Titre : Undead
Auteurs : CryNienna et Dark Testament
Origine : Comte Cain
Warnings : Shonen ai, légèrement gore
Couples : Owl / Jezabel???/???
Disclaimer : Pas à nouuuuuuuuuuuuus !
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Italique pensées du perso
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Chapitre II : L'ange de la mort
Cela faisait près de dix minutes qu'elle suivait cet homme à travers les rues brumeuses de Londres. Silencieuse et rapide comme un félin, la créature nocturne l'avait pris en chasse à la descente d'un attelage et ne l'avait plus quitté d'une semelle. Vêtue entièrement de noir, elle se fondait dans l'ombre, attendant le moment propice où sa proie serait isolée des autres humains. A cet instant seulement, elle lui sauterait dessus pour s'en repaître.
La bête des ténèbres se faufilla rapidement dans l'étroite ruelle que l'homme qu'elle poursuivait calmement venait de prendre, sûrement pour rentrer chez lui. Quel inconscient... Il allait bientôt regretter de ne pas avoir plutôt suivi la rue principale.
Elle accéléra le pas pour ne pas perdre de vue sa proie. Mais dans sa précipitation, elle pilla dans une flaque d'eau. Sans attendre, elle se tapit derrière une poubelle. Nul doute que ce bruit avait attiré l'attention de l'homme.
Enveloppé dans le manteau sombre de la nuit, le passant accéléra le pas. Il ne savait pas pourquoi, mais quelque chose en lui le poussait à regagner rapidement son foyer. Son coeur battait à vive allure, et son instinct lui disait qu'il valait mieux ne pas trop errer dans les ruelles ce soir. Londres était une ville entourée de violence, et de mystères... Et lorsque le voile nocturne s'abattait, les ombres pouvaient devenir menaçantes.
La pluie tombait drue sur le pavé, le fouettant de ses larmes translucides. Au milieu du clapotis infernal de la pluie, l'homme cru percevoir un léger bruit de pas. Puis vint un bruit, plus marqué, comme si quelqu'un venait de marcher dans une flaque. Il se retourna vivement pour faire face à un éventuel poursuivant et ne trouva qu'une allée vide.
Personne, si ce n'est un chat noir traversant la rue rapidement, apeuré par l'averse. L'homme resta un instant immobile, avant d'hausser les épaules et de reprendre sa route.
Ce voyage l'avait décidément bien fatigué. Il n'avait plus qu'une hâte : retrouver sa petite fille et sa femme ainsi que la douce chaleur de son foyer... Il faisait si froid dehors... et ce brouillard qui commençait à se lever...
Non, il vallait mieux ne pas traîner !
Déjà, il pouvait apercevoir la lueur pâle de sa demeure. Plus que trois pâtés de maisons.
Quelque pas, et il serait chez lui, en sécurité.
Quelques pas, et il aurait quitté cette ruelle sordide et mal éclairée..
Juste, quelque pas...
La créature de l'ombre lâcha un soupir à peine audible. Elle avait eu chaud. Sa proie avait failli la voir. Reprenant sa chasse d'un pas plus hâtif encore, la bête savait que si elle ne voulait pas louper son repas, elle devait le rattraper avant qu'il ne puisse se mettre hors de sa portée.
Elle accéléra encore sa course, de plus en plus rapide jusqu'à finalement fondre sur sa proie. Elle leva une main munie d'ongles semblables à des griffes et l'abattit sur son futur dîner, l'envoyant contre le mur le plus proche.
Elle lécha avec délectation le sang présent sur ses doigts en ne quittant pas des yeux la marque profonde qu'il avait faite à l'épaule de l'homme.
Le petit jeu du chat et de la souris prenait fin.
Le chat avait gagné et il avait faim.
Un frisson, ce fut tout ce que l'homme eut le temps de ressentir avant d'être percuté par un coup violent. Rapidement, il essaya d'esquiver les attaques de son adversaire, mais sa cause était déjà perdue. Cette chose masquée par l'ombre qui lui faisait face était bien trop vive et agile pour lui. Un coup le fit chuter au sol. Il entendit quelque chose se briser sur le pavé.
L'homme, effrayé, tenta de ramper en direction des ruelles plus fréquentées, hurlant de peur, appelant déséspérément à l'aide ces silhouettes qu'il savait juste de l'autre côté de ces bâtisses sombres. La créature se rapprochait et personne ne venait. Et au fond de son coeur, l'homme savait à présent que personne ne viendrait. Ses dernières pensées furent les paroles de sa petite fille.
"Tu sais papa, à l'école on a lu une histoire étrange... ça parlait d'un chat noir.. il parrait que ça porte malheur..."
