« Révélation »
de petite lady

Disclaimer : Les personnages de Clamp ne m'appartiennent pas, ainsi que tous les autres personnages qui pourrait apparaître et appartenir à un autre auteur. Mais Sarah, Thélio, Mélina, Anthony, Aline et compagnie sont ma propriété.

Chapitre 6 : Vérification

Les parents de Thélio aimeraient que Sarah n'aille pas au collège le lendemain, alors que Sarah veut prendre Thélio à parti, mais ce dernier se range du côté de ses parents au grand dam de Sarah.

La maison de Thélio se compose de deux étages, et tout est en double. En effet, le père de Thélio avait voulu donner à son fils une double culture, de ce fait, les repas se passaient aussi bien dans l'ambiance Japonaise avec les tables chauffante que dans le cadre Européen avec des tables et des chaises. A cause des blessures de Sarah c'est cette deuxième partie de la maison qui est mis à contribution.

Finalement Sarah obtient gain de cause et peu aller au collège, beaucoup aurait plutôt voulu ne pas y aller, mais Sarah n'a qu'un objectif :

Ne pas à avoir à rattraper des cours !

En y réfléchissant, elle se rend finalement compte qu'elle est faignante… la plus part des enfants rechigneraient à aller en cours, alors qu'elle dans l'optique de ce qu'il faudra faire en cas d'absence préfère aller en cours malade que rattraper. Pour certain cela pourrait être un tantinet bête. Ce matin, par contre, le père de Thélio les dépose et Sarah devra attendre Thélio à la sortie au lieu de rentrer toute seule ou avec des amis. Sarah n'a pas eu d'autre choix que d'y adhérer. Thélio pour sa part a décidé de ne pas aller au club de foot ce soir.

Le problème majeur de Sarah c'est qu'à cause de la veille son uniforme tout neuf était parti à la poubelle, de ce fait, elle porte un uniforme de garçon, celui de Thélio d'il y a deux ans. Sa mère a passé toute la nuit à l'ajuster à la carrure minuscule de Sarah, un vrai combat de Titan. Le résultat n'est pas trop ridicule. Cela donne à Sarah une image rebelle et de garçon manqué, chose que Sarah n'est pas en réalité.

La journée s'annonce encore plus dure que la veille… pense t'elle.

Cela dit, elle ne peut s'en prendre qu'a elle-même car si elle avait attendu ne serait-ce qu'un jour, on aurait pu lui en refaire faire un autre…

Comme c'est le père de Thélio qui les a déposé, ils sont très en avance.

C'est bon Thélio, je peux porter mon sac.

Hors de question s'obstine ce dernier.

Mais…

Allez je t'accompagne à ta salle. C'est quelle salle ?

Euh la salle est au premier étage. Mais c'est bon je suis la pro des béquilles !

Hors de question je t'ai dit que je t'accompagnais. D'autre part vu ton habilité hier laisse moi en douter.

A l'évocation de l'incident de la veille elle rougie légèrement. En effet elle avait essayé les béquilles, son premier essai fut lamentable, elle avait trébuché et était tombé entraînant Thélio dans sa chute ce qui les avait rendu écarlate tous les deux, les parents du jeune homme et le docteur avaient éclaté de rire. Ils avaient rougit alors de plus belle. Elle boite un peu, elle a été obligée de mettre sa genouillère pour éviter que son genou ne cède, car il ne manquerait plus que çà pour une humiliation finale… Pour sa cheville, la douleur est endurable mais le docteur a insisté pour des béquilles.

Une fois dans la classe, Thélio reste un peu et il lui dit :

Je viens manger avec toi aujourd'hui !

Mais c'est interdit !

Ce n'est pas grave, je viendrais quand même.

Il est 8 heures quand il part enfin car les premiers élèves entrent dans l'établissement. Peu à peu la classe se rempli. Certains détournent le regard, Sarah ne s'attendait pas à beaucoup plus d'intérêt c'est pas bien grave.

