L'entraînement
La pièce était claire, les murs d'acier reflétaient le peu de lumière que donnait la vitre ronde de la porte elle-même en acier. En fait toutes les surfaces de cette pièce étaient en acier, un acier dur et froid totalement inconfortable. Et pourtant au centre de cette chambre se trouvait un corps, un corps nu ramassé en position fœtale. Le garçon se tenait les jambes pour que ses genoux touche son menton, espérant ainsi avoir un peu plus de chaleur. En fait c'était la seule position que le jeune homme avait trouvé pour se réchauffer.
Le dos voûté le garçon essayait ainsi de tomber dans les bras de Morphée mais sans succès. Son était couvert de bleu et de cicatrice, en fait tous son corps était couvert des coups que l'on lui avait donnés. Les cicatrices étaient grosses et irrégulières, le plus souvent blanches mais parfois rouges quand ses tortionnaires revenaient réveillez ses anciennes blessures. Seule une seule de ces marques lui appartenait avait qu'il arrive dans cette pièce, il s'agissait d'une balafre en forme d'éclair sur le front. C'est pourquoi dès les premiers jours de sa captivité on l'avait appelé le balafré, même si maintenant il n'était pas le plus stigmatisé de ses compagnons d'infortunes.
Le garçon releva la tête, son visage meurtris était gonflé et bleu, la seule autre couleur était celle de ses coupures rouges. Elles lui barraient le visage, lui soulignaient les traits (elles suivaient le contours du menton, surlignaient ses sourcils…), mais aucune d'entre elles passaient par sa zébrure, elles s'arrêtaient quand elles la rencontraient et reprenaient un fois passé. Le balafré étira ses jambes, on entendit ses os craqués. Il se leva, il était bien entièrement nu, des cicatrices lui couvrait la totalité du corps comme des tatouages figurant toute la douleur qu'il avait subi. Les profondes marques couraient le long de la peau n'épargnant pas son intimité. Car en effet son pénis lui aussi était meurtri, l'homme ne pourrait jamais avoir la chance d'élever des enfants de son sang, même s'il pourrait toujours donnée du plaisir à une femme. Mais ce n'était pas la son idée première, sa verge était recroquevillé dans son entre jambe, son idée maintenant était de faire ses besoin.
Une fois levé et étiré, il marcha jusque dans un coin. Malgré la douleur il marchait fièrement, la douleur il la connaissait depuis le jour de son arrivé et il avait toujours décidé de ne jamais la montrer. Il la cachait derrière un masque impassible qui plusieurs fois depuis quelque jour avait failli craqué. Ils commençaient à le détruire psychologiquement et bientôt il n'appartiendrait plus au groupe des humains.
Une fois arrivé dans le coin où dans ses déchets étaient regroupé : urine, vomi, merde ; il s'accroupis et déféqua. Il avait mis du temps à pouvoir se libérer ainsi. Durant les premiers jours il n'avait pu se contraindre à se vider, mais quand le besoin se fit trop pressant il choisis un coup et se soulagea sans arrière pensée. Mais le plus dur vint après, l'odeur nauséabonde lui attaquait les sinus et lui faisait vomir le peu qu'on lui avait donné à manger. Ce n'est qu'au bout de trois semaines qu'il avait pu se faire à l'odeur tant qu'a l'idée. Maintenant c'était comme si ce dépotoir n'était pas là. Pendait qu'il déféquait et que les matières fécales traversait son anus il ressentait une vive douleur a ce même niveau à chaque passage ; un souvenir d'hier pansa-t-il.
