Dans ce poème il s'agit de Draco quoi s'adresse à Harry.

Il choisit de le quitter car il est obligé de devenir mangemort et ne veut pas faire plus de mal à l'homme qu'il aime.

Pardonne moi…

Pardonne moi,

Pardonne moi de t'avoir fait mal,

Pardonne moi de ne plus être la pour toi,

Pardonne moi de t'avoir abandonné,

Pardonne moi d'avoir cru en nous,

Pardonne moi de t'avoir aimer,

Pardonne moi.

Pour toi j'ai fait n'importe quoi,

Pour toi j'ai affronté mes peurs,

Pour toi j'ai ouvert mon cœur.

Devant toi je me suis mise a nu,

Devant toi je t'ai montré mes blessures,

Devant toi j'ai fait tomber mon masque.

Ce masque derrière lequel je me suis caché durant tant d'années,

Pour me protégé, pour te protéger,

Mais nous protéger de quoi ?

Question futile,

Je le nie depuis si longtemps.

Pour te protéger de moi, de mon passé, de ce que j'étais, de ce que je suis, de ce que je fais, de ce qui fait ma nature.

Je ne puis rien effacé,

Ce qui est écrit reste ancré à tout jamais,

Et rien ni personne ne changera cela.

Je suis obliger de te quitter,

Pardonne moi.

Jamais je n'aurais du te rencontrer,

Jamais je n'aurais du rester,

Jamais je n'aurais du m'autoriser a t'aimer.

Pardonne moi,

Ne m'en veut pas,

Si je pars c'est pour toi.

Je ne t'empêcherais pas de te renier,

Je bne t'empêcherais pas de te haïr

Je ne t'empêcherais pas de tirer un trait sur notre histoire.

Mais je veux que tu sache que des l'instant où je t'ai vu, pour la première foi, mon cœur a cesse de battre.

Et l'espace d'une seconde, je me suis permis d'y croire.

Croire en toi, en moi, en nous…

Mais le rêve est passé, laissant place à la terrible vérité :

L'amour est un luxe que je ne puis m'offrir.

Bien que tout cela n'aurais pas du se passé, je ne regrette rien.

Comment d'écrire ce bonheur, ce sentiment, ce flux d'amour qui m'assaille dès que je pose les yeux sur ta beauté, sur ton visage

Je ne peux pas,

Il n'y a pas de mots pour çà.

Pardonne moi,

Je ne veux pas que tu souffres.

Te quitter aujourd'hui vaut mieux que demain,

Ta peine sera moindre.

C'est l'heure,

Je dois m'en aller, je dois partir…

Encore merci d'avoir lu jusqu'ici.

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