dernier jour de vacance bouh ouh fini les jours de glandage devant l'ordi à lire des fic au regardé des scans sur internet non fini ts retour au cours de philo de scémioligie ect humf c'est déprimant enfin voici un nouveau chapitre


Chapitre8

Avait-il vu l'enveloppe ? Et surtout, son contenu ?
Il la regardait avec une intensité troublante mêlée à une sorte d'inquiétude inexplicable. Au lieu d'être fâchée contre lui, Natacha sentit une vague de chaleur l'inonder. Furieuse de cette faiblesse, elle décida de le traiter comme il le méritait, après ce qu'il lui avait fait subir la veille.
– Vous vous êtes sans doute égaré, sasu, dit-elle d'une voix suave. Ici, c'est la loge des dames.
– J'y suis venu à dessein. En revanche, je suis plutôt surpris de vous y trouver. Après ma conduite d'hier, vous auriez pu décider de me fausser compagnie.
– Pourquoi ? demanda-t-elle en s'approchant légèrement, la mine étonnée. Devrais-je avoir peur de vous ?
– D'aucuns répondraient par l'affirmative, dit-il, soudain sérieux.
– Et vous, qu'en pensez-vous ?
– Je pense... que je ne cesse de penser à vous.
sasuké s'écarta de la porte pour la rejoindre. Le cœur battant la chamade, sakura tâcha de se convaincre qu'elle éprouvait tout simplement une frayeur bien excusable.
– Faites encore un effort, conseilla-t-elle sans céder un pouce de terrain.
– Impossible.
Il s'arrêta à quelques millimètres d'elle et caressa du bout des doigts son bras nu. Un frisson la parcourut tout entière. sasuké plongea ses yeux dans les siens, et une vibration de désir circula entre eux, presque palpable.
Dans une tentative désespérée de lui résister, sakura pivota et recula prudemment.
– Vous ne m'avez pas traitée avec beaucoup d'égards, hier soir, dit-elle le plus calmement possible, en dépit du tourbillon d'émotions qu'il déclenchait en elle. Je n'apprécie pas ces manières et ne tiens pas à m'y exposer de nouveau.
– Cela ne se reproduira pas, je vous en donne ma parole.
– Pourquoi devrais-je vous croire ?
– Ma mauvaise humeur n'avait rien à voir avec vous.
– Non, vous l'avez seulement défoulée sur moi.
– C'est une erreur de ma part, que je vous prie de me pardonner. Ne pourrions-nous effacer cet épisode, et repartir de zéro ?
Afin de ranimer sa volonté défaillante, sakura évoqua mentalement l'appel de ino au milieu de la nuit et les histoires de femmes qui n'avaient pas survécu à une rupture avec sasuké. Aimait-elle donc flirter avec le danger ?
– Il se passe quelque chose d'exceptionnel entre nous, murmura-t-il en avançant de nouveau vers elle.
Totalement désarmée, elle se retrouva acculée contre les placards, le visage encadré par les mains de sasuké. Sans exercer la moindre violence – verbale ou physique –, il obtenait d'elle ce qu'il voulait, la rendait aussi malléable qu'une poupée de chiffon. Consciente de sa faiblesse, elle lui tendit néanmoins ses lèvres avec ferveur et lui noua les bras autour du cou tandis qu'il l'embrassait longuement, passionnément.
Elle aurait aimé que ce baiser durât indéfiniment et gémit faiblement quand sasuké quitta sa bouche pour aller explorer sa joue, son oreille, descendant ensuite lentement vers sa gorge.
Comme elle renversait la tête et fermait les yeux, haletante, son dos glissa légèrement contre la porte du placard, heurtant la poignée. Le contact du métal dur et froid contre sa peau nue l'arracha un instant à son petit nuage. A travers les brumes du désir, les documents cachés dans son placard lui revinrent alors à la mémoire. Des documents lourds de révélations concernant l'homme qui la tenait dans ses bras.
– Ne vous gênez surtout pas pour moi.