L'homme ferma les yeux, tentant déséspérement de lutter contre cette ombre noire qui allait sûrement lui ôter la vie.
Alors, il allait mourir là, à quelques mètres de sa maison et de la rue principale de Londres, sans que personne ne réagisse ?
Quel dommage, lui qui avait rapporter une poupée en porcelaine pour sa petite Elisabeth... Il aurait tant aimé la voir sourire devant son jouet... D'ailleurs, maintenant qu'il y pensait, ce bruit de verre sur le pavé, n'etait-ce pas le visage fin de la poupée se brisant en morceaux ?
L'homme se retourna alors vers son agresseur et resta un instant pétrifié de terreur et de surprise. A la faible lueur du reverbère, il put deviner le visage d'un ange... Oui, un ange de la mort...
L'ange lui saisit la gorge et l'arracha d'un coup sec. Il recrâcha le morceau de chair avant d'enfouir à nouveau sa tête dans le cou de sa victime. Ses canines pointues vinrent s'accrocher à la plaie sanguignolante, forçant l'homme qui se débattait de plus en plus faiblement à rester en place le temps qu'il se nourrise de ce doux nectar carmin au goût légerement cuivré.
Le souffle de sa proie se fit plus rare puis disparut finalement.
Ses bras retombèrent mollement au sol.
Le corps qui se débattait ne résista plus.
C'était terminé.
La Mort venait de l'emporter.
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Le soleil avait déjà bien entammé sa course lorsque le comte de la famille Hargreaves se décida enfin à quitter son bain, aidé par son majordome. Ce dernier se chargea de le sécher avec application, se faisant presque caressant. S'il ne le connaissait pas, il jurerait que Riff en profitait pour le tripoter. Les mains de son majordome se faisaient si douces, plus entreprenantes lorsqu'elles approchaient de certaines parties de son corps.
Se faisait-il des idées ou est-ce que l'ex-étudiant en médecine était réellement intéressé par lui ? Il pouvait se poser la question, surtout que ces gestes plus insistants étaient apparus récemment, depuis que le comte avait atteint sa dix-huitième année.
Soupirant légèrement de bien-être, Cain se laissa faire, car même s'il s'imaginait sûrement certaines choses concernant Riff, cela n'empêchait pas que c'était agréable.
De son côté, Riff ne pouvait s'empêcher de caresser la peau laiteuse du comte. Elle lui donnait cette aspect fragile qui procurrait au majordome une irrésistible envie de le prendre dans ses bras, pour le protéger. Ces gestes qu'il avait fait cent fois lui devenaient de plus en plus douloureux. Caresser ce corps si fin, effleurer ses cheveux ébènes... il ne pouvait s'empêcher désormais de s'attarder sur les courbes parfaites de cette silhouette frémissant encore du froid contact de l'air sur sa peau mouillée.
Dire qu'il l'avait connu tout juste adolescent ! Il avait vu le corps du petit garçon se changer en un magnifique jeune homme, bourreau des coeurs...
Combien de fois avait-il surpris Cain en compagnie de jeunes filles de la hautes société ?
Combien de fois avait-il désirait de toute ses forces être à leur place, l'étreignant et l'embrassant à volonté, ne serait-ce que pour une nuit ?
Mais Riff devait se contenter de ces quelques séances d'habillage où il pouvait contempler dans la semi-obscurité son maître...
Toute sa vie durant, il devrait se contenter d'être le fantôme qui hante ses pas. Toute sa vie durant, il devrait se contenter de serrer seulement un songe dans ses bras. Riff n'en pouvait plus...
"Riff ? Tout va bien ? " s'enquit le comte en baissant les yeux vers le majordome occupé à boutonner sa chemise.
Riff leva la tête, l'air légèrement troublé par la question.
"Bien sûr, my Lord... Aurai-je fait quelque chose qui mérite votre inquiétude ? "
"Hum.. à vrai dire, rien mais... tu as l'air préoccupé, alors... " Il se tut brusquement avant de lâcher un léger soupir. "Non rien... Laisse tomber... "
"Ne vous faites pas de soucis pour moi my Lord, je vais bien... " souffla l'employé de maison, un petit sourire jouant sur ses lèvres alors qu'il se concentrait de nouveau sur sa tache.
"... je l'espère... tu as l'air si triste... " lâcha le jeune maître, plus pour pour lui-même.
Riff releva la tête, surpris que Cain ait remarqué sa tristesse.