Car comme tous les soirs et comme toute les quatre fois par jour, un tortionnaire venait (que ce soit un homme ou une femme) et le traînait jusque dans la grande salle où donnait la porte de sa cellule. A chaque fois c'était différent, il ne savait jamais à quoi s'attendre et c'était cela le pire et cela aussi ses geôliers le savaient aussi. Hier c'était un homme, et au milieu de la pièce ce trouvait un lit, on l'avait déposer, non plutôt jeter sur celui-ci, et l'homme avait enlever son pantalon… non, non… il préférait ne pas y penser. Il ne voulait pas penser à cette bite qui le prenait, qui le faisait souffrir ; il ne voulait pas penser au râle rauque de jouissance de ce monstre, au ses cris qu'il laissait échapper alors que son masquait frémissait et commençait à disparaître ; il ne voulait pas penser au fois précédente souvent bien pire que la séance de la veille…parfois quatre personne le prenait simultanément, son rectum était alors en feu pour plusieurs jours ; on avait passer tellement de fois sur lui qu'il n'en tenait plus compte de puis longtemps, de temps en temps on le violait une centaine de fois d'affiler, enfin c'est ce qu'il ressentait… parfois des femmes l'avait violé ! Oui des femmes ! leurs contact n'avait pas été aussi douloureux qu'avec les hommes, mais il n'avait ressentit aucun bonheur, il n'avait été qu'un objet sexuelle que ces dames avaient utilisé et bien utilisé puis qu'elles avaient jeté. NON il ne voulait pas repenser à ça, car ce n'était rien en comparaison à ce qu'on lui faisait subir autrement.
Une fois ces besoins fait et la douleur passée, il retourna au milieu de la pièce et s'assis le menton sur les genoux. Il devait arrêter de pensée à ces malheurs car il le savait il le faisait pour le bien de l'humanité, pour le bien des moldus et des sorciers, pour le bien de ses amis, qui il en était certain devait ce demander où il était… si ils lui avaient poser la question il aurait tous simplement répondu qu'il était partie s'entraîner.
S'ENTRAÎNER ! Mais pourquoi cela ! Il devait être l'un des sorciers les plus puissant que cette planète est porté, pendant plus d'un an, au lieu d'aller à Poudlard il était rester à Grimmault pour s'entraîner avec le professeur Dumbledore, grâce à des sortilèges de mémoires tirés d'un vieux livre de magie noir, il retenait tous par cœur : ce qu'un homme normale aurait pu assimiler en une dizaine d'année il le savait en une heure. Il s'était entraîner en occlumencie, dans lequel il était devenue un maître, il avait lui-même créé de nouvelle technique comme le cloisonnement cérébrale : caque partie ainsi créer à sa propre énergie, sa mémoire et ses pensées ; en faisant tourné toutes ces conscience sur le premier il pouvait reposer certaine partie de son esprit tandis que d'autre travaillait, avec des potions revigorantes, pour le corps, il pouvait rester éveillé ainsi pendant plusieurs mois. Il avait ainsi assimilé la totalité des connaissances en magie que contenait la bibliothèque de Poudlard, la magie noire n'avait aucun secret pur lui et l'expérience était avec lui : il combattait régulièrement Dumbledore et il arrivait maintenant à le battre en moins de cinq minutes. Il avait appris à se battre comme les moldus, comme les sorciers ; mais personne ne lui avait appris à tuer.
Oui son problème c'était qu'il n'était pas près à tuer, et à cause de cela ses amis étaient morts. Cela se passait le jour de la sortie alors que tous les étudiants reprenaient le Poudlard Express pour rentrer chez eux. Alors que le train était à la moitié du chemin, il s'était fait attaquer par des géants et une horde de Mangemorts. Le jeune homme avait été prévenu dès le début de l'attaque grâce aux systèmes de sécurité que l'Ordre avait placé. Il transplana dès qu'il le su et engagea le combat. Avec quelques sorts de destruction il avait arrêté les géants qui restait encore debout après que les défenseurs du train leurs eu infliger de sérieux dégâts.
