Chapitre 5: Toi !
C'était le second jour dans sa nouvelle "vie". Après le petit déjeuner avec ses parents et Audley (qui s'était avérée être la bonnede son père), Hermione avait été laissée à ses propres occupations. En réalité, les mots exacts que sa mère avait utilisés étaient « j'espère que tu travailleras sur ta broderie aujourd'hui. L'application est une vertu, Hermione. »
Vertueuse ou pas, Hermione avait fait deux ou trois points d'une scène de chasse complexe et avait jeté tout cela de côté. Elle détestait coudre!
Pendant les dernières vingt-quatre heures, Hermione avait découvert plus de choses à propos « d'elle » dans cette « vie ». Elle ne savait pas pourquoi le Thym Eliminus l'avait envoyée dans cette personne, et par ailleurs, elle se demandait où la « réelle » Maîtresse Hermione Granger était partie – ou, vivaient-elles une sorte de dédoublement de personnalité? Car elle avait constaté qu'elle avait des fragments de connaissance et de compréhension de cette vie qu'elle n'aurait pu apprendre d'aucune façon à Poudlard. Par exemple, elle connaissait le nom de plusieurs domestiques par instinct et... heureusement pour elle, comment utiliser les cabinets.
Dans l'esprit d'Hermione, il n'y avait aucun doute que c'était le vrai passé. Elle avait découvert, par interrogation prudente et en tenant ses oreilles ouvertes, qu'elle était en 1486. Henry Tudor avait défait Richard III au Champ Bosworth l'année précédente. L'Angleterre était toujours catholique et les bains étaient encore mal vus.
Quand Hermione avait insisté pour prendre un bain la veille au soir, sa servante Marie (c'était le nom de la dame dodue toujours souriante) avait presque défailli. Hermione avait réussi à obtenir un bain dans un pot chauffé, mais avec en prime Marie lui déversant les avertissements de peste et chuchotantdans son oreille sans arrêt au cours de toute l'opération.
Hermione avait déambulé dans les vestibules du manoir, profondément plongée dans ses pensées. Dans son esprit, une pensée était plus présente que les autres... comment faire pour revenir à Poudlard ? Elle s'était rendue compte, depuis longtemps, que sa baguette magique n'était pas avec elle. C'était impossible de transplaner alors à Poudlard – comme elle avait d'abord espéré pouvoir faire. Réfléchis, réfléchis, réfléchis... Elle pourrait essayer de chercher d'autre gens ayant des pouvoirs magiques pour l'aider... mais bien sûr, ne brûlaient-ils pas les sorcières? Hermione frissonna quand elle se rappela la servante Audley annonçant à son père les combustions de sorcières à l'Essex. Quelqu'un qui n'était pas catholique, quelqu'un qui était différent... avait été brûlé vivant.
Ses pas l'amenèrent au hall inférieur où il y avait les armoiries. Le manoir était énorme... comme un petit château. Sur le mur, il y avait des plaques en bois taillées avec le sceau des Granger – une loutre et un cygne. Étions-nous vraiment des Lords avec un manoir? pensa Hermione fièrement. Ses parents, tous deux dentistes, seraient transportés de joie s'ils le découvraient. Hummm... Je me demande qu'est-ce qui a causé notre revers de fortune? Hermione pensa à sa petite maison confortable de Surrey. Leur « héritage » ayant le plus de valeur était le service de thé en argent de son arrière-grand-père... à peine noble !
Elle marcha autour des armoiries une fois et partit ensuite pour le hall inférieur. Il était rempli de domestiques qui arrivaient de partout et qui continuaient les affaires de monsieur. Il y avait une lourde grille de fer qui délimitait le territoire intérieur de l'extérieur. Elle regarda fixement par la grille et s'aperçut qu'elle pouvait discerner des écuries, des champs et des bâtiments un peu plus loin.
« Milady ? »
Elle se retourna. C'était Fanhope, l'huissier. C'était un jeune homme grand et bien fait, avec des yeux sombres et des cheveux qui lui rappelaient ceux de Justin Finch-Fletchey de Poufsouffle.
« Qu'y a-t-il? »
Fanhope la salua poliment et livra son message.
«Madame voudrait savoir si vous désirez l'accompagner à la chapelle? »
Hermione se demanda ce que l'on pouvait bien faire à la chapelle en plein jour, mais elle ne voulait vraiment pas être collé dans une église, à l'intérieur, au milieu du premier jour ensoleillé de mai.
