Chapitre 7

Cela faisait maintenant 1/2 heures que Hermione faisait ses devoirs, enfin du moins elle essayait, car son esprit était beaucoup trop embrouillé pour travailler. Pourquoi avait-elle été attirée par Malefoy hier soir ?Elle ne put approfondir sa réflexion qu'un bruit sourd l'a sortie de ses rêveries, elle leva la tête et vit Malfoy qui venait de rentrer de son déjeuner, il se laissa tomber sur le canapé avec toute la grâce d'un phacochère. Elle le fixait toujours de son bureau, il dut le remarquer car il se retourna et lui fit face.

- Je suis tellement beau que tu ne peux plus décoller ton regard de moi ?

- Non...Je me demandais juste comment tu faisais pour être aussi...

- Beau ? Oh c'est naturel

- J'allais dire vaniteux...

Il lui sourit de soin habituel sourire en coin, se leva et s'approcha lentement d'elle puis se plaça derrière elle, il lui enleva les cheveux pour dégager sa nuque. Il inspira le parfum de la jeune fille, elle sentait vraiment bon la mure. Il laissa courir ses doigts le long du cou de la jeune fille, elle frissonna sous ses caresses.

- Pourquoi tu refuses de me le dire ?

- Quoi donc ?

- Que je te plais !

Elle se leva brusquement et lui fit face en s'énervant.

- Oh c'est pas possible, ce que tu peux être puéril.

Elle ne lui laissa pas le temps de répliquer qu'elle s'en alla de la salle commune. Il sourit de satisfaction, elle s'était importer, elle n'avait pas répondu à son sarcasme, il en était sure a présent, il ne l'a laissait pas indifférente. Sur cette pensée il alla dans sa chambre.

La journée passa très vite pour Hermione, le fait d'avoir été à la bibliothèque y été peut être pour quelque chose...Apres avoir mangé et dit bonne nuit à ses amis Hermione se dirigea dans ses appartements, elle était épuisée et elle avait un mal de tête horrible qui ne voulait pas passer. Elle enleva sa cape et la déposa sur le canapé, monta dans sa chambre et se déshabilla pour se coucher, elle se vêtit de sa chemise de nuit et alla dans la salle de bain pour se coiffer, elle pris sa brosse et attacha ses cheveux avec une pince, elle se demandait pourquoi Malfoy n'était pas descendu dîner, elle s'en fichait mais c'était plutôt par curiosité qu'elle voulait savoir, elle se mordit le lèvre inférieur et après une longue hésitation, elle poussa lentement la porte de la chambre de Drago.

- Malfoy ?

Personne ne répondit. Elle entra sur la pointe des pieds, le coeur battant, la chambre lui faisait froid dans le dos, contrairement à la sienne celle ci était de couleurs froides, « assez triste » pensa t'elle .Elle vit Malfoy entrain d'écrire sur son bureau, quelques mèches de cheveux retombant sur son visage, il avait l'air de s'appliquer sur ce qu'il était entrain d'écrire, il sentit une présence et leva la tête d'un seul coup ce qu'il la fit sursauter

- Qu'est ce que tu veux Granger ?

- Et bien je voulais juste savoir si tu allais bien, je ne t'ai pas vu au dîner.

- Et ça t'a inquiété peut être ?

- Non dit 'elle simplement sans méchanceté dans la voix. Ca ma étonné, tu es sure que ça va, Pansy m'a demandé plusieurs fois ou tu était...

- Bien sure que ça va, pourquoi ça n'irait pas ?

- Je te retourne la question.

- je n'avais pas faim c'est tout, rassure toi je vais parfaitement bien.

- Tu as une mine affreuse en tout cas...

Pourquoi avait-elle dit ça ? Mais quelle idiote elle était !

Mais dit-moi, tu ne serais pas un petit peu sourde ? Je t'ai dit que ça allait parfaitement bien ! Je n'avais pas faim, voilà tout ! Tu es plus idiote que Parkinson ma parole !

C'est vrai qu'elle idiote je suis, c'est vrai tu as tout à fait raison, excuse moi je dois avoir perdu l'esprit, c'est vrai comment une personne normale pourrai s'intéresser à un être aussi immonde, horrible, une vrai pourriture telle que toi, mais il y' à une petite fissure dans le joli discours que tu viens de me faire c'est que même si tu avait un problème, tu ne pourrai te retourner vers personne, car tu vois les gens comme toi Malfoy n'ont aucun amis, il reste et resteront seul toutes leur vie, car oui tu es peut être entouré mais c'est gens ne sont autour de toi simplement à cause de ton nom et de ton argent, alors excuse la pauvre petite personne que je suis d'avoir pu s'intéresser à une personne comme toi.

