NEKOTOPIA

Auteur : Sahad.

Note : Merci pour celles et ceux qui se sont donner la peine de me mettre des reviews sur cette partie de plagiat ! ^--^ Arigatôôôôôôôôôô !

Chapitre 6 :

« Hatsuharu ?

- . le petit garçon le regarda. Qui es-tu ? Comment connais-tu mon nom ?

- C'est moi, Akito, je viens te chercher pour te ramener chez nous. répondit l'intéressé avec beaucoup de tendresse.

- Tu mens ! s'exclama le petit. Akito est là ! »

Il désigna l'autre petit garçon de sa main, et effectivement, le brun se reconnut : c'était bel et bien lui, enfant.Le petit Akito était souriant, tout le contraire de l'idée qu'on se faisait du chef de la famille Sôma, le jeune Hatsuharu dévisageait les nouveaux venus avec méfiance, puis le petit brun le tira :

« On va jouer ?

- Oui ! »

Les deux petits garçons partirent en courant, suivis de près par les deux adolescents qui tentèrent de les rattrapés ; le petit Hatsuharu se retourna, l'air plus furieux que jamais, semblant protéger son ami de son corps :

« Vous allez dégager, connards !

- Il est sympa le petit. ! ironisa Subaru.

- C'est Black Haru. murmura le brun. Hatsuharu, viens, on doit rentrer. !

- Ferme ta gueule, ducon (Black est bien moins poli que White) ! Je fais ce que je veux ! Et puis d'abord, t'es qui pour venir m'emmerder, hein ?!

- Je te l'ai déjà dis. C'est moi, Akito. ! répondit le chef de clan.

- Menteur ! »

Le médium et son compagnon d'infortune étaient à présent entourés d'enfants qui ne semblaient pas si bienveillants que ça, cependant, Subaru tenta de raisonner le jeune fou furieux :

« Hatsuharu ! Si tu restes prisonnier de ton esprit, ton corps n'étant pas alimenté, tu finiras par périr ! Il faut revenir !

- Je veux pas ! Si je peux rester jouer avec Akito, je ne veux pas retourner dans la réalité ! protesta le gamin de vive voix.

- Haru. murmura le chef de la famille Sôma. Si tu ne reviens pas, tu sais que beaucoup de personnes vont être tristes ?

- Pff. Je ne pense pas que je leur manquerais plus que ça. grogna le petit avec une pointe de regret.

- Tu as pensé à Momiji ? Il pleurera beaucoup comme maintenant et sais-tu qu'il n'a plus sourit depuis que tu es ici ? Tu vas manquer à beaucoup de monde.

- Mais si je reviens. Akito va me gronder... murmura le garçon en agitant sa tignasse blanche.

- Non. répondit le brun avec un sourire. Mais il sera très triste si tu ne reviens pas. »

Prononçant ces paroles, l'adolescent tandis une main vers l'enfant avec un tendre sourire, Hatsuharu ne réagit d'abord pas, fixant la main comme s'il avait peur de se brûler à son contact, puis, petit à petit, l'image du petit Akito s'évapora alors que le garçon saisissait la main de son aîné ; il murmura d'une toute petite voix :

« C'est vrai alors ? Akito ne va pas me gronder ?

- Non, chibi. sourit le brun. Je ne te gronderais pas. »

Ils furent tous éblouis par un flash de lumière avant de rouvrir les yeux dans la chambre d'hôpital ; Subaru, y étant habitué, se mit debout aussitôt, alors que le chef du clan Sôma lançait un regard inquiet vers le garçon alongé. Celui-ci ouvrit les yeux à son tour, il regarda partout comme pour comprendre où il était puis il vit les treize (Tohru est là) têtes qui le regardaient, ce qui le fit sourire :

« Eh ben, tout le monde est là. Ça fait bizarre !

- Hatsuharuuuuuu !!! braillèrent Tohru et Momiji d'une même voix avant de se précipité à son chevet pour le prendre dans leur bras au risque de l'étouffer.

