Dans la grande ville
Ils sont de retour au Japon, pour la fin du congé de Noël. Cependant, les jours s'écoulent et le moment du départ pour Lionel s'approche dangereusement. Nous passons des moments magiques qui nous font perdre la notion du temps, qui sans cesse nous rattrape et nous rappelle de profiter du peu de temps qu'il nous laisse. Mais ce temps est court, au point que déjà c'est le moment de partir. (Je suppose que vous avez compris que ce chapitre parlera du départ de Lionel.)
À l'aéroport.
Sakura: Je veux que tu gardes ce médaillon.
Lionel: Je le protègerai plus que ma vie.
Elle le lui tendit et il le prit. Sans qu'elle puisse les retenir, ses larmes glissèrent le long de ses joues. Voyant cela, Lionel la pris dans ses bras.
Lionel: Je vais revenir le plus vite possible, je te le jure.
Sakura: Chaque fois que tu l'auras autour du cou, je saurai que tu vas bien. Il est magique. Je l'ai crée pour toi.
Lionel: Merci.
Il l'a serra un peu plus et il l'embrassa. Soudain, on interpella les passagers du vol 243,son vol.
Lionel: Il faut que j'y aille c'est mon vol. N'oublis pas que je t'aime. Et surtout ne m'oubli pas.
Sakura essuyant ses larmes: Je t'attendrai toujours, parce que moi aussi je t'aime.
Dans l'avion. Il pris le médaillon et l'ouvrit. À l'intérieur, une photo de Sakura. Il la pressa sur son c?ur.
Lionel:Sakura...
Il s'endormit pendant le voyage et arrivé là-bas une hôtesse de l'air vint le réveiller. Un groupe de militant était supposé l'attendre et il n'eut pas à attendre longtemps avant que celui-ci ne le remarque et lui fasse signe. Ils allèrent au quartier général, d'où ils allaient concocter un plan contre les rebelles. Lionel eut un peu plus d'information sur ceux qu'il allait combattre. C'était les magiciens du Cercle qui sous les ordres de Diablissimo attaquait sans cesse les rues de la ville.
Lionel:Il faut commencer par...
Un homme: Monsieur, je ne sais pas si vous le savez mais de votre main s'échappe une forte puissance magique.
Lionel: C'est un médaillon que quelqu'un que j'aime beaucoup m'a donné.
Encore cet homme: Eh bien! Cette personne doit avoir une force magique extraordinaire.
Lionel: C'est exact.
Un autre homme: Il nous faudrait l'aide de cette personne, nous avons besoin de toutes les mains disponibles pour maîtriser ce malade.
Lionel: De loin, déjà, elle nous aide. Car, c'est par elle que tout se fera la différence.
Les hommes lui lancèrent un regard charger d'interrogation. Mais il ne poursuivit pas. Il placa le médaillon dans son cou et le rentra sous son T- shirt. À ce moment, il sentit pleinement la présence de l'«aura» du médaillon, celle de Sakura. Son c?ur se mit à battre plus fort et en plus un petit tambour battait à ses oreilles, le c?ur de Sakura. Leur âme étaient liées. Lionel sourit.
Lionel: Bon, maintenant, au travail! Il va falloir faire des patrouilles. Combien d'hommes avons-nous à notre disposition?
Homme(Appelons-le George): 300,monsieur!
Lionel: Bien, sortez-moi les plans de la ville. Quelle est la fréquence des attaques?
George en montrant des points sur les cartes: Il y en a une tous les jours et deux la nuit. Elles se situent principalement, là, là et là.
Lionel: Alors, c'est là qu'il faut poster des troupes.
George: D'accord, Monsieur.
Lionel: J'aimerais qu'on me montre mes quartiers.
George: Un de mes hommes va vous y conduire. Jay! Conduit monsieur à ses quartiers.
Jay: Bien.
Un peu plus tard, dans l'aile ouest du bâtiment.
Jay: Par-ici. Voici votre appartement.
Lionel: Merci. Vous pouvez y aller.
Jay: Vos bagages y ont été déposer.
Lionel: Bien.
Dans les catacombes, où on croirait, à première vue, que personne n'habiterais là, vient le Mal ou Diablissimo, pour les intimes. C'est son repère, là où les décisions sont prises.
Diablissimo: Gaspard, lui as-tu remis?
Gaspard: Oui, Maître.
Diablissimo: En main propre?
Gaspard: Non, Maître, sinon cela aurais été dangereux.
Diablissimo:Je t'avais demander de lui donner mon message en main propre et tu ne l'as pas fait, alors tu connais ton châtiment...
Gaspard: Non, Maître... !
Le Mal, en claquant des doigts, fit disparaître le pauvre Gaspard. Des pas s'approche de lui.
Marcus: Tu n'es pas très patient. Gaspard n'a même pas eu le temps de te dire ce qu'il savait.
Diablissimo: Il savait ce que je lui avais demandé. Lui donner en main propre c'est tout. Après tout, elle n'est pas dangereuse, elle ne ferait pas de mal à une mouche.
