Bonjour chers lecteurs,

Je suis contente de voir que vous êtes encore au rendez-vous. Je suis vraiment désolée de n'avoir rien mis pendant près de trois mois. J'ai eu plusieurs périodes où je manquais d'inspiration, ça arrive à tout le monde.

J'espère que ce chapitre sera à la hauteur de vos attentes. Personnellement, je ne trouve pas que c'est le plus passionnant, mais bon, à vous de juger.

Disclamer : Il y a un nouveau personnage qu'on va seulement un tout petit peu.

Bon, alors, sans plus tarder, allons à ce nouveau chapitre.

Chapitre 7

Disputes ou ententes ?

Pansy était à la salle commune des Serpentard depuis près d'une demi-heure quand Draco descendit. Aussitôt qu'elle le vit, elle se leva pour aller lui parler.

Salut, tu as bien dormi ? Demanda-t-elle timidement.

Très bien, merci, répondit l'autre étonné que cette dernière lui pose cette question.

Ah, c'est parfait.

Justement, je voulais te parler. Je ne sais pas comment te dire ça, commença la jeune fille en chuchotant autant par gêne, que pour que personne d'autre ne l'entende.

… Le beau blond afficha un air interrogatif.

Euh…Est-ce que…Bégaya la Serpentard cherchant son courage au plus profond d'elle-même. Est-ce que tu veux sortir avec moi ?

Elle avait dit la dernière phrase d'un coup, sans respirer, pour être sûre de ne pas changer d'idée en plein milieu de sa révélation. Le jeune homme resta là ne sachant que répondre. Il ne pouvait tout de même pas lui dire qu'il sortait avec Morena. Il faisait tout pour que personne ne le sache, car il avait toujours été connu comme Malfoy le prétentieux, Malfoy le dur, celui qui était au-dessus de tout le monde. Il avait de la misère à imaginer comment les gens réagiraient devant un Draco tendre et affectueux. Il ne devait donc pas lui en parler et devait trouver un mensonge qu'elle goberait.

En fait, j'ai déjà quelqu'un en vue, finit par dire Draco espérant que l'autre le croirait.

Ah, d'accord. Je… Je comprends. C'est juste que je me disais qu'on aurait pu aller au bal ensemble. Mais je crois que la réponse est non. Je vais y aller.

Pansy tourna les talons la mine basse. Elle n'aurait pas dû lui demander, voilà ce qu'elle se disait intérieurement. Elle aurait dû seulement lui parler du bal. Mais de toute façon, il n'aurait pas plus voulu. Sûrement qu'il projetait d'y aller avec la personne qu'il avait en vue. Celle-ci était probablement la maudite Morena. Qui d'autre ? Sur le coup de la colère qu'elle enfermait depuis trop longtemps, la jeune fille monta dans le dortoir des filles où Morena dormait encore. La Serpentard sortit sa baguette magique, la pointa vers son ennemie et murmura "Serpensortia". Une vipère sortit de sa baguette pour tomber un peu brutalement sur le lit de la belle qui dormait à poings fermés. Le serpent se dirigea vers celle-ci en faisant siffler sa langue fourchue. Lentement, l'animal se glissa sous l'édredon qui couvrait la jeune fille. Pansy, contente d'elle, ressortit du dortoir à grandes enjambées. Le reptile ondulait silencieusement tout près de Morena. Sentant le mouvement, elle se réveilla en sursaut. Elle regarda autour d'elle, affolée, ayant senti quelque chose dans son lit. Quand elle vit le serpent, la jeune fille ne put s'empêcher de rire. La pauvre bête devait avoir froid et s'était cachée dans un endroit chaud. Délicatement, l'Espagnole, pas trouillarde du tout, attrapa l'animal pour le sortir de son lit Aussitôt qu'il se retrouva sur le sol, l'intrus s'enfuit en rampant dans une faille du mur de pierres. Un sourire illuminant son visage, la Serpentard alla prendre sa douche pour se réveiller. Quoiqu'elle était déjà parfaitement réveillée.

£££

Ça faisait maintenant plus d'une semaine que Ayumi refusait d'adresser la parole à Will. Celui-ci tentait du mieux qu'il pouvait de lui faire comprendre qu'elle n'avait aucune raison de lui en vouloir. Cependant, elle ne voulait rien savoir. Elle arrivait à la dernière minute aux cours de DCFM et repartait aussitôt la cloche sonnée. Quand le prof lui demandait de répondre à une question sur de la matière quelconque, elle demeurait bouche cousue. Elle ne s'occupait pas du tout d'être subtile. De toute façon, elle et la subtilité ça faisait deux.

Et ce cours-là ne fit pas exception. Quand elle arriva dans la classe, la jeune fille se dirigea directement à sa table sans adresser un seul regard à son petit ami. Celui-ci commençait à être exaspéré par son attitude enfantine.

Mlle Sakato, je voudrais vous parler à la fin du cours, s'exclama William.

Bien sûr, la Mlle en question ne répondit pas et fit comme si elle n'avait pas entendu. Néanmoins, elle resta dans la classe lorsque la cloche sonna.

Qu'est-ce que tu as depuis une semaine ? Demanda le beau jeune homme après quelques minutes.

Ah, t'as déjà oublié ? S'emporta l'autre aussitôt. Tu me mens et en plus, tu ne t'en souviens plus!