- Akito. murmura l'ex-comateux.

- Hm ?

- Je crois que je tourne pas rond, j'ai fait un drôle de rêve. »

Le médium et le chef de clan se regardèrent avant d'éclater de rire sous le regard surpris des autres Sôma : il était rare de voir Akito rire ainsi en public. Une infirmière arriva et leur demanda de sortir lorsqu'elle s'aperçut que le garçon avait reprit connaissance, mais avant de sortir de la pièce, Akito se retourna vers Hatsuharu et murmura :

« Ne t'inquiète pas, je ne te gronderais pas. »

Et il sortit, sentant le regard du b?uf dans son dos : effectivement, celui-ci avait de grands yeux surpris et commençait à se demander si son rêve n'était pas réel tout compte fait, mais ne voulant pas se compliquer la vie avec des questions sans réponses, il fit le vide dans son esprit en revoyant des images de son rêves, les paroles lui revinrent :

« Mais il sera très triste si tu ne reviens pas. »

Un sourire se dessina sur son visage et il laissa échapper un rire sous l'air effaré de l'infirmière qui commençait à se demander si le jeune garçon avait toute sa tête. Dans la salle d'attente, c'était les remerciements et les adieux à n'en plus finir :

« Merci Mr. Suméragi... murmura le chef Sôma. Je ne sais pas ce que nous aurions pu faire sans vous.

- Ne me remerciez pas ! lâcha le médium embarassé (toujours aussi timide). C'était tout naturel !

- Voici vos honoraires. lança le brun en lui tendant une grosse enveloppe. Il y a un petit surplus en remerciements.

- Mais. ! Mais je ne peux pas accepter, je. ! balbutia Subaru.

- Prenez. Vous risquez de les froisser. »

Disant cela, l'adolescent pointa un doigt derrière lui, montrant le reste de la famille Sôma qui le surveillait du regard. Ce n'était pas Momiji qui pouvait l'intimider, mais en revanche, Hatori était une autre histoire ; c'est ainsi que se séparèrent les Sôma et le médium, partant chacun vaguer à ses occupations : Ayamé, Hatori et Shiguré partirent vers la demeure du chien, Kagura et les autres vers la résidence principale des Sôma, quant à Kyô et Yuki, ils décidèrent de rester un peu plus pour tenir compagnie à Tohru et à leur chef de famille.

Ce ne fut que bien plus tard dans la journée qu'ils purent revoir leur cousin, celui-ci était assis dans une chaise roulante et sourit à leur arrivée :

« Comme j'ai fait une mauvaise chute, je dois garder le fauteuil au moins deux semaines. Ça m'énerve un peu car je pensait affronter l'autre con de chat mais.

- Qui t'appelles con de chat ?! beugla le rouquin.

- Calme-toi, Kyô-kun. ! murmura le rat avant de lui couper toute réplique par un baiser.

- Je dois aller rejoindre Kagura, je vous le confie ! lança Tohru avant de disparaître dans le couloir.

- Nous aussi, on voulait s'assurer que tout irait bien pour toi. ! » lâcha Yuki en entraînant son compagnon dehors pour vaguer à d'autres occupations plus personnelles.

Le b?uf se retrouvait donc seul avec le chef de clan, il le considéra quelques instants avant de rire sous le regard interrogateur du brun, ce ne fut qu'après avoir calmer un peu son fou-rire qu'il murmura :

« Tu ne vas pas me gronder, n'est-ce pas ?

- Je t'ai dis que non. répondit l'intéressé.

