire la même chose qu'il m'a dit : "Laisse-moi tranquille avec tes amours, j'ai assez des miens." Répliqua-t-elle avant de repartir seule.
-Yumi, qu'est-ce que tu fais ? Attends! S'écria l'autre avant de partir en courant derrière son amie.
Elle laissa en plan Helena et Harry qui ne comprenaient absolument rien à rien. Ils regardèrent les deux filles disparaître au bout du corridor. Ils s'interrogèrent d'un regard et haussèrent les épaules d'un même mouvement. Ils tournèrent les talons, puis repartirent main dans la main, très contents d'avoir une relation moins compliquée.
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Quelqu'un cogna à la porte. La jeune fille, qui était seule à la maison, se précipita pour répondre. Elle ouvrit la porte d'un mouvement brusque. Un homme se trouvait dans l'entrée et, lorsqu'il vit Helena, un sourire éclaira son visage. Elle lui sauta au cou et s'accrocha solidement à lui. Ça faisait si longtemps qu'elle ne l'avait pas vu. Quand elle desserra enfin son étreinte, le jeune homme put la regarder de haut en bas. Elle avait tant changé. Bien sûr, sa belle Italienne avait grandi de plusieurs centimètres, mais en fait, tout ou presque avait changé en elle. Son attitude était plus mature. Sa démarche plus assurée. Mais il était trop tôt pour qu'il s'en aperçoive. De plus, il était trop occupé à admirer la jolie jeune fille de quatorze ans qui se trouvait devant lui. Ça faisait deux ans qu'ils ne s'étaient pas vus.
-Angelo, ça fait si longtemps. Je suis si heureuse de te voir enfin. Je commençais à me demander si tu allais revenir, finit par dire Helena.
-Moi aussi, j'en pouvais plus d'être éloigné de vous tous. Où est ta sœur, elle n'est pas avec toi ? Demanda le magnifique jeune homme en regardant à l'intérieur de la maison ; il était toujours sur le pallier.
-Non, je suis toute seule, répondit la jeune fille avec un sourire rempli de malices. Rentre donc, reste pas planté là à attendre dehors qu'il neige , il neigera pas. Tu dois le savoir ou t'as oublié qu'on était en Italie.
Elle s'écarta pour le laisser passer et le suivit jusqu'au salon. Là, ils s'assirent et parlèrent de ce qu'ils avaient fait durant les deux dernières années. Après plus d'une heure, Angelo finit par avouer à l'autre les sentiments qu'il avait toujours éprouvés pour elle.
-Je sais, ce n'est pas en sortant avec ta sœur que j'aurais pu finir par sortir avec toi, mais à l'époque, je me disais que ça me permettrait de me rapprocher de toi. Et finalement, ça a marché. Je t'aime Helena e,t à vrai dire, je n'ai jamais réellement aimé Julia. Mais elle me faisait penser à toi et, maintenant, tu lui ressemble encore plus tout en étant toi-même. Veux-tu sortir avec moi ?
La jeune fille, étonnée par cette déclaration, ne sut pas quoi répondre sur le coup et resta muette. Après plusieurs secondes d'inactions, elle se leva, s'approcha de l'autre et l'embrassa. Jamais elle n'aurait cru que ce beau jeune homme de seize ans pouvait l'aimer, elle. Depuis le jour où elle l'avait rencontré, elle était tombée éperdument amoureuse de lui. Mais elle était sûre qu'il aimait Julia et qu'il la trouvait trop jeune. Mais elle s'était trompée royalement ; c'est elle qu'il aimait. Le baiser était si doux, mais il cessa au bout de quelques secondes. Les deux jeunes se regardèrent amoureusement. Ça faisait si longtemps qu'Helena attendait ce moment. Cependant, les remords commençaient à la ronger ; après tout, peut-être que sa très chère sœur, Julia, croyait qu'Angelo l'aimait encore. Ils passèrent ensemble un magnifique après-midi, mais vers quatre heures, le jeune homme dut partir à regret. Il reviendrait, promit-il.
Helena se réveilla en sursaut. Pourquoi ce souvenir lui revenait-il si soudainement après deux ans de rejet ? Elle avait presque eu le temps de tout oublier. Elle voulait à tout prix oublier. Tout ce qui était relié de près ou de loin à ce satané Angelo lui faisait affreusement mal intérieurement. En essayant de ne plus penser au mauvaise rêve qui avait déjà été un très beau souvenir, la jeune encore toute endormie regarda l'heure : il était cinq heures du matin. Bien qu'elle aurait pu dormir encore plus d'une heure, elle se leva en replaçant ses cheveux qui ne s'étaient pas vraiment déplacés durant la nuit. Effectivement, sa chevelure était longue et complètement droite ; elle avait toutes les misères du monde à la faire onduler un tant soit peu. Avant de sortir du dortoir, son regard balaya la pièce où dormaient encore ses amies.
