Auteur : Alita 19
Dislaimer : les personnages appartiennent à JK Rowling.
Rating R
Pairing HP/DM
Lowen: ba oui en fait c t un ti defis que mavait jeté vega264 mai en fait jy ai pri gou jlm bien ce peti yuri solitaire mdrrr ba en tou cas merci pour a review ca ma fait plaisir surtou ke là vou etes pa bocuo a lire la fic lol quand au fait que ce soit psychologique ba heu en fait je croi ke toutes mes fics soin plus ou moins psy jtrouve kon compren mieu les personnages comme ca voilà ba merci bocou bocou et continu à me laisser des review nan pasqe si tarrete jorai plus bocou dencouragement pour cette fic.
haryherron: ptdrr toi t tro impatiente! atten un peu pansy ne va pa tu de suite se rendre compte que la jolie brune lui fai kk chose qan mm sinon se serai pa drole et yaurai plus rienà raconter mdrrr. Tiens tu sai pa koi? je croi ke kan jorai fini ce yuri jen ferai un autre! ba uoi jpensai ke jaimerai pa le faire mai en fait jm assez bon bien sur je vai pa laisser mon ti couple blond/brun (HPDM o cas où mdr ) mai v prendre un peu de mon temps pour faire voyager hermione avec différentes fille bon ba vilà merci bocu pour ta review ca ma fai plaisir de voir ke ya d gen ki lise ce yuri (un peu seul dans sa catégorie d'ailleur lol) bye!
vega264: merciiiiiii!tu sai, kan g lu ta review g doucement rigolé mdrrr ba oui elle va se prendre une grande gifle dans sa tete atten franchement tu pensai vraimen ke jallai suporter ongtemps le caractère de chouineuse dermione! mdrrrrr ba merci merci merci pour la review je sai ke si plus personne ne li ce yuri yora au moin toi mdr voikà voilà bisous et jte di au prochain chap (de toi ou de moi lol) bisous
Note de l'auteur : Heu bon je croi ke je dois des excuses… Première excuse : ne pas avoir rep à vos reviews du chap 2 mais jvoulait absolument vous mettre un chap hier. Deuxième excuse : à tous les adeptes des belles histoires où tou commence bien et où tou fini bien ba heu souffrez ! mdrr nan mai en fait jvoulai mexcuser d'adorer faire soufrir herm. Je sai pa pk elle minspire toute la douleur féminine à elle seule. Pour ceux qui ont lu Le désespoir du soir vous aurez compris lol bon promis là je ne vais pas la faire mourir mais bon fo bien kelle pleur un peu nan ? (tirage de langue en bone et due forme lol)
Titre : Je suis à elle
Fin du chapitre précédent : Pendant ce temps, Pansy la regardait s'éloigner, comme Hermione l'avait fait une semaine plus tôt au même endroit. Ses joues étaient légèrement rouges sans qu'elle ne sache pourquoi.
Chapitre 4 : Je vois ta blessure
Hermione s'écroula sur son lit sous les yeux compatissants de ses camarades de chambre. Elle aurait voulu pouvoir être ailleurs, s'éloigner de ce château le plus vite possible, apercevoir derrière la fenêtre un cheval qui l'attendrait dans le parc, qui attendrait qu'elle le rejoigne, qui attendrait pour l'emmener loin de cette vie. Mais elle gardait les yeux fixés sur le plafond, comme pour se retenir d'aller voir si le cheval n'était réellement pas dans le parc.
Elle serra soudain les poings en pensant à Pansy.
Quelle idiote, cette fille. Pour qui est-ce qu'elle se prend ?
Et pourtant, il fallait bien se rendre à l'évidence : rien n'avait déplu à Hermione dans les gestes de la jeune blonde. Elle avait voulu que la blonde la retienne par le bras, et c'est ce qu'elle avait fait.
Elle ricana sous les regards septiques des griffondors. Alors comme ça elle avait voulue que Pansy Parkinson, la serpentarde la plus futile du siècle, la retienne de force… Elle avait vraiment besoin d'aller voir un psy. Ou de se trouver un ami le plus vite possible. Parce que si maintenant elle se rabattait sur les idiots de l'école, ça devenait grave.
Hermione s'endormit sans qu'elle n'ait eu le temps de se coucher. Elle n'entendit pas les trois jeunes filles discuter à voix basse sur le sort de cette trop jeune femme.
