Chapitre 7

Un jour classique. Je me lève, je déjeune tranquillement dans la véranda. Jusqu'à ce que je reçoive un message urgent du Gondor. On m'appelle à l'aide ! Je m'habille et me lave grâce à la magie puis je monte sur Asfaloth : direction le Gondor. J'arrive à la première porte je donne le mot de passe : je passe et ainsi de suite jusqu'à la septième porte. Là on me fait arrêter.

« Qui êtes-vous ?

Farwen Vertefeuille, Reine d'Ithildinie, Amie du Roi et surtout la Sœur Jumelle de la Reine !

Et moi j'ai des pouvoirs magiques ! me fit le garde

Vous ne me croyez pas ? Appelez le Roi il confirmera !

Repartez !

Non ! Ecoutez, on m'a demandé de venir ici pour aider !

Gardes ! Emmenez-la !

Ecoutez, je ne veux pas être méchante mais si vous m'obligez, je vais devoir me servir de mes pouvoirs !

Le garde me regarda bizarrement puis dit :

Gardes emparez-vous d'elle, c'est la sorcière !

Quoi ?

Les gardes se saisirent de moi. On appela le Roi. Aragorn suivit d'Arwen arriva et me regarda d'un air sombre. A ma plus grande surprise, Aragorn me cracha dessus.

Sale monstre !

Quoi ? Qu'est ce qui se passe, Aragorn ?

Préparez l'épée, s'il vous plaît !

Aragorn ?

Tu as peur de mourir ?

Aragorn, tu me reconnais, c'est moi Farwen ! dis-je doucement, comme si je parlais à un malade mental

Aragorn tu ne devrais pas vérifier ? fit Arwen qui tremblait de peur.

Non ! Je n'ai pas peur d'elle !

Mais Aragorn enfin ! Si c'était la vraie Farwen ?

Arwen me regarda puis dit :

A-t-elle le collier que je vous ai décris ? demanda-t-elle

On a pas vérifié mais elle nous a menacés de se servir de ses pouvoirs !

Arwen s'approcha doucement puis alla chercher ma triquetra, que je portais depuis ma tendre enfance sans jamais la quitter. Symbole d'espoir et de pouvoir pour moi.

Elle a le collier.

Ca veut rien dire ! dit Aragorn qui fulminait

Farwen ? Enerve-toi, montre-nous ta robe !

C'était facile à faire : ils m'avaient tellement énervé avec leur histoire que j'ai simplement libéré la colère. Ma robe blanche illumina la cité de Minas Tirith.

Eh bien voilà ! fit Arwen

Espèce d'idiots ! cria Aragorn à ses gardes. On vous avait donné des indications mais vous ne les avait pas suivies !

Farwen, viens, on va t'expliquer. » me dit ma soeur

Arwen m'expliqua tout : la prédiction d'une voyante qui a prévu une grande guerre et qu'une mauvaise guerrière aurait pris mon apparence pour tromper leur vigilance. « Tout ça c'est Saroumane » fis-je. Mais la guerre était-elle vraie ? Car d'après quelques soldats qui guettaient, une armée aurait été vue à l'horizon. Je décida d'aller voir ça de plus près pour en avoir le cœur net. C'est vrai. Mais pire encore : l'armée en question n'est pas une simple armée d'orcs ou d'ourouk-haï mais de Slanks, pire que tout.

« Qu'est ce que s'est des Slenques ? me demanda Aragorn

Slanks. Ce sont des sortes de spectres immortels. Ma mère n'a pas réussi à les tuer mais elle les a enfermés dans une boîte et cette boîte, elle l'a caché aux couffins du monde.

Tu crois que tu peux les ré-enfermer ? me dit Arwen

Je peux mieux : je peux essayer de les tuer !

Mais tu as dit qu'ils étaient immortels ! me fit Aragorn

Seulement c'est ce qu'on a déduit vu que ma mère n'a pas pu les vaincre. Mais moi je n'ai jamais cru cela.

Tu penses quoi, toi ? me demanda Arwen

Je pense qu'il y en a un que, dès qu'on tue un de ses congénères, il les ressuscite.

C'est impossible ! dit Aragorn

Oh que non !

Donc si on tue ce fameux …bidule, les autres mourront avec ? dit Arwen

Non, disons que les autres mourront plus facilement car ils ne seront pas ressusciter. De plus, le chef a un autre pouvoir : il peut contaminer les personnes qui respirent son souffle.

Contamine de quoi ? me questionna Aragorn

C'est une sorte de fièvre où le malade n'a pas conscience de ses actes et devient la marionnette des Slanks.

Oh là là c'est compliquer tout ça ! dit Arwen

Laissez-moi faire tout va s'arranger. » fis-je

Je quitta le château pour rentrer chez moi. J'appelai Cannelle.

« Oui, tu voulais me voir ? me demanda-t-elle

Oui, je vais avoir besoin de ton aide.

Pourquoi ?

Est-ce que tu as lu le livre sur les Slanks ?

Oui.

Tu sais donc qu'ils peuvent nous contaminer.

