Miss Trompy :

Bon, un autre chapitre publié. :D J'espère qu'il vous a plus.

Au moins Sexiest Jack était dans le précédent :D

Désoler de vous faire attendre, mais je suis une fille très occupé, les études, les ami(e)s, les loisirs, les devoirs et tout le reste.

Mais bon je suis pas tour seule a avoir sa ! lol Jva essayer d'améliorer mes Updated :D.

Oui bon on va essayer ! Donc Trompy Ta yeule !

P.S : J'avais publié récemment le 5eme chapitre mais je l'ai remouved, pour le continuer un tit peu…

Bonne lecture

-

Chapitre 5 : les aveux

J'ai passé une nuit mouvementée. J'ai fait un horrible cauchemar, un cauchemar dans lequel je ne pouvais pas venir en aide à mon équipage. J'entendais crier mon nom et je voyais une femme. Elle se faisait menacer par un pistolet. Je la regardais sans l'aider. Puis j'entendais Terry crier. Ses cris résonnent encore dans mon crane « PIA ! ENFIN MANNIX AIDES-LA » Et je ne bougeais toujours pas.

Déroutée par mon rêve, je me leva de mon lit et descendis à la cuisine pour me servir un verre d'eau. Je me demande qui était cette jeune fille, son visage m'était étrangement familier. En passant devant le bureau ou Sparrow c'était endormi quelque heure plus tôt, j,eu un sourire satisfait. Pourquoi ?

Sûrement parce que j'ai fatigué un des pirates les plus redouté des océans. Ou simplement le fait de m'avoir amusé toute la soirée avec un homme, avouons-le, très sympathiqueà la fois, mystérieux et original…

Elizabeth lui avait sens doute proposer une chambre, et il était maintenant dans un profond sommeil, qu'aucun bruit ne pourrait dissiper.

Arrivé à la cuisine, un lieu que je n'apprécie pas énormément, il y a toujours des bruits étranges. Et c'est toujours là que les animaux en quête de nourritures sont.

D'ailleurs il me semblait avoir entendu un petit bruit aigu. Probablement un rongeur qui grignotait par-là.

Je regardais par la fenêtre. Le ciel était bleu. Un bleu magique que j'avais découvert lors de mon arrivé aux Caraïbes.

Le ciel été beaucoup moins sombre que celui de l'Angleterre. Je me demandais même si c'était le même. La lune ne décrivait qu'un tout petit croissant, lorsqu'elle n'était pas totalement cachée par un petit nuage sombre.

Les yeux fermés, je me laissais bercer par le roulement de la mer à proximité, par les bruits du vent dans les palmiers ou dans les buissons.

Pas un bruit était du d'origine humaine…Quoique le ruissellement, de la petite fontaine dans le jardin, n'était pas très naturel… Il y avait aussi ce bruit, près de mon oreille. Une…respiration. Je figeais donc sur place. La main sur mon épée. Buddy m'avait toujours dit de dormir avec une épée ou une dague, et aujourd'hui je le remercie. Si j'avais eu un peu froid, ce souffle chaud m'aurait peutêtre réchauffé, mais pour le moment j'avais plutôt des frissons.

La chose à mes côtés ne bougea point. Peutêtre été t-elle figeai, aussi effrayé que moi. Je ne sais pas si c'est cette idée qui me redonna la fonction de mes membres, mais j'en été ravie. Je me tourna vers la gauche tout en sortant mon épée. Qui se logea au creux de sa gorge ! L'individu était apparemment aussi surpris que moi. Lui, probablement à cause de l'épée tranchante sous sa gorge. Moi, plutôt étonnée et heureuse d'avoir trouvé la force de lever mon épée.

Nous restâmes là sans bouger. J'attrapa l'homme par le collet de sa chemise, et le tira pour le rapprocher de la lumière de la lune. Il était trop penché et qui plus est si je lâchais prise. Il se ramassait à quatre pattes devant moi, comme un animal.

Dès que je vis son visage je le lâcha et il tomba bienà genoux.

« -Alors sa t'amuse ?

-Un peu, dit-il un sourire aux lèvres me laissant découvrir quelques dents en or.

-T'aurais pu parler… Et si j'aurais décidé de te trancher la gorge d'un cou…

-Ban ! Tant pis. J'aurais été dans la merde jusqu'aux épaules…Et plus de cou

Nous nous regardions en silence. Lui avec son ultime sourire, dragueur.

-Arrête de sourire bêtement ! Et ne me regarde pas comme ça ! Qu'est-ce que tu trouves drôle, Hein ?

-Rien. C'est juste que je suis là à tes genoux… t'es en chemise de nuit… plutôt courte.

Cette fois je lui balança un coup de pied de le ventre et me retourna, en tenant ma chemise. « Connard »

-C'est bon j'me lève… Allez part pas.