Marcus: C'est ce que tu crois, elle a une seconde personnalité plutôt orgueilleuse et tenace.
Diablissimo: Seconde personnalité? Tu veux dire lorsqu'elle dit«Tout iras bien. » Ouach ! Je déteste cette phrase. Déjà à quinze ans, elle l'a disait.
Marcus: Quinze ans!!! ???Elle n'a que quatorze ans.
Diablissimo: Elle en est à sa seconde vie. Dans le passé, elle me créait déjà beaucoup de problème. Mais elle n'a pas résisté à un de mes sorts les plus puissants. Avant de mourir, elle m'a lancé un sort qui m'a endormit jusqu'à ce qu'elle soit prête à, de nouveau, m'affronté...
Marcus: Mais, dis-moi où sont tes autres disciples?
Diablissimo: Ils dirigent les troupes dans la ville pour le début de la conquête du monde.
Marcus: Donc, si tu es si sûr c'est que tu as trouvé les anges.
Diablissimo:...
Marcus: Non! Et tu crois que l'élue va te laisser faire.
Diablissimo: Pourquoi est-ce que j'aurais peur d'une gamine?
Marcus: Parce que cette même gamine est la maîtresse des cartes et a battu Clow Read.
Diablissimo:...
Plusieurs semaines passèrent sans qu'aucune attaque n'eurent lieux. Enfin un mois. Dans la chambre de Lionel.
Lionel: Sakura, tu me manque.
Un homme entra dans sa chambre à toute vitesse.
Jay: Monsieur, une attaque, ils attaquent au coin Queens Street et Princeton Boulevard. (Rues inventée)
Lionel: On y va!
Rendu au champ de bataille.
Lionel: Attaquez par groupe de cinq. Il ne faut ce laisser battre.
Pendant qu'il disait cela il avait 3 hommes sur son dos. (Façon de dire qu'il se battait seul contre trois.)
Lionel: Alors vous voulez jouer avec moi.
Homer riant(un homme de Diablissimo): Leurs combattants, ils les prennent au berceau!
Jack(Un autre homme): Ouais. Bébé.
Lionel attaquant à plusieurs reprise le pauvre Homer: Tu vas voir ce qu'il te dit le bébé.
Un autre homme, derrière lui, lui jeta un sort qui lui fit perdre connaissance. Les deux autres, brièvement blessé, le portèrent, à l'écart, sans que personne ne s'en rende compte. Et ils repartirent au combat sachant pertinemment que tant que ce sort agissait, le prisonnier ne s'échapperais pas. À la fin, leurs troupes en dérive, ils vinrent le chercher et ils l'apportèrent à leur Maître.
Diablissimo: Le voici donc! Ce jeune magicien qui ose s'attaquer à moi. Emportez-le dans la salle rouge. Attachez-le solidement.
Les trois hommes: Bien Maître.
Un peu plus tard. Lionel, reprend connaissance. Il est attaché, à une sorte de poutre, au milieu de la salle.
Diablissimo: Ainsi, on se réveille. Enfin!
Lionel: Tu veux me parler.
Diablissimo: Oui, si on peut dire. Cependant, il me trotte une question dans la tête.
Lionel: Laquelle?
Diablissimo: Mon hôte garde un souvenir de toi plutôt contradictoire avec les évènements d'aujourd'hui. Comment ce fait-il qu'un maître de l'art du combat et un novice de l'escrime comme toi se soit fais abattre par trois de mes pires hommes?
Lionel: Ils étaient trois contre moi. Et l'un d'eux m'a attaquer par derrière.
Diablissimo: Tu sais que si tu joins mes rends, tu serais sûr d'être avec le clan des gagnants.
Lionel: Je ne suis pas le genre d'homme à abandonner ma petite-amie , qui est extrêmement jolie, pour une espèce de démon vieux de 5000 ans.
Diablissimo:Merci du compliment. Passons aux choses sérieuses, où sont les anges?
Lionel:Je ne sais pas moi!Pourquoi est-ce que je le saurais?
Diablissimo:C'est moi qui pose les question.
Diablissimo le gifla à tout volé.
Auteure: Tient, c'est ça qu'on reçoit lorsqu'on essai de me tenir tête.
Diablissimo: Je ne veux pas m'insinuer dans votre conversation mais... ICI C'EST UNE BASE SECRETE!!
Auteure: Sache que je ne suis pas n'importe qui! Moi, l'Auteure, je vais là où je veux, personne ne peut m'en empêcher. Ah! Ah!Ah! Ah!Tousse! Tousse!
Spinel Sun: Maître? Vous avez un problème?
Auteure: Tient, Suppy, ça fait longtemps.
Ruby Moon: Voulez-vous qu'on se débarrasse de cette importune?
Diablissimo: Oui.
Auteure: Nooon! Vous n'avez pas le droit! Parce que Diablissimo, je suis ta mère. (Star War V)
Diablissimo horrifié: Nooon! Mais faites-la sortir quand même.
Auteure: Ingrat. Je reviendrai!
L'Auteure se fit sortir, non, sans se débattre.