« Je dois refuser. » répondit-elle rapidement. « S'il vous plaît, comment puis-je sortir dehors? »
« À l'extérieur? » demanda Fanhope, surpris. « Maîtresse, vous voulez aller à l'extérieur? »
« Oui » dit Hermione avec humeur. « Ouvrez cette grille s'il vous plaît. »
Le huissier secoua sa tête. « C'est comme ils avaient dit, vous n'êtes plus vous-même ces derniers jours. J'ai peur de ne pas pouvoir ouvrir cette grille, votre père ne payerait pas cher de ma tête si je laissais sa fille unique seule... »
« Bien, alors, vous venez avec moi! » dit Hermione.
Fanhope sembla encore plus déconcerté.
« Maîtresse, je pense que vous êtes malade. Peut-être devrions-nous appeler le docteur? Y a-t-il quelque chose dont vous avez besoin? »
Hermione secoua sa tête. Elle regarda la grille de fer hermétiquement fermée et le visage de Fanhope et se rendit compte qu'elle ne sortirait jamais de cet endroit de cette façon.
« J'étais... c'était juste pour plaisanter » dit-elle gentiment et elle fut heureuse de voir que l'expression inquiéte de Fanhope avait disparu.
« Je transmettrai votre message à Madame. Et peut-être... un mot d'avertissement ? »
Il la regarda doucement. « Vous feriez mieux de renoncer à ces idées, Maîtresse. Flânant dans les environs, jouant des jeux de garçon... c'est inconvenant. Votre père pense que vous devriez effectuer plus d'occupations de femme. Et, si je peux me le permettre, je suis d'accord avec le Lord. Une si belle rose ne devrait jamais vouloir se blottir parmi ses épines. »
Il rougit, la salua de nouveau et se détourna d'elle.
Hermione regarda fixement son dos. Elle était heureuse qu'une autre personne l'ait trouvée belle (Pansy Parkinson, prends ça dans les dents !), elle était heureuse aussi d'avoir appris quelque chose de nouveau. Apparemment, cette « personne » qu'elle « remplaçait » était un garçon manqué... tout à fait la dame non médiévale. Bien, c'était une bonne chose, parce que ces corsets la tuaient et il semblerait qu'elle voudrait courir et prendre la clef des champs... Elle estima que très bientôt, elle pourrait faire quelque chose de « non féminin » qui choquerait. Hermione se sourit à elle-même et rassembla ses jupes autour d'elle.
Elle allait trouver une autre façon pour se sortir de ce damné manoir... par curiosité, pour voir ce qu'il y avait à l'extérieur. Peut-être que ce monde n'était pas réel... et que dehors elle trouverait Poudlard! Si elle pouvait seulement voir les domaines, les collines et les villes autour, elle saurait que tout cela était réel... Elle estima que plus elle en connaissait sur son environnement, plus elle serait capable de savoir comment revenir dans son propre temps. Elle ne renonçait pas encore à l'espoir.
Elle erra en bas, dans les cuisines et les domestiques murmuraient sur son passage. Personne ne l'arrêta, quoiqu'ils la regardèrent curieusement.
Les cuisines étaient énormes. C'était certainement une des parties les plus importantes du manoir. Placé au-dessous du Grand Hall, les cuisines étaient d'une bonne cinquantaine de pieds de long, avec des lourdes tables en bois dans le centre, chacune croulant sous les légumes et les jeux. Il y avait plusieurs fours ainsi que plusieurs pompes à eau placées le long des murs. La place avait une odeur désagréable, il y avait de la fumée partout...
Hermione remarqua comment les domestiques étaient vêtus pauvrement. Jusque là, elle avait seulement vu les servantes, les serveurs, la bonne et l'huissier qui étaient tous correctement habillés. Mais les domestiques dans la cuisine étaient habillés grossièrement, portant des tuniques rapiécées, des chemises blanches sales. Ils ne la regardèrent pas lorsqu'elle passa, murmurant des « Milady » ou « Maîtresse » sur son passage.
Hermione se sentie incroyablement embarrassée. Ses cheveux étaient toujours tressés avec des rubans et des perles, sa robe était d'un brocart profond, vert avec des lacets valenciens. Même ses chaussures semblaient chères, douces et étaient joliment coupées dans de l'excellent cuir. La croix d'or autour de son cou, si belle en haut dans le Grand Hall, semblait beaucoup trop chère dans les cuisines.