Malheureusement ce n'était que la première vague et les Mangemorts était arrivés avec leurs sorts de mort. Le balafré s'était occupé d'eux à lui seul ; une fois dans le train il immobilisait tous les serviteurs du Maître des Ténèbres…il les immobilisait, mais jamais ne les tuait. Il arriva ainsi au compartiment de ses amis, il ouvrit la porte, un sortilège fusa qu'il évita par réflexe. Il mit en place un bouclier et entra la baguette levée. Sur le sol mort se trouvait le corps mort d'une jeune fille rousse, et juste à côte celui inconscient d'une brune. Près de la vitre se tenaient deux hommes, l'un tenant l'autre devant lui. Le capturé avait les cheveu roux comme sa sœur morte devant lui, sur son menton le ravisseur à la main d'argent tenait une baguette dont le sort de mort était près à partir, si le ravisseur se relâchait le sort partirait et tuerait son amis, et cela le jeune le savait. S'il essayait d'immobiliser le traître à ses parents le rouquin mourait. Le seul moyen qu'il connaissait pour empêcher cela c'était un sort de mort qu'il avait lui-même créé, un sort qui utilisait toute la magie de la personne visée pour détruire son corps. Mais bien qu'il pouvait sauvé son amis et que son adversaire était l'une des personnes dont il désirait le plus la mort, il ne pouvait se résoudre à tuer quelqu'un. Voyant son hésitation l'assassin relâcha le sort, et jeta le corps inerte de s victime sur le balafré pour ensuite s'enfuir par la fenêtre.
Le jeune homme resta ainsi pétrifié pendant plusieurs minutes, puis voyant son erreur il disparu en un endroit où son mentor ne pourrait le trouvé. Totalement démoralisé par la mort de ses amis, il failli se laissé dépasser par sa peine et sombré dans la folie. Mais une idée vint l'en empêcher, une idée qui se résume en un mot : la VENGEANCE !
Pendant un mois entier il chercha le pourquoi de son échec pendant qu'il travaillait encore plus la magie noire. Il s'y immergea complètement, les grimoires anciens s'étalaient devant lui. Et quand il crut qu'il avait tout appris, il découvrit sa faiblesse un nouvel horizon s'ouvrit devant lui : il devait apprendre ce que personne n'avait jamais oser lui apprendre ; il devait savoir reprendre la vie, savoir être le dieu dispensateur de la vie, devenir un tueur.
Il chercha longtemps un endroit où l'on pourrait lui apprendre, mais dans le monde sorcier il ne trouva personne, il se rabattit alors sur les moldus et là il trouva son bonheur. Un groupe gouvernemental secret cherchait des personnes voulant devenir des tueurs aux sangs froids. Il accepta, ne sachant pas ce qui l'attendait il regroupa tous ses pouvoirs magique et sa connaissance dans une petite partie de son esprit qu'il protégea pour que quand il serait devenu un tueur ses pouvoirs se réveillent et lui permettent enfin de tuer le meurtrier de ses parents. Il ne plaça pas de penser dans cette zone, il savait que c'étaient ses pensées qui l'avaient empêché de sauver ses amis. Aucune pensée enfin si une : la vengeance !
Et c'est ainsi qu'il se présenta : la fleur aux fusil ne se doutant pas de ce qu'il allait subir pour assouvir vendetta.
Au début de son entraînement ils étaient 14 dans le groupe, mais au fur et à mesure que les sévices se faisaient plus violent, ils n'étaient plus maintenant que 7. Le dernier à être mort avait été torturé pendant deux jours car il avait essayé de s'échapper. Mais cela était impossible. Pendant deux jours on entendit les cris de l'homme : on l'avait violé, électrocuté, brûlé, écartelé, arraché les ongles, enlevé les yeux à la petite cuillère, castré, amputé un bras et une jambes, arraché la peau à maints endroits, on avait cherché ses nerfs et ils les avaient excité avec un courant de 220V c'est cette douleur incommensurable qui le tua.
Mais pourquoi les faisait on souffrir comme çà pour qu'ils deviennent des tueurs ? Et bien tous simplement pour leur enlever toute humanité, une fois leurs esprits totalement détruits, ils pourraient leurs apprendre à tuer sans ressentir aucun des sentiments humains qui pourrait suivre cet acte, de plus il pourrait les manipuler comme ils le voudraient n'ayant aucune conscience d'eux même. Déjà chez le balafré il voyait son humanité se détérioré, ils en étaient fiers car avec l'asiatique c'était les plus récalcitrant, les autres déjà n'était plus humain. Grâce à des drogues ils deviendraient plus forts que les autres humains, leurs résistances accrues feraient un malheur sur les champs de bataille. Et une fois ces spécimens livré à l'armée, il pourrait commencé une nouvelle fournée. Car il est vraie qu'ils adoraient torturé ses animaux, ils en retiraient une joie sadique.