Diablissimo: Bon, à nous deux, Lionel. Oh! Zut!Il est tombé sans connaissance. Il ne pourra pas m'aider maintenant.
Il le laissa, évanoui, dans la salle rouge. Attendant, l'éveil, du jeune homme, pour de nouveau l'interroger. Mais quelqu'un n'est pas de cet avis.
Marcus: Tu aurais dû mettre des gardes devant cette salle, mon cher Diablissimo.
Il prend une espèce de petite poudre, qu'il fait respiré à Lionel. (Je ne sais pas c'est quoi mais quand quelqu'un est évanoui, il respire ça ,puis il se réveille.)Lionel se réveille, mais avec encore l'esprit embrouillé, il ne reconnaît pas son sauveur. Marcus s'enfuit, avant qu'il n'eut le temps de reprendre vraiment connaissance.
Lionel: Où suis-je?
Il s'adapta à la lumière tamisé de la pièce.
Lionel:Ah! J'ai mal au crâne! C'est la dernière fois que j'agace l'Auteure. Elle frappe vraiment fort.
Auteure:Désolée de te contredire mais, malheureusement, ce n'est pas moi qui t'aies frappé.
Lionel:Peut être mais tu lui a ordonner de me frapper.
Auteure:Oui, mais je l'ai amèrement regretté. Il m'a mis à la porte de son repère. Quand même ,je ne suis pas n'importe qui!!
Lionel:Libère-moi et on va pouvoir lui arranger le portrait.
Auteure:Je te fais remarquer que moi je suis au Canada en ce moment.
Lionel:Et comment fais-tu pour me parler?
Auteure:L'Internet, tu connais pas? C'est fou ce qu'on peut faire avec ça.
Lionel:On peut pas me libéré?
Auteure ironique:Noon! En fait, oui, mais se serais moins rigolo.
Lionel:Oui, mais tu pense pas à moi?Je suis attacher depuis je ne sais combien de temps à cette poutre.
Auteure:Désolée, mais il faut un peu d'action dans ce foutu fanfic. Fichtre!Il n'y en quasiment pas. Donc utilise ton système D.
Lionel:Système D?
Auteure:Le système débrouillardise.
Lionel:Je le ferai quand tu m'auras sorti de là. Surtout que c'est toi qui m'a mis dans ce pétrin. Fais n'importe quoi!Appelle Kero, dit lui de venir m'aider après tout il voulait avoir un rôle dans ce chapitre!
Auteure:Non, ça lui ferais bien trop plaisir. Bon, il faut que je te laisse.
Lionel:Noon! Auteure?Auutteeuuree?!?Bon, je dois avoir des sorts dans mes poches, j'espère pouvoir les atteindre. Ils sont vraiment idiots, ils n'ont même pas penser à me fouiller. Ah!J'en ai un!Dieu du feu!Ça marche pas !J'ai pas pris le bon.
À nouveau, il plonge ,comme il peut, sa main dans sa poche.
Lionel:Dieu du Feu! Ouais, ça a marcher.
Maintenant, Lionel est libre, il cherche son épée. Malheureusement, elle n'est pas dans la même pièce que lui. Il regarde dans la serrure à la recherche du loquet qui lui permettrait d'ouvrir la porte. Mais aussitôt, qu'il s'appuie sur celle-ci ,elle s'ouvre le laissant ,soudainement, tomber par terre.
Lionel:Ils sont encore plus stupide que je le pensais.
Alors, armé seulement de son courage, il parcoure les tunnels et galeries que constitue la base secrète.(Elle est pas tellement secrète. À l'entrée, il y a un énorme affiche écrit: Attention ! ! ! Base secrète de Diablissimo. Prenez gare lapin dangereux.)
Lionel:Si j'étais stupide où est que je mettrais mon épée...À l'entrée! Bien sûr!
Il court, il court encore plus vite à la recherche de son épée. Et aussi de la sortir.
Lionel:Il pourrait mettre des affiches. Il y a de quoi se perdre ici.
Tout à coup, il remarque un espèce de tableau ,sur le mur ,un peu plus loin.
Lionel lisant l'affiche:Tokyo 12345 km au sud-est, Paris 345 km au sud, Père Noël city 565 km au nord. Sortie 400 m à gauche. Mais où est-ce qu'on va aujourd'hui?
Auteure:D'après l'affiche, c'est à gauche qu'il faut aller.
Lionel:C'était une question qui ne demandait pas à être répondu.
Auteure:Oh!
Lionel:Aller on y va. Mes hommes doivent se demander où je suis.
Auteure:Je ne compterais pas trop là -dessus.
Au quartier générale.
Jay:Je suis sûr qu'il doit se faire du plaisir en ce moment.
George:Qu'est-ce qui te dit ça?
Jay: Au coin Queens Street et Princeton Boulevard, il y a plein de boîte de nuit. Il doit être là-bas. Ou sinon c'est qu'il s'est fait capturer...
George:Quoi! Mais il faut le retrouver! Sa mère va me tuer si elle l'apprend!
