Nekotopia
Auteur : Sahad.
Note : J'ai mis un peu de temps, désolée... Mais l'ordi a eu pas mal de problèmes... ^^' Alors je m'y remet un peu ! Bonne lecture !
Chapitre 10 :
Kyô et Yuki arrivèrent à l'hôpital, le souffle court, ils étaient endurants mais courir était tout de même fatigant, le chat s'avança vers la chambre de son compagnon, sa main s'arrêta pourtant sur la poignée :
« Yuki...
- Nani ? demanda le rat. Ne me dis pas que tu t'en fais encore pour ça... ! »
Le félin sourit maladroitment et poussa la porte, mais ses yeux s'agrandirent devant le spectacle qui se déroulait sous ses yeux : Kisa debout, une paire de ciseaux dans les mains, se tenant droite devant le corps de Hatsuharu, appuyé contre le mur, son ventre laissait échapper un filet de sang :
« Haru ! »
Le rouquin s'avança, mais à peine eut-il fait trois pas que la petite fille lui décrocha un splendide coup de pied, le garçon eut beau parer le coup, il était d'un telle puissance que le chat se retrouva dans le mur :
« Kyô ! » le rongeur tourna le regard vers la tigresse.
Celle-ci avait les yeux complètement vides de vie, aucune lumière ne s'y refflettait ni n'en emmanait, Yuki s'avança un peu : il était, depuis leur naissance, plus fort que Kyô, mais ce n'est pas pour autant que ça confiance en lui-même était au plus haut. La fillette fit un pas en avant, tentant de lui porter un coup de ciseaux que le rat esquiva habilement :
« Bon sang... ! C'est pas vrai... !
- Saloperie... ! grogna le chat en se désincrustant du mur. Cette force n'est pas normale... !
- Je crois que ce n'est pas la seule chose anormale ici... ! grimaça le garçon aux cheveux gris.
- Qu'est-ce que tu veux dire... ? lança le félin.
- Malgré le barouf... Personne n'est venu... lui fit remarquer le garçon.
- Tu c... ! »
Kyô n'eut pas le temps de finir sa phrase, un coup de la petite l'envoya rejoindre son compagnon contre le mur, le jeune garçon tourna avec difficulté la tête sur le côté :
« Haru... »
L'interpelé ne réagit pas, demeurant les yeux fermés et un maigre filet de sang s'échappant de sa bouche ; le rat attrapa son portable dans sa poche et composa aussi vite que possible le numéro de Hatori, mais la tigresse n'en restait pas là et se précipitait sur lui...
***
Hatori prit son portable dans la poche de son manteau et appuya sur une touche :
« Hatori à l'appareil...
/Hatori !/
- Yuki ? s'étonna le médecin.
/Vite ! Viens à l'hosto, Kisa est devenue AAAAAARGH !/
- Yuki ?! Yuki ?! s'écria le jeune homme.
-- Tuut... Tuut... Tuut... --
- Mince ! grogna-t-il. Shiguré ! A l'hôpital !
- Hai ! » répondit celui-ci.
Le chien démarra aussi vite que possible, conduisant aussi vite que le code de la route l'autorisait, le dragon quant à lui demeurait préoccupé : il espérait de tout c?ur que les adolescents allaient bien ! Arrivant devant l'hôpital, il s'aperçurent qu'aucun bruit suspect n'émanait de la chambre, Hatori, d'un geste, demanda à Shiguré de rester là où il était autrement dit à une dizaine de mètres de la porte. Lui, il alla jusqu'à la porte et se retourna vers le chien, lui parlant, ce dernier lui fit signe qu'il ne l'entendait pas : une zone de silence... Comment était- ce possible ?! Il ouvrit la porte de la chambre qu'il referma derrière lui, son sang ne fit qu'un tour lorsqu'il vit Yuki, ses habits ayant souffert, la petite Kisa s'apprétant à lui porter un coup dont il n'échapperait pas : le jeune homme se précipita, la neutralisant comme le petit Hiro.
« Merci Hatori... souffla le rat.
- Ça va ?! s'inquiéta le brun.
- Haru... ! »
Le médecin s'agenouilla près du jeune garçon en question, prenant son pouls, il soupira de soulagement : Hatsuharu était en vie. Il se tourna vers Kyô et lui sourit pour le tranquiliser, celui-ci reporta son attention sur son amant, serrant sa main dans la sienne...
Hatori sortit et appela le chien qui cette fois-ci l'entendit, il interpela également les médecins qui se trouvaient dans le coin ; Shiguré prit la fillette dans ses bras et l'amena dans la voiture où Hiro était encore inconscient. Kyô se retrouva donc à guetter derrière une vitre les médecin examiner le patient, une main dans son dos le réconforta : Yuki comprenait à quel point c'était dur...
