Disclamer : Je n'ai rien inventé, c'est mon imagination qui a tous créé. S'il y a un problème prenez vous en a elle…

Résumé : Harry rentre en septième année; il s'éloigne de Ron et Hermione tandis qu'il se prépare à combattre Voldemort .Amour, trahison, mort et suspens (en fin je l'espère)...

LE CHANT DU PHENIX

Chapitre 1: le dernier voyage

La fumée du train obscurcissait encore la gare, tandis qu'il filait au loin. Les rares personnes encore présentes étaient en pleine discussion. Le groupe hétéroclite attirait les regard inquisiteur des derniers parents, qui inquiet du sort de leur enfants au sein de Poudlard, les regardaient partir, espérant vite leur retour à Noël.

Certain membres de ce groupe étaient bien connue par la majorité de la population magique ; il avait entre autre le paranoïaque Maugrey Fol'œil, l'auror excentrique Tonks, ou bien Kingsley Shackelbot.

Leurs visages inquiet et propos murmurer n'indiquait rien de bon pour la situation du pays. Mais leur conversation avait pour sujet un autre problème hautement plus important pour les membres de l'ordre qu'ils étaient : la disparition d'un garçon au cheveux hirsutes. Et bien oui ! le Survivant, le grand et beau Harry Potter, comme l'appelait maintenant les journaux depuis un an, oui ! le vainqueur de Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcé-le-nom avait disparue.

Tonks, dont les cheveux changeaient constamment de couleur à cause de l'inquiétude, racontait encore pour la énième fois, à ceux qui n'étaient pas revenue au QG de l'ordre depuis 2 semaines, ce qu'elle avait vu. La conversation très risquée en ce lieu public, faisait à l'œil magique de Maugrey les cent tours espionnant les deux trois personnes encore présente dans la gare.

Tonks prit une voix grave et commença :

« Je ne sais pas si je dois vraiment vous dire ça car même moi je n'y crois pas trop… Cependant Harry a disparue et…C'est bizarre j'ai toujours la même appréhension avant de raconter cette histoire…

Bon tu te dépêche, tu l'a déjà raconté donc tu vois c'est pas insurmontable…

Aller je me lance »

Flash back : La nuit du 28 août.

La nuit sombre était zébrée par un orage d'été. A Little Whinging le vent balayait les arbres du parc, les faisait crisser, murmurer, hurler. La pluie détrempait les sols, la terre devenait boue, et dans les caniveaux de véritables torrents coulaient.

Un éclair illumine Privet Drive. Les habitants de la rue, cloîtrés derrière leur volet, regardaient tranquillement la télévision .Au 4 tout était calme, la journée avait été rude pour Vernon Dursley : la pluie, les embouteillages, la perte d'une grosse affaire, son terrible neveu qui n'arrêtait pas de lui tenir tête depuis que, lui, Vernon, son tuteur légal, ne pouvait plus rien lui dire à cause de cette bande de fou avec qui Harry était devenu ami ; c'est pourquoi toute la famille s'était couché plus tôt.

Un deuxième éclair. Un groupe de personne venaient d'apparaître au milieu de la rue. Les lampadaires s'éteignaient petit à petit, comme par magie. Le groupe s'avança vers le 4 Privet Drive. Par mis eu l'on pouvait reconnaître Tonks, Rémus et Maugrey. Une fois toutes les lumières éteintes, ils s'arrêtèrent devant la porte des Dursley, Tonks frappa deux coups légers à la porte.

Un troisième éclair et au grondement sourd du tonnerre les intrus avaient disparue.