Jay:Du calme! Ça doit être un plan, pour récupéré des informations sur l'ennemi.
George:J'espère, sincèrement, j'espère.
Jay:T'as peur d'une femme!?
George:Elle est plutôt dangereuse. Déjà, au moment où son mari est venu ici ,combattre, elle avait un sale caractère. Tous les jours, elle appelait et poignait les nerfs quand il n'était pas là. Imagine, alors avec son fils.
De retour à Lionel.
Lionel:Mon épée, la voila!
Auteure:On dirait un gamin.
Lionel:On sort de cet enfer. Enfin!
Auteure:Parle pour toi, moi il faut que je retrouve cet &?$/±@¤¬"£¢ de Diablissimo.
Lionel:Bonne chance.
Dans le repère, au milieu d'une salle où se mélange plan et armement.
Auteure:Vous devriez faire le ménage. C'est vraiment sale ici.
Diablissimo:Tu es revenue. Tient mes deux amis que voici ne t'ont pas fait comprendre la message ou c'est toi qui veux pas comprendre.
Auteure:Les deux, je suis du genre obstinée. Surtout quand on me traite comme tu l'as fais. J'aurais pu te donner des tonnes d'informations sur ce que tu cherches ou plutôt sur ceux que tu cherches.
Diablissimo intéressé: Vraiment?
Auteure:Non, mais j'aurais pu.
Diablissimo:Alors dégage, tu déranges mes hommes!
Clic. Pouf!
Auteure:Quels hommes?
Diablissimo en se tournant vers ceux-ci: Ceux-là....Qu'as-tu fait de mes hommes?
Auteure:Je les ai effacé!
Diablissimo:Pourquoi, je les aimais bien ,moi.
Auteure:Je ne crois pas que tu les aimais. En fait, je ne crois pas que tu puisses aimer quelqu'un.
Diablissimo:Ce n'est pas très gentil.
Auteure:Parce que tu penses savoir c'est quoi être gentil. AH! Laisse moi rire.
Diablissimo:Je n'ai rien à me reproché, enfin jusqu'à maintenant.
Auteure:Tu mériterais que je t'efface, mais je ne le ferai pas. Je ne voudrais pas gâché tout mon suspense.
Diablissimo:...
En route vers son quartier générale, Lionel pense que quelque chose cloche.
Lionel:Pourquoi est-ce depuis tout à l'heure je sens une force différente à celle de Sakura émanant du médaillon?Ce n'est pas normal. Enfin...Où est ce fichu quartier générale?Il doit avoir son adresse dans le bottin téléphonique.
Il voit une cabine téléphonique et entre dedans .Dans le bottin, il passe pas les Quartier, les Général, les Base, les Secrète, sans rien trouvé de concret.(Ce sont des noms de famille.)
Lionel:Même pas dans le bottin! Sous mon commandement ça va changer.
Auteure:T'as besoin d'aide?
Lionel:Où est la base?
Auteure:32422 rue du lapin dangereux.
Lionel:Bizarre...Enfin, c'est la seule piste que j'aie.
Rendu là-bas.(Eh oui c'était la bonne rue)
George:Le voilà! Monsieur, où étiez-vous?
Lionel:J'ai fais un petit tour...
Jay:Je le savais...!
Lionel:...À la base de l'ennemi.
Jay:Je le savais!
George:Avez-vous des infos à nous communiquer?
Lionel:Non.
Auteure:Moi, j'en ai.
George: Suis-je le seul à avoir entendu cette voix?
Auteure soupira: De nos jours on a plus de reconnaissance, envers ses supérieurs.
Lionel chuchota vers les deux hommes:C'est l'Auteure...
Jay et George:Oooh!
George:Parlez, parlez.
Auteure:Vous n'aurez plus de problème avec les hommes de votre ennemi.
Jay:Pourquoi?
Auteure:Je les ai effacé.
George:Les pauvres hommes...
Auteure:J'étais fatigué de toujours être obligé de leur trouvé un nom. Ça pourrait arriver avec vous aussi.
George et Jay suppliant:Non!S'il vous plaît.
Auteure:Je vais écrire un livre à la fin de cette histoire. Son titre va être:L'art de faire supplier un homme. C'est géniale.
Lionel:Tu ne changeras donc jamais.
Auteure:Pourquoi est-ce que je changerais, j'ai encore le temps de m'amuser un peu.
Lionel resta encore un bout de temps, pour être sûr qu'aucune autre attaque ne se produise pendant son absence, ils allèrent même à la base «secrète» de Diablissimo qu'ils trouvèrent vide. Encore une fois ,il s'échappait.
Lionel déterminé:La prochaine fois sera la bonne.
De loin, il observait.
Diablissimo:Personne n'échappe au courroux du Mal. Et mon cher Lionel tu ne fais pas partit des exceptions.
Auteure:Beuh!
Diablissimo:Aaah!
Il tomba du toit duquel il surplombait la ville et tomba dans une poubelle.
Diablissimo:Je me vengerai pour ça.
Auteure:On en reparlera dans deux chapitres.
