Et non, ce n'est pas moi, mais l'histoire magnifique d'une maie qui se trouve en 'panne' d'ordinateur... je lui servirai donc d'intermédiaire pour cette fic
en espérant que vous l'aimiez, tous les commentaires que vous pourriez laisser seront transmis en direct live à la véritable auteur... :-)
Grossesse
Disclaimer : et non, les perso, le monde ni quoique se soit du monde d'HP ne m'appartient, c'est bête, certains perso m'auraient bien plu :'(
Auteur : Fion-Fion
Rating : R
Paring : HP-DM (voire quelques autres...) Homophobes et/ou ames sensibles s'abstenir, scènes explicites...
Note : voici le premier chapitre, les autres ne suivront pas forcément rapidement. Quand au sujet de la fic, ermmm, c'est compliqué, soit cela suivra un ordre très strict et une trame, bien que compliquée, interressante. Soit, ce sera une succession d'univers parallèles qui déclineront les possibilités à partir d'une base, ce chapitre et un ou deux autres. Vala, vala, vous saurez le résultat du dilemme en temps et en heure... :-) je vous laisse découvrir...
Chapitre 1 : Des lits pleins d'odeurs légères.
« Eh ben, punaise ! Je n'arrive pas à croire que nous l'avons fait. Depuis, le temps que j'en rêvais, il en a mis du temps à se décider, celui-la ! S'il savait que c'était mon plus grand fantasme après tuer cet imbécile qui te déteste, mon amour.
Tu te rends compte, Merlin, je ne suis plus vierge. Mais, ce n'est pas ça le meilleur, non, le mieux. Le mieux, c'est que se soit lui qui est venu et qui m'a pris. Mmmmh ! Le sentir en moi, je me souviendrai toujours de ce moment. Sans doute, le plus beau de toute mon existence.
Le problème c'est maintenant que faire ? Dois-je le dire à mes deux idiots de meilleurs amis ou bien me taire ? Comment dois-je me comporter quand je le reverrais ? Et puis, merde ! Merlin, pourquoi ? Oui pourquoi ne puis-je pas être comme tout le monde ? Oh, s'il te plaît. Je t'implore à genoux ; aide–moi ! »
"Herm ? Herm t'es où ? Demanda fortement une voix d'homme.
"Euhhhhhh ! Suis là ! Répondis, la voix pointue de Granger.
"Là, mais où ça là ? Soit plus explicite !
"Harry, où est Herm ?
« Noooooonnn, je te demande de l'aide, et toi, tu me les envoies. Sadique ! Je n'ai pas de quoi m'habiller, et le pire c'est qu'ils connaissent le mot de passe. Ils vont rentrer et me voir, comme… comme ça. Malheur ! Au fait, c'est quoi ce vieux surnom. Herm ? C'est horrible ! Je parie que c'est Ron qui l'a trouvé. Tiens, en y pensant il connaît plus de mots que je pensais. Peut- être l'ai-je mal jugé. Il ne dois pas être si bête que ça. »
Le tableau s'ouvrit soudainement et une fine silhouette s'engouffra dans la pièce principale. Elle monta les escaliers et trouva…
"Harry ? Hermione était rouge de gêne.
"Eh bien Herm, serait-ce ma tenue qui te met dans un tel embarras ou bien le fait indéniable que tu viens de t'envoyer en l'air avec, en voyant ta gène, une fille, non ?
"Harry ! S'indigna la jeune fille. Je ne te permets pas.
"Oh, si tu savais comme je me foutais royalement de ta permission.
"Pas la peine de te mettre sur la défensive, marmonna la sorcière.
"Ouais, s'couse c'est juste que je veux pas que Ron nous vois comme ça. Toi avec ta tronche et moi avec ma tenue, il pourrait penser qu'on a fait quelque chose. Je ne veux pas de problème. C'est tout. Sinon, pourquoi es-tu là ?
"Euh, Dumbledore veut nous voir dans son bureau, tout de suite. Okay !
"…
"Ce qui sous-entend que tu te lèves et tu t'habilles. Et puis cache ces traces, elles ne sont pas très esthétiques sur ta peau.
"V'oui ! Allez maintenant, vire !
"C'est si gentiment demandé. J'y vais, on t'attendra dans le bureau, d'ac.
"Ouais !