Tournant au rouge et souhaitant qu'il y avait une quelconque sortie rapide de cet endroit qu'elle n'avait pas encore aperçu, Hermione quitta à la hâte les cuisines et se retrouva marchant le long d'un couloir étroit en pierre. À sa fin, il y avait une porte avec une clenche en bois qu'elle ouvrit rapidement. Où cela la mènerait-il?
Hermione s'attendit à se retrouver dans une autre suite de pièces du manoir, mais à sa grande surprise, un éclair de vent froid frappa son visage avec un éclat de soleil.
Elle avait trouvée une sortie du manoir!
Merde, pensa Draco Malfoy. Merde de merde de merde.
Il ne faisait pas juste se maudire. Il faisait une observation réelle de son environnement. Draco était dans les écuries avec trois autres jeunes hommes, ramassant des excréments de cheval avec une grande pelle.
Quelle punition! pensa Draco, amèrement. Des ampoules s'étaient déjà formées sur ses mains et chaque coup brûlait ses paumes. Aaaargh.
« Morbleusur l'esprit » dit un homme dans un coin. « Monsieur a des visiteurs demain. Le maudit Lord Camvile, pas moins. »
Draco s'était déjà formé une idée négative sur cet homme dans le coin. Hibbings. Il surveillait le travail sur la propriété du Lord et était rusé et grossier. Hier, il avait crié aux oreilles de Draco pour « le fait d'être impertinent ». Si Draco avait eu sa baguette magique... Pour se remonter le moral, Draco pensa à toutes les malédictions qu'il voudrait jeter sur ce crétin... Furnunculus premièrement. Huuumm.. Jambe en coton aussi. Densaugio... pas mal.
Ses mains étaient piquées par la douleur, ses bottines étaient pleines de crottin durci et il puait. Il faisait tout ce qu'il pouvait pour éviter d'en avoir sur sa chemise et sa tuniqueaussi.
« Ouais nous n'avons pas toute la journée » dit le crétin. « Après cela, il y a le l'vage des pièces et les pelouses. »
Cela mériterait un Crucio pensa Dracon, souriant avec une ironie désabusée. Tout ça est de la faute à cette maudite Granger, pensa-t-il encore. Si elle ne se sentait pas bien, pourquoi diable a-t-elle continué son ASPIC de Potion? Quelque chose dans le genre devait nécessairement arriver, stupide fille.
Draco se rappelait trop clairement. L'explosion de la potion d'Hermione. Il en avait été imbibé tout comme Hermione. Hermione était tombée sur le plancher. C'était l'instinct qui l'avait fait essayer de l'aider.
L'instinct, se dit-il sévèrement. Seulement l'instinct, rien d'autre.
Comme il la tenait dans ses bras, il avait eu l'étrange sensation qu'il était aspiré quelque part... comme si son corps avait été magnétisé et qu'il était attiré vers un énorme et mystérieux aimant... quelque part. À sa grande horreur, Granger commença à fondre de ses bras, alors que ses propres bras commençaient à disparaître... et il tombait, tombait... dans un sommeil profond.
Il s'était réveillé indemne, mais extrêmement inconfortable dans une pièce très sombre, moisie. Il était complètement nu, à l'exception de son anneau des Malfoy. Il s'était assis et s'était rendu compte qu'il était sur une sorte de lit à tréteaux bas. Le matelas était mince et bourré de paille... étonnamment, il avait mal à cents endroits différents! Immédiatement, il avait cherché sa baguette magique... mais il s'était rendu compte qu'il l'avait laissé sur le banc de Potion à Poudlard. Il avait libéré un flot d'insultes, beaucoup apprises de Lucius.
Il y avait quelques vêtements sur un tabouret en bas du lit – s'il pouvait appeler cela un lit. Merde. Qu'est-ce que c'était cela? Une sorte de forme de chemise en lin et une tunique.Sale. Cependant, il ne pouvait pas se promener tout nu. Draco avait mis les vêtements qui, assez étrangement, lui allèrent à la perfection.
Dans quel genre de vie avait-il reculé dans le temps? Comment se faisait-il qu'il se fût trouvé dans un endroit qui lui était légèrement familier ? Il était allé directement à un buffet et avait pris un morceau de pain. Comment avait-il su qu'il y avait un buffet ? Draco avait haussé les épaules. Il y avait une cruche d'eau sur un bloc de pierre à côté et un feu brûlait dans une cheminée. C'était plutôt enfumé.