- Akito. Tu sais, pendant que j'étais dans le coma, j'ai eu le temps de réfléchir un peu. Approche, j'ai quelque chose à te dire, mais à toi seul, personne d'autre ne doit entendre. ! »

Le brun s'approcha jusqu'à être à la hauteur de Hatsuharu, celui-ci enlaça son chef de clan et déposa sur ses lèvres un chaste baiser, laissant le garçon interdit. Les joues du jeune lycéen prirent une couleur rosée, il eut un rire nerveux :

« Quand je ''dormais'', c'est toi qui m'es apparut. Et seulement toi. »

Il secoua ses cheveux blancs, ils tombaient ainsi sur son visage et cachaient ses yeux, car il ne pouvait regarder l'autre en face après ce qu'il venait de faire, ne sachant s'il avait bien fait ou non. Peut-être Akito allait-il s'énerver comme avec Hatori lors de sa relation avec Kana, mais à présent plus rien ne comptait vraiment : au moins, il n'aurait plus rien à regretter. Une main lui balaya les cheveux et lui releva le menton, il mit un peu de temps à réaliser que ces lèvres qui étaient collées aux siennes étaient celles du garçon qu'il aimait, celles qu'il avait tant attendues sans jamais oser les espérer vraiment ; ce qui ne l'empêcha pas à répondre à ce baiser qui devint plus profond, plus intense. Ce fut un ''BOM'' qui attira leur attention, l'infirmière s'était évanouie à cette vue, ce qui fit ricanner Hatsuharu :

« Pas d'pot, les beaux mecs sont déjà pris ! Heu. On s'éternise pas, ne ?

- Non, non, on y va ! »

Akito poussa le fauteuil vers la sorties, le jeune garçon qui secouait gaiement ses cheveux blancs décidait de faire vivre à son jeune chef de clan les premières joies d'un adolescent insouciant : n'ayant trouver une meilleure idée que de foncer comme un dératé dans la rue avec son fauteuil roulant, encourageant son comapgnon à aller toujours plus vite. Leurs rires fendirent l'air de la ville, baignant les gens d'une lumière invisible, faisant sourirent des passants, en faisant râler d'autres ; c'était la première fois qu'Akito se sentait aussi libre. Ils arrivèrent rapidement chez eux, des jérémiades attirèrent leur attention :

« Maheuuuuuuu j'ai dit que c'était pas ma fauteuh !!!!

- C'est pas une raison Momiji. Toi et Ayamé avez encore fait des conneries sans vous soucier des conséquences. grogna le médecin.

- Vous n'étiez pas chez Shiguré ? s'étonna le b?uf.

- Oh ! Notre grand malade ! s'exclama l'interpelé. Et bien non, figure-toi, nous avons décidé d'aller en ville avec Momiji et malheureusement, lui et Ayamé ont engagé une course-poursuite dans les rues. ! Momiji a heurté une fille, Ayamé tentant de lui cacher les yeux de sa main lui est rentré dedans et s'est transformé à son tour ! C'est hatori qui lui a effacé la mémoire en me confiant les deux bestiaux que j'ai fini par perdre et qu'on a retrouvé dans un bac de carotte et dans une cabine d'essayage d'un petit magasin !

- C'est tout ? ironisa Hatsuharu.

- Vi ! s'exclamèrent en c?ur le chien, le serpent et le lapin.

- A la niche. » grogna Hatori.

Au lieu de les réprimander ou même de s'inquiéter, Akito et le b?uf éclatèrent de rire. Peut-être auraient-ils dû y porter plus d'attention.

--- A SUIVRE !

Sahad : Encore un petit chapitre, je suis désolée mais en ce moment c'est la guerre ! Je risque d'être privée de mes fanfics adorées !!! T_T J'espère avoir beaucoup d'heures de perm grâce aux grève pour pouvoir les écrire au lycée ! gnéhéhéhé ! Enfin.

Kyô : Tu rêves !

Yuki : Je comprend pourquoi Alex de 1000 Sabords t'a écrit ''Bonne cure de désintoxication, ne t'inquiète pas, ça ne fait pas mal.'' ^--^

Sahad : Yuki.

Yuki : Oui ?

Sahad : Tu vas souffrir.

Yuki : uh-oh..

Kyô: **rit aux éclats**

Sahad : Mais toi aussi Kyô.

Kyô : **arrête instantanément de rire** EH ?!

Sahad : @+ ! Reviews, onegai shimasu !