« Pff ! C'est que je suis fatigué moi. Tant pis, j'irai pas ! S'il veut vraiment me parler, il viendra de lui-même. Moi, ze vais faire un bon roupillon, mais avant je vais enlever ces jolis suçons. Non ! Finalement je ne vais que les dissimuler. C'est le seul souvenir qui me reste de cette nuit. »
"Dissimulas ! "Gronda la voix particulièrement grave d'Harry. Seul dans sa chambre, il tomba sur son lit. S'engouffra dans ses draps parsemés ça et là de sperme. Son corps s'enfonça dans le matelas moelleux tandis que son esprit retrouvait Morphée. Il ne tarda à atteindre le seuil du sommeil sans rêve tant il était fatigué. Le soleil tirait sa révérence et dans le bureau de Dumbledore, on attendait toujours la présence du brun. C'est Ron qui se dévoua pour aller chercher Harry.
Quelques temps plus tard, le temps qu'il fallut à Weasley pour parcourir le château, la porte de la chambre circulaire de Potter s'ouvrit. Un visage constellé de millions de taches de rousseurs apparut. Il pénétra dans la pièce d'un pas incertain. C'était la première fois qu'il entrait dans la chambre d'Harry. Celui-ci s'était toujours refusé à la lui montrer. Il fut étonné par la dominance du vert et de l'argent. A tel point qu'il finit par se demander s'il ne s'était pas trompé.
"Enfin… J'aime bien le vert si tu l'aimes aussi, mon amour. Mon Harry ! Si tu savais comme je t'aime."
Alliant le geste à la parole, il s'installa prés du corps endormi. Ne résistant plus à la tentation il se mit à caresser son torse assez musclé. Harry sourit. Ron était aux anges, se pourrait-il qu'il l'aime aussi ? Après une heure de glandouillage, il se décida à sortir du lit quand un élément le troubla. Au creux du rein gauche du survivant, une splendide rose rouge se dessina d'elle-même. Ron paniquait dans son coin, il sautait comme un hystérique tout autour le lit de Potter. Une inscription fit son apparition sous la rose. L.J for ever D.
"Hi ! Hi ! Hi ! C'est nerveux ! C'est pas drôle. Pff ! Je ne ris pas. Je souffre d'hallucinations. Oulà ! Il faut que je me fasse soigner pour être bien quand mon Harry me demandera en mariage."
Il approcha son visage des fines lèvres du survivant. Cependant, à sa grande surprise, alors que le contact entre ses deux bouches s'opérait, Ron reçut une décharge électrique qui l'éjecta hors du lit de son amour. Il fut stupéfait de se retrouver devant un miroir, et, au lieu de se voir, il vit celui de James.
"Ne le touche pas. Il n'est pas tien et ne le sera jamais. Si tu veux reste en vie, dégage. Laisse le.
"Ou…oui…iii. Bredouilla t'il. Au revoir monsieur Po… Po …Potter.
L'appartement accueillit encore une fois aujourd'hui un visiteur. Dumbledore, trouva sans grande difficulté la chambre de Potter. Il entreprit de réveiller le jeune homme. Quand il y arriva il porta son attention sur le corps de son protégé. Celui-ci était pâle et avait des tracés fins. Albus pris enfin conscient du fait qu'Harry était nu en plus, vu l'état des draps, il ne faisait aucun doute que le survivant avait fêté joyeusement la victoire griffondore. Le problème maintenant était de savoir quel était le sexe de la personne, puisque ça changerait tout. Au moins si s'était un homme il n'y aurait pas de bâtard mais si c'était une femme…
"Harry, alors comment vas-tu ?
"Un peu fatigué, murmura Potter encore dans les vapes. « J'ai surtout le cul complètement défoncé à cause de ce salaud. Pourquoi n'est–il pas resté, encore un peu plus. »
"Ah, je voie, dit-il en rougissant, c'est à cause de ta nuit dernière.
"Je ne suis pas étonné que vous soyez au courant, après tout. Qui a-t-il de mal à ça. Je suis encore jeune et il possible que je ne vive pas encore longtemps alors…
"Ce n'était pas un reproche. Ne t'énerve pas !
"STOP ! J'en assez sortez ou parlez-moi d'autre chose.
"Okay. La vérité est que je suis très inquiet pour toi. Tu es très agressif.
"Ouais. Je sais, c'est la pression qui m'entoure. En plus, Voldemort ne donne pas de signe et ça m'inquiète, je me demande franchement ce qu'il attend de moi.Désire-t-il que j'essaie de le trouver ?
"Même si tu as raison, il ne faut pas que tu le fasses. En attendant d'en savoir plus, je te propose de te reposer.
"Pourrais-je vous demander un service, s'il vous plaît ?
"Lequel est-il ?
"Je ne veux pas que vous parliez à quiconque du fait que j'ai passé la nuie avec une personne hier. Je veux aussi entraîner mes nouveaux pouvoirs, en plus je vais entrer dans un état second si jamais… enfin vous savez de quoi je parle.
