Kikoo tlm !!!

kikoo tlm

Enfin le chap 2 de ma première fic !! je sais que ça fait très longtemps que j'aurai du la mettre mais le principal c'est qu'elle soit « enfin » là !

Bon je dis merci à tous mes reviewers et je les remercierai individuellement à mon prochain chapitre !!

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Chapitre 2 : La blessure du passé

Des servantes se succèdent autour d'Aya. Une lui passe un kimono, l'autre lui coiffe les cheveux et ainsi de suite. Elle les voit défiler si vite qu'elle a la tête qui tourne. Même si elle n'est pas heureuse d'être retournée au palais, sa chambre lui a manqué. Elle est d'un blanc pur, qui tranche avec son lit noir. C'est un lit immense, on pourrait y loger cinq personnes. De chaque côté sont disposées deux petites tables en bois sculpté. Sur chacune d'elle, des chandelles trônent. Sur celle de droite s'ajoute un livre "Comment faire une bonne mariée ?". C'est le roi qui l'oblige à le lire mais Aya n'a même pas lu la première page, juste pour provoquer son père. Chaque soir, quand il vient lui dire bonsoir, il retrouve le livre à la même place, la poussière s'accumulant de jour en jour sans que personne n'y touche. Partout dans la chambre, des livres et vêtements traînent par terre. Sa bibliothèque est à droite du lit. Juste à coté de celle- ci, elle a un salon avec de jolis fauteuils gris clair où elle se vautre souvent, lorsqu'elle est plongée dans un roman. A gauche de la pièce, une porte mène à son armoire personnelle, elle est presque aussi grande que la chambre elle-même. Il y a de grandes étagères où sont rangés ses habits, une salle de bain ainsi qu'une table remplie de bijoux et de produits de beauté. Depuis toute petite, Aya vivait dans l'opulence.

Les femmes continuent leur manège, tandis qu'Aya regarde par la fenêtre qui donne sur le jardin. Elle aurait voulu qu'elle donne sur la rue mais son père avait refusé, ne voulant pas que des mendiants viennent l'importuner. Cette fenêtre avait longtemps été un sujet de dispute. Mais Aya ne pense qu'à son mariage forcé. Elle voulait trouver son âme sœur, c'est ce que sa mère aurait désiré si elle était encore en vie. Aya ne garde pas beaucoup de souvenirs de sa mère. Elle se rappelle sa voix mais plus son visage, elle avait une voix douce et grave. Tous les soirs, avant qu'Aya ne dorme, elle lui racontait une histoire avec des chevaliers et des princesses, contes venus d'occident. En plus, Aya est si jeune, 16 ans ! Sa sœur, Gigeï, en a 17 et elle n'est pas mariée, son frère, Sôma, non plus et il en a 20. Pourquoi son père l'a-il choisie ?

Elle pense à Kenshin aussi, il est beau, il lui rappelle les chevaliers des histoires de sa mère. D'où lui vient cette cicatrice sur la joue ? Elle ne lui a pas encore demandé. Elle avait espéré qu'il l'emmène loin d'ici et de ses obligations. Elle désire l'aventure. Elle en a assez de sa vie monotone, toujours la même routine chaque jour. Aya ne sait pas ce qu'elle a mais elle sent une force qui bouillonne en elle qui ne demande qu'à exploser. Elle est interrompue dans ses pensées par une servante qui lui apprend qu'elle doit se rendre dans la salle de bal pour le banquet en l'honneur de son mariage.

Avant d'entrer dans la salle, elle voit Kenshin dans un couloir. Apparemment, il vient de sortir de son entrevue avec le roi. Elle l'apostrophe :

" Kenshin, je vous croyais parti ! Vous allez assister à la cérémonie ?

- Je ne sais pas encore, il est vrai que je t'ais fait une promesse mais, je ne peux pas me mêler à la foule, répond-il.

- Pourquoi donc ?

- Je suis désolé, je ne peux pas te le dire, mais peut-être qu'un jour tu le sauras...

- Laisse-moi deviner : "quand je serais plus grande" ! J'en ai assez ! Tant que je serai jeune, personne ne me prendra au sérieux ? Je n'ai même pas le droit de choisir mon mari toute seule, c'est si injuste ! Je veux grandir pour pouvoir m'enfuir, pour de vrai cette fois et ne plus être une princesse.