Tous cela était un bien jolie plan, mais il n'avait pas prévue qu'un sorcier pourrait s'immiscer dans leurs envies, comment aurait il pu ne sachant même pas l'existence de la magie. Car le jeune homme le savait lui que cela ne se passerais pas comme çà, c'était d'ailleurs à ça qu'il pensait depuis toute à l'heure. Car oui il avait vu ce que lui resservait le future, comme Cassandre on lui avait envoyé un songe.
C'était la nuit d'avant-hier, alors qu'il dormait toujours aussi inconfortablement que le premier jour, il s'était retrouvé dans un profond sommeil, un sommeil si profond qu'il n'en avait jamais eu de tels. Il avait l'impression de plonger dans un puit sans fond duquel il ne pourrait jamais ressortir. Alors qu'il continuait à tomber, il vit apparaître de cette abyme une vague lumière au loin, instinctivement il se sentit attirer par elle, la vitesse augmenta et il arriva à la source lumineuse à une si grande vitesse qu'il en eu peur. Une fois à la lumière de multiples flashes mordorés l'éblouirent. Il se réveilla en sursaut ne comprenant pas ce rêve qui était encore plus étrange que ceux envoyer par son ennemie. De ce rêve il se souvenait de tous, mais une fois dans la lumière c'était le flou le plus totale, mais plus il y repensait plus cela s'éclaircissait car il le savait ce songe était important. Et soudain se fut l'illumination, il voyait, il percevait, il savait, il connaissait tous ce qu'il allait connaître, savoir, percevoir, voir dans son avenir, qui n'était maintenant, pour lui, qu'un souvenir.
Il savait qu'il allait souffrir, et il souffrit ce qu'il souffrirait ; on allait le torturer comme aucun doloris ne pourrait faire mal. Il le savait bientôt son esprit lâcherait et il pourrait le ramasser à la petite cuillère, et faire de son corps une arme parfaite ; il le savait il allait tuer sur commande et peut être même des innocents mais il n'en aurait rien à faire, il éprouverait alors un plaisir sadique à faire souffrir autrui. Ces mains seraient des armes mortelles, les armes blanches de létales amies, les armes à feu de loyal servant ; de milliers de façon on lui aura alors appris à tuer et ainsi il sera le meilleur de se groupe de tueur où il ne serait que quatre, les trois autres mourront dans leur mission d'entraînement. Et leurs tortionnaires-instructeurs seraient alors fier de les appeler leur cavalier de l'Apocalypse. Une fois son instruction terminé le balafré, renommé Mort, les tueras tous car de son esprit la magie se réveilla et avec elle sa vengeance. Nul ne devait alors savoir ce qu'il avait fait, il n'y avait alors qu'une seule solution faire disparaître toute trace de l'existence de se progrès ; il devait tous les tuer. Les premiers à disparaître furent ses compagnons d'infortune : Peste, Famine et Guerre ; puis bientôt se fut les tortionnaires qu'il élimina : eux furent plus difficile car une fois appris qu'on souhaitait intenter à leurs vies ils s'étaient réfugié dans des lieux hautement sécurisés ; il tua les gardes et tortura ses instructeurs en leur montrant qu'il avait bien appris leur leçons, et en cela il n'utilisa point de magie c'était beaucoup plus drôle sans.