Fin
Ils sont de retour au Japon, pour la fin du congé de Noël. Cependant, les jours s'écoulent et le moment du départ pour Lionel s'approche dangereusement. Nous passons des moments magiques qui nous font perdre la notion du temps, qui sans cesse nous rattrape et nous rappelle de profiter du peu de temps qu'il nous laisse. Mais ce temps est court, au point que déjà c'est le moment de partir. (Je suppose que vous avez compris que ce chapitre parlera du départ de Lionel.)
À l'aéroport.
Sakura: Je veux que tu gardes ce médaillon.
Lionel: Je le protègerai plus que ma vie.
Elle le lui tendit et il le prit. Sans qu'elle puisse les retenir, ses larmes glissèrent le long de ses joues. Voyant cela, Lionel la pris dans ses bras.
Lionel: Je vais revenir le plus vite possible, je te le jure.
Sakura: Chaque fois que tu l'auras autour du cou, je saurai que tu vas bien. Il est magique. Je l'ai crée pour toi.
Lionel: Merci.
Il l'a serra un peu plus et il l'embrassa. Soudain, on interpella les passagers du vol 243,son vol.
Lionel: Il faut que j'y aille c'est mon vol. N'oublis pas que je t'aime. Et surtout ne m'oubli pas.
Sakura essuyant ses larmes: Je t'attendrai toujours, parce que moi aussi je t'aime.
Dans l'avion. Il pris le médaillon et l'ouvrit. À l'intérieur, une photo de Sakura. Il la pressa sur son c?ur.
Lionel:Sakura...
Il s'endormit pendant le voyage et arrivé là-bas une hôtesse de l'air vint le réveiller. Un groupe de militant était supposé l'attendre et il n'eut pas à attendre longtemps avant que celui-ci ne le remarque et lui fasse signe. Ils allèrent au quartier général, d'où ils allaient concocter un plan contre les rebelles. Lionel eut un peu plus d'information sur ceux qu'il allait combattre. C'était les magiciens du Cercle qui sous les ordres de Diablissimo attaquait sans cesse les rues de la ville.
Lionel:Il faut commencer par...
Un homme: Monsieur, je ne sais pas si vous le savez mais de votre main s'échappe une forte puissance magique.
Lionel: C'est un médaillon que quelqu'un que j'aime beaucoup m'a donné.
Encore cet homme: Eh bien! Cette personne doit avoir une force magique extraordinaire.
Lionel: C'est exact.
Un autre homme: Il nous faudrait l'aide de cette personne, nous avons besoin de toutes les mains disponibles pour maîtriser ce malade.
Lionel: De loin, déjà, elle nous aide. Car, c'est par elle que tout se fera la différence.
Les hommes lui lancèrent un regard charger d'interrogation. Mais il ne poursuivit pas. Il placa le médaillon dans son cou et le rentra sous son T- shirt. À ce moment, il sentit pleinement la présence de l'«aura» du médaillon, celle de Sakura. Son c?ur se mit à battre plus fort et en plus un petit tambour battait à ses oreilles, le c?ur de Sakura. Leur âme étaient liées. Lionel sourit.
Lionel: Bon, maintenant, au travail! Il va falloir faire des patrouilles. Combien d'hommes avons-nous à notre disposition?
Homme(Appelons-le George): 300,monsieur!
Lionel: Bien, sortez-moi les plans de la ville. Quelle est la fréquence des attaques?
George en montrant des points sur les cartes: Il y en a une tous les jours et deux la nuit. Elles se situent principalement, là, là et là.
Lionel: Alors, c'est là qu'il faut poster des troupes.
George: D'accord, Monsieur.
Lionel: J'aimerais qu'on me montre mes quartiers.
George: Un de mes hommes va vous y conduire. Jay! Conduit monsieur à ses quartiers.
Jay: Bien.
Un peu plus tard, dans l'aile ouest du bâtiment.
Jay: Par-ici. Voici votre appartement.
Lionel: Merci. Vous pouvez y aller.
Jay: Vos bagages y ont été déposer.
Lionel: Bien.
Dans les catacombes, où on croirait, à première vue, que personne n'habiterais là, vient le Mal ou Diablissimo, pour les intimes. C'est son repère, là où les décisions sont prises.
Diablissimo: Gaspard, lui as-tu remis?
Gaspard: Oui, Maître.
Diablissimo: En main propre?
Gaspard: Non, Maître, sinon cela aurais été dangereux.
Diablissimo:Je t'avais demander de lui donner mon message en main propre et tu ne l'as pas fait, alors tu connais ton châtiment...
Gaspard: Non, Maître... !
Le Mal, en claquant des doigts, fit disparaître le pauvre Gaspard. Des pas s'approche de lui.
Marcus: Tu n'es pas très patient. Gaspard n'a même pas eu le temps de te dire ce qu'il savait.
Diablissimo: Il savait ce que je lui avais demandé. Lui donner en main propre c'est tout. Après tout, elle n'est pas dangereuse, elle ne ferait pas de mal à une mouche.