-C'est sur que j'ai envie de rester avec un mec qui regarde en dessous de ma chemise de nuit ! Ban voyons ! J'adore ça moi les voyeurs…

-D'accord calme-toi ! Si ça peut te rassurer j'ai pas regarder…

-Ban ouais ! J'ai te croire moi. Je suis pas aussi stupide que tes conquêtes, mon grand…

-J'te considère pas comme une conquête, sinon j'aurais regardé…Reste toujours que… J'aimerai bien que tu sois une de mes conquêtes.

-Ferme-la Sparrow…

(bien sûr, il ne m'écouta pas)

-Alors on n'est une lève tôt… ou une couche tard ?

-Comme si tu voulais vraiment savoir ça !

-J'vais t'avouer qu'oui, je voudrais savoir d'où tu viens, et qu'est-ce que tu fais ici ?

Qui es-tu ? …

…J'ai passé une soirée à déconner avec toi, mais j'te connais pas…je sais seulement que tu te nomme Mannix Rivers… Je suis pas très avancé, puisque tout le monde connaît ton nom. Le nom d'un pirate des plus prometteur !

Il se rapprochait de moi dangereusement. Je pouvais sentir son haleine sur mon visage. En me retournant pour monter à ma chambre, je me pris à sourire. « Pourquoi veux-tu me connaître ?

-Peut être parce que tu m'intrigue… Alors qui es-tu ?

-Mannix Rivers, je lui souris et traversa le salon.

La fenêtre de ma chambre donnait sur le jardin. Elle était ouverte ce qui me permettait d'écouter le chant de la nuit, mais j,'était incapable de m'endormir en pensant que Sparrow était en bas. Ce demandant qui je suis. La nuit me faisait penser à notre discussion. Je me leva donc pour fermer la fenêtre. Je ferma les yeux et je m'assoupis aussitôt.

Un bruit petit cri suivi d'un fracas me réveilla. Quelqu'un était dans ma chambre.

Une odeur de lavande, de menthe et de cannelle flottait dans ma chambre.

Ce qui signifiait que quelqu'un avait fouillé dans ma trousse.

Je me leva doucement, sans un bruit, mais il n'y avait personne. La porte et la fenêtre étaient toujours fermée. Quelque chose frôla mes mollets très rapidement. Je me retournais et vis une petite queue poilue sous le lit. Un petit animal était apparemment entré par la fenêtre lorsque je parlais avec Sparrow. Je présume qu'il a été attiré par l'odeur de mon sac, et qu'il a été effrayé par les bruits, lorsque plusieurs bouteilles se sont cassées.

Je me baissa pour voir l'animal. C'était un petit singe. Un petit ouistiti. Il était en grande partie blanc, avec une longue queue noir. Ses yeux me regardèrent, il était troublé.

« Ouais ! T'es aussi perdu que moi ! Attends-moi là mon grand…

Je descendis en cuisine et remonta, quelques instants plus tard, avec un plateau de petits fruits.

-T'es pas d'ici toi non plus …t'es un ouistiti… du brésil non ?… Mieux vaut ne pas attendre ta réponse. Elle parle avec les singes !… Tu vois-je suis folle… Ouais ! C'est ça l'explication la plus plausible. Seule et folle ! HEY ! Mange pas trop vite p'tit glouton !

Je passa donc l'après-midi avec le p'tit singe qui s'avoua être de bonne compagnie. Et très docile. Je lui parlais, et il me répondait d'un p'tit couinement, comme s'il comprenait ce que je voulais dire…ou ce que je disais. J'me lia donc d'amitié avec mon p'tit singe que je le…la nomma Finia, qui veux dire libre en grec.

Je l'avais nommée ainsi parce qu'elle était livre de partir quand t'elle le souhaiterait. Je crois bien que c'était une manière de me rassurer, car oui, j'étais libre moi aussi. De partir lorsque bon me semblerais.

Je m'habilla et décida de présenter ma novelle amie à Terry. J'avais mon habituel pantalon, ma chemise et mon bustier noir. Un foulard rouge sang tombait sur mes hanches. On pouvait nettement voir mes formes sous cet apparence. Je descendis les escaliers. Will et Jack discutaient au salon. Sparrow était habituellement subtile pour ce qui était de montrer ses sentiments. Mais cette fois je pus lire en lui. C'était très clair. Ilne pris même pas la peine sortir son nez de son verre de porto, peutêtre de peur que sa vision se trouble. Il me relookait avec envie. Je le fixais, aussi. S'il avait prêté attention à mon visage, il aurait clairement compris…Regarde ailleurs ! Il continua tout de même à me regarder. Il m'examinaitévaluait chaque partie de mon corps. S'attardant sur mes hanches et quelque part disons plus bas que les yeux. Puis, il s'arrêta sur mon épaule. Il ne devait pas apprécier les bêtes puisqu'il, détourna le regard et recommença son débat avec le forgeron.

-Nix ! C'est quoi ça…cette bête, me lança Terry dégoûtée

-Je te présente Finia. La pauvre ! Je l'avais enfermée cette nuit, sans m'en apercevoir. Elle n'est pas sauvage…

-PAS SAUVAGE ! MERDE NIX ! C UN SINGE, ELLE EST SAUVAGE !