Le lendemain, Hermione ne se sentait pas trop mal. La nuit n'avait pas été agitée et elle se réveilla en même temps que les autres. Pourtant, sa main effleura le cahier qu'elle cachait sous son oreiller. Elle pensa à toutes les pensées qu'elle avait inscrites sur ces pages blanches qui attendaient de pouvoir s'abreuver de l'encre qu'elle leur offrait. Et elle repensa à sa mère, à sa mort, une mort des plus atroces, elle repensa qu'elle ne pourrait jamais en parler avec quiconque.
Elle se rappella qu'elle avait voulu en parler à ses amis, qu'elle avait voulu de l'aide des êtres qu'elle aimait le plus au monde. Mais ils avaient pris la fuite : en quelques jours, ils avaient pris leur distance. Ils avaient sentis qu'elle avait décidé de leur en parler, et ils étaient partis.
Hermione se leva soudain. Ah, non ! Elle n'avait aucun regret. Elle n'avait pas le temps d'avoir des regrets. Il fallait qu'elle travaille maintenant ! Et elle s'activa, se dépêcha même pour aller manger. Surtout, ne pas penser. Surtout, ne pas laisser des images s'emparer de son esprit. Surtout… Et Hermione marchait vite, elle se faufilait dans les couloirs, comme pressée d'aller dans un endroit précis… Et l'endroit précis n'existait pas. Elle n'allait nulle part. Elle essayait de se convaincre qu'elle allait quelque part, et elle réussissait. Mais le but était invisible, inexistant, le but était du vide. Juste du vide. Rien. Seule…
Des heures durant, elle eu l'énergie de faire croire à tous, à elle, que sa vie, aujourd'hui, était remplie.
Jusqu'à ce qu'elle entre dans une salle vide. Elle s'arrêta sur le pas de la porte et regarda à l'intérieur, les yeux hagards, étonnée. Elle ne se rappelait pas ce qu'elle devait faire ici. Elle revint vite sur terre, elle s'écrasa sur le sol dur de la vérité, se fit mal, tellement mal. Et elle se tenait debout, là, les mains ballantes, sans rien à faire pour la première fois depuis qu'elle s'était levée ce matin là.
Mais que devait-elle faire à la fin ? Que faisait-elle devant cette salle vide sans intérêt, que faisait-elle dans cette école, seule, avec pour seuls compagnons ses bouquins dont tout le monde se moquait ? Que devait-elle faire puisqu'elle n'avait pas le droit de parler, puisque finalement elle n'avait pas le droit d'être malheureuse ?
Ses mains se mirent à trembler, ses lèvres se pincèrent douloureusement, ses yeux se plissèrent, et elle restait debout, à rien faire, pas un geste, juste là, seule…
Ce qui l'entourait n'était pas intéressant, le temps qui passait… et bien, qu'il passe, puisqu'il devait en être ainsi. Et elle revit sa mère. La femme s'avançait vers elle, un sourire heureux aux lèvres, et du sang s'écoulait entre ses lèvres tirées, et ses mains étaient abîmées, coupées de partout, et sa jupe était déchirée, et elle continuait de s'approchait d'elle, les bras tendus. Soudain, elle sembla ne plus toucher terre et, le visage atrocement tordu, elle se jeta sur sa fille.
Hermione poussa un cri retentissant et tomba lourdement à genoux, l'adrénaline s'écoulant à flot dans ses veines, les bras cachant son visage comme pour se protéger, ou comme pour ne pas voir. Ne pas voir ça.
"Tu n'as donc aucune fierté ?" lui demanda quelqu'un derrière elle d'un ton méprisant et amusé.
Elle se figea, les yeux encore fermés avec force, le visage toujours caché derrière ses bras.
"Tu gémis, tu doutes. Regardes toi et tu guériras peut-être", ricana la personne.
Hermione sentit comme un coup de poignard à l'estomac, ou peut-être un peu plus haut, au niveau de la poitrine, ou peut-être le poignard avait-il atteint ses jambes, qui refusaient de la soulever. Pourtant, ses bras se détendirent et ils retombèrent comme inerte sur le sol froid, un carrelage défoncé.
"Et ben t'es belle, tiens. Tu fais peur, ma pauvre fille."
Et cette douleur qui s'accentuait à chacun des mots. Ca faisait trop mal, partout, nulle part en fait. Ailleurs, dans un endroit qu'on ne pouvait pas soigner semblait-il.