« Pourquoi... ? murmura le chat. Il n'a pas mérité tout ça...
- Kyô... souffla le rat. On doit trouver celui qui a fait ça, il n'y a pas d'autre solution, il faut savoir pourquoi il s'acharne sur nous !
- Comment va-t-il ? »
Le sduex garçonsse retournèrent et découvrirent Akito, essouflé, qui avait été appelé par l'écrivain, le félin déglutit : le chef de la famille Sôma n'était pas au courant des relations qu'il entretanait avec Haru, ni qu'il avait rompu avec Yuki... Le rongeur sentait l'anxiété de son ancien compagnon, lui aussi redoutait la réaction d'Akito : allait-il bien le prendre ? Et si ce n'était pas le cas, jusqu'où irait-il ? Mais il n'eut pas longtemps à attendre car un bruit sonore leur parvint de la salle : les médecins s'affairait et l'écran de pulsation était traversé d'une ligne verte fluo parfaitement droite...
« Haruuu !!!! le rouquin se jeta sur la porte, celle-ci refusait de s'ouvrir, il tambourina. Haruuuuuuu !!! Haruuuu !!! »
Yuki appela le chat mais en vain : Kyô n'écoutait plus rien, pleurant, hurlant et frappant cette porte qui se tenait entre lui et son amant ; un infirmier tenta de calmer le félin mais c'était sans compter la force de celui-ci. Il repoussa violemment l'homme et c ontinua de frapper cette porte qui ne cédait pas ; Akito regardait avec surprise le désarroi du garçon, comprenant clairement que le b?uf était plus qu'un simple ami ou cousin pour lui, mais contre toute attente de sa part, il ne sentit aucune colère gronder en lui, seulement un profond sentiment de tristesse et de pitié envers le rouquin qui laissait à présent des traces carmines sur la porte à force de la taper de ses poings. Le dragon demanda à ce qu'il puisse entrer, la permission lui fut accordée grâce à son statut de médecin, il alla donc au chevet du jeune garçon et l'examina quelques secondes puis il lui fit des électrochocs : un premier coup, Hatsuharu ne réagit pas, un deuxième, toujours aucun résultat... Yuki retenait tant bien que mal son cousin roux pour que celui-ci ne se fasse pas plus mal, mais cela ne l'empêchait pas de hurler le nom de celui qu'il aimait, pleurant sans cesse.
Pourtant au quatrième coup d'électrochoc, la ligne lumineuse reprit son rythm en même temps que le c?ur, le dragon lâcha un soupir de soulagement, les yeux du b?uf se rouvrirent :
« Ça fait mal ton truc, Hatori...
- Content de te retrouver parmis nous... sourit le dragon. Je pense que quelqu'un sera heureux de te revoir... »
Il fit signe aux médecins qui laissèrent entrer la furie rousse qui alla à la rencontre de son compagnon :
« Haru !!
- Kyô ! sourit l'intéressé.
- J'ai eu si peur pour toi ! Si peur de te perdre ! »
Le rouquin ne se retint paspour embrasser son amant, le jeune ''voyou irrécupérable'' répondit avec joie à cet élan d'amour, il passa ses bras autour du cou du chat, approfondissant leur baiser. Yuki porta ses yeux gris sur le chef de la famille Sôma, celui-ci demeurait interdit, observantseulement les deux garçons échanger câlins et baisers sans ce préoccuper des médecins et des infirmières qui regardaient la scène, elles trouvaient ça mignon, eux se contentaient de rougir. Le b?uf grogna, ce qui inquiéta son compagnon :
« Haru ?
- J'ai mal au bide... ! grimaça l'interpelé.
- C'est normal... murmura le félin. Mais maintenant, j'aimerais que tu reviennes rapidement... Je sais pas, tu pourrais venir à la maison, non ? Tu dois absolument rester ici ?
- Je crois... lança le voyou d'un air grognon. J'aimerais sortir...
- Tu peux... Je pense que ta jambe t'empêchera de faire des folies... intervint le dragon. Et pas seulement ta jambe... »
Les deux adolescents rougirent à cette remarque, puis Haru aperçu Akito, il en eut le souffle coupé... Le jeune garçon avait dû assister à toute la scène remplie d'amour des deux tourtereaux ; il ne soutint d'ailleurs pas longtemps son regard et détourna le sien. Kyô remarqua l'embarras de son compagnon et se retourna, faisant face au chef de la famille qui se trouvait derrière la vitre...