A l'intérieur de la maison un jeune garçon aux cheveux hirsutes attendait les personnes qui devaient le sortir de l'enfer où il avait encore vécue ces mois d'été, enfin c'est ce qu'ils croyaient. Il était 22 heures et déjà on entendait distinctement le ronflement de Dudley, qui rivalisait avec celui de son père et même avec le tonnerre lui-même. Le temps passait lentement mais Harry ne s'en rendait pas compte, il était ailleurs. Son regard était fixé sur les aiguilles de l'horloge de la cuisine, la trotteuse cliquetait régulièrement ; chez n'importe qui d'autre cela aurait eu un effet soporifique mais durant ses vacances, après sa 5ème année, il avait eu le temps le temps de s'entraîner, en repensant inlassablement à la mort de son parrain, et a cette « foutue prophétie » qui allait lui pourrir la vie.

Il était maintenant 23 heures, l'heure a laquelle ses sauveurs devait normalement arriver, son esprit se reconnecta à son corps, 23H05 une mouche voleta devant ses yeux il la suivit du regard jusque vers la porte d'entrée sur la quelle elle se posa, d'un coup elle s'enfuit de bruit bref venait d'être frappé à la porte. Harry se leva, sortit sa baguette et d'un geste ample ouvrit la porte par laquelle les sorciers entrèrent, elle se referma doucement juste après leur passage.

Tonks, les cheveux noirs du à l'insistance de Fol'œil pour pas qu'elle se fasse trop remarquer, se dirigea vers le Survivant pour le serré dans ses bras, car une réelle amitié était née entre eux deux durant la 6ème année de Harry.

« Bonjour Harry !dit-elle d'un ton enjoué, j'espère que les Dursley non pas été trop terrible »

Le jeune home recula d'un pas, la jeune auror surprise s'arrêta net et s'inquiéta vivement :

« Quoi ! Qu'est ce qui se passe Harry, tu as un problème ? … réalisant sa gaffe elle se reprit…je veux dire…je suis désolé pour Ginny…

Ce n'est pas grave tu sais je m'y suis fait comme pour Sirius, comme pour Cédric, comme pour mes parents…il le faut bien la vie continue, et j'ai des choses importantes à faire.

Quoi qu'est ce que tu veux dire ? Quelles choses importantes ?

Ce que je veux dire c'est que je ne peux rester avec vous, d'ailleurs je ne suis pas vraiment avec vous.

Ce que je veux dire c'est que je ne suis qu'une illusion. Je suis sûr qu'Alastor pourra te le confirmer.

Oui c'est bien ce que je pensais, mon œil magique ne vois qu'une signature magique sans corps correspondant.

Bien, je savais que vous pouviez voir la différence, et je pense que maintenant je vais devoir montrer la preuve que je suis bien qui je prétends être.

Vous êtes très perspicace jeune inconnu, ironisa le paranoïaque.

Je suppose que vous voulez me poser une question que seul le vrai Harry connaît ?

Quel est le patronus d'Harry, dit précipitamment Rémus.

Ah non j'ai dit une question perspicace, depuis que Pettigrow à rejoint Voldemort (personne ne trembla dans le groupe, preuve de leur détermination a vaincre le seigneur des ténèbres) il doit savoir que mon patronus prend la forme de Cornedrue. Autre question… »

C'est Tonks qui reprit la première : « Maugrey je cois que tu sera d'accord que si je lui demande à quoi il pense lors ce qu'il crée son patronus cela devrai nous suffire pour prouver sa bonne foi.

Alors jeune homme ?

Vous ne pouvez répondre un jeune…qui êtes vous ? et où est Harry ? »

L'esprit de Harry fusait dans tous les sens pour trouver la réponse, car le problème c'est qu'il ne pensait jamais à la même chose à chaque patronus, cela dépendait de l'instant. Cette question le laissait totalement dépourvue car il s'attendait à tous sauf à ça. Il s'inquiétait que ce qu'il allait bientôt dire ne serait pas cru à cause de la réponse qu'il donnerait ; tandis qu'il cherchait mentalement un souvenir où il avait parlé de ça à Tonks.

« Attendez 10s…, dit-il précipitamment, voilà j'ai trouvé…

Alors , dirent les intrus à l'unisson

Et bien je pense à quand je suis avec Ginny…en fin pensait car je crains malheureusement que cela soit maintenant relié à un moment triste de ma vie ; et comme je n'ai pas refait de patronus depuis je ne puis vous dire à quoi je pense…répondit il le plus froidement possible.