Je t'ai menti ? Moi ? Tu dis vraiment n'importe quoi! Je ne vois pas pourquoi je perds mon temps avec une fille aussi bornée que toi.

Avant que la jeune fille n'ait eu le temps de répondre, il s'était déjà enfermé dans ses appartements. Après un long soupir de découragement, elle décida que ça ne lui servait à rien de rester là à attendre et sortit enragée de la classe. Elle marchait sans porter attention de vers où elle allait. Après plusieurs minutes, ne regardant pas devant elle, Ayumi frappa de plein fouet quelqu'un. Reculant à cause du choc, elle vit une jeune fille étendue de tout son long par terre. Aussitôt, elle se précipita pour l'aider à se relever.

Par Merlin! Est-ce que ça va ? Je ne t'avais pas vu! Je t'ai pas fait mal, j'espère? Dit-elle se confondant en excuses.

Quand elle fut debout, la fille qui devait avoir environ quatorze ans reprit son souffle tout en replaçant sa jupe.

Non, non. Ça va aller. Mais à l'avenir, tu devrais regarder où tu mets les pieds, répliqua-t-elle sur un ton assuré.

Ayumi comprit mal son conseil et le prit pour un reproche. Elle s'était excusé et c'est tout ce que lui disait l'autre? Elle était déjà en colère mais sa remarque l'avait piqué au vif.

Qui t'es toi pour me parler sur ce ton ? Elle plissa ses yeux méchamment et déshabilla la jeune fille qui se tenait devant elle d'un regard hautain.

Je suis Betty Stephenson, la sœur de William Stephenson, le professeur de –

Ah! Il a une sœur lui. D'accord, mais c'est pas une raison pour être arrogante. Je suis plus vieille que toi, tu me dois donc respect.

Bien sûr, répondit la jeune fille avec ironie avant de s'en aller.

Les jeunes d'aujourd'hui, soupira la Japonaise en secouant la tête de découragement. À moins que ce soit l'attitude typiquement anglaise. Non, ça doit être de famille…

Elle partit donc vers la salle commune de Gryffondor. Elle arriva devant le portrait de la grosse dame, prononça le mot de passe et entra en trompe dans la pièce chaleureuse. Tous ceux qui étaient présents tournèrent la tête vers elle, puis reprirent leurs activités. Il n'y avait que Helena et Harry qui continuaient à fixer la nouvelle venue. Effectivement, Ron et Hermione n'étaient pas dans la salle commune. L'arrivante se dirigea donc vers ses deux amis.

- Konnichiwa, marmonna-t-elle redevenue maussade se rappelant sa conversation avec William.

Salut, ça va ? S'inquiéta l'Italienne.

Oui, on va dire. Heu, vous le saviez vous que William avait une petite sœur ?

Helena haussa les épaules, mais Harry acquiesça.

Oui, il l'a dit au début de l'année, rappela-t-il aux deux filles. Ah, c'est vrai, vous n'étiez pas encore arrivées à l'école. Mais pourquoi tu nous dis ça là ?

Parce que je l'ai croisée – qu'est-ce que je dis là? – je l'ai percutée dans le corridor. Elle n'a pas eu l'air d'apprécier. Mais c'est pas ma faute ; je ne l'avais pas vue. Elle a que quatorze ans, je pense, mais elle est plutôt arrogante.

Ouin, je me demande dans quelle maison elle est. Pas Gryffondor, on le saurait. Mais il y a une chose que je comprends pas : comment ça se fait que Will t'ait pas dit qu'il a une sœur ? Fit remarquer l'autre jeune fille.

Je sais pas. C'est pas mon problème et je m'en fiche.

Mais là, c'est quand même de la sœur de ton petit copain dont on parle, rappela Helena, un peu perdue.

Mon petit copain? Mon œil! Il a dragué Pavarti alors que j'étais dans la même pièce et il a le culot de le nier! Si tu penses que je vais me soucier de ce qu'il m'a dit ou pas dit, tu te trompes amèrement. Surtout s'il est question de sa stupide petite sœur.

Voyons, Yumi, tu ne trouves pas que tu juges un peu vite? Qu'est-ce qui te dit que William flirtait avec Pavarti ? Demanda la Gryffondor.

J'en suis sûre, c'est tout, répondit Ayumi d'un air renfrogné.

Elle mit fin à cette conversation en montant dans le dortoir des filles l'humeur massacrante. Ne sachant que faire pour lui redonner sa bonne humeur, ses deux amis restèrent dans la salle commune et continuèrent les devoirs qu'ils étaient en train de faire avant l'interruption plutôt brutale. Vers dix heures, ils montèrent se coucher pour ne pas être trop fatigués pour la journée de cours du lendemain.

£££

Le lendemain matin, Ayumi ne se présenta pas au cours de divination, ni au cours de botanique qui avait lieu tout de suite après. Bien sûr, ses amis s'inquiétaient pour elle, mais ils n'avaient d'autres choix que d'assister aux cours sans rien laisser paraître. Il n'y avait que Ron et un peu Hermione qui ne se souciaient pas vraiment de l'absence de la jeune fille. Effectivement, le rouquin lui en voulait encore pour la bouteille d'encre, mais surtout pour son comportement. Et sa petite amie le supportait en quelque sorte. La Japonaise ne se montra pas non plus à l'heure du lunch. Il va sans dire que Helena, Harry, Draco et Morena commençaient sérieusement à se faire du souci au sujet de leur amie. C'était effectivement la première fois qu'elle s'absentait sans avertir son entourage. Même les autres filles de Gryffondor ne l'avaient pas vue en se levant. Bref, elle avait complètement disparue et tout le monde se demandait où elle était rendue.