-Relax ! j'veux dire… elle a été dressée. Elle se laisse approcher sans broncher ni morde

-NIX ! C'est un singe, qui voudrait d'un signe, qui ? Sauf toi, pourrait gaspiller de la monnaie pour dresser un primate. Terry s'approcha de moi me touchant l'épaule.

Avant que je n'aie pu rajouter quelque chose, Finia se jeta à terre et grogna en montrant les crocs. Comme un chien voulant protéger son maître ! Terry Recula me lançant un regard assassin « PAS SAUVAGE ! Tu parle !

-Miss Terry !Reculez d'un pas doouceement, et calmez-vous. Dès que le macaque ne se sentira plus en danger il se calmera aussi, Miss Rivers…Jack me regardait sans me fixer dans les yeux. Vous reprendrez la bête et rassurer-la, dites-lui que Terry n'est pas une menace.

Nous nous exécutâmes, Finia se cala sur mon épaule. Elle avait repris son regard docile, et inoffensif.

Terry la regardait puis me regardait l'air arrogant juste avant d'ajouter « C'est ça sale bête fait ta sournoise ! Sale connerie ! Euh…Merci …Jack !

-Ce n'est rien. J'ai eu une mauvaise expérience avec un singe aussi.

-Mannix qu'est-ce qui ta pris d'amener cette connerie ici !

-Il était dans ma chambre. J'ai simplement voulu…

-Très bien maintenant débarrasse-toi de lui ! Tout de suite !

-Depuis quand me donne-tu des ordres ?

-QUOI ! Merde Nix ! Tu vas pas le garder !

-Peutêtre, si j'ai envie !

- MANNIX ! TU…tu sais bien que je suis allergique aux animaux ! J'ai les yeux qui deviennent rouge et j'ai les larmes aux yeux. Je t'en supplie ne garde pas cet animal.

-Merde ! C'est vrai ! Je trouvais ça sympa d'avoir un animal qui nous représente.

-Ouais ! Bon ! Un poisson ça te dit Ça doit être le seul animal dont je ne suis pas allergique. Un trouvera bien quelque chose pour nous représenter ! Un oiseau peut être…

-Tu rêve ! Pas de corbeau sur mon rafiot ! Et bien Finia, nos chemins vont ce séparer là. Bebye !

Finia comprend sans doute ce que je voulais dire, puisqu'elle sort aussitôt et reprend le chemin vers sa maison. Enfin, J'espère.

-Je suis vraiment désolée Mannix. Mais c'était moi ou le singe…Ouais ! Bon je sais, je suis pas un homme, donc on peut moins vouloir se sacrifier main c'est que …

-Le bateau !

-Quoi ? J'te parle d'Homme et tu veux parler de bateau ! Mannix arrête de passer du coq à l'âne…

-De toute façon un homme et un bateau c'est pareil.

-On a pas la même perception !

-Bah ! C'est vrai. Ça a besoin de quelqu'un pour le… diriger… Ça vogue sur le « mer »… et ça abrite plein de p'tits monde…

Les gars me regardèrent avec le même sourire, et un sourcil en relevé. Pendant que les filles me beuglèrent, outrées « MANNIX ! LE PROCHAIN COUPS QU'UNE COMPARAISON DE CE GENRE LA, TE PASSE PAR LA TÊTE, GARDE-LA POUR TOI D'ACCORD !

-Euh…D'accord… Mais si cela concerne…

-NON !

-Alors, je pourrais plus…

Terry me coupa du dernier « NOOON » de la discussion, mais elle riait. Elle savait donc ce que je voulais dire…

-D'accord. Je la regarda l'air honteux.

-Fais pas ces yeux là ! … Tu pourras le faire, mais seulement quand on est toutes les deux…sur TON bateau !

-Promis ! Parole… de…NAN ! Je mets pas ma parole là dessus. Dis-je avec un sourire blagueur. Alors qu'est-ce qu'on bouffe ? Je meurs de faim… une faim de loup. Agrrrrre !

J'évita de justesse la claque de Elizabeth, mais Terry avait vu ce que j'aillais faire et m'envoya un poing dans le ventre. « D'accord j'ai compris le message…Mais appelé-moi quand y'aura d'la bouffe » Je passa devant Jack et Will. Ceux-ci étaient mort de rire et me lancèrent un clin d'œil. « Arrêtez de rire, crétins ! Ou j'vous… Tant pis Sparrow » Je lui balança mon tibia sur le ventre, lui souri et remonta dans ma chambre.

Je passa une bonne heure à mettre de l'ordre dans mon nécessaire à plante. C'était plutôt décevant. Mes sachets de menthe, de lavande, de cannelle, de valériane, de ginseng et de sauge étaient déchirés. L'odeur n'était pas désagréable, mais il fallait réparer les dégâts. « LE BATEAU ! OUI ! Ya rien de plus facile ! On a qu'a utiliser Sparrow… TERRY »

Je dévala escalier en ratant quelque marche.