Sarah attend en mal et patience que la classe commence puis finit mais malheureusement, le temps s'écoule si lentement qu'elle à l'impression qu'une seconde représente un siècle et en matière de siècle elle s'y connaît très bien…

Tomoyo vient la voir et lui demande :

Que t'est-il arrivé à la cheville et à l'uniforme ?

Sarah s'étonne et la regarde comme si elle venait de voir un extra terrestre, la question pourtant si simple lui bloque les mots dans la bouche… Elle finit par dire :

Rien de bien grave, mais mon uniforme est fichu, la mère de l'ami chez qui je dors a retaper pour moi un des anciens uniforme de Thélio pour qu'il m'aille.

Tu n'en avais pas un de rechange.

Hum non, mon séjour au japon s'est décidé un peu à la dernière minute c'est pour çà.

Je vois…

Tomoyo fait une tête étrange puis elle dit :

Je vais t'arranger çà ! je vais te faire un uniforme sur mesure.

Ce n'est pas nécessaire dit Sarah, la mère de Thélio va m'en faire un.

J'y tiens !

Mais…

L'arrivée d'Eriol vers Sarah ne lui annonce rien de bien. Il lui demande :

Sarah Chan, que t'est-il arrivé ?

Sarah a les mots bloqués dans la gorge, elle ne veut faire peur à personne, Eriol semble comprendre et lui dit en anglais :

Tu me diras plus tard ?

Un mouvement de tête positif et un regard étrange sont la réponse que Sarah lui donne.

La cloche a presque sonné, que Sakura entre dans la classe, rassurée d'être arrivée à l'heure, elle s'avance vers Sarah la devance en lui disant :

Comment vas-tu Sakura Chan ?

Çà va, et toi ? mais tu as été blessé hier soir.

Sarah qui aurait voulu garder çà « pour elles deux » se voit affublé d'un regard étrange de la part d'Eriol, Shaolan et Tomoyo.

Ce n'est rien ! ne t'inquiète pas, j'ai déjà eu pire !

Quand même je me demande quelle était la cause du camion pour avoir éclaté son pneu, je sais pas si tu as entendu aux infos mais ils ont dit que le pneu venait d'être gonflé peu avant à une station service et les freins venaient aussi d'être vérifié.

Je vois… dit Sarah songeuse. J'irais voir çà tout à l'heure.

Sarah sort son livre de mathématiques, et regarde la page 40 du manuel, elle sort également de quoi écrire… ils la regardent étonné et Tomoyo demande :

Pourquoi tu ouvres ton livre de maths ?

Le prof est absent aujourd'hui, ils vont nous donner des exercices de maths à la place.

Elle dit çà de manière calme, ses yeux sont ailleurs.

A peine a t'elle prononcée ces paroles qu'un pion vient dans la salle et marque des n° de pages et des numéros d'exercices à faire. Il s'éclaircit la voix et dit :

Votre professeur est absent ce matin, donc vous avez des exercices en remplacement, quand vous aurez terminé, venez poser sur ce bureau votre copie.

Le pion s'installe à la place du professeur et tout le monde attaque les exercices. Sarah finit dans l'une des premières, la raison est simple, elle a envie de sortir de l'établissement pour vérifier un ou deux trucs. Elle réfléchit quelques secondes avant de se concentrer pour ne pas s'étaler. Son genou droit lui faisant de plus en plus mal et la cheville gauche foulée. Elle prend son courage à deux mains et commence à relever ses béquilles, les stabilise elle repousse enfin sa chaise le plus discrètement qu'elle peut et se lève, elle s'appuie au bureau pour ne pas tomber, à présent elle sent tous les regards de la classe sur elle, la surveillant du coin de l'œil pour railler si elle tombe, d'autres par contre n'osent pas se lever pour l'aider.

Finalement aussi ardu que soit la tâche est, elle ne tombe pas, intérieurement elle est soulagée.

Elle range ses affaires et les mets dans son sac qui n'a miraculeusement aucune égratignure arrive vers le bureau et dépose sa copie avant de se diriger vers la sortie.

Hey attendez.

Sarah se retourne et le regard.

Oui qu'y a-t-il ?