Oui.

Saurais-tu comment on soigne cette contamination ?

Bien sûr, une fois on a travaillé dessus avec Eowyn.

Alors tu viens avec moi. »

Je laissa Crystal à la maison en lui demandant d'y rester formellement. « Oui, pas de problème, mais pourqu… ? » Je l'interrompa en lui faisant un signe comme quoi il fallait qu'elle laisse tomber. Je savais que Legolas était au Gondor car Aragorn l'avait certainement convoqué après avoir reçu la menace parce qu'il fallait qu'ils soient nombreux pour vaincre l'armée. Or, je me doutais qu'Adrielle l'avait suivi mais il était hors de question qu'Adrielle voit à la scène. Je savais que Saroumane assisterait à la bataille et je ne voulais pas que mes filles soient exposées à un danger trop grand pour elles, entraînées ou pas. Alors, lorsque je retourna au Gondor, j'alla d'abord voir Adrielle pour la prier de rentrer à la maison. « Pourquoi je dois rentrer alors que Cannelle reste avec toi ? ». « Ne discute pas et rentre ! ».

Adrielle me fit une grimace puis se téléporta.

« Toi, fis-je à Cannelle, tu vas seulement regarder ce qui va se passer et si une personne est contaminée, tu la soignes et tu ne fais rien d'autre c'est compris ?

Oui. »

Bien. Je les voyais au loin s'avancer. Maintenant, il n'y avait plus que moi qui pouvait régler la situation. Je me concentra. Comment je pouvais les tuer ? Avec les quatre éléments. L'eau ? Non, elle ne ferait que les traverser. La terre ? Non, je ne vois pas elle pourrait les détruire. L'air ? Non plus. C'était le feu. Où il y a suffisamment de feu pour détruire une armée comme celle-ci ? Soit la Soleil, soit au fin fond de la Terre. Ils étaient arrivés à ma portée.

« Bonjours, Farwen ! dit le chef des Slanks

Alors prête pour te faire tuer ?

Je ne vais pas mourir !

Ca c'est ce que tout le monde dit. Ta mère aussi la dit mais il s'en ai fallu de peu.

Je suis plus puissante que ma mère !

Là, ma robe fit son apparition et mes yeux étaient redevenus blancs.

Oulala j'ai peur !

Tu devrais !

A ce moment je trouva le fameux Slank qui ressuscitait les autres. Je le tua d'une boule de feu. La peur apparue sur le visage des Slanks.

C'est pas bien de jouer avec le feu ! me dit le chef et là il m'envoya une même boule de feu mais je l'évita aisément.

Quoi, tu ne sais pas mieux faire ? fis-je

La Soleil trembla. Je leva mes bras au ciel. Des météorites tombaient du ciel, tuant sur leur passage des milliers de Slanks. Car ils étaient TRES nombreux. Après ce déferlement de boule de feu, il n'en restait plus qu'un : le chef.

Tu ne me tueras pas aussi aisément que mes petits camarades !

J'ai mieux pour toi !

Avant d'avoir fait le moindre geste le chef souffla sur Arwen et elle s'évanouit. Elle était contaminée.

Tue-là ! fit le chef.

A tes ordres. dit ma sœur.

Là j'invoqua les puissances extérieures et je demanda à Ariel de me prêter son feu : résultat la soleil tomba comme une masse sur le chef des Slanks. Puis reprenant sa place dans le ciel, on pouvait apercevoir qu'il n'avait pas survécu. Je fus soulagée mais je n'eus pas le temps de reprendre mon souffle : Arwen brandissait une épée devant moi.

Arwen, c'est moi ta sœur Farwen !

Je dois te tuer !

Canelle dépêche-toi !

Deux secondes ! me cria ma fille qui préparait un médicament.

Je sortis mon épée puis je dus me battre contre ma sœur, évitant de la blessée tout de même. Puis le médicament fut prêt.

Fais-lui boire ça ! dit Cannelle

Je l'immobilisa par terre puis lui donna son médicament. Elle perdit conscience pendant quelques secondes.

Farwen ! balbutia-t-elle, Mais qu'est ce qu'il se passe ?

Calme, il va falloir que tu te reposes.

Ainsi tout est bien qui fini bien, comme d'habitude ! dit Saroumane, sortant de sa cachette.

Et oui ! fis-je

Moi je ne crois pas ! me dit-il en m'envoyant sort que j'évita.

Avoue que tu n'es pas très doué, Saroumane !

Retournes dans ta tour ! dis-je en le renvoyant chez lui grâce à la télékinésie.

Puis je vis qu'il m'envoya une boule de feu. Je leva le bras mais je ne sentais plus aucune force dans mes doigts. La boule de feu explosa. Je m'évanouis.

Uruviele : Je te rassure, cette fanfiction je l'ai écrite pendant les vacances ! Mais je te comprends car j'écris une fic « en direct » sur Harry Potter que je publie sur Harry Potter Fanfiction (un peu de pub ! ce site est extra !) et que je publierais bientôt ici également !