- Tu te trompes, moi, je te prends au sérieux, même si tu n'as que 16 ans. Je trouve que tu fais preuve de beaucoup de maturité. Par contre, je ne comprends pas que ton père t'ait marié si jeune.

- Tu crois ce que je te dis... alors si je te dis que... je t'aime et que je veux partir avec toi, tu me croirais ? Ou tu penserais que je te mens ?

- Je te croirais, malheureusement, ce ne sont que des caprices. Tu te plains parce que tu es une princesse, mais penses-tu à ceux qui souffrent continuellement et qui n'ont personne ? Tu ne connais pas la souffrance, la misère, les combats, le véritable amour le connais-tu vraiment ? Je suppose que tous tes amis ont été soigneusement choisis par ton père.

- Tu as raison, je ne connais pas tout ça, alors apprends-moi...

- Je voudrais pouvoir le faire mais c'est impossible. Nous sommes trop différents. Je ne peux te donner qu'une seule chose."

Sur ce, il se penche vers elle et effleure ses lèvres comme une caresse. Sa bouche a un goût de framboise et sa peau sent le miel. Il reste ainsi quelques minutes, respirant son parfum. Puis il recule, Aya gémit, elle veut qu'il reste auprès d'elle. Dans la salle du trône, à côté, elle entend son père qui l'appelle. Elle regarde Kenshin tristement, il lui rend son regard puis s'éclipse. Alors Aya entre dans la pièce.

La salle est magnifique, des fleurs jonchent le sol et sont accrochés aux murs. Des tables sont disposés dans toute la pièce pour les invités. Ils sont de tous les royaumes. Dans le fond de la salle, des trônes sont placés en face des tables. Il y a un large espace entre eux pour laisser la place aux prétendants qui sont venus par centaines. Le roi est encore assis sur son siège royal. Aya a beau chercher Kenshin, elle ne l'aperçoit pas.

Pourtant il est là, il se cache derrière une colonne de marbre. Le roi lui avait demandé de partir mais il veut tenir sa promesse, alors il restera jusqu'à la fin. Il ne devrait pas, voir Aya se marier si jeune alors qu'elle est qu'une fille en fleur lui fait mal.

Il ne sait pas pourquoi. Il la voit s'avancer parmi les invités, le sourire aux lèvres mais il ressent dans ses yeux une tristesse infinie. Elle s'assoit aux côtés de son père.

Le roi se lève, il parle fort :

" Bien, l'heure est enfin arrivée ! Merci de tout cœur d'être venu si nombreux ! Vous connaissez tous ma fille, Ayashi, la reine de cette soirée.

Aya baisse la tête en signe de reconnaissance, mais des larmes menacent de couler, elle les retient.

- Voila donc le moment que vous attendez tous ! Regardez-bien cette bague, elle est en or pur et son diamant renferme une grande puissance magique. Chaque prétendant devra la passer à son doigt, si elle brille, il deviendra le mari de ma fille. Que celui qui veut commencer s'avance !"

Un homme d'âge mur marche alors jusqu'au roi, il s'agenouille devant celui- ci et met la bague. Le diamant reste terne. De nombreux prétendants répètent le même geste, sans qu'il ne se passe rien. Chaque fois, Aya sent monté la terreur en elle. Dans la succession d'hommes qui passe devant elle, un attire son regard. Il est grand et blond, c'est le prince du royaume voisin. Sa présence la met mal à l'aise. Elle le sait, son père aussi, cependant avant que l'homme passe la bague, le roi prend les mains du prince entre les siennes et annonce :

" Celui-ci n'a pas besoin de mettre cette bague, je sais qu'il est digne d'épouser ma fille, il deviendra donc son époux."

Il y a des protestations parmi les invités, mais très vite devant l'air sévère du roi, ils applaudissent poliment.

Aya est trop abasourdie pour avoir des sentiments. Les larmes qu'elle retenait glissent sans fin sur ses joues, elle ne se rend pas compte.

Elle se lève, un courant d'air soulève ses longs cheveux. Elle ne pleure plus, son regard n'exprime que de la haine, pour son futur mari, pour son père, pour tous ces sujets qui applaudissent sans savoir ce qui se passe en elle. Une force inconnue la traverse, elle la sent bouillonner.