-TERRY ! Je sais ! Cela nous sautait carrément aux yeux ! Viens, je t'expliquerais dans ma chambre. Je la tira par le poignet

-Mais qu'est-ce que tu me veux… J'étais dans une parti d'échec avec Sparrow…

-En parlant de lui…J'en es besoin…

-NIX ! Vas lui dire à lui, pas à moi !

-Quoi ? Nah… Dans le sens que pour avoir La Nymphe, il te suffira de manipuler Sparrow de le convaincre de te l'offrir…

-Et pourquoi moi, ce pourrait très bien être toi…Tu l'intrigue, non ?

- Tu sais ça comment toi ? T'écoute aux portes maintenant ?

-Premièrement ça se lit sur son visage, Mannix si tu faisais attention ! Observe comment il te regarde. Il te dévore des yeux Nix. Ouais bon !Ya tout de même quelque chose à regarder… Ta jolie frimousse, tes yeux jade parfois doux, mais surtout amusés. Tes beaux cheveux brun foncé. Et avouons-le ! Tes formes… irréprochables. Tus ais que tu me fais réellement chier…

Nous éclatâmes de rire.

-Y'a une autre raison. Mannix quand tu fais pas attention j'entends ce que tu dis. Des fois ça me plait, mais d'autres des fois j'me sens mal d'entendre tous ce que tu te raconte. Si tu ne me les dis pas c'est que tu veux pas. Alors je devrais pas savoir ce que tu pense… Je suis… Désolée…Je suis une bête de foire comme disais ma mère. Un monstre. Mais la chose qui me répugne le plus, c'est de ne pas te l'avoir dis plutôt. Je t'ai caché un secret, pendant que j'entendais les tiens. Je suis vraiment horrible. Et j'en suis navrée si tu ne veux plus de moi, comme seconde…

Écoute Terry… Je t'en veux pas du tout. C'est normal de cacher des choses, même à sa meilleure amie et à sa sœur. Et tu n'es pas une bête de foire, tu es…Exceptionnelle. Tu es spéciale. Et je suis extrêmement fière d'être ta p'tite sœur chérie… Et ta meilleure amie. Je ne pouvais rêver mieux ! Avoir une seconde qui pourra me comprendre… Tu saisiras tous les petits problèmes sans que je n'aie à inquiéter les autres. Et ça va un énorme avantage. Je ferai une énorme erreur en te renvoyant. Tu seras le membre le plus important du navire… et tu seras à jamais la plus importe à mes yeux, je te le promets.

-NIX ! Je t'adore !

Les larmes coulaient sur ses joues. Je la serra dans mes bras, mes yeux commençaient aussi à chauffés. Mais je devais gâcher ce petit moment « d'égarement»

-Alors, Terry, tu crois que je devrais manip… convain… charmer Sparrow ?

-Pour le charmer ça ne sera pas trop dur. Il est déjà sous ton envoûtement Nix. Quel-homme ne le serait pas d'ailleurs ?

-Arrête de faire ça

-De faire quoi ?

-Me complimenter, je ne mérite pas ces louanges là et tu le sais bien

-Je ne fais que dire tout haut ce que les autres n'ont pas le courage de te dire. T'as tout pour toi Nix. Tu es belle, tu es intelligente, rusée, occasionnellement innocente, mais c'est ce qui fait un peu ton charme. Tu magne très bien l'épée et par-dessus tout tu es marrante. Tu dédramatise tout et tu rends ça comique. Je crois que c'est cette facette que j'envie le plus. Donc oui je crois que c'est toi qui auras le plaisir de persuader Sparrow à conquérir le bateau pour nous. Aussi lâche que nous sommes, c'est vrai, on laisse faire un autre pirate réquisitionner une embarcation à notre place.

-Oui ! Mais tout est dans l'art de persuasion. Il faut être patiente, charmante et … innocente.

-Et t'as toujours tes plantes…Il doit bien en avoir une qui…augmente les désirs charnels.

-Terry t'es ignoble! J'veux pas qu'il me saute dessus… Mais je dois bien avoir quelque chose qui puisse faire l'affaire. La Berce augmente l'appétit sexuel. La Damiana aussi. Je vais lui préparer un mélange de berce, de café, je vais mettre un peu de damiana. Et de ginseng. Avec un peu de miel.

-Sparrow s'en est fini de toi mon beau !

-Tu l'as dis. Si avec ça il n'a pas envie de moi… qu'est-ce qui va le faire.

-Ton cul va faire l'affaire j'crois.

-Ferme-la !

-J'te l'ai dis Nix, tu l'as charmer et j'en suis certaine… Mais il ne marchera pas dans le jeu sauf si…

-Sauf s'il ne m'a pas vu depuis longtemps…

-Exactement ! Sauf, comment on va faire ça ?

-Y'a deux possibilité…

-Soit que tu fais comme s'il te connaissait depuis toujours… ou tu laisse courir les choses quelques années ce qui fera beaucoup plus d'effet !