La voix acide de Barbie lui fit l'effet d'une douche froide. Ouvrant brusquement les yeux, elle vit la jeune femme qui les considérait d'un air écœuré. Elle n'était pas la seule à profiter du spectacle. Un peu plus loin, plusieurs de ses collègues tendaient le cou pour mieux voir en s'affairant autour de leurs placards. Terriblement gênée, sakura repoussa sasuké sans le moindre succès. Ignorant tout le reste, il ne s'intéressait qu'à elle.
– Qu'en pensez-vous, ma jolie ? demanda-t-il.
Ainsi, il n'en démordait pas, espérant lui prouver qu'ils ne pouvaient se passer l'un de l'autre, qu'une alchimie particulière fonctionnait entre eux, que tous les raisonnements du monde ne changeraient rien à l'affaire. sakura l'eût volontiers admis, mais elle avait trop d'amour-propre pour lui céder en public.
Incapable de lui répondre, elle essaya de se dégager.
– Allez au diable, sasu, murmura-t-elle entre ses dents, assez bas pour que personne d'autre que lui ne pût l'entendre.
Visiblement vexé, il fronça les sourcils avant de se transformer tout à coup en un personnage très différent, distant et indéchiffrable sous sa carapace de cynisme toujours prête à le protéger. Sans dire un mot, il hocha brièvement la tête et quitta la pièce.
sakura sentit son cœur se serrer malgré elle.
– La rumba ne te suffit plus ?
Barbie s'adressait à elle sans la regarder, d'un ton chargé de haine contenue.
– En dosant adroitement ton allumage, tu persuaderas sans doute M. sasuké de te hisser en tête d'affiche comme soliste, continua-t-elle de railler tout en s'installant devant la coiffeuse.
Jusqu'ici trop prudente pour donner libre cours à sa jalousie, Barbie venait néanmoins de se trahir sous l'effet de la colère. sakura se demanda si la jeune femme n'avait pas voulu se débarrasser de ino qui avait été sa rivale avant elle. Mais c'était une idée absurde. De toute évidence, l'inconnu que ino devait épouser était à l'origine de sa disparition.
– Je ne me sers de personne pour favoriser ma carrière, répondit-elle tandis que les autres danseuses se préparaient pour la répétition.

– J'ai bien failli te croire.
– Ecoute, je ne veux rien enlever à qui que ce soit, ici. J'essaie seulement de survivre.
– Ma foi, tu y réussis à merveille, mon chou. Je frémis à l'idée de ce qui pourrait nous arriver à tous s'il te prenait l'envie de nous nuire.
Peu désireuse d'envenimer l'altercation, sakura haussa légèrement les épaules. En fait, l'accusation lui semblait injustifiée. Aucune danseuse de la troupe n'avait à craindre d'elle ; en revanche, elle-même avait tout à redouter de sasuké uchiwa qui constituait une menace permanente, sinon pour sa vie, du moins pour son pauvre cœur.

Lester Perkins attendait patiemment dans la pénombre du couloir, à la sortie des loges. Peut-être la chance lui sourirait-elle cette fois ? Il venait d'entendre le patron se quereller avec sakura, puis l'avait vu sortir en coup de vent, l'air furieux.
Qui sait, cette fille n'aimait-elle peut-être pas ces arrogants Italiens et préférait un bon Américain comme lui ? Auquel cas, il devait saisir l'aubaine et se placer sans tarder...
Les danseuses quittaient le vestiaire dans leurs costumes pailletés qui laissaient fort peu de marge à l'imagination. La sienne, justement, fonctionnait à merveille. Par exemple, il s'imaginait très bien avec sakura comme il s'était imaginé avec ino avant elle. Mais la fiction ne valait pas la réalité ; il le savait maintenant. Il cesserait de se tenir dans l'ombre, en attendant son tour. Il fallait être audacieux, provoquer les événements.
Aussi intercepta-t-il sakura dès qu'elle sortit de sa loge.