Elle commença à faire demi tour mais il fut plus rapide, à peine eu t'elle le temps de mettre sa main sur la poignet que la main de Malfoy s'abatis sur la porte pour l'empêcher de sortir.

Tu vas t'excuser tout de suite ! Tu ne peux pas me parler comme ça.

Oh, j'avais oublier de quelle grandeur tu étais...

Un hiboux grand duc frappa à al fenêtre. Malefoy voulu reporter son attention sur Hermione quand il reconnut soudain l'écriture froide de son père. Il ouvrit la fenêtre, oubliant toute présence dans la pièce, prit la lettre et commença à la lire. Ses yeux sautaient d'une ligne à l'autre, ses yeux s'assombrissant de plus en plus. A la fin de la lettre, une seule et unique larme coula sur sa joue. Il releva sa tête et s'apperçut soudain de la présence d'Hermione. Il lacha de suite la lettre et fit comme si de rien était.

Mon courier ne te regarde pas Granger.

Je ne l'ai pas lu, à ce que je sache.

Attention Granger, à trop jouer avec le feu, on se brûle.

J'aimerais bien savoir où est la flamme qui est scencé me brûler.

Tu sais que je pourrais te faire des choses que tu regretterais immédiatement. Alors fais attention.

Il cherchait à l'énerver. Elle le savait. Et alors qu'il cherchait le meilleur moyen de l'énerver (ce qu'il trouva de suite) elle choisi de se prendre au jeu.

Très bien, fais de moi ce que tu veux.

Son sourire narquois s'agrandit sur son visage, il commença à sentir ses mains devenir moites et sentit qu'il commençait à perdre le contrôle de lui même et sentit le désir de la prendre l'envahir, il regarda les lèvres d'Hermione avec désir, elle était la devant lui, son corps collé contre le sien pourtant il n'osa pas bouger. Il l'a regarda dans les yeux et fut surpris de découvrir le désir dans ses yeux, il compris enfin qu'elle se laisserai faire si il l'embrassait. D'un geste vif, il attrapa les lèvres d' Hermione avec les siennes, il l'embrassa avec une telle fougue, comme si l'embrasser était quelque chose de vital, il trouva la langue d'Hermione, et tout deux échangèrent un torride baiser. La pièce froide auparavant, diffusait maintenant une chaleur insupportable, étouffante. Il passa sa main dans le dos de Hermione et l'a sentit se cambrer sous le flot de ses caresses, son autre main remontant la cuisse de celle ci pour finir sous sa chemise de nuit en soie de couleur prune. Hermione, elle, passa sa main derrière les cheveux de Drago comme pour approfondir cette étreinte passionnante, le baiser était d'une fougue si puissante, chacun ressentait la passion que l'autre éprouvait.

Puis, il comprit. Il aimait Granger. Non... C'était impossible. Pas elle... Mais si. Elle était magnifique.

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Attention Granger, à trop jouer avec le feu, on se brûle.

J'aimerais bien savoir où est la flamme qui est scencé me brûler.

Tu sais que je pourrais te faire des choses que tu regretterais immédiatement. Alors fais attention.

Il cherchait à l'énerver. Elle le savait. Et alors qu'il cherchait le meilleur moyen de l'énerver (ce qu'il trouva de suite) elle choisi de se prendre au jeu.

Très bien, fais de moi ce que tu veux.

Son sourire narquois s'agrandit sur son visage, il commença à sentir ses mains devenir moites et sentit qu'il commençait à perdre le contrôle de lui même et sentit le désir de la prendre l'envahir, il regarda les lèvres d'Hermione avec désir, elle était la devant lui, son corps collé contre le sien pourtant il n'osa pas bouger. Il l'a regarda dans les yeux et fut surpris de découvrir le désir dans ses yeux, il compris enfin qu'elle se laisserai faire si il l'embrassait. D'un geste vif, il attrapa les lèvres d' Hermione avec les siennes, il l'embrassa avec une telle fougue, comme si l'embrasser était quelque chose de vital, il trouva la langue d'Hermione, et tout deux échangèrent un torride baiser. La pièce froide auparavant, diffusait maintenant une chaleur insupportable, étouffante. Il passa sa main dans le dos de Hermione et l'a sentit se cambrer sous le flot de ses caresses, son autre main remontant la cuisse de celle ci pour finir sous sa chemise de nuit en soie de couleur prune. Hermione, elle, passa sa main derrière les cheveux de Drago comme pour approfondir cette étreinte passionnante, le baiser était d'une fougue si puissante, chacun ressentait la passion que l'autre éprouvait.

Puis, elle comprit. Elle aimait Malefoy. Non... C'était impossible. Pas lui... Mais si. Il était magnifique.