C'est donc bien toi Harry, s'enthousiasma la jeune auror, mais pourquoi n'est tu pas là ? dit elle cette fois d'une voix plus soucieuse.

Et bien c'est tout simplement que j'ai des choses importantes à faire que je ne pouvais mettre en place en restant avec ces moldus rétrogrades

Vas-tu finir par nous dire ce que tu fais ? et où est ton corps par Merlin !

Mais cela vas de soi, je me prépare seul, comme toujours, à combattre Voldemort. »

Des petits cris d'exclamation retentirent dans le groupe. Des questions et des doutes apparaissaient de partout. Harry les fit stopper en y répondant d'une manière très énigmatique : « Je peux m'entraîner tranquillement dans un endroit où nul ne peut me trouver, et cela grâce à quelques sortilèges qui me permettent d'avoir autant de livres que je peux le souhaiter, vous savez la magie peut réserver des surprises même à ceux qui la pratique tous les jours. Donc sur ce, je dois m'en aller car ma tente est en train de prendre l'eau. Donc voilà c'était juste pour vous dire de ne pas vous inquiéter outre mesure pour moi… Ah et aussi je ne pense pas que je viendrais à Poudlard cette année… »

Laissant dans l'expectative les membres de l'ordre après de tel révélation, il disparus lentement, comme une brume est soufflé par le vent.

Fin du flash back.

Dans le groupe réunis à la gare ceux, pour lesquels le récit était nouveau, avaient la même expression béate que ceux présent ce jour là. Tonks continua alors le récit « Nous avons alors transplané au quartiers de l'ordre et nous avons alors raconté l'histoire à Dumbledore, qui a été aussi étonné que nous. Et depuis ce jour on essaye de le localiser en vain. Le directeur dit qu'il ne faut pas trop s'inquiété, et que d'après lui Harry est en sûreté.

Mais moi je crois plutôt qu'il a un problème parce que ne pas aller à Poudlard quand même c'est impensable, surtout que pour lui c'est comme une deuxième maison. Et puis je me demande comment il fait pour s'entraîner seul… »…

La conversation dura ainsi une petite heure avant qu'Alastor ne force le groupe à s'en aller.

Tandis qu'une épaisse fumée recouvrait encore les mystères d'Harry, ceux libéré en panache par le Poudlard express se dissipait vite, alors qu'il filait à une vitesse folle vers l'école de sorcellerie.

Pour leur dernier voyage à bord du train, Ron et Hermione, malgré l'inquiétude de ne pas savoir Harry avec eux, s'embrassait langoureusement dans le compartiment laissé vide par Neville qui était partir voir Sa Luna.

Le rouquin était assis au fond de la banquette, tandis qu'Hermione le chevauchait. Leurs lèvres s'entrechoquait pendant que leurs langues se cherchaient, se mêlaient au fond de leur bouche. Leurs mains se caressaient ; celle d'Hermione prenant les cheveux du jeune homme alors que celui-ci palpait la croupe de l'adolescente.

Sa main gauche remonta lentement le long de son dos, passa à son ventre au niveau des reins, pour enfin venir cueillir ses seins qui avaient maintenant atteint une taille de femme. Leurs baisers commencèrent à se faire plus passionnelles, leurs caresses devinrent plus érotiques. Une main dans la jupe de son amie, l'autre sous son pull entrain de malaxer son sein, Ron commençait à ressentir une excitation en dessous de la ceinture,là où Hermione avait placer sa main.