-Comment ça ? Plus d'effet ?

-Bin oui ! Genre… Tu le drague un peu puis tu disparais… j'en sais rien moi, retourne en Angleterre quelques années, puis tu reviens… ET VLAN ! Dans les dents, tu vas lui faire un choc et il sera à ta merci…

-Sauf s'il m'en veut à m…

-Il ne t'en voudra pas. Il sera trop heureux de te revoir, mais il faudrait que tu le « rencontre » par hasard. Dans un bar, une auberge, chez les Turners… Tu comprends ?

-Ouais Ça pourrait marcher…

Ça va marcher !

Elle avait tellement d'entrain que je ne pouvais refuser de jouer le jeu. Ban ! C'était pas si dure que ça ! Quelques petites insultes, une claque ou deux, une main baladeuse qui passe et repasse, un petit sourire coquin et l'affaire est dans la poche ! Ensuite viens la disparition. Je pourrais toujours aller voir Buddy en Angleterre. Mais comment si rendre sans bateau…

-Fais-toi passer pour une bourgeoise très fortunée.

-PAS UNE AUTRE ROBE !

-Sans corset… On ira t'en acheter quelques-unes cette après midi…Et je vais faire pareil… Il te reste beaucoup d'argent ?

-Bin ! J'en manque pas pourquoi ? Il t'en reste plus ?

-Si un peu…assez pour… une robe.

-TERRY ! Bien je t'en paierais une.

-Merci !

Nous partîmes en après-midi, Elizabeth, Terry, moi et bien certainement Jack. Il fallait bien commencer un jour. Et le plus rapidement serait le mieux ! Elizabeth voulait nous mener dans une boutique très connue et très populaire. Chez Perdiante. Mais je n'affectionne déjà pas les robes, mais si en plus plusiques femmes on la même que moi…pas question. « Eli, je n'ai pas l'habitude de faire les choses à moitiés. Si je dois m'acheter des robes je veux qu'elles soient uniques »

Je descendis l'allée principale et j'entra chez une petite couturière. Les robes que j'allais acheter allaient me coûter les yeux de la tête, mais j'aurais vraiment l'air d'une fortunée bourgeoise. De toute façon c'était un investissement.

Dès que j'entra, je remarqua la couturière ! Elle était toute petite, légèrement grassouillette, mais avait un très beau visage. Elle devait avoir près trente ans. Elle était entrain de terminer une robe sur un mannequin vivant. La femme qui l'essayait, devais avoir atteint la quarantaine.

Jack entra en trombe derrière moi. Il marcha vers moi et me dit un bref « officiers »

Quelques minutes plus tard les deux filles entrèrent.

La couturière avança vers moi.

-Puis-je vous-aidez ? Elle me regarda de la tête aux pieds. On pouvait lire sur son visage « Oh ! Qu'oui je peux »

-Oui et bien je voudrais acheter …trois robes.

Son air grave s'effaça tout de suite et elle me sourit. Son sourire était sincère, mais effrayant et édenté. À ce moment là j'étais contente d'avoir bénéficier de fruits et de légumes verts toute mon enfance.

-Suivrez-moi ! … Avez-vous des préférences dans le tissu ou dans les couleurs… Euh !…C'est pour qu'elle occasion.

-J'aimerais… En avoir deux dans un tissu léger et une pour les temps frisquets.

-Et pour ce qui est des couleurs…

-Euh ! Et bien… Rouge framboise, noir… et blanc…

-Très bien… asseyez-vous, je vais vous montrer les tissus que j'ai pour le moment.

Elle me fit toucher à tous les tissus de sa boutique, pour par la suite découvrir que ceux que je désirais était dans les six premiers choix.

-Très bien… Debout ! Je vais prendre vos mensurations. Enlevez votre chemisier s'il vous plait.

-Euh…

-Vous devez vous déshabiller si vous ne voulez pas fausser les chiffres. Il n'y a que vos amies, votre mari et moi dans l'échoppe. Ne soyez pas gênez.

-Je ne suis pas son mari…

-Amant, mari cela revient au même… Allez.

-Euh ! Terry, qui était morte de rire, tira Sparrow par le bras et lança : Très bien, Monsieur retournez-vous. Vous gênez mademoiselle.

-J'en ai déjà vu d'autres… Terry ! Lâche-moi ! Aïe ! Très bien je me retourne !

J'enlevais doncà contrecœur, ma chemise bouffante et mon petit corset. Aussitôt les mesures fut prisent, je me rhabilla, au grand désarroi de Sparrow. La couturière m'avait passé un dessous de robe. Elle travaillait très rapidement. Tellement vite, qu'à la fin de la journée les plans étaient déjà tous montés. Nous pouvions passer les chercher dans seize jours. Jack brisa le silence ; « Mais vous aller être ravissante les filles dans ces robes »

Nous répondîmes en même temps.

-Merci Sparrow.