– C'est votre premier soir, n'est-ce pas ? Bonne chance... Je croise les doigts.
La jeune femme lui adressa un sourire.
– Merci, Lester. Je suis très touchée.
Tout émoustillé, il ajusta ses lunettes d'un geste un peu brusque.
– Nous pourrions fêter cela ensemble, après le spectacle ? Si nous allions boire un verre au dancing ?
– C'est vraiment gentil de m'inviter, mais ce soir, je n'ai pas le temps.
– D'accord, dit-il en souriant. Une autre fois, alors.
sakura fronça les sourcils.
– Hum, je ne crois pas, Lester. Mais merci tout de même de me l'avoir proposé.
Et sur ces mots, elle se hâta de rattraper les autres.
Demeuré sur place, Lester serra les poings. Elle s'était moquée de lui. Elle lui avait fait croire qu'il lui plaisait. Pour qui se prenait-elle donc ? Allaient-ils tous se laisser traiter de la sorte ?

Après le second spectacle, shika fit irruption dans le vestiaire des danseuses.
– Voici des fleurs pour notre nouvelle girl, annonça-t-il en brandissant une splendide gerbe de roses.
sakura s'avança vers lui, le cœur battant. Etait-ce une attention de sasuké ? Elle s'était peut-être montrée trop sévère avec lui, après tout.
– Mmm... elles sont superbes, dit-elle en humant leur parfum.
– Je dois vous dire de sa part qu'elles sont presque aussi belles que vous, précisa le chorégraphe en lui tendant le bouquet.
– sasu a dit cela ?
– Grand Dieu, non ! C'est neji hyuuga. Il voudrait également savoir si vous accepteriez de dîner avec lui ce soir.
– Soyez gentil, et priez-le de bien vouloir m'excuser, répondit sakura, dissimulant de son mieux sa déception. Je suis morte de fatigue. Mais remerciez-le pour moi. Ses fleurs et son invitation me causent un vif plaisir.
– Très bien, dit shika en faisant demi-tour. Je vais briser le cœur de ce pauvre homme.
C'était peu probable, songea sakura, amusée par la réflexion. Neji hyuuga ne s'intéressait à elle que parce qu'il l'avait vue au bras de sasuké. Elle trouvait tout de même étrange d'avoir eu affaire à ses trois « suspects » dans la même soirée. D'abord shino, puis sasuké, enfin neji... Sans compter Lester, ajouta une petite voix. Les étonnantes avances de l'employé l'avaient vraiment déconcertée. Mais sasuké ne l'avait-il pas décrit comme un inconscient qui passait son temps à tourner autour des danseuses au lieu de trouver une femme à sa portée ?
A l'exception de Barbie et elle, tout le monde était parti, à présent. Comme d'habitude, sakura était en retard. Posant les fleurs sur la table de maquillage, elle rassembla ses affaires à la hâte.
– Je suis navrée d'avoir eu des mots un peu vifs, tout à l'heure, lui dit Barbie. J'aimerais que nous soyons amies.
– Je le souhaite aussi, affirma sakura du fond du cœur.
Elle avait bien assez de soucis par ailleurs et préférait travailler dans une ambiance de bonne camaraderie.
– D'autant que ino est déjà ton amie, enchaîna-t-elle. Et comme les amis de mes amis sont mes amis... Mais je ne me trompe pas, vous êtes bien toutes les deux amies, n'est-ce pas ?
Barbie hésita une fraction de seconde avant de répondre par l'affirmative. Une hésitation qui éveilla toutefois les soupçons de sakura et lui fournit l'occasion d'improviser un peu.
– Je suis sûre qu'elle m'a parlé d'une promenade que vous auriez faite récemment, elle et toi, avec shino.
– Ils m'ont, en effet, proposé un dimanche d'aller visiter la région des Roches Pourpres en leur compagnie.
Ses propos laissaient entendre que c'était ino – et non elle – qui fréquentait shino. Celui-ci n'avait-il pas prétendu le contraire, pourtant ?