Marcus: C'est ce que tu crois, elle a une seconde personnalité plutôt orgueilleuse et tenace.
Diablissimo: Seconde personnalité? Tu veux dire lorsqu'elle dit«Tout iras bien. » Ouach ! Je déteste cette phrase. Déjà à quinze ans, elle l'a disait.
Marcus: Quinze ans!!! ???Elle n'a que quatorze ans.
Diablissimo: Elle en est à sa seconde vie. Dans le passé, elle me créait déjà beaucoup de problème. Mais elle n'a pas résisté à un de mes sorts les plus puissants. Avant de mourir, elle m'a lancé un sort qui m'a endormit jusqu'à ce qu'elle soit prête à, de nouveau, m'affronté...
Marcus: Mais, dis-moi où sont tes autres disciples?
Diablissimo: Ils dirigent les troupes dans la ville pour le début de la conquête du monde.
Marcus: Donc, si tu es si sûr c'est que tu as trouvé les anges.
Diablissimo:...
Marcus: Non! Et tu crois que l'élue va te laisser faire.
Diablissimo: Pourquoi est-ce que j'aurais peur d'une gamine?
Marcus: Parce que cette même gamine est la maîtresse des cartes et a battu Clow Read.
Diablissimo:...
Plusieurs semaines passèrent sans qu'aucune attaque n'eurent lieux. Enfin un mois. Dans la chambre de Lionel.
Lionel: Sakura, tu me manque.
Un homme entra dans sa chambre à toute vitesse.
Jay: Monsieur, une attaque, ils attaquent au coin Queens Street et Princeton Boulevard. (Rues inventée)
Lionel: On y va!
Rendu au champ de bataille.
Lionel: Attaquez par groupe de cinq. Il ne faut ce laisser battre.
Pendant qu'il disait cela il avait 3 hommes sur son dos. (Façon de dire qu'il se battait seul contre trois.)
Lionel: Alors vous voulez jouer avec moi.
Homer riant(un homme de Diablissimo): Leurs combattants, ils les prennent au berceau!
Jack(Un autre homme): Ouais. Bébé.
Lionel attaquant à plusieurs reprise le pauvre Homer: Tu vas voir ce qu'il te dit le bébé.
Un autre homme, derrière lui, lui jeta un sort qui lui fit perdre connaissance. Les deux autres, brièvement blessé, le portèrent, à l'écart, sans que personne ne s'en rende compte. Et ils repartirent au combat sachant pertinemment que tant que ce sort agissait, le prisonnier ne s'échapperais pas. À la fin, leurs troupes en dérive, ils vinrent le chercher et ils l'apportèrent à leur Maître.
Diablissimo: Le voici donc! Ce jeune magicien qui ose s'attaquer à moi. Emportez-le dans la salle rouge. Attachez-le solidement.
Les trois hommes: Bien Maître.
Un peu plus tard. Lionel, reprend connaissance. Il est attaché, à une sorte de poutre, au milieu de la salle.
Diablissimo: Ainsi, on se réveille. Enfin!
Lionel: Tu veux me parler.
Diablissimo: Oui, si on peut dire. Cependant, il me trotte une question dans la tête.
Lionel: Laquelle?
Diablissimo: Mon hôte garde un souvenir de toi plutôt contradictoire avec les évènements d'aujourd'hui. Comment ce fait-il qu'un maître de l'art du combat et un novice de l'escrime comme toi se soit fais abattre par trois de mes pires hommes?
Lionel: Ils étaient trois contre moi. Et l'un d'eux m'a attaquer par derrière.
Diablissimo: Tu sais que si tu joins mes rends, tu serais sûr d'être avec le clan des gagnants.
Lionel: Je ne suis pas le genre d'homme à abandonner ma petite-amie , qui est extrêmement jolie, pour une espèce de démon vieux de 5000 ans.
Diablissimo:Merci du compliment. Passons aux choses sérieuses, où sont les anges?
Lionel:Je ne sais pas moi!Pourquoi est-ce que je le saurais?
Diablissimo:C'est moi qui pose les question.
Diablissimo le gifla à tout volé.
Auteure: Tient, c'est ça qu'on reçoit lorsqu'on essai de me tenir tête.
Diablissimo: Je ne veux pas m'insinuer dans votre conversation mais... ICI C'EST UNE BASE SECRETE!!
Auteure: Sache que je ne suis pas n'importe qui! Moi, l'Auteure, je vais là où je veux, personne ne peut m'en empêcher. Ah! Ah!Ah! Ah!Tousse! Tousse!
Spinel Sun: Maître? Vous avez un problème?
Auteure: Tient, Suppy, ça fait longtemps.
Ruby Moon: Voulez-vous qu'on se débarrasse de cette importune?
Diablissimo: Oui.
Auteure: Nooon! Vous n'avez pas le droit! Parce que Diablissimo, je suis ta mère. (Star War V)
Diablissimo horrifié: Nooon! Mais faites-la sortir quand même.
Auteure: Ingrat. Je reviendrai!
L'Auteure se fit sortir, non, sans se débattre.