"Bien sûr, bien sûr. Répondit calmement Dumbledore. J'accepte à une seule condition, celle-ci étant de savoir avec qui vous avez passé la nuit.
"Je peux seulement vous dire que c'était un homme.
"Parfait, dit Albus, visiblement soulagé de savoir cela.
« Il ne faut pas que cela se sache sinon, le futur mangemort aura de sérieux problèmes, et ça ; je ne me le pardonnerai jamais. Mon amour !
Dans un sens je dois bien admettre que cette nuit m'a apporté une révélation quant à la raison de mes sentiments face à cet idiot. Comme ça c'est clair, je l'aime ! Mais maintenant, je fais quoi moi ? Je lui cours après ou j'attends seul.. Bof, on verra bien. Et puis c'est pas comme –ci j'étais une fille, capable de tombée enceinte pour qu'un jeune prétentieux me prenne avec lui, plus part pitié ou part convenance que par amour. »
Loin, dans les sombres cachots du château de Poudlard le jeune héritier Malefoy était en proie à des rêves… vraiment singuliers ! Enfin, pour lui.
'Harry ! Réfléchis, bientôt tu délivreras le monde sorcier
'Tout … tout seul ? Demanda timidement le brun.
'Ceux qui apporte la délivrance sont toujours seuls. Toi, le premier ! Ils ont une grande idée en tête, ils la portent avec eux et rallient les foules.
Draco pris le visage des yeux d'émeraudes et le releva à sa hauteur. Là, d'une voix terriblement calme il lui dit avec toute la sincérité et l'amour qui le caractérisait :
'Harry c'est ce que tu feras.
Sur ce, alors que notre jeune blond s'apprêtait à s'emparer des lèvres rouge de son compagnon, celui-ci le repoussa. Et, c'est les mains moites et cœur tremblant que notre futur champion questionna sa moitié.
'Chéri ? Réponds moi vraiment. Qu'attends tu de moi ?
'Je …
'AAAAHHHH ! Je ne veux pas le savoir. Tais toi !
'Mais…
'Chut ! Je t'ai dit de taire, je crois ! Dis Harry sarcastiquement.
'Harry ?
'M'm, quoi ? Répondit Harry, complètement ailleurs.
'La ferme ! C'est pas possible ça, laisse moi donc parler ! Je veux… je veux que l'arrogant paysan que tu es se conduise comme un prince et m'aime comme un roi.
(….) Gros blanc du coté de Ry chéri.
Harry, reprit Draco inquiet du silence de son partenaire. Je t'aime, tu es mon puceau préféré.
Alors que Dray se tordait de rire devant la gêne subite du brun, celui-ci protestait vainement et hurlait qu'il ne l'était plus depuis longtemps par sa faute et que s' il le voulait, il se ferai une joie de lui rappeler dans quelles circonstances cela s'était passé. Finalement la conversation repris :
'Tu es sur de ne pas t'ennuyer avec moi ?
'Eh bien, disons que c'est le risque à prendre, non ?
'Oui … oui, bien sûr murmura le jeune homme brun peiné et déçu de la réponse claquante et froide.
'Pfffffff ! Mais t'es con ou quoi ? T'aimer sera l'aventure de ma vie. Au risque d'être blasé de te voir te brosser les dents chaque matin. Je veux que le moment le plus passionnant de ma journée soit celui de mon réveil pour constater que tu dors prés de moi… de préférence nu, bien entendu ! Encore chaud d'avoir passé la nuit entre mes bras.
Soudain une voix loufoque rompit l'atmosphère d'amour pour le moins romantique qui emplissait la pièce.
'Mon fils. Draco. Ce que tu peux être fleur bleu quand tu t'es mets.
'Papa ! Cria, le blondinet outré que son père ait pu écouter sa conversation avec son fiancé.
Harry, lui, était plié en deux, c'est à peine s'il n'était pas en train de se rouler par terre. Cette vision n'eut d'ailleurs que pour effet d'énerver un peu plus Malefoy Junior.
'Faut que vous soyez parti dans 5 minutes pour arriver à peu prés à l'heure à l'église ! Allez les tourtereaux on se bouge, hurlait Lucius.
'Ouais ! Répondit Draco avec hargne.
'Hi hi, hi, hi, mouahahaha ! Trop comique. Ou…oui… hi, hi hi !
'Harry, je te préviens arrêtes de rire.