– J'avais cru comprendre que vous sortiez plus ou moins ensemble, shino et toi.
La blonde esquissa un sourire ambigu.
– shino n'est pas mon genre d'homme, dit-elle en glissant sa trousse de maquillage dans son grand sac. Eh bien, ajouta-t-elle, ta première prestation a été très réussie, en somme. Je dois même te féliciter pour la rumba. Veux-tu que nous marchions ensemble jusqu'au parking ?

– Merci, Barbie, mais j'ai perdu une de mes boucles d'oreilles sur scène, tout à l'heure.
– Ne te donne pas cette peine. Lester la trouvera en faisant le ménage.
– Je préfère la récupérer tout de suite, déclara sakura. Dis-moi, saurais-tu quel est le placard de ino ? demanda-t-elle encore.
– Regarde au centre de la seconde rangée, sur la droite. Bon, à demain !
Hissant son sac sur l'épaule, Barbie lui adressa un petit signe d'adieu et pivota sur ses talons.
Une fois seule, sakura décida de se mettre d'abord en quête de sa boucle d'oreille, un bijou auquel elle tenait tout particulièrement. Munie de la torche électrique qu'elle avait repérée dans les coulisses, elle gagna le plateau. La scène, comme la salle, était plongée dans l'obscurité. Le faisceau de sa lampe dirigé sur les planches, sakura commença ses recherches tout en déplorant d'être encore la dernière à quitter les lieux. Cela lui avait joué un bien mauvais tour par le passé ; elle redoutait par-dessus tout de vivre une autre mésaventure de ce genre qui réduirait à néant tous ses efforts de réadaptation.
Au bout de cinq minutes, ayant quadrillé toute la surface de la scène sans aucun résultat, elle se dirigea vers l'escalier en colimaçon qui menait à la plate-forme surplombant la grande citerne destinée aux nageurs du ballet aquatique.
Soudain, elle s'immobilisa à mi-chemin, prêtant l'oreille. Avait-elle entendu un craquement quelque part derrière elle, ou était-ce un effet de son anxiété ? Un silence total régnait à présent dans le music-hall. Un peu rassurée, sakura avança de nouveau. Peut-être avait-elle perdu cette boucle sur la plate-forme, quand les danseuses costumées en étoiles de mer et coquillages avaient formé une ronde autour du réservoir. Elle s'engagea dans l'escalier tout en éclairant soigneusement chaque marche au fur et à mesure de son ascension.
Au beau milieu de l'escalier, elle s'arrêta une nouvelle fois, réprimant un frisson. L'impression que quelqu'un l'épiait d'en bas, dans la pénombre, se précisait de seconde en seconde.
– Ohé, lança-t-elle d'une voix tremblante. Y a-t-il quelqu'un ?
Pas de réponse. Elle promena lentement sa torche à la ronde, sans aucun succès. Après une brève hésitation, elle décida de terminer ce qu'elle avait entrepris, tout en se tenant soigneusement sur ses gardes.
Toujours attentive, elle gravit les dernières marches. Elle atteignait la plate-forme supérieure quand un objet scintilla à la lueur de la torche. C'était bien sa boucle d'oreille, coincée à la jonction entre les planches reliant la passerelle au sommet de l'escalier. Mal à l'aise, persuadée de sentir une présence quelque part, à proximité, la jeune femme se pencha pour ramasser le bijou. Mais malgré ses efforts, elle ne put le retirer de la rainure où il était enfoncé.
– Ah, zut ! maugréa-t-elle à mi-voix.
Elle jeta un coup d'œil inquiet autour d'elle, puis s'agenouilla à demi et posa la lampe au bord de la citerne, le faisceau lumineux dirigé sur la boucle qui étincelait sous ses yeux. Inclinée au-dessus du réservoir, elle passa une main sous la planche de la passerelle pour dégager le bijou tout en tirant délicatement de l'autre côté sur la partie qui dépassait. Enfin, sa peine fut récompensée quand elle réussit à récupérer l'objet intact.