Elle alla prendre sa douche et descendit à la salle commune qui était toujours vide. Elle s'assit seule à une table pour lire. Elle avait réussi à oublier son rêve qui était peu à peu remplacé par l'histoire du livre qu'elle lisait : Roméo et Juliette. Elle était rendue à la fin et elle était complètement plongée dans l'histoire quand Harry descendit et elle ne l'entendit pas s'approcher. Lorsqu'il arriva devant elle et toussa subtilement pour lui faire lever la tête, elle bondit de surprise.
-Ça va ? Je t'ai pas trop fait peur, j'espère, dit le jeune homme soudain désolé de sa brusque interruption.
-Non, non. Ça va. J'étais juste entrée dans l'histoire et quand je t'ai entendu ça m'a fait revenir à la réalité d'un coup, répondit l'autre remise de ses émotions ; elle avait tout à fait oublié son rêve de la nuit passée.
-Hum, Roméo et Juliette...On aime pas le même style de livre, fit-il remarquer en s'asseyant à côté de sa petite copine.
Celle-ci mit un marque-page à la page où elle était rendue et déposa l'ouvrage sur la table à côté d'elle. Soudain, la fatigue qu'elle n'avait pas encore sentie lui tomba dessus et, fermant les yeux, elle s'accota sur l'épaule de son petit copain et s'endormit un peu.
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1 PardonVoilà, c'est tout pour le chapitre 6. J'espère que vous l'avez aimé. Pour le 7, ça risque de prendre encore plus de temps. Car j'ai seulement une page d'écrite et il risque d'être aussi long que les autres. Donc, si vous aimez mon histoire, nous devrez patienter. Encore merci à Cybel ma bêta-lectrice qui a rajouté un petit bout que j'aime beaucoup. Mais je vous dit pas lequel.
Gandalf le Blanc AGC : Oui, ça serait bien si tu écrivais plein de conneries. Comme ce que tu fais de tes journées ou des trucs du genre. En fait, pas seulement des choses qui ont rapport avec mon histoire. Mais si tu ne trouves rien, c'est pas grave, je ne serai pas trop triste. Merci de continuer à lire mon histoire et de me reviewer chaque chapitre.
Amande 55 : Hé oui, j'avais envie que Draco devienne ami avec Harry et Cybel m'a donné l'idée de la prophétie. Elle me donne tout plein d'idées et je l'en remercie. Comme tu dis, tout le monde peut changer, même les plus méchants. Et c'est bien vrai. Pour Cho, je me suis bien amusée à la rendre triste. Hahaha, que je suis méchante. Mais je peux toujours changer. Hihihi. J'espère que tu aimes toujours mon histoire et que tu continueras à la lire.
Catastrophe : Merci de lire mon histoire et de la reviewer. Tu dis que dans le tome 5, Neville arrivait à faire le sortilège «Expelliarmus». Et bien, je ne m'en rappelais plus. Mais j'ai une belle petite explication du pourquoi du comment il aurait encore de la misère à le faire. Quand il a réussi, c'était sur le coup de l'adrénaline. Et maintenant, il n'arrive plus à le faire, car il manque trop de confiance en lui. Même s'il l'a déjà réussi. Voilà, j'espère que cette explication te plaît et merci de m'avoir dit une de mes sûrement nombreuses erreurs. Bon, pour la deuxième review. Merci pour tes bons commentaires. Ça me montre mes points forts et j'apprécie. Pour les autres épreuves, ce sera très différent de la Coupe de Feu. J'ai mon idée pour les deuxième et troisième épreuves. Mais pour la quatrième, je n'ai pas encore d'idée, mais c'est dans longtemps. Donc, j'ai le temps de trouver. Alors, c'est ça. Merci encore pour tes reviews et continue de lire mon histoire.
Amé Pheonix : Merci pour ta review, mais c'est pas ça qui va me redonner ma bonne humeur. Désolée je suis dans ma phase déprime et pas pour ce que tu penses. Je suis frustrée contre mes parents parce qu'ils ont une maudite conférence et que, à cause de ça, je peux pas aller voir the Grudge avec vous. Pour tes commentaires, merci beaucoup. J'ai pas grand chose d'autre à te dire, je suis trop fâchée.
Cybel : Non, ça va pas amiga. Si t'as lu ce que j'ai dit à Amé, tu vas comprendre. Bon, tu m'as écrit une longue review et je t'en remercie. Mais je ne vais pas faire des commentaires sur tout ce que tu as écris, ça serais trop long. Donc, je vais juste te dire que ton avis est très important pour moi et que j'en tiens compte. Et, c'est ça qui est ça. Je sais plus quoi dire d'autre à part merci et continue de me faire de belles reviews.
Xxxx
Morena