Comme le jeune brun n'était pas enclin à écouté son amant, Draco suivit avec son doigts les contours des lèvres de Potter ce qui eu pour effet de le calmer instantanément. Il pressa sa bouche contre la sienne et ne pu retenir un gémissement de satisfaction quand le brun lui répondit avec une ardeur peu commune. Dray ne vit aucun problème à diriger ses traîtres doigts vers l'entrejambe de son partenaire. C'est ce moment qu'Harry choisi pour serrer fortement son corps contre celui de son amant dans un impérieux désir de fusion complète. Son corps tremblait tant qu'il s'accrochait à son fiancé comme à une bouée de sauvetage. Poussant un grognement bestial, Draco abandonna ses caresses et souleva son âme sœur, le plaquant contre le mur, lui laissant percevoir la force de son envie. C'est alors que la porte de leur chambre s'ouvrit violemment et le visage tout sourire de Lucius apparut.
'Oupsss ! Je crois que je gène là.
'Oui, braillèrent les deux jeunes amant en chœur.
'C'est… hhaaaaaa ! 'tain Dray…
'Les jeunes, les jeunes, on se calme s'il vous plaît. Vous aurez tout le temps pour ça, plus tard.
'Ouais, on arrive dit Harry d'une voix où perçait la colère de le frustration.
Draco n'avait pourtant pas dit son dernier mot, c'est ainsi qu'il retira un premier gémissement à son futur mari, puis un second, un troisième, jusqu'à qu'il se transforme en un crie.
"AAAAAAAAAAAHHHHH !
"QUOI ? Qu'es ce qui se passe ? Qui, euh.
"Draco tu es en age, mon pauvre chou, attend je vais y remédier dit Pansy d'une voix voluptueuse.
Le pauvre serpentard, lui tremblait de peur. C'est avec un bonheur non feint qu'il vit Goyle s'approché de lui. Sautant sur l'occasion il sortit de son lits, nu comme un ver au grand plaisir de tous les occupants de la chambre du préfet en chef. Sous le regard désireux de Pansy, Draco rougit, elle le regardait d'une façon qui lui rappelait vraiment la nuie de son dépucelage, avec cet enfoiré, qui à défaut de l'aimer le respecter.
"Euh, Draco, demanda Goyle prudemment.
"Quoi !S'écria, toujours horrifié par son rêve.
"Eh ben, tes draps, sont pas très. Enfin ! Y'a… voilà quoi, fit remarquer Crabbe, d'une toute petite voix.
"Ah ! Tais-toi, je ne veux plus t'entendre. Et puis d'abords, vous me faites chier ; alors, vous dégager de MA chambre ! Et donc de ma vue par la même occasion !
"Ben ça va être gaie cette semaine, ils vont se faire une joie de me charrier.
« Euh ! C'est quoi ce gros poulet devant moi. Il parle ? AHHHH ! Mais, c'est quoi ce machin, il m'attaque, au s'courrrrrr ! »
Et oui, le matin, Harry à beaucoup de mal à faire la différence entre un hiboux grand duc et un monstre à plumes. Il s'était donc réfugié sous sa couette lorsqu'il réalisa après une dizaine de minutes, que le petit monstre de 10 cm sur 10 n'était que l'oiseau de son prince charmant. C'est ainsi qu'il sauta sur le zozillio et lui arracha le paquet de sa patte gauche.
Il décacheta le parchemin scellé du seau des Malefoy. Débuta alors une lecture pleine d'espoir :
Hi Potty chéri !
Je suis désolé de ne pas t'avoir envoyer cette lettre hier mais il fallait que je me procure un truc moldu que j'ai trouvé très drôle. Tu me dira la couleur que la bande à prise. Bien que je pense savoir déjà, il saurait étonnant que ça soit l'autre couleur.
Pour parler plus sérieusement je voulais te remercier pour la nuit d'avant hier. C'était fantastique. Je ne cesse de repenser à chacun de tes gestes, tout tes murmures me font encore frissonnés de plaisir. J'ai adoré et j'aurais bien réitérer l'expérience. Cependant, toi et moi savons que ça nous est impossible. Tu es vraiment quelqu'un qui influence les gens, et tu m'a influencé. Connard ! A cause de toi je suis….. Argh ! Tu ne te rends pas compte du mal que ça me fait de t'écrire ces mots mais, j'en suis réduit pour toi, à les avouer. Je t'aime ! Je n'aimerais qu'une seule fois, et il faut que se soit de toi. Non mais quel gâchis. Si tu savais comme je t'en veux de m'avoir pris ce que je n'avait la possibilité de donner qu'une seule et unique fois. Potty, je t'aime tant.
Mon seul refuge sont tes bras mais je ne pourrais plus retrouver la chaleur irradiante de ton corps sur le mien. Si nous nous affichons comme un couple normal il est certain que ou toi ou moi ou bien même les deux allons se faire tuer, et pire avant torturer.. Enfin, tout ce blablatage pour te dire que même si je crève d'envie et d'amour pour toi eh bien, c'est impossible ; donc tout redevient comme avant.