Vous n'avez pas pu terminer si vite.

Regardez j'ai finit.

Elle fait demi tour et lui montre les différents exercices.

Bien, bien vous pouvez sortir.

Sarah un peu agacée sort de la salle, toute cette scène attire encore le regard des élèves. Quand elle referme la porte derrière elle, et soupire. Elle descend à l'infirmerie pour se faire dispenser pour le sport qui est à partir de dix heures. Plusieurs théories ont germés depuis que Sakura lui a parlé de la TV. La veille elle s'était endormis rapidement. De toute manière elle s'était douté que tout ce qui s'était passé la veille « n'était pas un accident », avec x ou y personne « normale », il n'y aurait pas eu de doute… mais là ? avec Sakura et elle. Cela ne peut pas être un « accident ». Sakura à cause de ce « rêve » et elle à cause des personnes qui la poursuivent en permanence.

Le terme « paix », est devenu au fil du temps à ses yeux très utopique et très irréaliste. Après tout les « ténèbre appelle la lumière » et la « lumière appelle les ténèbres ». Elle balaie d'un coup de tête ses pensées moroses.

Une fois sa dispense ainsi obtenue pour trois semaines, elle la fait valider au secrétariat puis l'apporte en salle des profs. Elle sort respire un grand coup et se dirige vers la sortie carnet de correspondance en main quand :

Sarah Chan.

Elle tourne la tête et voit arriver Eriol, il la rattrape.

Eriol Kun.

Que c'est il passé hier ?

Le pneu d'un camion a explosé, et évidemment il a foncé sur les deux personnes qui étaient en train de traverser, Sakura et moi.

Que s'est il passé ensuite ?

J'ai poussé Sakura sur le bas côté en même temps que moi, mais comme il se dirigeait encore vers nous j'ai du utiliser le vent et la télékinésie le temps de tirer Sakura qui s'était évanouie.

Ton avis sur ce camion ?

Franchement çà aurait été quelqu'un d'autre que Sakura ou moi j'aurais plus accepter la thèse de l'accident. Mais vu ce que Sakura m'a raconté ce matin je ne doute plus du fait que ce ne soit pas un accident. Le problème est de savoir si c'est elle ou moi la cible. Enfin, vu qu'ils ont déjà été attaqués avant-hier soir.

Ah bon ?

Oui, c'était une illusion.

Une illusion ?

Oui très puissante, en plus elle leur a donné l'impression qu'ils mangeaient du sable, Sakura n'a rien fait.

Comment ont-ils réussit à faire çà ?

Je ne sais pas, sans doute en forçant la barrière innée de l'esprit pour leur donner cette impression directement de l'intérieur.

Ils auraient pu mourir ?

Oui sans aucun doute.

Tu veux aller sur le lieu de l'accident ?

Exact.

Je t'accompagne.

Et le cours de sport ? tu n'es pas dispensé.

Je vais demander ce petit service à Sakura.

Comment ?

Tu ne connais pas la nature du pouvoir de Sakura ?

Non, Mélina ne m'a rien dit, elle m'a dit que je devais tout découvrir par moi-même.

Hum je vois, apprendre en observant et en combattant ?

Exact.

Je peux te poser une question Sarah-Chan ?

Oui bien sure.

Quels sont vos liens à toi et Mélina avec celui qui te veux du mal ? Elle m'a dit que c'était la même personne que celle qui l'avait attaqué des années plus tot mais à cette époque là c'était une sorte d'esprit revenant.

Depuis sa réincarnation nous poursuit déclare Sarah songeuse...

Qui était il ?

Je ne veux pas en parler. De toute façon ils arrivent.

Eriol et elle se retourne vers les arrivants, Sakura et Shaolan.

- Je vais aller voir Sakura

- Moi j'y vais.

- Mais...