£££

Quelqu'un marchait dans la blancheur de la neige et le froid de l'hiver. Bien que le mois de novembre n'était pas encore terminé, un épais manteau blanc recouvrait déjà le sol. La jeune fille, bien emmitouflée dans une longue cape, se dirigeait lentement vers la forêt interdite. Elle n'était pas habituée à ce froid polaire et elle aurait bien aimé pouvoir boire une bonne Bièreaubeurre. Mais elle ne voulait pas revenir sur ses pas, car elle était trop loin du château pour y retourner à présent.

La distance qui séparait celui-ci de la forêt paraissait beaucoup plus grande que durant les jours précédents. Simplement parce qu'il y avait maintenant de la neige, on aurait dit que le bois était plus loin et plus inaccessible qu'avant.

Elle continuait à avancer grelottant de tout son être. Après dix autres longues minutes, Ayumi arriva enfin au couvert des arbres. Frigorifiée, elle s'enfonça dans la forêt pour trouver un endroit où il n'y avait pas de neige. Elle avait entendu pleins de rumeur à propos de la Forêt Interdite, mais, en ce moment, elle n'avait pas la tête à penser sur tout ça ; elle ne cherchait qu'un endroit où elle pourrait se retrouver en paix. La Japonaise sortit sa baguette magique pour allumer un feu bienfaisant. Ses membres étaient endoloris.

Lentement, elle se réchauffa un peu. Quand elle n'eut plus mal aux doigts à cause du soudain changement de température, elle fouilla dans son sac pour en sortir quelques victuailles qu'elle avait prises dans les cuisines. Après l'avoir fait chauffé au-dessus du feu, Ayumi mordit à belles dents dans une cuisse de poulet. Une fois de plus, elle se dit qu'elle aurait bien aimé boire une bonne Bièreaubeurre. C'est ce qui aurait été le mieux pour la réchauffer. Non, en fait, la seule chose qui l'aurait réchauffé complètement, ç'aurait été que William soit là et qu'il la prenne dans ses bras. Elle regrettait tellement sa manière d'agir. Elle en était sûre maintenant, Will l'aimait toujours, il n'avait pas flirté avec Pavarti.

Elle se dépêcha de finir de manger un morceau de gâteau qui commençait seulement à dégeler. Quand elle eut fini, elle ramassa ses choses et, abandonnant son plan de partir à tout jamais de Poudlard, Ayumi se dirigea lentement vers l'école. Comme elle venait de passer par-là, la piste était déjà tracée dans la neige. Plus rapidement qu'à l'aller, la Gryffondor revint sur ses pas.

Alors qu'elle entrait dans l'école, la jeune fille aperçut ses amis qui sortaient de la grande salle. Comme ils ne l'avaient pas vu, les quatre adolescents se dirigeaient vers l'escalier pour retourner à la salle commune. Après avoir réfléchi quelques secondes, la Japonaise décida d'aller voir son professeur de DCFM.

Quand elle arriva sur le pas de la porte de son bureau, elle hésita un instant, puis cogna timidement. La porte s'ouvrit sur un beau jeune homme dans les yeux duquel on pouvait voir un immense désarroi. Au moment même où il aperçut Ayumi, cette triste lueur disparut instantanément.

- Gomen nasai…Soupira-t-elle. Je-je suis tellement désolé…Je te crois, je suis désolé, su-suminasen sensei

Elle ne savait plus quoi dire et quoi faire. Ayumi lui avait enfin dit, mais n'avait pas penser à ce qui se passerait après. Allait-il lui pardonner son égoïsme et sa grande jalousie? Certes, toutes les jeunes filles qui auraient pu avoir William comme petit ami auraient sûrement agi de la même manière qu'elle. Mais la Japonaise se trouvait hideuse d'avoir éprouvé tant de soupçons à William alors que celui-ci lui assurait qu'elle était la seule et unique de son cœur.

Voyant que William ne bougeait pas et la regardait sans agir, elle crut bon de s'en aller. Il ne lui avait pas pardonné, comme elle regrettait ses gestes à présent! Les larmes vinrent sans avertir couler sur ses joues et elle baissa sa tête. Mais soudain, Ayumi s'arrêta. Elle se retourna et vit William, les yeux brillant, tenir son bras. Elle fit un tour sur elle-même, n'ayant même pas essuyer les pleurs sur son visage. Il prit sa main dans la sienne et elle frissonna à son contact. C'était si apaisant, si rassurant. Comment avait-elle pu vivre sans penser à le toucher et à se sentir aussi bien? William ferma sa main sur la sienne et il la regarda droit dans ses yeux.