Au moment où elle se redressait, un bruit derrière elle la fit tressaillir. Serrant le pendant au creux d'une main, elle ramassa vivement de l'autre la torche posée sur le sol. Pas assez vite, cependant. Avant qu'elle eût pu se retourner pour éclairer l'endroit d'où venait le bruit, une silhouette indistincte surgit de l'ombre. Violemment poussée en avant, sakura perdit l'équilibre et bascula de la plate-forme. Lâchant la lampe et la boucle d'oreille, elle chercha à se retenir quelque part, en vain. Une fraction de seconde plus tard, elle tombait à l'eau dans une grande gerbe d'écume.
Les cheveux plaqués sur les yeux, elle se sentit aspirée vers le fond où elle rebondit d'un coup de pied pour remonter jusqu'à la surface. Quand elle émergea enfin, toussant et suffoquant, elle aperçut la lampe à quelques mètres d'elle, et qui, par chance, flottait et restait allumée.
– Espèce de lâche, cria-t-elle dès qu'elle eut recouvré son souffle, montrez-vous donc un peu !
Seul un rire étouffé, d'origine indéfinissable, lui répondit. Puis une porte claqua quelque part, et sakura resta seule dans le silence.
A présent, elle devait sortir de là au plus vite.
Hélas, elle ne tarda pas à comprendre pourquoi les nageurs grimpaient à des échelles de corde qu'on leur lançait à la fin du spectacle. En effet, même en prenant de l'élan, il était impossible d'atteindre le rebord de la citerne pour se hisser sur la plate-forme. Elle essaya tout de même à plusieurs reprises mais dut bientôt y renoncer, à bout de forces.
Sentant la panique l'envahir, elle utilisa toute l'énergie qui lui restait à se dominer. Puisqu'elle ne pouvait sortir de là par ses propres moyens, elle devait essayer d'attirer l'attention de quelqu'un. Mais de qui ? Tout le monde était parti, sauf la personne qui l'avait jetée là. A moins que le préposé au nettoyage fût encore dans les parages ?
Priant pour que le coupable ne fût pas précisément Lester Perkins, et que celui-ci se trouvât assez près pour l'entendre, sakura se mit à crier à tue-tête.
– Au secours ! Sortez-moi vite de là ! Je suis dans le réservoir !

Elle attendit un moment, puis recommença ; attendit et cria de nouveau, ainsi de suite pendant une éternité, lui sembla-t-il, jusqu'au moment où plus un son ne sortit de sa bouche.
Il lui restait tout juste assez d'énergie pour se maintenir à la surface de l'eau. Combien de temps pourrait-elle tenir ainsi ? Dans le pire des cas, personne ne viendrait avant le lendemain soir. Serait-elle capable de résister au sommeil pendant une vingtaine d'heures ?
Soucieuse d'économiser ses forces, elle s'étendit calmement sur le dos, se laissant flotter au gré des clapots, les bras en croix. Réconfortée par la lumière de la lampe – apparemment étanche, heureusement –, elle lutta contre l'engourdissement et s'obligea à réfléchir, songeant à l'appel de ino la nuit précédente, aux personnes qu'elle avait rencontrées depuis quelques jours, aux soupçons qu'elle nourrissait à leur égard...
Ainsi absorbée par ses pensées, elle faillit rester sourde à l'appel étouffé par l'eau qui emplissait à demi ses oreilles.
– sakura ?
La voix masculine semblait provenir des coulisses. D'un bond, la jeune femme se redressa à la verticale.
– Ici ! Dans la citerne ! Aidez-moi, je vous en prie !
Un bruit de pas précipités suivit, d'abord sur la scène, puis dans l'escalier à vis. Mais la lumière de la lampe ne lui permettait pas encore de voir son sauveteur.
– sakura ! Seigneur, comment êtes-vous tombée là-dedans ? Etes-vous indemne ?
Haletante, la jeune femme leva les yeux et découvrit le visage inquiet de sasuké uchiwa penché au-dessus d'elle.

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