Il n'a pas le temps de répliquer Sarah a déjà disparut dans la rue malgré ses béquilles. Il fait une grimace, comme pour comprendre un sous entendu de Mélina dont il se rappelle enfin, comme quoi Sarah déteste se sentir surveiller de plus elle est puissante et donc sent les présences, une intuitions et peut être le don de double vue mais peut être est-ce une impression elle possède quelque chose de plus il en est certain, semblable à Mélina, comme si elle portait le poids du monde sur ses épaules. Certainement une responsabilité beaucoup trop grande pour elle.

çà c'est encore un coup de Mélina ! je suis sur que ce « Eriol » est là pour me surveiller ! Décidément elle ne me fait vraiment pas confiance ! Mais qui est-il ?

Je vérifierais çà ce soir ! dit elle bien fort.

Elle rougie quand elle se rend compte qu'on la regarde bizarrement. Elle accélère avec les béquilles, mais quand elle se rend compte de son instabilité c'est trop tard elle s'écrase au sol dans un plat dantesque, heureusement personne n'est à l'horizon.

Elle se relève difficilement quand elle se met à genou et s'apprête à se relever quelqu'un lui tend la main.

Est-ce que çà va Sarah Chan ?

Eriol Kun, comment as-tu eu l'autorisation ?

Secret. Mais c'est grâce à Sakura.

Après une hésitation pour saisir la main Sarah l'accepte pour se relever.

Tu ressembles beaucoup à Mélina.

Ah bon ? comment çà ? demande t'elle une fois debout.

Et bien dans ta manière d'hésiter à prendre la main des gens ou pour éviter les contacts. Je paris que tu as aussi pris l'habitude d'avoir un cycliste sous tes jupes voir peut-être sous ton pantalon aujourd'hui.

Sarah rougie encore, pis dit :

C'est peut-être parce que j'ai eu un passé difficile ! tout comme elle. De quel droit me juges-tu ?

Sarah se dirige vers le haut de la route d'où provenait le camion. Eriol est étonné il ne la pensait pas aussi susceptible surtout que ce n'était pas une critique, juste une constatation. Il la rejoint. Il lui dit :

Désolé, je ne voulais vraiment pas te blesser, ce n'était pas une critique.

Hum…

Comment comptes-tu t'y prendre pour savoir…

La psychométrie c'est…

La capacité de ressentir et faire ressentir en bien et en mal au touché ou à faible distance finit Eriol.

Exact.

Une fois sur place Sarah touche un large tronc de cerisier, pour affaiblir la puissance de ce don ou malédiction selon les moments. En effet il est tellement développé chez Sarah qu'il serait capable de ressentir tous les sentiments de tout ceux qui ont pu marcher sur le sol, en extrapolant elle pourrait certainement en déduire leur date de leur mort ou les blessures les plus profondes qui a rongé tout ceux qui sont passé là. Car son don avait tendance à se mêler à son don de double vue. Contrairement à la plus part des gens, elle possède beaucoup de don mais le problème et le contre coup que çà entraîne, de gros problème de santé, cet impossibilité de supporter le contact des autres surtout des garçons sauf exceptions. Aussi le fait de savoir certaine choses ces « intuition » comme le matin, la fait souvent passer pour un extra terrestre et elle a déjà enduré l'ijine.

A peine touché l'arbre après avoir enlevé son gant tellement fin qu'Eriol ne pensait pas qu'elle en ait eu un.

D'horrible flash vient lui marteler l'esprit, les un après les autres, elle revit chaque scène comme si elle y était. Un enfant tombé de l'arbre, un homme mort de froid reposant contre ce même arbres, des amoureux qui ont gravé un cœur… autant de mémoire emmagasiné dans ce vieil arbre qui en a déjà vue de toute les couleurs. Difficilement elle réussit à retrouver le fait qui l'intéresse.

Le camion a été touché par quelque chose mais c'est indescriptible.

Quand elle se détache enfin de l'arbre elle a le cœur qui bat la chamade, elle se le tient de la main droite avant de tomber à genoux. Eriol qui avait regardé chaque tressautement attentivement, et surtout le visage se contractant et se tordant. Il se met à genoux à côté et sans la toucher il lui demande :

Sarah Chan, est ce que çà va ?