- Aishiteru Yumi-chan. Je suis désolé moi aussi, tout aussi désolé. Aishiteru…Il baissa un peu la tête et en la relevant, il s'approcha doucement d'elle. Dakishimetai no ni1

Émue, la Gryffondor ne put s'en empêcher plus longtemps et sauta au cou de son petit ami. Le baiser s'éternisa pendant qu'ils se dirigeaient vers le lit. Elle le désirait, voulait toucher sa peau, redécouvrir son corps, redécouvrir cette sensation de sécurité que William lui procurait, l'aimer tout simplement…

Après une semaine, ils n'en pouvaient plus d'être séparés. Fort heureusement, William ne donnait pas de cours de cet après-midi-là. Ils le passèrent donc ensemble, dans le plus grand des bonheurs…

£££

Ayumi ne se présenta par au cours de Potion qui avait lieu tout l'après-midi. Normalement, l'année passée, Rogue cherchait absolument à s'assurer que l'élève avait une bonne raison de manquer. Mais, ce jour-là, il ne fit pas tout un plat avec l'absence de la jeune fille et dit même à Helena que son amie était exemptée du devoir qu'elle avait elle-même à faire : une rédaction de soixante centimètres de parchemin sur les potions ravigotantes.

Alors qu'ils retournaient à la salle commune de Gryffondor, les quatre amis se plaignaient que Rogue était en train de redevenir sévère et rigide. Comme ils passaient devant la classe de DCFM, la porte de celle-ci s'ouvrit brusquement. À leur grande surprise, Ayumi sortit, se retrouvant devant eux, un étrange sourire flottant sur ses lèvres et les joues rouges.

Yumi ? Qu'est-ce que tu fais là ? On t'a cherché toute la journée! s'exclama Helena tout de même soulagée de revoir son amie.

Ah, heu ? J'étais à l'infirmerie, affirma la jeune prise sur le fait.

On est allé voir là-bas ce midi et tu n'y étais pas, fit remarquer Ron qui était toujours en colère contre la Japonaise pour son attitude qu'il jugeait égocentrique.

…, cette dernière ne trouva rien à répondre, car elle n'était effectivement pas allée à l'infirmerie de la journée.

De toute façon, qu'est-ce que tu faisais ici si tu étais supposée être à l'infirmerie ? Demanda subitement Hermione plutôt rapide en déduction.

C'est Mme Pomfresh qui m'a envoyé voir William. Heu, M. Stephenson, commença à mentir la jeune fille habituellement douée dans ce sport.

Tu le sais bien qu'on sait que vous sortez ensemble, répliqua Ron agacé.

Justement, on ne sort plus ensemble. Ayumi partit en furie vers la tour de Gryffondor.

Tu vois ? À cause de toi, elle va être encore plus malheureuse et qui est-ce qui va la consoler ? Moi! Lui fit remarquer l'Italienne soudainement aussi maussade que sa chère amie.

Les quatre jeunes se rendirent donc à leur salle commune sans échanger un mot de plus. Rendus là, ils firent leurs devoirs en silence, puis montèrent se coucher.

Étant donné qu'elle s'était endormie tôt, sa petite escapade dans le froid l'avait beaucoup fatiguée, Ayumi se réveilla vers deux heures du matin. C'était tout à fait contraire à son habitude, elle qui se couchait toujours à cette heure-là et se levait en après-midi quand elle le pouvait. Et ce jour-là, elle aurait pu dormir le temps qu'elle aurait voulu, mais elle n'y arrivait pas. Elle ne pouvait s'empêcher de repenser au magnifique après-midi qu'elle avait passé avec Will.

Après être restée couchée dans son lit à regarder le plafond pendant plus d'une demi-heure, elle décida de descendre à la salle commune. Là, elle trouva Helena, endormie sur un divan, un livre ouvert dans la main. La jeune Japonaise s'approcha sans bruit de son amie. Décidant de ne pas la réveiller, elle sortit se promener dans l'école.

Elle marchait aléatoirement, ne s'occupant pas de vers où elle allait. Soudain, elle entendit un bruit de pas au loin. Elle s'arrêta aussitôt pour mieux entendre, mais les autres pas aussi s'arrêtèrent. Elle recommença donc à marcher et le bruit reprit. Lentement, craignant de ce qu'elle verrait, elle se dirigea vers l'endroit où quelqu'un se déplaçait. L'effrayant encore plus, elle s'aperçut que la personne marchait, elle aussi, vers elle. Elles étaient maintenant à un bout et à l'autre du corridor, mais le noir opaque de la nuit faisait qu'Ayumi ne voyait pas l'autre. Continuant d'avancer, elle finit par apercevoir les contours d'une silhouette féminine. Lorsqu'elle fut assez près, elle reconnut Morena en la personne marchant vers elle. Évidemment, cette dernière venait aussi tout juste de reconnaître son amie. Rassurées, les deux jeunes filles se saluèrent d'un signe de main.

Qu'est-ce que tu fais ? Demandèrent-elles simultanément.

Elles éclatèrent de rire, essayant de ne pas faire trop de bruit. Après un moment, la Gryffondor et la Serpentard se calmèrent et décidèrent d'aller dans la salle commune de l'une pour pouvoir parler sans être prises par un professeur.

Quand elles furent à la salle commune où dormait encore Helena, elles décidèrent de la réveiller, car il était maintenant presque quatre heures. Celle-ci avait l'air complètement effrayé quand elle ouvrit les yeux.

Qu'est-ce qu'il y a Lena-chan ? S'inquiéta la jeune Japonaise avec raison.