« Tu veux que j'aille lui parler ? proposa-t-il.
- Je devrais le faire... répondit l'autre en passant une main dans ses cheveux argentés.
- T'es pas en état ! répliqua le rouquin. Je vais lui parler. »
Ne pouvant pas protester davantage, le b?uf ne put qu'acquiescer d'un signe de tête, le chat sortit donc de la pièce, faisant face à Akito, un silence pesant planait lorsque le félin se décida enfin de le briser :
« Akito... Je sais qu'on aurait dû le dire avant mais... Je... J'avais peur de la réaction que tu pourrais avoir...
- Ça fait combien de temps ? le coupa le garçon aux cheveux d'ébène.
- Heu... Pas si longtemps que ça... répondit le chat. C'est depuis la nuit que j'ai passé ici... A le veiller... »
Le silence retomba, les yeux carmins de Kyô n'osaient pas s'écarter ne serait-ce que d'un millimètre des pupilles de son chef de famille, redoutant sa réponse... Puis, à la plus grande surprise des Sôma présents, le garçon se détourna :
« Akito ?! s'exclama le chat.
- Fais ce que tu veux, neko... rétorqua l'interpelé. Mais je te préviens, je t'ai permis une erreur avec Yuki... Ne me déçois pas, c'est ta dernière chance... »
Le rouquin resta interdit, tout comme les autres, le rat principalement, celui-ci emboîta le pas à son chef de famille, arrivant à sa hauteur, il lâcha :
« Tu n'acceptes pas en manigançant quelque chose, n'est-ce pas ?
- Non, ne t'inquiète donc pas... souffla le jeune garçon. Je ne suis pas tellement contre... Je comptais justement dire à haru que je n'étais plus très sûr de notre relation... Mais on dirait qu'il n'a pas eu besoin de m'attendre...
- Ça fait mal ? repris le rongeur.
- Moins qu'à toi, je pense... »
--- A SUIVRE !!!
Sahad : Raaaaaah !
Haru : Nani ?
Sahad : je crois que le prochain chapitre ne viendra pas tout de suite...
Kyô : Pourquoi ?
Sahad : parce que je suis en panne sèche d'idées...
Momiji : Yoh ! Les lecteurs ! Toutes les propositions sont les bienvenues !!!
Sahad : Hai ! Allez ! @+ tout le monde !
Auteur : Sahad.
Note : J'ai mis un peu de temps, désolée... Mais l'ordi a eu pas mal de problèmes... ^^' Alors je m'y remet un peu ! Bonne lecture !
Chapitre 10 :
Kyô et Yuki arrivèrent à l'hôpital, le souffle court, ils étaient endurants mais courir était tout de même fatigant, le chat s'avança vers la chambre de son compagnon, sa main s'arrêta pourtant sur la poignée :
« Yuki...
- Nani ? demanda le rat. Ne me dis pas que tu t'en fais encore pour ça... ! »
Le félin sourit maladroitment et poussa la porte, mais ses yeux s'agrandirent devant le spectacle qui se déroulait sous ses yeux : Kisa debout, une paire de ciseaux dans les mains, se tenant droite devant le corps de Hatsuharu, appuyé contre le mur, son ventre laissait échapper un filet de sang :
« Haru ! »
Le rouquin s'avança, mais à peine eut-il fait trois pas que la petite fille lui décrocha un splendide coup de pied, le garçon eut beau parer le coup, il était d'un telle puissance que le chat se retrouva dans le mur :
« Kyô ! » le rongeur tourna le regard vers la tigresse.
Celle-ci avait les yeux complètement vides de vie, aucune lumière ne s'y refflettait ni n'en emmanait, Yuki s'avança un peu : il était, depuis leur naissance, plus fort que Kyô, mais ce n'est pas pour autant que ça confiance en lui-même était au plus haut. La fillette fit un pas en avant, tentant de lui porter un coup de ciseaux que le rat esquiva habilement :
« Bon sang... ! C'est pas vrai... !
- Saloperie... ! grogna le chat en se désincrustant du mur. Cette force n'est pas normale... !
- Je crois que ce n'est pas la seule chose anormale ici... ! grimaça le garçon aux cheveux gris.
- Qu'est-ce que tu veux dire... ? lança le félin.
- Malgré le barouf... Personne n'est venu... lui fit remarquer le garçon.
- Tu c... ! »
Kyô n'eut pas le temps de finir sa phrase, un coup de la petite l'envoya rejoindre son compagnon contre le mur, le jeune garçon tourna avec difficulté la tête sur le côté :
« Haru... »
L'interpelé ne réagit pas, demeurant les yeux fermés et un maigre filet de sang s'échappant de sa bouche ; le rat attrapa son portable dans sa poche et composa aussi vite que possible le numéro de Hatori, mais la tigresse n'en restait pas là et se précipitait sur lui...