Oui çà va mais cet arbre a 57 ans, imagine le nombre de chose auquel il a pu assister de manière impuissante ?

Alors qu'est ce qui était à l'origine de l'accident ?

Un éclair je pense en tout cas c'est ce que j'ai vu, ce n'était pas un accident mais j'ignore si la cible c'était Sakura ou moi.

Pour lui permettre de se remettre de ses émotions, Eriol l'invite au salon de thé ou il prend un thé au jasmin tandis que Sarah prend une tisane d'aubépine et un chocolat. Eriol sourit intérieurement en remarquant le mimétisme une fois de plus qui unis Mélina à la petite demoiselle devant lui.

Fin du chapitre 6

Chapitre 7 : Un peu de musique pour retrouver des forces…

En début d'après-midi Sarah et Eriol retournent doucement au Collège.

Comment çà va Sarah-chan à présent ?

Mieux, beaucoup mieux. Merci pour le repas.

De rien.

Le temps est mitigé, de nombreux nuages se déplacent dans le ciel et entreprennent de le rendre noir, Sarah est plutôt inquiète, un voile sur ses yeux, un regard anxieux, il y a deux raisons à cette inquiétude. Affronter la « mort » ne lui fait pas peur, mais si c'est lui qui la poursuit encore malgré l'espace temps cela ne va pas simplifier cette lutte pour aider Sakura. Il faut absolument qu'elle reste concentrée sur cette mission et effacer les éventuels événements qui pourrait la frapper elle, les éviter, ou les combattre telle sera désormais sa politique face à lui. Cette confrontation lui fait peur, la deuxième raison plus ridicule aux yeux des autres est en fait l'inéluctable orage qui se prépare.

Sarah !!!!!!!!!!!!!!

Sarah et Eriol sursautent et se retournent en direction de la voix.

Thélio Kun ! dit Sarah.

Ou est ce que tu étais je t'ai cherché partout !

Comme je fais pas de sport je suis allée me balader à l'extérieur du collège et on a manger à l'extérieur avec Eriol ici présent. Je te présente Eriol Hirgizawa il est anglais. Eriol je te présente Thélio Williamson.

Enchanté dit Eriol.

Moi de même fait Thélio.

Tu me cherchais pour une raison particulière ?

Hum oui j'aurais aimé déjeuner avec toi.

Désolée ! dit Sarah.

C'est rien, ce qui compte c'est que tu ailles bien.

C'est gentils de t'inquiéter !

Thélio un peu rouge, dit :

C'est normal tu es la petite sœur de mon meilleur ami et tu es sous ma responsabilité et celle de mes parents.

Sarah s'approche se met sur la pointe des pieds en priant pour ne pas perdre l'équilibre et l'embrasse sur la joue, quand elle s'écarte, elle est toute rouge et Thélio aussi.

Je vais y aller dit Thélio. J'ai cours dans pas longtemps. Ce soir tu m'attends ok ?

Oui mais tu finis à quelle heure ?

17 heures.

Bon d'accord fait finalement Sarah après un peu d'hésitation.

A tout à l'heure.

Il rentre dedans le lycée, Sarah prend une seconde pour calmer son cœur qui bat la chamade et respirer un bon coup.

On a quoi maintenant demande t'elle

Musique.

Ok.

Tu aimes la musique ?

Oui beaucoup surtout le piano !

Tu en joues ?

Un peu, maman m'a apprit, mais c'est Mélina qui m'aide à m'améliorer.

Une fois dans l'enceinte du collège Eriol dit à Sarah :

Tiens caches toi par là.

Me cacher ? pour quoi faire ?

Tu veux voir quel est l'un des pouvoirs de Sakura ?

Euh oui pourquoi pas !

Si je te dis « mirror » ?

Une carte de Clow ? demande t'elle.

Exact. Mais ce ne sont plus des cartes de Clow.

J'ai lu un truc sur ça. L'héritière du pouvoir de Clow. C'est Sakura ? demande t'elle étonnée.

Exact.

Et toi tu es ?

Tu me sers la main ?

D'accord.

Elle ferme les yeux