Terry et Elizabeth rentrèrent directement au manoir. Je préférais me promener un peu avant la tomber de la nuit. Jack insista pour rester avec moi, puisque le cartier n'est pas très sécuritaire pour une jeune fille. Le moment était opportun. « Sparrow j'peux te poser une question » Je pris son silence pour un oui.

-Pourquoi tu voulais absolument rester ! Tu sais très bien que je sais me défendre.

-Oui ! Je sais que tu peux te défendre, mais je voulais pas rentrer aussi tôt, alors tu as dis que tu restais donc j'en es profité. Si tu tiens à ce que je parte… t'as qu'à le dire…

-Oui, j'aimerais.

-Oh ! Très bien… Je pars… Au revoirà tout à l'heure.

-Mais si tu peux rester, crétin !

-Comment ça crétin… Tu veux qu'on parle de toi c'est ça ?

-Ban ! Pourquoi pas ça serait plus intéressant ! Qu'est-ce que t'as à dire sur moi ?

-Euh…T'es une garce.

-Pathétique !

-C'est ça ! Et toi qu'est-ce que t'as à dire sur moi sauf que je suis crétin…

-T'es un porc…

-Mais encore…

Je me rapprochais de lui, tout doucement.

-T'es un sal menteur…

-Arrête ça me fais peur.

Un pas de plus.

-T'as l'air stupide avec tes mimiques…étranges.

-Qu'est-ce que t'as contre mes mimiques !

-Mais j'en rien contre tes mimiques…je les trouve même comiques…

Je n'étais plus qu'à quelques centimètres de lui. Je lui chuchotais, pour ainsi direà l'oreille :

-Tu es loin d'être repoussant…t'es stupide, mais…

-Mais…

Le coup fatal, je collais à présent mon bassin contre le sien. Il parut surpris, mais ne bougea pas d'un poil.

-Mais… Sexy

Cela eu l'effet voulu. Il se baissa, et juste au moment ou il allait m'embrasser, il me chuchota « Tu sais pas dans quoi tu t'embarques »

-M'en fiche… J'crois pas être déçue

Il se baissa pour m'embrasser et mon dos courba. Ce qui n'eu rien pour arranger la situation. Une situation que je n'avais pas « calculé. » Le plaisir. Il embrassait comme un dieu. Je me surpris même à grogner.

Je grognais de plaisir, mon côté écossais reprenait le dessus. Mon père aurait ragé s'il avait vu cela. Ma mère était écossaise, mais mon père avait catégoriquement refusé que je connaisse mes origines.

J'étais perdue dans mes esprits. Je pensais à mes parents pendant qu'un pirate m'embrassait fougueusement. Je ne m'étais même pas aperçut que nous étions maintenant dans une ruelle, et que j'étais plaquée contre le mur. Il avait mit sa langue dans ma bouche, elle était chaude. Il fallait bien le dire, il avait la langue habile ! Il placa sa main gauche sur ma hanche, et sa main-forte à mi-chemin entre : Mes fesses et le bas de mon dos. Il me serrait contre lui, comme s'il avait peur que je m'envole.

J'étais vraiment prise au piège. Dans quoi je m'étais fourrée ?

Dans les bras d'un ténébreux pirate. Probablement irlandais. Vraiment mon père ne saurait plus quoi faire de moi. Dans une ruelle, entrain d'embrasser un pirate-irlandais-amoureux (s'il l'était.)

Tout ça pour un bateau. Plus j'y pense… Plus Sparrow à raison je suis une garce !

« Pardonnez-moi jeunes gens… » À cause du sursaut j'avais mordu la langue de Sparrow, mais je ça ne goutait pas le sang. Je ne l'avais donc pas blessée.

-Je ne voulais pas vous déranger, mais vous n'avez pas le droit d'agir ainsi en lieu public. De plus… Mademoiselle… nous ne nous serions pas déjà vus ?

-Euh !…Non… vous faites erreur.

-Pourtant votre visage me dit quelque ch…

-Elle vous dit que non…

Jack avait répondu si brusquement que l'homme fit un bond.

-Très bien… maintenant rentrez chez vous, tendres-passionnés !

-Oui ! Monsieur

L'homme partit, par chance il faisait déjà noir et il n'avait pas vu le visage de Sparrow.

-J'aurais eu l'air malin. Le capitaine Jack Sparrow se faisant embarquer à cause qu'il embrassait une jolie jeune femme ! Aussi jolie qu'elle soit ! J'aurais eu l'air stupide.

Ses yeux descendirent doucement sur mes lèvres. Allait-il recommencer ? Mais non, ses yeux continuèrent leurs chemins juste qu'à ma taille, puis, remontèrent pour me fixer… Droit dans les yeux.

Sparrow me sourit. Laissant de nouveau voir l'éclat de quelles que dents dorées.

-Tu m'as mordu, va falloir te faire pardonner.

-Comment puis-je me racheter ?

-J'en sais rien, mais ça va te coûter cher…

-Sparrow si on rentrait.

-Pour faire quoi ?