Elle refuse cette injustice, alors elle crie contre le monde entier.

Une lumière intense submerge alors la foule d'invités. Ils se cachent les yeux, tant cette lumière est pure, trop pure pour eux. Tandis qu'Aya crie encore plus fort, tous les verres posés sur les tables éclatent en mille morceaux.

Soudain, la lumière disparaît comme elle était apparu, Aya a cessé son cri de détresse.

Après quelques instants, les yeux se réhabituent à ce changement de luminosité. Aya est à genoux, elle transpire, souffre, elle a du mal à reprendre un souffle normal.

Des gardes la soulèvent, elle fait un pas devant l'autre avec effort. Puis tout à coup, elle reprend ses esprits, elle se rebelle.

Elle hurle : "Kenshin !".

Ce cri fait froid dans le dos, c'est un cri d'amour, de désespoir.

L'intéressé, quant à lui, écarquille les yeux de stupeur d'abord, puis de colère, contre lui-même. Comment peut-il laisser cette enfant souffrir comme cela ? Ayashi possède une force intérieure si immense, elle n'est pas à sa place dans ce palais. S'il le pouvait, il hurlerait à son tour, il serait prêt à tuer tout le monde, juste pour pouvoir la sauver. Ne lui a-t- elle pas demandé de l'emmener avec lui ? Il a refusé à ce moment-là, mais en vérité, il le désire plus que tout, pouvoir juste la serrer dans ses bras.

Les gardes font avancer Aya jusqu'à la porte qui mène au salon privé du roi. Ils l'ouvrent et poussent Aya à l'intérieur. Elle s'écroule sur un fauteuil rouge et soupire de fatigue. Elle ferme les yeux, repensant à ce qui vient d'arriver.

Elle revoit la lumière, cette éclat venait de son corps même, c'était son éclat. Son cri l'avait déclenché, elle se souvient qu'elle avait ressenti une immense fatigue. Puis son hurlement s'était éteint ainsi que l'éclat. Immédiatement, les gardes personnels du roi l'avaient prise par les bras et emmenée ici, elle n'avait aucune idée de la raison.

Peut-être que son père veut lui parler de ce qui c'est passé ?

Au même moment, son père, le regard anxieux, entre dans la pièce. Il va s'asseoir en face d'elle, lui prend ses mains entre les siennes et dit :

" Comment vas-tu ma chérie ? Tu dois être très fatiguée.

- Ne me touches pas !réplique-t-elle en retirant ses mains."

Elle ne sait pas comment son père sait qu'elle est complètement vidée de toutes ses forces.

Est-il possible qu'il en connaisse la raison ? Elle ne pense pas, elle-même n'en sait absolument rien. Il la coupe dans sa réflexion.

" Voyons, ma petite gazelle, sois gentille. Je ne veux que ton bien. Je sais que tu n'es pas très contente du mari que je t'aie choisi, mais enfin, mon chou, il est très puissant. Tu te rends compte de la renommée que nous allons acquérir, ainsi que les territoires. L'empereur lui-même pourrais venir vous souhaiter ses vœux. Tu devrais être heureuse, mon petit bout, tu vas devenir la plus grande reine de notre siècle, peut-être même plus grande que l'ancienne reine, Nomaïda, qui possédait des milliers de kilomètres de terre. Et puis, tu sais, mon chat, j'ai certaines obligations envers mes voisins, en tant que princesse, tu te dois de...

- Arrête ! crie-t-elle. J'en ai assez, tu m'entends ! Assez ! Je ne suis plus une enfant, tu me force à aimer quelqu'un dont je ne serais jamais amoureuse. Cet homme est vil, sale, répugnant. Il est bête et méchant, pas digne de son rang ni d'être le futur roi. Et toi, tu voudrais que je passe le reste de ma vie avec ce prince de pacotille, qu'il prenne ton trône ainsi que le palais et que je lui fasse des enfants pour lui succéder. Comment peux-tu... ? Je croyais que tu m'aimais mais en réalité, tu te sers de moi pour arriver à tes fins. Tu es pire que lui !

- Enfin mon cœur, tu sais bien que tu as toujours été ma préférée parmi...