"Hé bien my Lord... je dois avouer que je suis quelque peu préoccupé... " commença-t-il. "Mais ce n'est rien d'important. " s'empressa-t-il d'ajouter. "En tous cas, cela ne mérite pas votre intérêt... " finit-il en se relevant après avoir habillé le jeune homme. "Puis-je faire quelque chose d'autres pour vous my Lord ? " demanda-t-il en ne quittant pas son maître des yeux.
"Oui, tu pourrais me lire les dernières nouvelles ? " fut sa réponse. Il se dirigea vers la fenêtre de sa chambre puis s'installa sur le bord pour regarder dehors.
Riff prit le journal et commença sa lecture d'une voix posée.
"Alors, nous avons en première page... La visite d'un représentant français en Angleterre... Un article sur l'exposition universel et une photo d'un meutre, qui a lieu lieu hier soir à... " Il écarquilla les yeux, surpris. "... étrange ! Cet incident à eu lieu non loin d'ici... à deux rue du manoir... "
"Ah ? Et alors, ce n'est pas si rare les meurtres dans les environs... " fit Cain, pas tellement intéressé par cette histoire.
"En effet... mais les circonstances sont plus qu'originales : il a été retrouvé vidé de son sang, la gorge arrachée... Un meurtre particulièrement violent... La victime est Mr Owen... Vous devez vous rappelez de cet homme, nous sommes allés à une réception chez lui, il y a peu... "
Cain se détourna de la fenêtre aussitôt.
"Vidé de son sang dis-tu ? Ca ressemble beaucoup à du vampirisme... mais avec une gorge arrachée, ça pourrait aussi être l'oeuvre d'une bête sauvage égarrée dans Londres... "
"Oui, en effet my lord... Ce meurtre est d'une rare barbarie... et puis, qui aurait pu en vouloir à Mr Owen, un homme calme, sans aucun ennemi connu et ne possédant pas une grosse fortune... "
"Hum... c'est étrange... " souffla le comte en quittant le rebord de la fenêtre. "Je veux voir où ça s'est produit... Cette histoire est trop bizarre pour n'être qu'un meurtre banal... Non il y a sûrement autre chose derrière... "
"My Lord... " commença Riff inquiet. "Ce n'est sans doute qu'une bête, vous ne devriez pas encore prendre des risques inutiles... "
Mais Cain ne l'entendait pas de cette oreille.
"Y a-t-il d'autres détails sur ce "meurtre" dans l'article ? "
Le majordome soupira légèrement.
"Hum... pas grand chose... Le lieu, le nom, des précisions larmoyantes sur sa famille et d'autres détails sanglants sur son crime... Mais rien d'intéressant... Un article à sensation, rien de plus... "
"Bien... Dans ce cas, allons jeter un oeil sur les lieux du crime. "
"My Lord, je vous en conjure, ce ne sont pas là des occupations qui conviennent à un homme de votre condition ! Ne vaudrait-il pas mieux laisser la police gérer cette affaire ? " s'empressa de dire Riff, trés inquiet à l'idée de voir son maître partir encore se mêler d'histoires pas possibles.
"... Riff, j'irai là bas, que tu viennes ou non ! " lâcha le comte en se dirigeant vers la porte. "Cette histoire est vraiment trop étrange et je veux savoir de quoi il retourne ! "
Comprenant que son lord ne changerait pas d'avis, Riff décida de le suivre. Il préférait être avec lui afin de le protéger en cas d'éventuels dangers, plutôt que loin de lui.
"Veuillez me pardonner my Lord, je ne cherchai pas à vous donner des ordres... Je souhaitais seulement vous conseiller, aussi, si vous le permettez, j'aimerais bien vous accompagner... "
"Bien sûr, allons y Riff ! " fit Cain, victorieux.
Un petit sourire amusé apparut sur les lèvres du majordome. Son maître était tellement puéril quand il le voulait.
"Bien, my Lord ! "
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Or et vermeille... ses sens étaient perdus pas ces couleurs chatoyantes qui emplissaient ses yeux, accompagnées du doux parfum du sang et de sa peau... Doucement, Owl avança une main tremblante vers son doux visage, dont il dessina les contours sans oser le toucher... Son ange dormait paisiblement, son esprit, tel un enfant béni, errant dans le jardin de Dieu, tandis que son corps las et sali s'accrochait déséspérément à l'enfer de cette terre...
Quand pourrait-il tu enfin déployer ses ailes souillées de sang, cet ange, afin de s'envoler vers cet Eden perdu qui n'attend plus que lui ?
L'albinos laissa un instant son regard tendre suivre les fines lignes du corps endormi près de lui. Il passa une main sur ses yeux aussi vermeilles que le sang qui maculait les cheveux blonds cendrés de Jezabel. La fatigue et les pleurs qu'il retenait avaient même rougi le contours de ses yeux...