Au revoir, mon crétin d'amour.
Ton amant le plus fidèle.
Ps : le truc que tu vois: n'est pas un stylo, c'est un test de grossesse. Je préfère garder la notice avec moi tout ce que tu as faire c'est de le mouiller de ton urine et la bande pourra peut-être changer de couleur. Même si tu n'est pas une femme il va falloir que tu le fasse, se sera juste un tripes entre nous deux. Pour une fois que nous pouvons profité de faire un truc à deux..
Les larmes coulaient sans aucune retenue sur les joues rose du pauvre survivant. Il ne lui en voulait pas, il savait que Draco avait raison même si c'était dur à admettre. Non, s'il pleurait c'était pour le coup du test de grossesse. Il savait qu'il n'était pas une femme, que sont corps ne pourrais jamais contenir une vie, il était un homme et aimait un homme se qui compliquait la tâche. Il n'aurait jamais d'enfant mais pas la peine de le lui rappeler d'une manière aussi cruelle.
Il se mit sur le dos, et laissa son esprit vagabondé. Tant pis s'il arrivait en retour à un de ses cours. Harry finit par repenser encore une fois à ce le moment de pur extase où son connard d'amour était venu le chercher et qui l'avait ensorcelé sans aucun scrupule. Ca commençait toujours de la même manière.
Harry était de retour à ses appartements, il avait l'esprit légèrement embrumé d'alcool, en effet, il avait remporté le match contre l'équipe de Serdaigle. Quand, il vit le jeune Malefoy qui s'avançait langoureusement se déhanchant sur une chanson de sa propre composition à l'effigie d'Harry. Il n'avait sur lui qu'un simple pantalon moulant en cuir rouge. Il avait l'air d'être dans un état second, il avait une seule envie. Du sexe !
Il approcha encore un peu plus son corps brûlant contre celui du survivant.
"Potter ! Comme je suis content de te voir. Tu ne t'imagines pas à quel point.
Draco offrit un sourire coquin à sa Némésis. Le poussa sur le mur. Les neurones d'Harry s'entrechoquaient, cependant il finit par trouver la force de demander ce qu'il lui voulait.
"Ce que je veux, crétin ! Je croyais mes intentions assez clair, non ? Enfin, c'est vrai que tu n'es qu'un imbécile.
"Eh, ne m'insulte pas ! C'est pas parce que je suis plus très frais que tu es obligé de... Eh puis, laisse tomber, il s'interrompit vite face au jeune homme. Va enculer ta fiancée, Pansy. Cracha hargneusement Harry.
"Comment ? Enculé as-tu dis ; comme c'est vulgaire. Mais pourquoi pas ? M'oui, ça peut se faire. Mais pas n'importe qui. Il doit être à la hauteur de mon rang. Et qui de mieux que… Toi ! Je te veux. Je vais te faire hurler Harry. Je vais te prendre si fort que demain tu ne pourras même pas t'asseoir sans grimacer.
"Mais pourquoi ? Moi, je veux dire ; je ne suis pas ton ami.
"Certes, où est le problème ? Le simple fait de te voir me fait bander et j'en ai marre de me servir de ma main alors je te propose de le faire à ma place, ou plutôt celle de ma main. Tu seras mon premier.
"Quel honneur, tu me fais, dit sarcastiquement le survivant.
"eh ! Ne te moque pas connard. Après tout, tu es aussi puceau.
"Ta gueule, Malefoy ! Dit Harry, le feu aux joues.
"Oh ! Aurai-je touché un point sensible ? Allez, Potter, tu sais que c'est pas mon genre de supplier les gens. Mais là vraiment, il faut faire quelque choses. Tu n'as que te dire que je ne suis qu'une de tes groupies que tu prends et jette comme bon te semble.
"Quoi ? Cria Potter, je ne ferais jamais ça. Tu veux quoi, au juste que je te dépucèle , Et bien, il n'y a pas de problème !
"Tu sais que je t'aime bien toi.
"Vraiment ? Demanda Harry d'une façon on ne peut plus charmeuse. Alors prouve le moi.
"Comment ? Draco baissa ses yeux et regarda ses chaussures, il cru un instant qu'Harry allait l'humilier. C'est alors qu'Harry reprit la parole.
"C'est si simple. Embrasse moi.
"Oui, chef !
Ils rirent tout les deux de bon cœur à cette remarque amusante. Ils ne s'aperçurent qu'ils étaient devant la demeure d'Harry que quand la fée lui demanda le mot de passe. Potter lui donna et fit entrer Draco dans son antre. Ils atteignirent la chambre en un temps record.