Oubliant qu'elle ne voulait pas en parler tout de suite, la jeune encore tout endormie confia aux jeunes filles très attentives les rêves qu'elle faisait depuis quelques temps.

Ces souvenirs me reviennent dès que je m'endors. Tout ça a commencé quand je suis tombée nez à nez avec le Détraqueur. Depuis, ça n'a pas arrêté. Chaque nuit est un calvaire et j'essaie de ne pas dormir pour ne pas me souvenir. C'est trop douloureux. Et cette nuit, c'était pire.

Une femme marchait au loin. C'était Julia. Même à cette distance, elle était reconnaissable grâce à ses longs cheveux blonds. Couleur de chevelure peu répandue dans ce pays : l'Italie. Lentement, Helena rejoignit sa sœur pour l'avertir du danger qu'elle courait. Mais, lorsqu'elle se retrouva devant elle, l'adolescente ne put se résoudre à trahir son amour, l'amour de sa vie. Décidant de ne rien dire, elle laissa sa cadette partir. À regret, elle la regarda partir sans rien dire. C'était la dernière fois qu'elle lui parlait.

Le noir se fit dans l'esprit de la jeune en train de rêver, puis elle se retrouva à dans une rue qui était, pour l'instant, déserte.

Puis, elle vit venir deux personnes à l'autre bout complètement du chemin. Elle savait que c'était Julia et Angelo. Les deux anciens amoureux marchaient vers elle. Ils semblaient en pleine discussion. Soudain, exactement comme dans les souvenirs de Helena, le jeune homme prit brutalement le bras de l'autre qui essaya tant bien que mal de se défaire de son emprise. Quand, enfin, le garçon la lâcha, elle sortit sa baguette magique. Cependant, l'autre aussi l'avait sorti et ils se dévisageaient se demandant qui allait jeter un sort en premier. Après un moment, Julia, totalement apeurée, s'enfuit en courant vers l'endroit d'où les observait sa sœur qui ne pouvait rien faire d'autre que de crier.

- Julia, Julia! Il veut te tuer! S'époumonait Helena au comble du désespoir.

La jeune fille courait vers les cris. Peu lui importait qui criait, elle devait à tout prix échapper à la mort. Étrangement, Angelo la laissait courir sans rien faire. Il n'essayait ni de la rattraper ni de lui lancer un sort. Après quelques minutes, cependant, un éclair vert trancha la nuit noire. Il frappa Julia de plein fouet la faisant tomber par terre. Helena qui était auparavant comme clouée au sol courut vers sa sœur qu'elle savait déjà morte.

Au loin, l'affreux et horrible homme riait aux éclats, fier de son coup. La jeune fille, maintenant enfant unique, lui lança un regard rempli de rancune.

Dire qu'elle lui avait fait confiance, dire qu'elle l'aimait…

Helena s'était ensuite fait réveiller par ses deux amies. Après leur avoir tout raconté, elle ne put retenir les larmes plus longtemps. Comprenant enfin pourquoi l'Italienne se réfugiait de plus en plus en elle-même, Morena la serra contre elle pour lui montrer qu'elle l'aiderait à surmonter tout ceci. Ayumi, qui se sentait un peu délaissée, essaya d'embarquer dans l'étreinte. Après plusieurs minutes de compassion mutuelle, les trois amies décidèrent de parler de quelque chose de plus joyeux.

Ayumi leur raconta son ancien projet de s'en aller pour toujours de Poudlard, qu'elle avait eu la veille, mais qu'elle avait laissé tomber. Elle leur confia ensuite, qu'après être revenue dans la chaleur de l'école, elle était allée voir William et qu'ils avaient passé un magnifique après-midi ensemble. Bien sûr, la jeune fille garda quelques détails à sa discrétion voulant préserver son jardin secret.

Puis, vers cinq heures et demi, les trois étudiantes décidèrent de retourner se coucher, car c'était samedi. Morena se dirigea donc vers la sortie et marcha seule jusqu'à la salle commune des Serpentard, plus précisément jusqu'au dortoir des filles.

Quand elle arriva à destination, elle trouva au pied de son lit un gros paquet emballé d'un magnifique parchemin. Intriguée, elle s'approcha pour voir s'il y avait un nom d'indiqué. L'Espagnole trouva en effet un petit mot.

A Morena

Mi bella y tan preciada amor, 2

Draco

P.S. : Attends que je sois levé pour l'ouvrir.

De plus en plus intriguée, mais surtout très touchée, elle résista à la tentation d'ouvrir son cadeau et se coucha néanmoins.

£££

Vers dix heures, Morena se réveilla pour de bon. Quand elle aperçut le paquet au bout de son lit, elle se rappela que Draco lui offrait un cadeau sûrement parce que ça faisait un mois qu'ils sortaient ensemble. Elle prit donc l'énorme boîte dans ses mains pour la descendre dans la salle commune. Quand elle arriva en bas, son petit ami y était déjà. Elle alla le voir et déposa le présent devant lui et lui demanda comment elle allait faire pour que personne ne sache que c'était lui qui le lui offrait. Elle ne devait pas montrer sa joie tant qu'ils ne seraient pas seuls, car jusqu'à nouvel ordre, ils ne sortaient pas officiellement ensemble. Ils décidèrent donc de faire croire que c'était les parents de la jeune fille qui lui envoyait son cadeau de Noël un peu à l'avance.