Des jours qu'il le cherchait...
Des jours, qu'il ne dormait plus...
Avec un sourire empli de mélancolie et de déséspoir, Owl écarta doucement les mèches blondes, dégageant ainsi le cou et la poitrine du jeune homme endormi...
Aucun doute n'était désormais permis à ses yeux : Jezabel n'était pas humain... Il ne l'avait même jamais été... Il était bien au dessus, de ces futiles marionnettes s'agitant en vain, attendant le jour où leur fils seraient coupés...
Seul lui avait compris la misère de cette vie...
Seul lui avait perçu la noirceur des hommes...
Seul lui avait trouvé le courage de couper lui même ces chaînes qui le retenaient et l'obligeaient à danser dans cette mascarade grotesque qu'est la vie...
Et sur la scène de son existence, il avait souhaité baisser le rideau avant la fin du dernier acte... Mais il avait été rappelé par ce public ingrat, ne laissant pas à l'artiste le temps d'enfin se reposer...
Et le voilà qui danse à nouveau dans cet opéra macabre, répétant cette valse surnoise avec la mort qui l'entraîne irrévocablement vers la fin... et vers sa mort sur scène...
Et quelque part, dans la grande salle qu'était Londres, un petit violoniste du parterre avait vu cet ange déchu danser... et désormais, il ne pouvait l'oublier...
Jezabel soupira dans son sommeil et Owl sourit tristement. Si 'la mort' endormie se réveillait, deignerait-elle le prendre dans ses bras pour lui permettre de se reposer et d'oublier ainsi cet océan de douleur dans lequel il s'était à jamais noyé ?
Owl n'en doutait pas. Si Jezabel venait à interrompre ses rêves et à reprendre conscience, il le tuerait... Et enfin, le musicien serait libre.. Il avait presque envie de lui forçer la main...
Tout serait peut-être mieux ainsi...
Mais il n'était pas venu pour ça...
Avec lenteur, il sortit un petit poingnard de son long manteau noir. Les larmes plein les yeux, il fit un instant jouer la lumière de la lune sur la lame étincellante, qui allait bientôt se recouvrir de cette odeur cuivrée et de ce rouge éclatant...
Dire que le sang qui coulait dans les veines de cet ange n'était même plus le sien, mais celui de ses victimes ! Décidement, le monstre lui avait tout pris...
Ce fut cette idée qui permit à Owl de placer le poignard sur la poitrine de Jezabel. Et c'est ce visage endormi qui le conduisit à caresser de la pointe aiguisée de l'arme la peau tendre de son cou...
L'image de la mort endormie se brisa un instant dans les yeux humides du fou. Il éteignit les rubis de son regard, fermant ses paupières, afin de trouver en lui le courage de transpercer d'un coup sec le coeur du chérubin inconscient...
Mais l'image parfaite de cette beauté souillée ne quittait pas ses souvenirs...
Owl abaissa l'arme dans un éclair blanc.
La pointe toucha l'endroit où le coeur devait se trouver...
Mais jamais, elle ne put transpercer son amure de chair et de beauté...
Les yeux grands ouverts, Owl regardait le visage de celui qu'il aimait. Des petites perles salées s'échappaient librement de ses yeux. Il ne pouvait plus les retenir.
Il resta ainsi un moment.
Pauvre ange perdu ! Il était trop égoiste pour le tuer... Car c'était dans sa vie, même artificielle, qu'il trouvait le courage d'exister...
Alors, il n'avait pas eu la force de le plonger dans le sommeil éternel...
Alors... il n'avait pas pu...
Owl s'écroula lamentablement sur le sol, lâchant son arme, le corps secoué de sanglots hystériques... Puis, il ramassa le poingnard et s'assit non loin de la silhouette endormie, séchant ses yeux en attendant son reveil...
Car il n'avait pas le courage de la sortir de cette fuite onirique...
Toute joie semblait s'être désormais envolée de son regard. Il se tourna vers l'ange endormi, et avec un sourire imprégné définitivement de mélancolie et de souffrance, il lui murmura, tendrement :
"Vole petit ange, vole encore un peu... car je ne peux t'offrir plus que tes songes éphémères comme uniques cieux étoilés... "
Fin du chapitre II
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Jezabel : Et voilà un second chapitre qui se termine
Darky : Maintenant, passons...
Jezabel et Darky : AUX REVIEEEEEEEWS !
Jezabel : Et avant de commencer... tu pourrais me dire où sont Owl et Nienna ?
Darky : NINIIIIIIIIIIIIIII ! OOOOOOOOWL !
