Auteur : Alita 19

Dislaimer : les personnages appartiennent à JK Rowling.

Rating R

Pairing HP/DM

Note de l'auteur : Je suis de retour ! Bon, je sais, je vous ai pas manqué tant que ca mais moi ! vous m'avez manqué à moi ! bon bon bon voilà que je recommence avec mes délire à deux balles… grand sourire Ba voilà jvous laiss lire et vous demandez ce que ca vaut mdr heu juste petite précision, je demande un grand pardon a Rowling mai pansy aura les yx bleu un point c tou ! nan mai ! jfai ske jveu dabor mdr désolée bon ba voilà c tou o fait oubliez pa mes tites review re grand sourire

PS : Je suis de retour mais g perdu le fil des fics ke jecrivais donc le début sera un peu cahotique aussi bien dans le fond que dans la forme je vous présente mes excuses

Titre : Je suis à elle

Fin du chapitre précédent : Deux yeux bleu clair suivirent ses mouvements.

Arrête de m'observer comme ça, Granger. C'est indécent.

Chapitre 3 : Juste ce grand mur devant moi

Mais rien de nouveau. Le débat intérieur qui s'était déroulé en elle quelques jours sur le cas « Pansy Parkinson » s'était évanoui aussi vite qu'il était né en elle. Quelques jours et rien de plus. Aucun regard, pas même un changement de comportement finalement. Pansy Parkinson, la peste de l'école réputée de sorcellerie Poudlard était de retour.

Et elle était sortie de l'esprit de Hermione qui avait continué à remplir ses journées de pensées intellectuelles sur les plantes vertes de Madame Chourave, sur les soupes visqueuses de Rogue, sur les tours de passe-passe du professeur Mac Gonagall. Il n'y avait rien de plus important.

Son père lui avait envoyée une lettre quelques jours plutôt en lui disant qu'il partait en voyage un mois entier et qu'il tenait à ce qu'elle lui téléphone au moindre problème. Mais Hermione savait autant que son père qu'elle ne l'appellerait pas. Ne pas embêter son père avec ses histoires, ne déranger personne pour elle, ne pas ennuyer ses camarades, ses professeurs, et pas même son père. Se faire oublier. Peut-être même qu'elle pourrait s'enfermer dans une salle de classe abandonnée et rester là jusqu'à ce que la vie elle aussi l'oubli.

Mais l'impossible restait l'impossible. Et elle aura beau se dire le contraire, elle savait parfaitement que quelques personnes au moins tenaient à elle.

Elle descendit ce soir là dans la salle commune après que tout le monde se soit coucher et endormis, plongés dans leurs rêves plus ou moins beaux, mais toujours reposant. La salle était plongée dans l'ombre, des faisceaux de douces lumières d'un rouge étouffé semblaient glisser sur le sol, sur les murs, s'étendant sur le canapé.

Mais ce soir là et pour la première fois, elle poussa un soupir et remonta se coucher. Elle ne voulait plus penser, elle ne voulait plus être au calme, elle ne voulait plus se poser là et voir Harry rentrer comme un voleur vers deux heures du matin. Elle ne voulait plus se reposer. Si elle se tournait et se retournait dans son lit entre ses draps rêches, si elle se fatiguait à bouger, si elle ne trouvait pas le sérénité qu'elle trouvait la nuit dans la salle commune, et bien c'était tant pis. Elle ferait tout comme les autres et si elle n'arrivait pas à suivre elle marcherait le plus loin possible et petit à petit les perdrait tous de vue. Ils iraient plus vite qu'elle, ils courraient sur ce chemin un peu trop long pour elle et ils la laisseraient s'écrouler sur le bord du chemin et se sera tant mieux.

Ne plus garder ce doux équilibre qu'elle avait trouvé. Il voulait revenir sur le chemin que tous empruntaient et s'il ne lui convenait pas et bien c'est qu'elle n'était pas faite pour vivre, tout simplement.

Hermione sourit en se plongeant dans ses draps : les pensées morbides ne la quitteraient donc jamais ?

Comme elle s'y attendait, la nuit fut horrible d'efforts, d'essoufflements à tenter de s'endormir. Et lorsque le matin elle alla se regarder dans le miroir de la salle de bain elle poussa un grognement. Elle était affreuse.

Plus je te vois et mieux je comprends pourquoi tu es seule.