De plus en plus impatiente de savoir quelle surprise lui réservait son cher amoureux, elle déballa en vitesse son gros cadeau. Elle ouvrit la boîte et découvrit un petit animal ressemblant à un chaton. Il avait une belle fourrure grise, tachetée de noir, le bout de la queue touffue et de grandes oreilles.

C'est un Kneazle, une femelle, expliqua Draco. J'espère que ça te plaît.

Oui, c'est le plus beau cadeau que j'ai jamais eu, assura la jeune fille se retenant pour ne pas sauter au cou de son amoureux. Elle est si mignonne.

Elle la prit dans ses mains et l'observa avec attention. La petite bête semblait prête à s'attacher à Morena.

Tu vas t'appeler Corazon. J'espère qu'elle s'entendra bien avec Noche, pensa tout haut l'Espagnole en parlant du chat qu'elle avait acheté sur le Chemin de Traverse durant l'été. Ça me gêne, je t'ai rien acheté.

C'est pas grave, être avec toi, c'est le plus beau cadeau.

Après ce cours moment de romantisme, la jeune fille monta dans le dortoir des filles pour installer le panier de Corazon à côté de celui de Noche. Lorsque les deux animaux se retrouvèrent face à face, ils se regardèrent un instant et s'approchèrent pour sentir l'odeur de l'autre ; ils s'apprivoisaient peu à peu. La Serpentard les laissa entre futurs amis et redescendit dans la salle commune pour voir avec Draco ce qu'ils feraient de leur samedi.

£££

Avec leurs amis de Gryffondor, les deux Serpentard allèrent s'entraîner à leur sport préféré. Ils proposèrent aussi à Neville, Seamus, Ginny et Luna de venir jouer avec eux. Il n'y a que Hermione qui refusa encore une fois de monter un balai.

Je vais réussir à la faire changer d'idée un jour, déclara Ron quand il fut dans les airs aux côtés de Harry. C'est pas dur pourtant voler sur un balai.

Elle a peut-être le vertige, mais elle ne veut pas nous le dire, suggéra le jeune à lunettes. C'est mieux comme ça, sinon on n'aurait pas d'arbitre.

On en aurait quand même, mais là au moins, elle serait dans les airs avec nous.

Le coup de sifflet annonçant le début du match entre amis retentit sur le terrain. Comme ils n'étaient que dix sur le jeu, ils avaient formé deux équipes de cinq. Dans chaque équipe, il y avait un Gardien, deux Poursuiveurs, un Batteur et un Attrapeur. Rapidement, Ginny et Helena, qui étaient habituées de jouer ensemble, se firent des passes en se dirigeant vers les buts gardés par Morena. Ayumi, seule comme Batteur, essayait tant bien que mal d'empêcher les deux filles de marquer. Pendant ce temps, Harry et Draco cherchaient le Vif d'or.

Après quelques passes bien dirigées, Helena lança le Souaffle vers l'anneau de gauche. Son amie qui gardait les buts, se précipita pour l'arrêter, mais trop tard, le ballon entra directement dans le but. Hermione observait attentivement le jeu et siffla. Le match continua ainsi assez longtemps : le Vif d'or restait introuvable.

Alors que le pointage était à égalité à trente, Draco aperçut un éclat doré près des gradins de Serdaigle. Rapidement, il se précipita vers l'objet. Voyant le jeune blond se diriger à l'autre bout du stade, Harry fit de même sachant que son adversaire avait vu la petite balle. Les deux Attrapeurs volaient à une vitesse vertigineuse pour atteindre leur but. Pendant quelques secondes, les amis retrouvèrent ce sentiment de rivalité qu'ils éprouvaient avant lors des matchs de Quidditch. Cet état qui les poussait à aller encore plus vite pour arriver avant l'autre. Sur le reste du terrain, on avait bien remarqué le soudain mouvement des garçons. Tout le monde les observait maintenant pour savoir qui allait attraper le Vif d'or et ainsi faire gagner son équipe.

Rapidement, Harry regagna le retard qu'il avait par rapport à Draco. Mais ce dernier ne le laissa pas prendre de l'avance. Ils étaient maintenant côte à côte. Évoluant à la même vitesse, ils se rapprochaient de la petite balle qui avait pris une pause. Alors que les deux jeunes n'étaient plus qu'à quelques mètres de l'objet, celui-ci se décida à bouger et s'éloigna à toute vitesse de ses poursuivants.

Une soudaine bourrasque fit dévier les deux Attrapeurs de leur trajectoire. Le temps qu'ils se stabilisent, le Vif d'or avait disparu. Rageusement, les deux amis remontèrent dans le ciel pour pouvoir mieux inspecter le terrain en quête du minuscule objet doré. Déçus, les autres jeunes recommencèrent à jouer pour briser l'égalité.

Seamus, qui avait gardé le Souaffle durant tout le temps qu'ils avaient arrêté le jeu, fit une passe à Luna qui se débrouillait plutôt bien pour quelqu'un qui ne jouait presque jamais. Neville vola péniblement vers l'unique Cognard. Il donna un puissant coup de batte dans la balle qui se dirigea à toute vitesse sur la pauvre Luna. Elle était trop concentrée à se rendre vers les buts gardés par Ron pour se rendre compte qu'elle était poursuivie par un ballon. Celui-ci la frappa de plein fouet dans le dos. Échappant le Souaffle sous le choc, la jeune Serdaigle prit son balai à deux mains pour ne pas tomber. Furieuse, elle se retourna vers celui qui lui avait envoyé le Cognard. Neville était là ne sachant comment réagir. Il n'avait pas voulu frapper si fort et de plus, il était sûr que la balle serait allée complètement à l'opposé.