- Arrête de m'appeler par des surnoms ridicules, c'est complètement idiot et ça m'énerve ! Si tu penses que cela va m'attendrir, tu te trompes. Tu dis que je suis ta préférée, c'est ça ? Je ne pense pas, si tu m'aimais, tu m'aurais laissé choisir mon époux.

- Mais je voulais quelqu'un qui soit digne de toi, une personne de confiance. J'ai eu raison, regardes la personne que tu as choisie. Ce samouraï est un vagabond, il est dangereux. Si tu savais tout ce que je sais de lui, tu ne l'aurais jamais choisi.

- Comment... ?

- Voyons Aya, il suffit de te regarder lorsqu'il te parle, tu t'illumines ! On dirait une simple adolescente en mal d'amour, c'est ridicule. De toutes façons, je t'interdis de le revoir, c'est compris ? Si jamais je te revois avec lui...

- Quoi ? Que vas-tu me faire ? Me renier et me jeter à la rue ? Très bien, fais-le ! C'en est plus que je ne peux le supporter. Qu'est-ce que ça peut te faire ? Tu ne vas pas m'obliger à ne pas aimer Kenshin, tu n'en as pas le pouvoir. Tu as beau être un roi, tu n'es pas Dieu, tu n'es même plus mon père.

- Justement, je dois te parler à propos de ça. Quelle heure est-il ?

- Euh ... 11h45, je crois. Pourquoi cette question ?"

Ignorant la question, le roi reprend :

" Il ne me reste pas beaucoup de temps pour te dire la vérité sur ta naissance.

- Comment çà ?demande-t-elle avec inquiétude.

- La vérité est que je ne suis pas ton vrai père. Je te l'ai caché car on me l'avait demandé, "ta véritable mère" me l'avait demandé."

Le visage d'Aya s'est figé avec une terrible expression de stupeur. D'abord, elle ne le croit pas, elle pense que c'est juste une blague, pas très drôle mais juste une blague. Voyant le visage tout à fait sérieux de son père, elle change vite d'avis. Alors, elle a l'impression que le monde autour d'elle s'est écroulé, comme après un tremblement de terre. Rien n'est plus pareil.

Tout est différent, le salon, son "père", elle-même. Elle ne reconnaît plus rien, comme si cela n'avait jamais existé ou qu'elle avait perdu la mémoire. Autour d'elle, les objets prennent une couleur fade, sans clarté. Elle regarde son père sans le voir vraiment. Celui-ci, après lui avoir laissé ces quelques minutes de réflexion, enchaîne brutalement :

" Oui, je sais, c'est un choc. Mais tu dois m'écouter attentivement, il ne reste plus beaucoup de temps. Il y a 16 ans à minuit pile, j'ai été réveillé par une intense lumière. Le temps de m'y habituer et une femme est apparue au milieu de cette lumière, elle tenait un bébé dans ses bras. Toi.

Je ne la distinguais pas très bien mais lorsque l'intensité de la lumière a baissé, j'ai pu apercevoir son visage. Elle était magnifique. Ses traits étaient extraordinairement fins, des cheveux couleur or et des yeux d'un bleu indéfinissable, pas humain. Tes yeux. Elle portait une simple robe blanche et te tenait enroulée dans un drap immaculé. Ce qui m'impressionna le plus, ce fut ses ailes, elle avait une paire d'ailes immenses qui commençaient dans son dos. Les plumes resplendissaient d'un éclat propre à chacune mais elles avaient toutes une couleur blanche, presque irréelle.

Elle avait une voix cristalline quand elle me dit "Voici ma fille, je vous la confie car j'ai confiance en vous, vous êtes un homme bon. Je vous en prie, prenez soin d'elle jusqu'à ses 16 ans. Elle possède des pouvoirs inimaginables, mais ils n'apparaîtront que le jour de son anniversaire, à minuit, lorsqu'elle aura 16 ans. Ce jour-là, il faudra que vous soyez prêt. Ne la laissez partir sous aucun prétexte, trouvez n'importe quoi pour la retenir car irrémédiablement, elle voudra vous quitter pour suivre un jeune homme. Faites très attention à lui, il ne lui attirera que des ennuis. Vous devez la protéger à n'importe quel prix. Si vous la traitez bien jusque là, vous serez sous ma bonne étoile et prospérerez. Mais si jamais vous ne respectez pas ces engagements, vous serez maudit. Vous avez compris ?" Alors, j'ai accepté son marché, pour l'avenir de ma famille.