Un silence s'installa pendant qu'Harry et Draco se regardaient. Doucement il passa ses bras autour du cou de son futur amant, un sourire timide sur les lèvres, tandis que celui-ci nouait les siens autour de la fine taille du survivant. Pris d'une soudaine pulsion, Draco poussa Harry sur son lit et l'y allongea en même temps qu'il le recouvrait de son corps.
Le blond ne pouvait s'empêcher de trouver Potter splendide sans ses lunettes. Ses yeux s'étaient obscurcis par le plaisir que lui procuraient les caresses de son amant. Il se délectait de la sensation de puissance et de contrôle qu'il exerçait sur le survivant, le voir agripper son torse, où une légère sueur était apparue. Il adorait observer le brun se tortiller de plaisir sous lui. Malefoy finit par détacher un à un les boutons de la chemise du survivant. Il parsema de baisers papillons tout le torse de sa Némésis. Une onde de plaisir les prit quand leurs deux torses se touchèrent, augmentant leurs deux érection, au grand malheur de Draco qui se trouvait plus qu'à l'étroit dans son pantalon de cuir. Les deux pantalons rejoignirent vite la chemise d'Harry, et celui ci fut très étonné de voir Malefoy porter un boxer portant la phrase « Harry pour toujours » avec des petits cœurs volant autour de cette stupide phrase. Cependant il préféra s'abstenir de lui poser des questions sur la nature de sous-vêtement.
Durant sa réflexion, il ne s'était pas rendu compte du fait que Malefoy était nu, sur lui. Le pire étant que lui aussi était dans une tenu d'Adam. Potter décida de prendre un peu l'initiative et bascula sur Draco de façon à se trouver en position dominante. Il parcourut chaque centimètre carrés du torse musclé de Malefoy. Les yeux de ce dernier se rétrécissaient quand les fins doigts d'Harry se refermèrent sur son sexe. Draco renversa sa tête en arrière, gémissant, tandis que Potter profitait de l'occasion pour le marquer comme sien. Puis il descendit vers la zone sud du corps tendu de Dray. Arrivé à destination il resta devant l'érection sans esquisser le moindre mouvement. Ce ne fut que lorsque le jeune blond lui implora de le faire qu'il consentit à faire un petit geste.
Il lécha doucement ses testicules, avant de remonter vers la tête du sexe de Malefoy.Il donna quelques petits coups de langue, puis engloutit complètement le pénis gonflé de sang de Draco. Celui-ci cria pour la première fois et logea ses mains dans l'épaisse chevelure d'Harry, lui dictant le rythme qu'il souhaitait. Il était parcourut de frissons et ne pouvait plus s'empêcher de gémir sous le brun. Il renforça sa prise sur lui, et ondula son bassin afin qu'Harry le prenne encore un plus. Il mit ses hanches en action et fit accélérer la cadence des va et viens de la bouche de Potter sur son membre jusqu'à qu'il jouisse entre les lèvres du brun.
Essoufflé, il fallut quelques minutes à Draco pour se remettre de toutes sensations encore étrangères pour lui. Il reprit tout de même assez vite son souffle pour ravoir l'avantage sur Harry. Il se mit à califourchon sur le corps engourdi du brun.
Draco glissa une main entre les cuisses d'Harry faisant hoqueter de plaisir ce dernier. Il se pencha et entreprit de lécher l'entrée de l'intimité du balafré qui se tortilla de désir. Il introduisit brusquement deux doigts au préalablement lubrifié en Harry qui grimaça face à cette intrusion complètement nouvelle pour lui. Potter se tendit et trembla de façon effrayante. Draco ne trouva le moyen de le calmer qu'en l'embrassant avec toute la douceur dont il était capable. Il commença à faire des va et viens en Potter quand il décida de changer légèrement la position de ses doigts, ce qui provoqua plusieurs cris de plaisir de la part d'Harry. Il était en proie à toutes ces ondes de plaisir qui l'enveloppaient. Draco jugea qu'il pouvait lui-même ne faire plus qu'un avec le survivant.
Malefoy releva les cuisses du survivant et se cala bien entre. Il s'appuya fortement sur les hanches du brun et le pénétra d'un coup sec. Malgré la douleur plus que présente, Harry ne s'en rendait pas vraiment compte car Dray ne cessait de le câliner et l'embrassait avec tant d'amour et de respect qu'il finit par avoir raison du mal d'Harry. Harry donna une petite impulsion à Dray pour que celui-ci se mette à bouger. Ils étaient en harmonie parfaite, un calme les envahissait tandis que leur respirations devenaient de plus en plus saccadés. Dray, qui avait accéléré le mouvement de ses hanches ralentit légèrement. Il voulait à tout prix prolongé le plaisir ressentit.