Durant ces quelques secondes, Helena fonça sur le Souaffle et l'attrapa d'une main. Aussi rapidement, elle se précipita à l'autre bout du terrain, vers les buts adverses. Ginny était déjà près des anneaux gardés par Morena. Elle reçut habilement la passe que sa compagne lui fit. Vive comme l'éclair, la jeune rouquine lança la balle vers l'anneau de droite. Cependant, l'Espagnole était encore plus rapide. Elle se précipita pour empêcher l'autre équipe de marquer. À la dernière seconde, la jeune Gryffondor attrapa le Souaffle en tendant les bras le plus possible.

Après encore une demi-heure de jeu, aucune équipe n'avait fait d'autres points. Harry vit soudain très près du sol quelque chose qui ressemblait au Vif d'or. Il plongea littéralement pour l'attraper. Il fut aussitôt imité par Draco qui avait vu lui aussi la balle. Les deux jeunes hommes chutaient à une vitesse vertigineuse, mais aucun ne semblait avoir peur de s'écraser. Tous leurs amis se tournèrent vers eux pour voir qui réussirait à se rendre au sol en premier. Helena et Morena commencèrent à s'en faire chacune pour leur petit ami. Le cœur de Harry battait presque aussi fort qu'il n'avait jamais battu. En fait, le moment où son cœur avait vraiment battu la chamade, c'était la première fois où il avait embrassé sa copine : même chose pour Draco.

Ils étaient maintenant à moins de cinq mètres de sol. Les Attrapeurs voyaient très bien que le Vif d'or était à un mètre de la terre. Harry tendit le bras, mais Draco était un peu plus près et, juste avant que les deux ne redressent leur balai, il attrapa la balle en la serrant fermement dans sa main. Arrêtant doucement, Malfoy débarqua de son "destrier" les bras levés pour célébrer leur victoire. Tout le monde descendit pour atterrir en douceur. Morena, Ayumi, Seamus et Luna se précipitèrent vers leur Attrapeur pour le féliciter. L'Espagnole sauta au coup de son beau blond et l'embrassa fougueusement. Ginny, Luna, Seamus et Neville qui n'étaient pas au courant de leur relation, furent quelque peu étonnés par son comportement. Après réflexions, ils s'avouèrent qu'ils auraient dû s'en douter avant que les deux Serpentard sortaient ensemble.

Les dix amis rentrèrent finalement au château vers quatre heures alors que le soleil commençait à se coucher. Ils allèrent chacun manger avec les autres élèves de leur maison.

£££

Quand elle eut terminé de manger un gros morceau de gâteau au chocolat, Ayumi se leva en disant qu'elle devait aller à la bibliothèque. En fait, elle allait voir son amoureux avec qui elle s'était réconciliée. C'était comme au début de leur relation : presque personne n'était au courant qu'ils se fréquentaient encore. Quand elle arriva aux appartements de Will, la Japonaise était tout excitée. On aurait dit qu'elle prenait plaisir à cacher la vérité à ses amis. Quoiqu'il en soit, elle entra dans la chambre de celui qui était bien plus que seulement son professeur sans frapper.

Vers neuf heures du soir, Ayumi retourna à la salle commune de Gryffondor. Ses amis ne devaient se douter de rien. Elle avait néanmoins réussi à passer deux magnifiques heures en compagnie d'un petit copain très romantique. Quand la jeune fille arriva dans la salle où ses amis discutaient, Helena lui demanda avec une pointe d'ironie si elle avait trouvé ce qu'elle cherchait à la bibliothèque. La Japonaise répondit naïvement par l'affirmative avant de monter dans le dortoir prétextant vouloir la solitude. Son amie italienne vint la rejoindre, car elle savait qu'Ayumi voulait lui parler.

Yumi chérie ? Il y a quelque chose qui ne va pas ? Demanda-t-elle en entrant dans le dortoir. J'ai senti que tu voulais me parler.

Non, justement tout va extrêmement bien. Will est encore plus attentif qu'avant, expliqua la jeune fille dont les yeux pétillaient d'amour et de bonheur. Et toi, tout va bien avec Harry ?

Oui, mais j'ai l'impression que Cho n'a pas encore compris qu'elle n'a plus de chance avec lui.

Elles parlèrent ainsi de tout et de rien jusqu'à ce que les autres filles montent se coucher vers onze heures.

£££

Deux matchs de Quidditch avaient eu lieu durant le mois de novembre. Notamment celui qui se voyait s'affronter les équipes de Serdaigle et de Poufsouffle. Il y avait également eu une partie des Serpentard contre les Serdaigle. Suite à ces deux événements sportifs, seul Poufsouffle restait sans victoire. Le prochain "duel" serait joué par les Gryffondor et les Poufsouffle. Il va sans dire le temps était de moins en moins cléments envers les joueurs, mais ceux-ci joutaient avec un sang-froid hors pair. Les élèves étaient toutefois moins fébriles que les années auparavant puisque le Tournoi des Quatre prenait toute la place dans leurs esprits.