-J'en sais rien… Se réchauffer un peu…

-Ouais ! Mais avant suis moi, j'ai un endroit à te montrer.

-C'est quoi ? Et c'est ou ?

- Pas très loin… et c'est plutôt… Romantique.

-Un Jack Sparrow romantique ? Cela existe ? Si oui j'en achète trois !

Il me mena jusqu'à la plage. Sous un petit pond. A cause de la marée, le sable était mouillé, mais Sparrow y remédia avant que je n'ai le temps de lui en parler « Après vous, Milady… »

Il avait enlevé son manteau et l'avait déposé au sol.

Ici, le vent ne gênait pas. On l'entendait, mais il ne nous approchait pas.

Sparrow s'assit au près de moi, plutôt derrière moi. Il poussa, du révère de la main, mes cheveux et posa ses lèvres chaudes sur mon cou. Cette fois, il vais placé une main à l'intérieur de ma cuisse et l'autre suivait ma mâchoire. C'était étourdissant comment c'était bon. D'ailleurs j'en étais étourdis.

Sa bouche était magique, mais s'en était trop pour moi. Si cela continuait comme ça je me retrouverais défloré comme une débutante qui se laisse attendrir… Pas question !

Je me leva sans faire attention. Sparrow me prit le poignet et me fit tomber à ses côtés :

« Qu'est-ce qu'il y a ?

-Désoler, mais je préférerais rentrer… Si cela ne t'ennuies pas trop.

-Non, très bien si tu veux partir…mais t'en es sûr ?

-Euh ! Oui…

Il déposa un baiser chaste sous mon oreille tout en glissant à celle-si « Tes désirs sont mes ordres, Trésor »

Il me souleva de terre… Fit quelques pas et me reposa.

-Désoler !

Le chemin du retour se fit silencieusement. Il me fixait… Sparrow me fixait et cela me gênait du plus haut point. Je pouvais lire dans son regard de l'inquiétude…Pourquoi ? Nous marchions dans les rues. Elles étaient sombres. La personne, charger de les éteindrent avant l'aube, venait certainement de passer. Depuis combien de temps Sparrow et moi étions-nous dehors ? Des pas retentir derrière nous.

Sparrow arrêta de me fixer et écouta attentivement. Je fis de même. C'était peutêtre personne de dangereux, mais il n'y avait aucun risque à prendre. Les hommes sortaient des tavernes, des bars et des bordels à cette heure. En fait, il y en avait à toutes les heures.

Sparrow me plongea dans une petite ruelle. Puis une autre, et nous nous cachâmes derrière un petit mur. Les pas arrêtèrent. C'était nous que l'homme suivait.

-Qu'est-ce qu'il nous vou…

L'assaut repartit. Sparrow avait plaqué ses lèvres contre les miennes. Il me lâcha, et sans un mot il commença à marcher. Le reste du trajet se fit dans un énorme silence. Lui avait son sourire béat et moi j'étais en nage. Qui était cet homme ? Que nous voulait-il ?

Quand nous arrivâmes, Will était de retour et était de très bonne humeur. Terry chantait pendant que lui tapait sur la table pour faire le rythme.

-NIX ! Aller viens chanter avec moi ! Je fausse et tu me relance ! Let me dooooo !

- Let me dooo, everything!

-I won your love!

-You want my heart...

-I desired your skin

-You will have my soul

-You have my soul

-You had my soul

-You will haven't she more

-Cause I fooorget yoou...fooor ever... Contente?

-Ravie! Tu sais que j'adore quand tu chantes.

-Ouin !

Terry était bien heureuse, mais bon il fallait que je lui parle et lui raconte ce qui c'était passé. D'urgence ! Il fallais lui dire que la première étape était réussie… cependant, que les autres seraient plus difficiles.

Et puis, comment je fais pour lui demander… pour la Nymphe ?

« Hey Jack salut j'aurai besoin que tu me réquisitionne un navire anglais Ça te dérangerait ? Oh oui ! Si tu te fais prendre, bien tu risque ta vie… pour moi »

N'importe quoi !

-Mannix je peux te parler ?… Mannix ?

-Pardon ! Euh… Oui Terry

Elle me tira le bras jusqu'à ce que je bouge. Arrivé au deuxieme étage « Alors Nix ! Tu voulais me parler ?…

-Ouais ! Mais tu sais déjà de quoi je vais te parler !

-Ouais ! Mais, Nix, il ne pense qu'à toi… Je sais, je l'ai entendu ! Comme ça, vous étiez dans une ruelle ?

-Terry !

-Quoi ? J'écoute ce qu'on me dit !

-Terry ! Je vais te raconter moi!

-Mais… QUOI ? Il a fait les premiers pas ! Nix ! Mais c'était toi qui devais les faire ! S'il croit que tu es à ses pieds il pourra te manipuler aussi!

-Ban ! Non ! Jles ai fait les putain de premiers pas!

-Et bien… C'est pas ça qu'il vient de dire à Will ! ...T'AS QUOI ?