***
Hatori prit son portable dans la poche de son manteau et appuya sur une touche :
« Hatori à l'appareil...
/Hatori !/
- Yuki ? s'étonna le médecin.
/Vite ! Viens à l'hosto, Kisa est devenue AAAAAARGH !/
- Yuki ?! Yuki ?! s'écria le jeune homme.
-- Tuut... Tuut... Tuut... --
- Mince ! grogna-t-il. Shiguré ! A l'hôpital !
- Hai ! » répondit celui-ci.
Le chien démarra aussi vite que possible, conduisant aussi vite que le code de la route l'autorisait, le dragon quant à lui demeurait préoccupé : il espérait de tout c?ur que les adolescents allaient bien ! Arrivant devant l'hôpital, il s'aperçurent qu'aucun bruit suspect n'émanait de la chambre, Hatori, d'un geste, demanda à Shiguré de rester là où il était autrement dit à une dizaine de mètres de la porte. Lui, il alla jusqu'à la porte et se retourna vers le chien, lui parlant, ce dernier lui fit signe qu'il ne l'entendait pas : une zone de silence... Comment était- ce possible ?! Il ouvrit la porte de la chambre qu'il referma derrière lui, son sang ne fit qu'un tour lorsqu'il vit Yuki, ses habits ayant souffert, la petite Kisa s'apprétant à lui porter un coup dont il n'échapperait pas : le jeune homme se précipita, la neutralisant comme le petit Hiro.
« Merci Hatori... souffla le rat.
- Ça va ?! s'inquiéta le brun.
- Haru... ! »
Le médecin s'agenouilla près du jeune garçon en question, prenant son pouls, il soupira de soulagement : Hatsuharu était en vie. Il se tourna vers Kyô et lui sourit pour le tranquiliser, celui-ci reporta son attention sur son amant, serrant sa main dans la sienne...
Hatori sortit et appela le chien qui cette fois-ci l'entendit, il interpela également les médecins qui se trouvaient dans le coin ; Shiguré prit la fillette dans ses bras et l'amena dans la voiture où Hiro était encore inconscient. Kyô se retrouva donc à guetter derrière une vitre les médecin examiner le patient, une main dans son dos le réconforta : Yuki comprenait à quel point c'était dur...
« Pourquoi... ? murmura le chat. Il n'a pas mérité tout ça...
- Kyô... souffla le rat. On doit trouver celui qui a fait ça, il n'y a pas d'autre solution, il faut savoir pourquoi il s'acharne sur nous !
- Comment va-t-il ? »
Le sduex garçonsse retournèrent et découvrirent Akito, essouflé, qui avait été appelé par l'écrivain, le félin déglutit : le chef de la famille Sôma n'était pas au courant des relations qu'il entretanait avec Haru, ni qu'il avait rompu avec Yuki... Le rongeur sentait l'anxiété de son ancien compagnon, lui aussi redoutait la réaction d'Akito : allait-il bien le prendre ? Et si ce n'était pas le cas, jusqu'où irait-il ? Mais il n'eut pas longtemps à attendre car un bruit sonore leur parvint de la salle : les médecins s'affairait et l'écran de pulsation était traversé d'une ligne verte fluo parfaitement droite...
« Haruuu !!!! le rouquin se jeta sur la porte, celle-ci refusait de s'ouvrir, il tambourina. Haruuuuuuu !!! Haruuuu !!! »
Yuki appela le chat mais en vain : Kyô n'écoutait plus rien, pleurant, hurlant et frappant cette porte qui se tenait entre lui et son amant ; un infirmier tenta de calmer le félin mais c'était sans compter la force de celui-ci. Il repoussa violemment l'homme et c ontinua de frapper cette porte qui ne cédait pas ; Akito regardait avec surprise le désarroi du garçon, comprenant clairement que le b?uf était plus qu'un simple ami ou cousin pour lui, mais contre toute attente de sa part, il ne sentit aucune colère gronder en lui, seulement un profond sentiment de tristesse et de pitié envers le rouquin qui laissait à présent des traces carmines sur la porte à force de la taper de ses poings. Le dragon demanda à ce qu'il puisse entrer, la permission lui fut accordée grâce à son statut de médecin, il alla donc au chevet du jeune garçon et l'examina quelques secondes puis il lui fit des électrochocs : un premier coup, Hatsuharu ne réagit pas, un deuxième, toujours aucun résultat... Yuki retenait tant bien que mal son cousin roux pour que celui-ci ne se fasse pas plus mal, mais cela ne l'empêchait pas de hurler le nom de celui qu'il aimait, pleurant sans cesse.