Une fois fait table rase de son passé, il commença à recueillir des informations sur son vieil ennemi, mais toujours au lieu d'utiliser un sortilège Legillimens, son sadisme les torturait et il en prenait un plaisir quasi érotique que de voir les gens avoir peur de son ombre. C'est ainsi qu'il vengea son parrain et ses amis, de ces mangemorts on ne trouva que quelques morceaux et beaucoup de sang, tous ignorait son nom mais chacun savait qu'il existait ; les opposant au Lord noir le respectait car par ses actions de nombreuses personnes avait été sauvé mais d'autre part le craignait pour sa cruauté ; pour les partisans du serpent la crainte était plus grande que celle que celle qu'il ressentait en présence de leur maître. Lui-même n'osait plus se montrer à ses mangemorts de crainte que l'un ne puissent dire à la mort où il se trouvait : ses actions se faisait moins nombreuses et spectaculaires.
Le mentor du balafré tentait de savoir qui se cachait derrière se justicier, essayant de discerner rumeurs et vérités. L'une d'elle particulièrement était aimé du grand public : elle disait que la Mort une fois ses victimes trépassé leurs prenait leur connaissance et leur pouvoir. Elle était en partie vrai sauf que le jeune homme leurs prenait quand ils étaient encore en vie. De ses nouvelles connaissance il en appliqua quelques unes sur lui : il se couvrit le corps de signes cabalistiques et de runes tracé au fer chaud à même la peau, il pouvait alors faire de la magie sans baguette, se protéger de sorts mortelles et se prémunir de la mort. A son corps il avait fusionné différent constituant magique le rendant plus fort mais se bannissant par la même du repos éternel, mais il n'en avait cure seul sa vengeance lui importait : à sa chair il avait associé des éléments d'êtres magiques : du détraqueur et de l'épouventard il avait pris le pouvoir de peur ; à la licorne il avait pris la guérison, au géant il avait pris la force…Ainsi il était l'être le plus maléfique de la Terre : un être surpuissant juste motivé par la vengeance !
Du balafré des débuts il ne subsistait que l'éclair sur front. Sa peau était noir, ses cicatrices blanches et ses runes rouges, sa peau étai épaisse et visible à tous, il ne voyageait maintenant que nu. Ses longs cheveux geais et toujours indisciplinés lui descendait jusqu'au bas des reins, d'où partait une longue et fine queue finie par une pointe de métal tranchante comme un rasoir. De son pénis autrefois rabougris, il ne restait plus rien : jamais plus il ne pourrait connaître les plaisirs de la chair. Tous en le voyant pensait que c'était le démon, et il en était finalement devenu un ; en un petit mois il avait liquidé une centaine de personnes et ce n'est qu'enfin qu'il trouva son ennemi.
Une fois débusqué le serpent mourut en deux minutes, la peur l'étreignait et sa mort fut comme sa vie moche et sans satisfaction. La Mort avait tellement imaginé se moment qu'une fois l'action accompli cela avait perdu toute saveur, sa mort avait été rapide et douloureuse. Il avait accompli sa vengeance, mais maintenant qu'allait il faire ? il avait les pouvoirs de son ennemie, il était invincible et il le savait la mort se refuserait toujours à lui…que faire de sa vie quand on a aucun but ? il ne le savait pas et ne le saura jamais…il aurait pu prendre la place laissé vacante de seigneur du mal, mais quand avait il à faire nul ne pourrai lui résister et quand il aurait tué toute l'humanité que ferait il ?
Et la vision s'était arrêtée là…il ne savait rien de ce qui se passerait après, et sa trace d'humanité s'en inquiétait ; qu'allait il se passer après ? Allait il vraiment devenir ce monstre ? Même pour le bien de l'humanité cela en valait il le coup ? Une autre part de lui disait Oui ; de toute façon disait elle il ne pouvait rien changé à cela, le seul moyen possible serait d'incruster de nouvelles idée dans sa zone de magie : c'était impossible ; et si ça l'était aurait il pu détruire se serpent…
Mais qu'allait il faire…nul ne le su.