-Euh...Arrête d'les écouter ! Et écoute-moi ! Le plan à très bien marcher ! Mais ça risque d'être plus dure !

- Il ne peut plus se priver de toi Nix !

-Pourquoi tu dis ça ?

-Il essaie de se convaincre ! Et de convaincre Will ! Tout vient à point, qui sait attendre.

-Ouais ! Répondis-je un peu nerveuse.

-Nix, Ça va pas ?

-Si, si … Tu viens pas avec moi n'est-ce pas ?

-Euh… Non… C'est mieux si tu pars seule… J'vais te couvrir. Mais ne m'oublis pas ! Dès que t'as le bateau tu viens me chercher… S'il te plaît !

Pour le départ, il fallait attendre le moment opportun.

La semaine passa très vite. Elizabeth nous avait accompagné pour chercher nos robes. Jack avait été un ange toute la semaine. Toujours là aux moments ou je m'en attendais le moins. Dès que je nouais ou remontais mes cheveux, il trouvait le moment de déposer un doux baiser, soit sur une épaule soit dans le cou. Parfois il venait me voir dans ma chambre, et nous parlions jusqu'à très tard dans la nuit. Et de temps à autre, il m'attendait l'autre côté d'un mur et il m'embrassait ardemment. Si lui était un ange, je ne vous cacherais pas que moi, j'étais aux anges ! Oui, il me plaisait ! Et ce devait d'ailleurs être pour cette raison que j'avais des remords. Des remords pour ce que je lui faisais et ferais.

Comment allait-il prendre mon envol, et mon retour, ma réapparition ?

S'il m'en voulait ? Comment pourrais-je le supporter ? Comment ?

-Mannix ? Terry et moi partons marcher … Viens-tu avec nous ?

Eli me souriait. Cette femme avait été merveilleuse, elle nous avait hébergée et aidée. Will et son ami étaient parti. Je ne pouvais même pas embrasser mon Jack une dernière fois. J'aurais aimé sentir ses lèvres sur les miennes une dernière fois. Sentir son souffle chaud sur ma nuque. Sentir ses bras me caresser. Le toucher une ultime fois. Mais il n'était pas là ! Je partais sans un au revoir. La porte de la véranda claqua. Était-il revenu ? Je courrais à la fenêtre de ma chambre… mais aucun pirate à l'horizon. Je partirai donc comme une voleuse. Je prépara mes choses. Et me changea convenablement. Terry était aller voir les bateau et avait payer pour mon dépare.

Un navire marchand m'amènerait loin des gens que j'aime, mais me ramènerait près de mon grand-père.

Si un bateau pirate attaquait notre bateau? J'étais habillé en citadine… Ils me prendraient donc pour une citadine. Cette idée ne me plaisait guère. Je garda donc mes vêtements et mes armes sous ma robe. Mon fidèle pantalon noir, si nous nous faisions attaquer, il ne me suffirait d'enlever ma robe et enfiler une chemise. Un couteau était caché dans les plis de ma robe. Mon pistolet était accroché à mon pantalon.

Le seul navire que Terry avait trouvé faisait le voyage jusqu'en Irlande. J'avais écris à Buddy pour l'avertir que mon arrivée serait un peu retardée à cause de cette escale.

Je me hissa donc à bord du navire.

-Bonjour ! Vous devez être mademoiselle MacIver ! Bienvenue sur La péninsule ! Je suis ravie de faire votre connaissance ! On ne voit pas tous les jours une compatriote de son clan !

-Vous êtes… Un MacIver ?

-Oui ! D'où venez-vous ?

-Mmm ! Et bien…Je suis une Duncan Maclver de Stronshira

-Ah! Oui! Vous devez connaître the Maclver Chiefs c'est mon cousin au deuxième degré! Nous l'appelons Tannagach, ce sont des…

-Des esprits, ma mère me racontait des histoires de Tannagach et de donos. Vous devez être fier de votre parent! Mais je ne le connais pas personnellement!… Puis-je aller à ma cabine?

-Oui! J'espère que vous me ferez l'honneur de manger à ma table ce soir!

-Avec le plus grand des plaisirs

J'avais survécu au petit interrogatoire. En espérant que je ne me suis pas tromper. Une chance que ma mère m'a fait lire l'histoire d'Écosse et ma appris quelque mot en Gaélique!

Quinze minutes passèrent lorsque j'étais dans ma cabine et le bateau naviguait. J'étais Parti! Loin de mes amis et loin de mon… mon quoi d'ailleurs. J'aurais tant voulu lui parler. Il ne pouvait peut être plus se passer de moi, mais j'en étais au même point.

Avant de partir j'avais écris une lettre à Elizabeth pour la remercier des efforts qu'elle s'était donnée, les risques qu'elle avait pris en logeant trois pirates. Et j'espérais qu'elle hébergerait encore Terry pour un moment.

Je passais mes journées à lireà écrire ou à m'entraîner. L'entraînement allait peut être être inutile!