Les mots avaient été tranchant et dégoûtant de vérité, dégoulinant la réalité. Quelques mots qui traduisaient tout ce qu'était Hermione. Seule. Juste seule. Seule depuis la mort de sa mère, depuis l'éloignement explicite de son père, seule depuis qu'elle aimerait être ailleurs. Ailleurs…

Elle ne su pourquoi, elle ne su comment, mais son visage se déforma soudain dans la glace et son poing se serra vivement pour alla s'écraser violemment sur le miroir en même temps qu'un puissant cri, d'abord de rage puis de douleur, s'élevait dans la petite salle et se répercutait sur les murs de tous les appartements des griffondors, s'épanouissait gravement, douloureusement dans l'air opaque des pièces remplies de jeunes sorciers à l'air hagard.

Et tout s'accéléra. Elle s'écroula a genoux sur le sol où le sang s'écoulait lentement, juste deux petits sillons morbides, les filles entrèrent brusquement dans la salle, Madame Pomfresh fut rapidement prévenue. L'infirmière due la supporter elle-même jusqu'à l'infirmerie car personne n'osait approcher Hermione. La détresse fait peur aux plus courageux. Maladie qui excluaient ceux qu'elle infectait.

Elle fut soignée immédiatement, pu ressortir de l'infirmerie une demi-heure plus tard avec seulement quelques égratignures au visage que lui avaient fait les éclats de verre et remonta au dortoir des griffondors chercher ses affaires de cours.

Son visage était devenu soudain dur. Elle n'avait pas retrouvée la volonté de se sortir de cette impasse. Elle ne s'était pas dite qu'elle réussirait à surmonter le mur qui se dressait devant elle. Mais elle le regardait comme elle aurait regardé la mort, droit dans les yeux, sans sourciller, sans peur ni remord.

Trente minutes et un regard décidé.

Elle commençait la journée par un cours avec les serpentards en potion. Lorsqu'elle arriva, les élèves étaient déjà entrés. Le couloir était vide. Elle s'aperçue qu'elle avait dix minutes de retard. Elle frappa à la porte et entra. Le regard sévère de Rogue ne se fit pas attendre. Vingt points en moins pour les griffondors et les regards sadiques de la maison ennemie de la sienne. Une place libre dans le fond de la salle et un regard bleu qui suivit ses gestes.

Indécente. Une sévérité qui ne lui va pas du tout à cette miss je-sais-tout.

Hermione ne se sentait pas bien. Ses petites cicatrices qui vrillaient son visage semblaient attirer tous les regards. Tous ?

Hermione tourna la tête vers Pansy Parkinson, mais elle s'aperçu qu'elle ne la regardait pas. Ou peut-être qu'elle venait tout juste de détourner les yeux… Quoi qu'il en soit, cela n'avait aucune importance. Et le cours repris sans plus aucune pensée autre que pour la potion de reflet qu'ils étudiaient aujourd'hui.

Mais Pansy se passait la main dans les cheveux d'un geste nerveux. Il fallait absolument qu'elle parle à Séverus après le cours. Elle avait pris une décision qui influerait sur le cours prochain des évènements.

Elle attendit alors que tous sortent de la salle et se dirigea vers le bureau de son professeur.

« Je le ferais, Séverus, vous pourrez lui dire qu'il aura bientôt sa réponse… »

Mais le regard de Rogue l'arrêta soudain et elle se retourna vivement pour remarquer qu'Hermione était debout devant sa chaise, un livre à la main, le geste pour le ranger dans son sac figé. Une fraction de seconde les gêna toutes les deux et la jeune brune se dépêcha de finir de ranger ses affaires fébrilement et se glissa en dehors de la salle avec un « Au revoir, professeur » à peine audible.

Pourtant, elle n'avait fait que quelques mètres dans le couloir des cachots qu'elle entendit un bruit de pas rapide derrière elle. Elle n'eu pas le temps de se retourner qu'une main agrippa légèrement son bras.

« Toi, la petite fille sage, tu dis un mot de ce que tu as entendu à qui que ce soit et tu es morte. »

Hermione ferma son visage – ce qu'elle ne savait faire que depuis le matin même – et lui répondit d'un ton amer.

« Il faudrait que je discute avec des gens pour que je leur raconte quelque chose. Et morte, je suis déjà bien pire que ça. »

Pansy lâcha soudainement le bras de la jeune fille qui reprit son chemin, las. Son cœur battait à tout rompre, ses mains tremblaient et elle devait agripper sa robe de sorcier pour le cacher, elle sentait en elle comme une peur soudaine.

Mais elle continua à marcher et rien ne trahissait son malaise.

Pendant ce temps, Pansy le regardait s'éloigner, comme Hermione l'avait fait une semaine plus tôt au même endroit. Ses joues étaient légèrement rouges sans qu'elle ne sache pourquoi.

Voilà bon bon je sais c cours mais c le temps que je my remette. C pas super super mais laissez moi du temps svp (heu mai continuez qan mm à lire heijn mdr) bye a la prochaine !

Et oubliez pas les reviews ! (sourire angélique)