£££

En ce dimanche matin, Draco lisait un livre de psychologie. Il avait pris le premier de la pile pour faire plaisir à Morena. Effectivement, la prochaine épreuve se donnait dans trois semaines et il n'avait pas encore commencé à se préparer. Il n'était toutefois pas le seul. Ron non plus n'avait pas touché à ses livres sensés l'aider. Cho, elle, les avait déjà tous lus. Ces temps-ci, elle était plutôt déprimée et elle cherchait par tous les moyens de se changer les idées. Justin, quant à lui, les avait feuilletés sans trop comprendre à quoi ils lui serviraient. Décidément, les organisateurs du Tournoi voulaient leur réservaient toute une surprise.

£££

1 Dakishimetai no ni : Je veux seulement te prendre dans mes bras.

2 Mi bella y tan preciada amor : Ma belle et si précieuse amour.

Bon, voilà, c'était le peut-être tant attendu chapitre 7. J'espère que vous l'avez aimé. Sinon, je vous promet que le prochain sera meilleur. Je n'ai pas encore commencé à l'écrire, mais la semaine de relâche vient de commencer, donc je vais avoir plus de temps. Il devrait arriver dans deux ou trois semaines dépendant le temps, l'inspiration et l'humeur.

Voici maintenant les réponses à vos reviews.

Amé Phoenix : Merci encore pour tes reviews. Tu m'en as écrites deux, mais la première n'est pas très longue, donc je n'ai pas grand chose à dire sur elle. Par contre, tu m'as fait une très belle et longue review pour le chapitre 6 et je te remercie encore. Bon, qu'est-ce que je pourrais dire sur tes commentaires? (des commentaires sur des commentaires, c'est étrange, mais bon) Je suis contente que tu aimes le titre. C'est une partie très importante du chapitre, il doit nous mettre dans l'énergie et je crois que j'ai bien réussi. Ensuite, pour Pansy et non Pansky, tu as bien raison et tu viens de te rendre compte dans ce chapitre qu'elle se rend compte qu'il ne veut absolument rien savoir. Hum, drôle de phrase. Pour Rogue, et bien j'avais envie qu'il change, tout le monde peut changer. Maintenant, les souvenirs de la mystérieuse Helena, ils n'en finiront plus de nous étonner. J'ai écris ça comme ça et c'est en train de devenir quelque chose, mais je ne sais pas encore exactement quoi. Pour Ayumi et Will et bien je ne voulais pas en faire un couple parfait. Mais pour ton beau Angelo tu en saurais pas plus avant que le temps arrive. C'est long répondre à chaque petit commentaire que tu fais, mais là j'ai fini, mais j'ai pas écrit de conneries alors voilà. C'est bien que tu aimes les gars qui s'appellent Alex, comme ça, ça marche encore. Bon c'était la seconde pas rapport.

Merci encore

Xxxx

Cybel : D'abord, merci pour tes longues reviews très constructives. Je ne sais pas quoi dire. Tu sembles beaucoup aimer mon histoire (t'es mieux "look-who-dead") et j'en suis très contente. Bon, je n'ai vraiment rien à dire sur ta première review tu ne poses pas vraiment de question et, de toute façon, si tu veux savoir la suite, t'as qu'à continuer à lire ma fic. Maintenant pour la deuxième, tu as eu quelques réponses à tes questions dans ce chapitre et d'autres viendront plus tard. Si tu veux des spoilers, viens me voir peut-être que je t'en dirai (à toi aussi Amé si tu veux). Bon, j'ai juste une dernière petite chose à dire comme ça pas rapport. Ça allait vraiment mal lire tes reviews parce que tous les lettres avec des accents ne s'affichaient pas.

Merci de me corriger, me lire et me reviewer.

Xxxx

Gandalf : Mon tout premier revieweur, mon confident pour m'aider à comprendre quelque chose d'un œil extérieur, merci. Je suis contente que tu aimes encore ma fic et j'espère que ce chapitre ne t'as pas trop déçu. Tu as fait comme je t'ai demandé et tu as écrit une connerie. Je connaissais déjà la blague comme je te l'ai déjà dit, mais bon peut-être que la prochaine review sera encore plus longue sait-on jamais.

Merci

Xxxx

Catastrophe : Je suis contente que tu aimes ma fic et qu'elle suscite en toi de l'intrigue. Effectivement, les réponses à tes questions se trouvaient dans ce chapitre, mais si tu as d'autres questions, n'hésite pas.

Alex : Je suis contente que tu sois venu lire ma fic et que tu l'aimes. Je réponds juste à ta première review, car tu viens juste de commencer à lire mon histoire. Comme je t'ai dit, j'aimerais beaucoup que tu fasses de plus longues reviews (peut-être que maintenant que lis ça, tu en as déjà fait de très longues, je n'en sais rien). Merci Ronny, même si tu n'es pas comme le Ron de l'histoire.

Bon, c'est maintenant tout pour cette fois. Au plaisir de lire vos reviews et d'avoir de nouveaux lecteurs.

Morena

P.S. : Je suis désolée si les traits de dialogue n'aparaissent pas, c'est Fanfiction qui faisait à sa tête.