Diablissimo: Bon, à nous deux, Lionel. Oh! Zut!Il est tombé sans connaissance. Il ne pourra pas m'aider maintenant.
Il le laissa, évanoui, dans la salle rouge. Attendant, l'éveil, du jeune homme, pour de nouveau l'interroger. Mais quelqu'un n'est pas de cet avis.
Marcus: Tu aurais dû mettre des gardes devant cette salle, mon cher Diablissimo.
Il prend une espèce de petite poudre, qu'il fait respiré à Lionel. (Je ne sais pas c'est quoi mais quand quelqu'un est évanoui, il respire ça ,puis il se réveille.)Lionel se réveille, mais avec encore l'esprit embrouillé, il ne reconnaît pas son sauveur. Marcus s'enfuit, avant qu'il n'eut le temps de reprendre vraiment connaissance.
Lionel: Où suis-je?
Il s'adapta à la lumière tamisé de la pièce.
Lionel:Ah! J'ai mal au crâne! C'est la dernière fois que j'agace l'Auteure. Elle frappe vraiment fort.
Auteure:Désolée de te contredire mais, malheureusement, ce n'est pas moi qui t'aies frappé.
Lionel:Peut être mais tu lui a ordonner de me frapper.
Auteure:Oui, mais je l'ai amèrement regretté. Il m'a mis à la porte de son repère. Quand même ,je ne suis pas n'importe qui!!
Lionel:Libère-moi et on va pouvoir lui arranger le portrait.
Auteure:Je te fais remarquer que moi je suis au Canada en ce moment.
Lionel:Et comment fais-tu pour me parler?
Auteure:L'Internet, tu connais pas? C'est fou ce qu'on peut faire avec ça.
Lionel:On peut pas me libéré?
Auteure ironique:Noon! En fait, oui, mais se serais moins rigolo.
Lionel:Oui, mais tu pense pas à moi?Je suis attacher depuis je ne sais combien de temps à cette poutre.
Auteure:Désolée, mais il faut un peu d'action dans ce foutu fanfic. Fichtre!Il n'y en quasiment pas. Donc utilise ton système D.
Lionel:Système D?
Auteure:Le système débrouillardise.
Lionel:Je le ferai quand tu m'auras sorti de là. Surtout que c'est toi qui m'a mis dans ce pétrin. Fais n'importe quoi!Appelle Kero, dit lui de venir m'aider après tout il voulait avoir un rôle dans ce chapitre!
Auteure:Non, ça lui ferais bien trop plaisir. Bon, il faut que je te laisse.
Lionel:Noon! Auteure?Auutteeuuree?!?Bon, je dois avoir des sorts dans mes poches, j'espère pouvoir les atteindre. Ils sont vraiment idiots, ils n'ont même pas penser à me fouiller. Ah!J'en ai un!Dieu du feu!Ça marche pas !J'ai pas pris le bon.
À nouveau, il plonge ,comme il peut, sa main dans sa poche.
Lionel:Dieu du Feu! Ouais, ça a marcher.
Maintenant, Lionel est libre, il cherche son épée. Malheureusement, elle n'est pas dans la même pièce que lui. Il regarde dans la serrure à la recherche du loquet qui lui permettrait d'ouvrir la porte. Mais aussitôt, qu'il s'appuie sur celle-ci ,elle s'ouvre le laissant ,soudainement, tomber par terre.
Lionel:Ils sont encore plus stupide que je le pensais.
Alors, armé seulement de son courage, il parcoure les tunnels et galeries que constitue la base secrète.(Elle est pas tellement secrète. À l'entrée, il y a un énorme affiche écrit: Attention ! ! ! Base secrète de Diablissimo. Prenez gare lapin dangereux.)
Lionel:Si j'étais stupide où est que je mettrais mon épée...À l'entrée! Bien sûr!
Il court, il court encore plus vite à la recherche de son épée. Et aussi de la sortir.
Lionel:Il pourrait mettre des affiches. Il y a de quoi se perdre ici.
Tout à coup, il remarque un espèce de tableau ,sur le mur ,un peu plus loin.
Lionel lisant l'affiche:Tokyo 12345 km au sud-est, Paris 345 km au sud, Père Noël city 565 km au nord. Sortie 400 m à gauche. Mais où est-ce qu'on va aujourd'hui?
Auteure:D'après l'affiche, c'est à gauche qu'il faut aller.
Lionel:C'était une question qui ne demandait pas à être répondu.
Auteure:Oh!
Lionel:Aller on y va. Mes hommes doivent se demander où je suis.
Auteure:Je ne compterais pas trop là -dessus.
Au quartier générale.
Jay:Je suis sûr qu'il doit se faire du plaisir en ce moment.
George:Qu'est-ce qui te dit ça?
Jay: Au coin Queens Street et Princeton Boulevard, il y a plein de boîte de nuit. Il doit être là-bas. Ou sinon c'est qu'il s'est fait capturer...
George:Quoi! Mais il faut le retrouver! Sa mère va me tuer si elle l'apprend!