Le pénis de Draco sortait presque entièrement de l'intimité du balafré pour y rentrer toujours plus profondément avec un peu plus d'intensité. Le pauvre Harry complètement noyé dans ce flots de sentiments s'accrocha désespérément à Draco qui au contact du sexe d'Harry sur son ventre céda à sa pulsion animal et accentua les mouvements de ses hanches en s'accrochant au barreaux du lit, essayant d'accentuer le plus possible leur contact. Tout deux pleuraient d'extase, la douleur de leur plaisir devenant de moins en moins supportable. Arrivant à sa limite Draco donna un dernier violent coup de rein en Harry se déversant en lui en même temps que Potter le faisait entre leurs deux ventres. Epuisé, Dray ne pris pas la peine de se retirer d'Harry. Il lécha la semence acidulée et visqueuse du brun, l'embrassa langoureusement et tomba dans un sommeil sans rêves.
Harry lui resta encore éveillé, il ne pouvait se l'expliquer mais il le savait, il avait le pressentiment que quelque chose s'était passé à ce moment bien précis. Une chose de taille. Une chose qui pourrait changer sa vie. Seul le temps le lui dirait ; il serra fortement le corps blanc de Draco et s'endormit à son tour.
Le matin quand il s'était réveillé, il s'était retrouvé seul dans son lit. Et le voilà, toujours dans son lit trois jours après cette fameuse nuit avec un test de grossesse serré dans sa main droite posée sur son cœur.
Il trouva tout de même la force de se lever d'aller prendre une douche de s'habillait et de filer à son cour de divination pour lequel il avait une heure et demi de retard. Quand il se trouva sur le seuil de la pièce appropriée, les élèves de sa maison sortaient déjà. Ron se précipita vers son bien aimé.
"Ben, alors mon chou, tu t'es pas réveillé aujourd'hui ?
"M'ouais, répondit Harry d'humeur plutôt maussade.
"Alors… euh, ben, je voudrais te dire quelque chose Harry. C'est important, comme tu peux t'en douté c'est pourquoi, je te demanderai d'être plus que discret sur ce qui va se dire. D'abords, trouvons une salle vide.
Après une longue recherche d'une heure à peu prés, ils avaient trouvé une salle désaffectée et s'assirent à même le sol. Les yeux dans les yeux, Weasel débuta la conversation secrète.
"Bien, euh, je ne sais pas vraiment pas par quoi ou par où commencer. Si je t'es fais venir ici c'est que tu es quelqu'un qui compte pour moi.
Harry le regardait comme si c'était un débile, il ne voyait pas du tout ou Ron voulait en venir.
"Soit plus explicite, tu veux quoi, des conseils pour séduire Mione. JE….
"QUOI ? Non mais tu te fous de moi là ! J'suis là dans une salle seul avec toi, on pourrait faire plein de truc beaucoup plus intéressant et toi, Harry la fleur me parle de Mione.
"Non mais t'es malade Ron. Et puis, qu'es ce qu'on pourrait faire ici, compter le nombre de tables. Pff ! Tu m'emmerdes, je me tire quand tu sauras ce que tu veux tu me le fera savoir par voie postale. Merci Au revoir.
Alors que Potter allait claquer la porte il se retourna et hurla à son ami la belette : "Je suis pas ton chouuuuuu !Na ! Puis, fier de sa réplique il s'en alla vers la grande salle.
"Mais moi, je t'aime, Harry ! trépigna le jeune roux.
Soudain des pas retentissaient derrière Potter. En moins de deux secondes il fut plaqué sans douceur sur le mur froid et humide des donjons.
"Draco ! Chanta Harry, son visage qui souriait jusqu'ici se métamorphosa en deux secondes. Qu'es ce que tu veux cracha t'il au visage aristocrate du jeune Malefoy.
"Content de voir que tu vas bien mon cœur, tu ne devines pas du pourquoi de ma présence ici.
"Non ! Je veux pas te parler. T'es qu'un connard. Salaud !
Tandis qu'Harry limite hystérique tambourinait le torse de son amant, Draco ne réagissait pas. Une fois la crise passait il demanda à sa moitié qu'es ce qu'il avait vu quand il était rentré dans les vestiaires. Potter qui n'avait aucun self-control, le repoussa violemment et lui jeta un regard furieux.
J"e t'ai vu toi ! Avec cette pute, d'Hermione !
"Harry calme toi s 'il te plaît. Dit doucement Draco, bien tu m'as vu avec Hermione et après ?