Nienna et Owl : d'abord, on commence par Sae
Darky : les vala
Jezabel : Donc, Sae...
Nienna :merci pour la review ! contente que la fic te plaise !
Darky : c'est vrai que le couple Owl/Jeza se trouve pas souvent cela dit... la prochaine fois, évite de pourchasser Owl et Jez avec la tronçonneuse ;p
Jezabel : j'en fais encore des cauchemars TT
Nienna /tenant un Owl tremblant dans ses bras/ tu me l'as traumatisé!
Darky : gros poutous et /tout bas/ la prochaine fois utilise plutôt un fusil
Nienna : gros bisous Sae ! et encore merci pour la review !
Jezabel : La suivante est de Nelja...
Darky : Hello miss, alors pour te répondre, je ne faisais référence à rien quand j'ai écris que "la mort aime tout le monde", ça m'est venu comme ça
Nienna : bonjour Nelja ! Je suis trés contente de te retrouver sur cette fic également ! J'espère qu'elle te plaira ! Pour la longueur, on sait pas encore ! lol ! Enfin, p'tre que Darky a une idée ?
Darky : On verra bien
Jezabel /soupire/ tu changeras jamais... -.-
Nienna : merci pour te review Nelja et bisous!
Darky : Bisous !
Jezabel : ensuite nous avons Loreilaï Yuy
Nienna et Owl : bijourrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!
Darky et Jezabel : Helloooooooooooooooooooooooooooo !
Darky : Bah ct couru d'avance pour la résurrection de Jeza, Alexis est un gros sadique fini !
Nienna : quand à notre style, je suis contente qu'il soit fluide ! mais c'est vrai qu'on fait une bonne équipe /serre Darky par l'épaule avec un sourire idiot/
Owl : dis plutot que c'est Darky qui se tape tout le travail.. /ricane/
Jezabel /se marre itou/
Darky : je te donne la permission de les étrangler si tu en as envie ma Nini adorée...
Nienna /poursuit Jezabel avec un couteau tandis que le corps de owl gît par terre/ merci Darkyyyyyyyyyyyyyyyyyyy !
Darky : ... j'avais dit "étrangler"...
Nienna : oups... sur ceux, gros bisous Loreilaï et merci !
Darky : kiiiiiiiiss ma Lilai !
Jezabel : et enfin miss j'aime-pas-les-doc-psycho-aux-cheveux-blonds-cendrés
Darky : agru ?
Jezabel : Alo-chan quoi lol
Darky : Aaaaaaah ! Hello ma ch'tite Aloueeeeeeeeette !
Nienna : bizourrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr!
Darky : Euh nan, on est pas les enfants de Victor Hugo, désolé de te décevoir...
Jezabel : lui, c'est le fils de la grande faucheuse et d'un démon mi-elfe anonyme... et elle euh... j'en sais rien
Nienna : ben moi non plus figure toi! ah! si! mais trop compliqué à expliquer, j'y comprends rien moi-même!
Owl : comme si tu pouvait comprendre quelque chose!
Darky : Owl, t'es gentil avec Nini / plus bas/ ou elle va encore te trucider
Jezabel : sinon, c'est vrai que même si tu me déteste, tu es infiniment plus sympa avec moi qu'un certain demi-elfe de ma connaissance... /zieute méchamment Darky/
Darky : méeuh
Nienna : c'est vrai que t'y va fort avec p'tit Jez !
Darky : ... /boude/
Nienna : mais on t'aime Darkounetttttttttttttttt/embrasse Darky sur la joue/
Owl : quand à ta question, je pense pas que les alouettes portent malheur... enfin j'espère pas ! c'est un privilège réservé aux chouettes et aux corbeaux !
Darky : supersition à 2 balles, les corbeaux ça porte bonheur
Owl /boude dans son coin/
Darky : j'ai pas dit qu'les chouettes portaient malheur my love /caline Owl et se bouffe un magnifique death glare par Nienna/
Nienna : Darkyyyyyyyy... tu lâches tout de suite...
Owl : mais pourquoi je porte pas malheurrrrrrrrrrrrrrrrr/pleure/
Darky : Oo;;; ... no comment
Jezabel : sur ce, à la prochaine... euh oui j'te fais pas d'bisou parceke... tu m'aimes paaaaaaaaaaas ToT
Darky : c'est reparti -.- /à Alo/ gros bisous l'alouette !
Nienna et Owl : gros gros bisous Alo ! et merci pour la review !
Jezabel : voilà, c'est tout pour ce chapitre-ci... Au prochain chapitre !
Darky : Bisous à tous !