Jay:Du calme! Ça doit être un plan, pour récupéré des informations sur l'ennemi.
George:J'espère, sincèrement, j'espère.
Jay:T'as peur d'une femme!?
George:Elle est plutôt dangereuse. Déjà, au moment où son mari est venu ici ,combattre, elle avait un sale caractère. Tous les jours, elle appelait et poignait les nerfs quand il n'était pas là. Imagine, alors avec son fils.
De retour à Lionel.
Lionel:Mon épée, la voila!
Auteure:On dirait un gamin.
Lionel:On sort de cet enfer. Enfin!
Auteure:Parle pour toi, moi il faut que je retrouve cet &?$/±@¤¬"£¢ de Diablissimo.
Lionel:Bonne chance.
Dans le repère, au milieu d'une salle où se mélange plan et armement.
Auteure:Vous devriez faire le ménage. C'est vraiment sale ici.
Diablissimo:Tu es revenue. Tient mes deux amis que voici ne t'ont pas fait comprendre la message ou c'est toi qui veux pas comprendre.
Auteure:Les deux, je suis du genre obstinée. Surtout quand on me traite comme tu l'as fais. J'aurais pu te donner des tonnes d'informations sur ce que tu cherches ou plutôt sur ceux que tu cherches.
Diablissimo intéressé: Vraiment?
Auteure:Non, mais j'aurais pu.
Diablissimo:Alors dégage, tu déranges mes hommes!
Clic. Pouf!
Auteure:Quels hommes?
Diablissimo en se tournant vers ceux-ci: Ceux-là....Qu'as-tu fait de mes hommes?
Auteure:Je les ai effacé!
Diablissimo:Pourquoi, je les aimais bien ,moi.
Auteure:Je ne crois pas que tu les aimais. En fait, je ne crois pas que tu puisses aimer quelqu'un.
Diablissimo:Ce n'est pas très gentil.
Auteure:Parce que tu penses savoir c'est quoi être gentil. AH! Laisse moi rire.
Diablissimo:Je n'ai rien à me reproché, enfin jusqu'à maintenant.
Auteure:Tu mériterais que je t'efface, mais je ne le ferai pas. Je ne voudrais pas gâché tout mon suspense.
Diablissimo:...
En route vers son quartier générale, Lionel pense que quelque chose cloche.
Lionel:Pourquoi est-ce depuis tout à l'heure je sens une force différente à celle de Sakura émanant du médaillon?Ce n'est pas normal. Enfin...Où est ce fichu quartier générale?Il doit avoir son adresse dans le bottin téléphonique.
Il voit une cabine téléphonique et entre dedans .Dans le bottin, il passe pas les Quartier, les Général, les Base, les Secrète, sans rien trouvé de concret.(Ce sont des noms de famille.)
Lionel:Même pas dans le bottin! Sous mon commandement ça va changer.
Auteure:T'as besoin d'aide?
Lionel:Où est la base?
Auteure:32422 rue du lapin dangereux.
Lionel:Bizarre...Enfin, c'est la seule piste que j'aie.
Rendu là-bas.(Eh oui c'était la bonne rue)
George:Le voilà! Monsieur, où étiez-vous?
Lionel:J'ai fais un petit tour...
Jay:Je le savais...!
Lionel:...À la base de l'ennemi.
Jay:Je le savais!
George:Avez-vous des infos à nous communiquer?
Lionel:Non.
Auteure:Moi, j'en ai.
George: Suis-je le seul à avoir entendu cette voix?
Auteure soupira: De nos jours on a plus de reconnaissance, envers ses supérieurs.
Lionel chuchota vers les deux hommes:C'est l'Auteure...
Jay et George:Oooh!
George:Parlez, parlez.
Auteure:Vous n'aurez plus de problème avec les hommes de votre ennemi.
Jay:Pourquoi?
Auteure:Je les ai effacé.
George:Les pauvres hommes...
Auteure:J'étais fatigué de toujours être obligé de leur trouvé un nom. Ça pourrait arriver avec vous aussi.
George et Jay suppliant:Non!S'il vous plaît.
Auteure:Je vais écrire un livre à la fin de cette histoire. Son titre va être:L'art de faire supplier un homme. C'est géniale.
Lionel:Tu ne changeras donc jamais.
Auteure:Pourquoi est-ce que je changerais, j'ai encore le temps de m'amuser un peu.
Lionel resta encore un bout de temps, pour être sûr qu'aucune autre attaque ne se produise pendant son absence, ils allèrent même à la base «secrète» de Diablissimo qu'ils trouvèrent vide. Encore une fois ,il s'échappait.
Lionel déterminé:La prochaine fois sera la bonne.
De loin, il observait.
Diablissimo:Personne n'échappe au courroux du Mal. Et mon cher Lionel tu ne fais pas partit des exceptions.
Auteure:Beuh!
Diablissimo:Aaah!
Il tomba du toit duquel il surplombait la ville et tomba dans une poubelle.
Diablissimo:Je me vengerai pour ça.
Auteure:On en reparlera dans deux chapitres.
Fin