"Tu comprends pourquoi tu es seule, à présent ? Tu pleurs trop pour que quelqu'un veuille bien de toi"… fit la voix, acerbe.
Hermione pensait mourir de douleur. Est-ce que ça ne s'arrêtera pas ? Est-ce que cette voix n'allait pas s'arrêter de parler, de lui jeter au visage qu'elle n'était rien, insignifiante, juste une fille un peu malheureuse, un peu seule, qui se pensait le centre du monde parce qu'elle avait une histoire un peu différente des autres ?
"Bien, je m'en vais. Heu, tu sais, si tu veux me parler, ben, hum… surtout tu sais que tu peux… aller te faire voir !"
Et la personne explosa de rire, d'un grand rire joyeux et fier.
Mais Hermione, sans savoir comment, se leva dans un geste vif et frappa violemment la personne en criant un « Tu va te taire oui ! ». Un cri de surprise et de douleur fit arrêter les rires et la personne regarda, interloquée, Hermione qui observait d'un air étonné son poing qui lui faisait mal.
"Ca… ça va pas !" fit la personne, déconcertée.
Hermione releva enfin la tête pour voir à qui elle avait à faire depuis tout à l'heure. Il est vrai qu'elle pensait que cette voix sortait de son imagination. Mais son poing la faisait souffrir et elle savait maintenant que la voix appartenait à une personne belle et bien réelle.
Lorsque ses yeux rencontrèrent ceux, bleu océan, de Pansy, il lui sembla qu'elle recevait une décharge électrique dans tout le corps.
"Qu…Que…"
Pansy voulut tourner le dos pour partir, mais à la place elle gifla la jeune fille de toute ses force.
Le claquement résonna dans la pièce et le couloir.
Hermione resta un instant la tête sur le côté. Quand elle la ramena pour regarder Pansy droit dans les yeux, une lueur nouvelle semblait éclairer son regard et elle se jeta soudain sur la serpentarde. Elle tapait n'importe où, parfois pas où elle voulait. Pansy n'attendit pas longtemps pour répondre. Et elles se battèrent, s'agrippant mutuellement, arrachant tout ce qu'elle pouvait, griffant, frappant. Elle se cognait contre le mur, visaient le visage et se retrouvant à frapper le vide.
Mais Pansy donna un violent coup de pied dans le ventre d'Hermione qui recula de plusieurs mètres, courbée, ayant du mal à respirer.
"Merde, tu m'as défigurée !" explosa la blonde en touchant sa lèvre inférieure qui saignait.
Hermione releva la tête. Des larmes coulaient sur ses joues, des larmes silencieuses, aussi seules que le cœur d'où elles provenaient.
Pansy eu soudain envie de pleurer. Elle avait mal au cœur et la gorge serrée comme lorsqu'elle s'empêchait de laisser couler ces gouttes salées que la jeune fille en face d'elle n'avait aucun mal à laisser s'écouler. Comment faisait-elle pour être aussi vrai, cette jeune fille un peu brouillon, un peu seule aussi. Comment pouvait-on se laisser aller ainsi ? Comment cette fille malheureuse réussissait-elle à la regarder comme elle le faisait en ce moment, laissant passer en dehors de son corps fragile tous les sentiments qui tourbillonnaient en elle ?
Et Pansy observait un phénomène qu'elle n'avait encore jamais vu auparavant : quelqu'un lui montrait sa blessure, juste à elle, juste pour elle.
Elle voulu faire un pas en avant mais avant même d'avoir pris son élan elle tourna le dos et s'en alla.
La griffondor se retrouva bientôt seule dans le couloir et ratterit sur terre.
Encore une qui s'enfuie.
Voilà ! fini pour le moment ! ba oui c le deuxième que je met en 24heures mais c pour me racheter de vous avoir laissé plus d'un mois sans nouvelles lol. Bon ba dites moi ce ke vou en pensez même si je sai ke vou n'êtes pas nombreux à lire ce yuri vu ke yak e moi ki en fait avec ce couple mdrrrr je sai pa pk mai ca a pa laird attirer les lecteurs un yuri herm/pansy lol. Bon allez vous laiss (ba oui fo bien ke vous ayez le temps de me laissez une review ! mdrr) et voilà en plus là je doi parlert ka deu ou trois lecteurs mai bon jvou remerci bocou de lire ce yuri, vous, ces deu ou troi lecteurs lol voilà bye à vou troi et pi ba heu au prochain chap !