"Et après ? Mais après je ne sais pas je suis parti mais je peux te dire qu'elle était nu et que toi tu avait une érection. Espèce de dégelasse. Alors que moi je te reste fidèle même si on ne peux pas être officiellement ensemble. Je… Aime moi, je t'en supplie, je t'aime. Potter était totalement effondré.
Malefoy décida de prendre les choses en mains, il le pris dans ses bras et le mena vers sa chambre de préfet. Il y parvint sans trop de problème. Il n'eu qu'a éviter Peeves. Draco déposa doucement l'amour de sa vie sur son lit au draps de lin blanc ainsi que plusieurs heures s'écoulèrent avant que le survivant daigne ouvrir un œil.
"Ah ; je vois qu t'es réveillé. Il embrassa langoureusement son amant et lui tendit un test de grossesse. Fait le s'il te plaît.
"Maintenant ?
"V'oui, c'est juste pour se marrer. Allez, au toilette.
« Dans quel merde me suis j'encore fourrer ? Et puis comment ça marche ce truc. Ah ouais, il faut urinait dessus. Ben c pas pratique du tout.O regarde c'est magique, ça marche, ça change de couleur, ça devient bleu. Ce qui veut dire que je suis pas enceinte. C'est magnifique ! Je m'en serai pas douter moi-même. »
"Dray, c'est bleu.
"QUOI!
"Ben je te disait que c'est bleu c'est tout.
"V'oui, c'est tout.
Draco tomba dans les pommes sous la force du choc. Harry n'ayant pas un grand sens de discernement ne comprenait toujours pas pourquoi, Draco se mettait dans cet état là. Quelques minutes plus tard, le blond eut la bonté de se réveiller. Lorsque son amant se remémora la cause de son évanouissement, ll faillit replongé dans un état comateux plutôt avancé, heureusement la vue du regard innocent d'Harry le fit revenir à la réalité. Il l'attira à lui et le berça tranquillement le caressant ici et là, en appuyant un peu plus sur son ventre, le survivant ne resta pas de marbre bien longtemps et savoura les yeux fermés les attentions de sa moitié.
"Mon chéri, je pense qu'il faut que tu te ménage un peu. Tu ne crois pas ? Demanda gentiment Malefoy.
"Je ne vois pas pourquoi tu dis ça, mon débile d'amour, je ne suis pas malade.
"Eh bien , pour moi c'est tout comme. Tu à l'air fatigués, fais attention à toi, s'il te plaît. Au faite tu te souvient de ce que je t'ai écrit, à propos de nous deux, que nous ne pourrions jamais être ensemble, je me demande, si… finalement, ôôôôô et puis lais tombé
"Quoi, quoi, finalement, s'empressa de murmurer fébrilement à l'oreille du jeune Malefoy. Dis moi à ce que tu penses, s'il te plait… mon amour souffla Harry aux bord des larmes.
"Je… Disons qu'il existe un moyen pour nous deux de resté ensemble, pour toujours, autre que la mort.
"QUOI ! Tu te fous de moi là, tu ne m'aimes même pas, tu m'as baisé et puis voilà, je suis à toi. As tu la moindre considération pour mon être ? Ce que je veux ? Ce que je sens ? Ce que j'aime !
"ALORS DIS LE MOI ? TOI ! QUI AIMES TU ? DIS-LE ! Hurla Draco furieux d'avoir cette stupide idée.
"Toi, toi et toi seul.b Mais tu n'es pas capable de rester avec moi. Je suis pas une femme. JE NE SERAIS JAMAIS UNE FEMME CRIA Harry fou de rage. Je ne pourrais jamais être enceinte, je suis prêt à faire ce sacrifice, si seulement tu pouvais toi aussi l'accepter.
"Je sais qui est la personne qui partagera ma vie, alors oui, j'aurais préféré que se soit une femme, mais ce n'est pas le cas. Tant pis, je fais ce que je peux. Je t'aime, oui ! Je veux me marier avec toi, j'aurais sans doutes attendus la fin de notre scolarité pour te le demander, cependant vus les conditions dans lesquelles nous nous trouvons, je ne peux m'y résoudre. C'est ainsi que moi, Draco Angélus Lucius Malefoy, je vous demande votre main, M. Harry Polux James Potter.
"… C'est… comment… Harry était plus qu'interloqué par la demande de Dray. Ne voyant que l'inquiétude présente dans le regard de Malefoy, il ne put s'empêcher de sourire de toutes ses dents et de souffler un oui, sur les lèvres de son amant.
A bientot (j'espère) pour la suite...
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thanks pour Fion-Fion chérie
Le 6 avril 2005