Pourtant au quatrième coup d'électrochoc, la ligne lumineuse reprit son rythm en même temps que le c?ur, le dragon lâcha un soupir de soulagement, les yeux du b?uf se rouvrirent :
« Ça fait mal ton truc, Hatori...
- Content de te retrouver parmis nous... sourit le dragon. Je pense que quelqu'un sera heureux de te revoir... »
Il fit signe aux médecins qui laissèrent entrer la furie rousse qui alla à la rencontre de son compagnon :
« Haru !!
- Kyô ! sourit l'intéressé.
- J'ai eu si peur pour toi ! Si peur de te perdre ! »
Le rouquin ne se retint paspour embrasser son amant, le jeune ''voyou irrécupérable'' répondit avec joie à cet élan d'amour, il passa ses bras autour du cou du chat, approfondissant leur baiser. Yuki porta ses yeux gris sur le chef de la famille Sôma, celui-ci demeurait interdit, observantseulement les deux garçons échanger câlins et baisers sans ce préoccuper des médecins et des infirmières qui regardaient la scène, elles trouvaient ça mignon, eux se contentaient de rougir. Le b?uf grogna, ce qui inquiéta son compagnon :
« Haru ?
- J'ai mal au bide... ! grimaça l'interpelé.
- C'est normal... murmura le félin. Mais maintenant, j'aimerais que tu reviennes rapidement... Je sais pas, tu pourrais venir à la maison, non ? Tu dois absolument rester ici ?
- Je crois... lança le voyou d'un air grognon. J'aimerais sortir...
- Tu peux... Je pense que ta jambe t'empêchera de faire des folies... intervint le dragon. Et pas seulement ta jambe... »
Les deux adolescents rougirent à cette remarque, puis Haru aperçu Akito, il en eut le souffle coupé... Le jeune garçon avait dû assister à toute la scène remplie d'amour des deux tourtereaux ; il ne soutint d'ailleurs pas longtemps son regard et détourna le sien. Kyô remarqua l'embarras de son compagnon et se retourna, faisant face au chef de la famille qui se trouvait derrière la vitre...
« Tu veux que j'aille lui parler ? proposa-t-il.
- Je devrais le faire... répondit l'autre en passant une main dans ses cheveux argentés.
- T'es pas en état ! répliqua le rouquin. Je vais lui parler. »
Ne pouvant pas protester davantage, le b?uf ne put qu'acquiescer d'un signe de tête, le chat sortit donc de la pièce, faisant face à Akito, un silence pesant planait lorsque le félin se décida enfin de le briser :
« Akito... Je sais qu'on aurait dû le dire avant mais... Je... J'avais peur de la réaction que tu pourrais avoir...
- Ça fait combien de temps ? le coupa le garçon aux cheveux d'ébène.
- Heu... Pas si longtemps que ça... répondit le chat. C'est depuis la nuit que j'ai passé ici... A le veiller... »
Le silence retomba, les yeux carmins de Kyô n'osaient pas s'écarter ne serait-ce que d'un millimètre des pupilles de son chef de famille, redoutant sa réponse... Puis, à la plus grande surprise des Sôma présents, le garçon se détourna :
« Akito ?! s'exclama le chat.
- Fais ce que tu veux, neko... rétorqua l'interpelé. Mais je te préviens, je t'ai permis une erreur avec Yuki... Ne me déçois pas, c'est ta dernière chance... »
Le rouquin resta interdit, tout comme les autres, le rat principalement, celui-ci emboîta le pas à son chef de famille, arrivant à sa hauteur, il lâcha :
« Tu n'acceptes pas en manigançant quelque chose, n'est-ce pas ?
- Non, ne t'inquiète donc pas... souffla le jeune garçon. Je ne suis pas tellement contre... Je comptais justement dire à haru que je n'étais plus très sûr de notre relation... Mais on dirait qu'il n'a pas eu besoin de m'attendre...
- Ça fait mal ? repris le rongeur.
- Moins qu'à toi, je pense... »
--- A SUIVRE !!!
Sahad : Raaaaaah !
Haru : Nani ?
Sahad : je crois que le prochain chapitre ne viendra pas tout de suite...
Kyô : Pourquoi ?
Sahad : parce que je suis en panne sèche d'idées...
Momiji : Yoh ! Les lecteurs ! Toutes les propositions sont les bienvenues !!!
Sahad : Hai ! Allez ! @+ tout le monde !