De toute façon sa part d'humanité commençait à faiblir et s'en préoccupait de moins en moins. Il pensait plus à lui maintenant que les autres hommes lui étaient de plus en plus indifférents. Egoïste ? Non les autres l'étaient, lui se sacrifierait pour eux, il s'était sacrifié pour eux ! On se souviendrait de lui comme le vainqueur de Voldemort car lui seul peut le tuer, mais jamais on ne se souviendra du garçon chétif qui avait été manipulé pour devenir le bras vengeur de l'humanité à laquelle il n'appartenait plus. Quand les jeunes sorciers demanderait à leur parents « Papa raconte moi l'histoire de Harry le Survivant », le père ne parlerait pas de sa peur avait l'attaque, de sa peine de la perte de ses parents et de son parrain et de ses amis, ni de son envie irrépressible d'être un gamin comme les autres ; non ce qu'on retiendrait serait son courage, sa force, sa folie meurtrière : on le montrerait en exemple à tous les apprentis aurores « Voilà ce que vous devez faire aux démons, prenez exemples le Survivant ! ». On le plaindrait aussi, non on plaindrait se pauvre petit être qui s'étai sacrifié pour le bien de tous… FOUTAISES ! Il ne s'était pas sacrifié ; l'humanité l'avait posé sur l'autel des hécatombes et de son âme meurtri sortis le dragon à sept tête et dix cornes, et sur ces têtes des noms de blasphèmes…Finalement qu'en avait il à faire que l'humanité périsse il n'était que son instrument.
De ses deux jours de réflexion sortit le fait qu'il accepterait son destin et que l'Homme prennent garde de sa vengeance.
Un bruit se fit entendre derrière la porte, le bruit de quelqu'un qu'on traîne au sol et les gémissement de cette dernière : c'était la Peste, l'asiatique qui revenait de sa séance de déshumanisation. Il le savait s'était bientôt à lui. La porte s'ouvrit bruyamment deux hommes rentrèrent et le saisir violement, et le tirèrent vivement jusqu'à la salle de torture, si vite qu'il ne pouvait marcher, ses pieds traînaient donc sous lui. Il ne résistait plus, ne se débattait plus, s'était inutile.
Une fois arrivé au centre de la salle, ils l'allongèrent sur une table métallique, et avec des sangles de cuir lui attachèrent les bras et les jambes. Les deux hommes se retirèrent et d'une porte dérobé, le balafré vit venir un docteur (un masque de chirurgien lui recouvrait le visage), il poussait devant lui un petit plateau à roulette, sur lequel, celui qui allait devenir Mort reconnu les instrument de torture habituelle : batterie, scalpels, acide, sel, pinces en tous genres, et l'indispensable adrénaline (il faut bien que les spécimens restent conscient tous de même sinon cela ne sert à rien !). L'homme s'approcha du prisonnier, lui souhaita la bonne journée. Il prit alors un scalpel et commença à ouvrir le torse du jeune homme, une fois terminé il déboucha un flacon d'acide chlorhydrique très concentré et au goûte à goûte il commença à en déverser dans la plaie. La douleur l'étreignit, son corps fut pris de violente secousses, il se débattait il voulait s'enfuir…impossible.
Son esprit était en pleine activité, sa part d'humanité essayait de s'accrocher aux moindres souvenirs pour garder le contrôle de ce corps. Mais le néant était plus fort et chaque nouvelle torture il faisait reculer l'Homme dans ses derniers retranchements, tandis que les souvenirs disparaissaient dans le noir ; bientôt alors qu la torture n'était qu'à son premier quart l'humain mourut. Harry n'était plus, et dans ce corps il n'avait jamais exister ; un être était alors née, il ne portait pas encore de nom et aucun de ceux qu'on lui attribuera plus tard n lui appartiendrait vraiment. Cet être serait à jamais nu de sentiment, la douleur pour lui ne signifierait rien. Son entraînement commencerait bientôt, bientôt le sang s'écoulera grâce à ses mains.
L'Histoire était en marche, accompagné par la Mort et la peine ; une chose était né en ce jour que bientôt l'Homme regretterait d'avoir créer, une chose innommable et sans nom, une chose devant laquelle il se prosternerait et mourrait, une chose qui de son fléau gouvernerait la Terre.
Regarde, Homme, ce que tu as créé de tes mains et repends toi : la fin justifie-t-elle encore les moyens ?