Alors que leurs « ébats » commençait à se faire plus érotique, la porte du compartiment s'ouvrit brusquement ; comme un seul homme le couple se leva. Ron, encore rouge d'avoir été pris dans une telle situation, regarda Neville entré avec Luna, les deux essoufflés. Ce fut Luna qui parla la première : « On a couru pour… vous prévenir… qu'a se qui parrait…Harry se trouve dans le train…dans le compartiment 19… » Luna n'eu pas le temps de finir sa phrase qu'Hermione était déjà partis en trombe dans le couloir. Les élèves racontèrent le soir qu'ils avaient, ce jour là, passer devant eux une furie brune.

Un autre où, un autre quand…

Seul dans une pièce sombre, Harry se morfondait sur sa vie. Ses parents morts, son parrain mort, ses amis morts, sur sa propre mort à venir de la main de Voldemort, car il en était sûre face à se monstre il ne pourrait pas tenir plus de 30s. Il était nu, allongé sur le sol dur. Il était resté prostré ainsi toute la semaine, sans mangé, en buvant le strict minimum.

La mort de Ginny l'obsédait… Il voyait son corps convulser, le visage de Malefoy père sourire avec un rictus maléfique, et lui soutenant Ginny avec ses mains, ne pouvant rien faire pour soulager la douleur de sa petite amie. Il était immobilisé par un puissant sort et sa baguette avait été détruite…Ron et Hermione avait eu de la chance ils avait été assommé avant que Ginny ne soit torturé. Ils n'avait eu leur salut qu'avec l'arrivé de Dumbledore et des aurors près du train, ce qui avait fuir les derniers mangemorts présents sur la carcasse du train détruite par ses assaillants. Harry n'avait pas été tué, ça il ne le savait pas, car Voldemort sûr de sa puissance avait demandé à ses fidèles de l'épargner, car il voulait lui-même le tuer…

Il n'en pouvait plus de supporter ses morts, il préférait mourir, mais il devait souffrir avant pour expier ses fautes. C'est pourquoi son corps était recouvert de cicatrice et de croûte de sang et sa peau noircie par la crasse qui le recouvrait.

Harry avait été minutieux dans sa destruction : il avait commencer par se laisser mourir de faim, il avait ensuite pris un couteau et avait commencé à se mutiler. Il avait commencé par se couper la peau au dessus de chacune de ses côtes, il avait souffert et il s'en était réjoui. Il portait maintenant de large cicatrice sur la cage thoracique. Voyant la douleur, il avait décidé de faire de même pour chacun de ses os, qui était maintenant chacun indiqué par des cicatrices et des croûtes. Il s'en était ensuite pris au nerf, méticuleusement il s'était ouvert son bras gauche, en évitant les gros vaisseaux sanguins, il avait trouvé un nerf qu'il s'était mis à triturer de la pointe de son couteau, la douleur était exquise. Mais pas encore au niveau de la douleur moral qu'il ressentait pour Ginny.

Il savait que s'il mourait, Voldemort réussirait à prendre le pouvoir, et que de nombreuses vies serait perdue par sa faute… mais finalement il s'en foutait, ils n'ont qu'a se débrouiller tous seul, il ne serait pas là éternellement pour leur dire d'agir, surtout après ce qu'ils lui avaient fait subir l'année d'avant.

Ce jour là, il en était sûr, ce serait le dernier jour de sa vie…il avait assez souffert et il pouvait s'en aller la conscience tranquille. Mais il ne voulait pas mourir paisiblement en se coupant les veines…Non il devait souffrir un dernière fois. Il étendit le bras pour attraper le couteau et dans un dernier effort se le planta 3 fois dans les poumons et dans le cœur…il souffrait comme il n'avait jamais eu mal, mais après cette semaine…La douleur indescriptible lui envahi le corps par soubresaut…il se mit à baver, son corps se cabra une dernière fois…de multiples pensées s'accaparèrent son esprit, dément par le manque d'oxygène…C'est alors que la mort vint prendre son corps qui flasque retomba dans un son mat…

(A suivre…)

Sadique moi ? Non…Si vous voulez avoir la suite laisser moi au moins 5 reviews please…Moi faire du chantage vous me prenez pour qui ?

Le prochain chapitre devrait s'appeler : TOM