- Non, c'est impossible ! Ma mère serait un ange ? Cela voudrait dire que je ne suis personne, je n'ai aucune famille, aucune attache et que... tu n'es pas mon père. Attends, si cela est vrai, tu n'as aucun droit sur moi, tu n'as pas le droit de me faire épouser quelqu'un sans mon consentement.

- C'était exact mais tu n'as plus le choix, maintenant que tu es engagée envers ce prince. Oh mon Dieu, il ne reste que quelques minutes avant...

- Avant quoi ?

- Tu verras en temps voulus. D'abord, je voudrais te parler de ce qui s'est passé tout à l'heure. Cela n'aurait pas dû avoir lieu, normalement tes pouvoirs ne se révèlent qu'à minuit. Cependant, ta mère avait envisagé la possibilité qu'ils se réveillent plus tôt que prévus, elle a dit que ça signifiait que tes pouvoirs seraient encore plus grands qu'elle ne l'avait imaginé.

- Quoi ? J'ai des pouvoirs ?

- Bien sûr ! Bon Avant qu'il soit minuit, je dois te remettre ceci."

Il pose un bijou sur la table située entre eux. Il est constitué d'une longue chaîne en argent et d'un pendentif. Le pendentif représente un petit cercle d'un blanc pur, aux quatre extrémités du cercle sont attachés des triangles en argent. Entre eux, il y a quatre éclairs mais en or cette fois.

Son père lui grogne avec appréhension de le mettre. Aya prend délicatement l'objet entre ses doigts fins et le place comme diadème sur ses longs cheveux noirs. Il lui entoure parfaitement la tête.

Minuit sonne soudain.

L'objet s'illumine tout à coup et la lumière gagne le corps d'Aya. Contrairement à la première fois où est apparue la lumière, Aya sent des ondes bienfaitrices parcourir son corps endolori par la fatigue.

Une force inconnue la soulève dans les airs. Tout ce qu'elle a à faire, c'est se laisser porter par ce vent puissant. La terre en dessous d'elle se met à trembler violemment.

D'abord, la lumière se propage dans toute la pièce, ensuite elle passe à travers les murs et le palais se retrouvent inondé par cette lumière.

Pour finir, c'est toute la ville qui est éclairée.

Au douzième coup de minuit, tout redevient ténèbres, la lumière a disparu. Mais Aya flotte toujours à quelques centimètres du sol, le menton plongé vers le bas.

Bien qu'elle se sente plus forte que jamais elle n'a été auparavant, elle a envie de dormir et de ne plus se réveiller. De longues minutes s'écoulent et enfin des gardes s'approchent de la princesse.

Ils la prennent dans leurs bras. Silencieusement, pour ne pas la réveiller, il la dépose sur son grand lit et mettent une couverture fine sur elle.

Elle dort profondément.

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et voilà !! c'est la fin du chap 2

j'espère que vous avez aimé !! en tous cas laissez-moi une petite review, ça me ferait super plaisir !

Ps : merci à toi, Lokes qui m'a fait remarquer mon erreur lol !! je l'ai corrigé exprès pour toi ! j'espère que tu apprécies le geste.........

Ps 2 : Le prochain chapitre est déjà bouclé ! J'ai déjà dit avant que ce 2ème chap n'arriverait pas tout de suite, à cause de problèmes d'ordi, mais là c'est bon, j'ai mes chapitres jusqu'au 6 !! mais bon, je vais vous faire patienter un peu sinon c'est pas drôle !! lol je suis sadique. En tout cas, ça dépend de vous, alors laissez moi une review please !! auteur qui supplie

Ps 3 : Noeru je suis dsl mais tu as mal compris ce que j'ai dit à propos de la conversation entre Kenshin et le roi !! parce que c'est le contraire, on apprend ce qu'il dise au chap 6 ou 7 ou peut-être encore après...je sais pas trop... lol en tous cas, ça a un rapport avec le passé de Kenshin......... bon allez je me tais !!

allez, bisous

lapuce