Draco était affamé et avait fini le pain en entier. Cela avait un goût épouvantablement mauvais. Maudit sois-tu Granger, avait-il pensé. Et de toute façon, où sommes-nous? Mais il ne pouvait pas passer toute sa matinée à penser à Granger, il devait aller à l'extérieur et voir où il était. Peut-être que c'était seulement un mauvais cauchemar. Prudemment, Draco avait ouvert la porte de sa maison champêtre. La première chose qu'il avait vu fût un château au loin. UN CHÂTEAU! Je devrais être à l'intérieur!
Il avait commencé à cheminer vers ce dernier. Au bout d'un moment, il y avait eu un cri à sa gauche. C'était l'homme qu'il connaissait maintenant comme Hibbings. C'est à ce moment que son cauchemar avait commencé sérieusement...
Draco mit sa pelle à fumier loin dans un coin et essuya ses bottines sur le chemin de peau tannée à l'extérieur. Les trois autres garçons firent de même. Le travail semblait empirer et devenir plus difficile. Hier, Hibbings les avait fait travailler à la construction d'une grange supplémentaire pour la moisson, qui promettait d'être abondante cette année. Le Lord du Manoir avait acquis plus de terrain. Draco n'avait absolument aucune idée de comment construire quoi que ce soit et avait été la personne la plus grognonne. Quand il avait répondu, Hibbings lui avait tiré les oreilles.
Le plus mauvais moment de son cauchemar a été lorsqu'il avait appris que le Lord du Manoir était le Lord Granger de Suffolk. Draco avait ri tout haut. Il avait une bonne idée de ce qui était arrivé. Jusqu'ici, il n'avait pas réussi à obtenir un simple aperçu de Granger Miss-Je-Sais-Tout, mais il avait gardé les yeux ouverts. Sors, sors, peu importe où tu es.
La chose que Draco pouvait le moins comprendre était pourquoi chacun le connaissait toujours comme Draco Malfoy. S'il était entré dans la vie de quelqu'un d'autre, sûrement qu'il avait un nom différent, une identité différente ? Certainement personne dans la famille Malfoy n'avait été le fils d'un jardinier ?!
Il sentit le poids de son anneau autour de son cou à l'intérieur de sa chemise. Il l'avait pendu à une corde en cuir pour la bonne garde. Ce serait sûrement incongru de voir le fils d'un jardinier pourtant un anneau d'une telle valeur. Tandis que cela avait été un rappel constant du fardeau pour lui de soutenir le nom de Malfoy, c'était maintenant un rappel consolant qu'il n'appartenait pas à ce temps, à ce genre de vie. Aucun Malfoy n'aurait jamais pu être abaissé à ce niveau auparavant. Qu'est-ce qui était arrivé? Lucius lui disait toujours que les Malfoy avait été riches et puissants pendant plus de huit siècles. Si seulement il pouvait arriver à Poudlard, il pourrait se faire une idée... il ne le connaissait pas ici! Grrr... mais il n'avait pas sa baguette magique... Une pensée principale revenait constamment dans son esprit, comment revenir dans le futur?
« Gaaaah! » haleta-t-il.
« Encore en train de rêver? T'es le plus mauvais garçon sur cette terre. Si tu n't'active pas, j'ferai rougir ta peau. Fanhope n'doit jamais te prendre. Personne sait comment il réagirait a'ec toi.»
Draco afficha une expression maussade. À sa gauche, Thomas, le fils d'un autre jardinier, lui envoya un regard compatissant. Paysan! pensa Draco, en colère. Je n'ai pas besoin de la sympathie d'un paysan!
Il observa Hibbings alors que celui-ci s'éloignait. Le ressentiment et la colère qui passèrent en Draco étaient si forts qu'il tira férocement sur les mauvaises herbes dans le gazon en employant ses mains nues pour mettre le sol en « jachère ». Les jeunes plants d'herbe seraient plantés et commenceraient à grandir la semaine prochaine. C'était un dur, un épuisant travail... mais il fut bientôt plongé dedans, furieux, tirant sur les mauvaises herbes en donnant libre cours à sa colère et sa confusion.
Le sol avait une odeur douche, riche. Draco n'avait jamais été aussi près de la terre auparavant. Il aimait la sensation de la saleté noire entre ses doigts. C'était frais et si sincère. Étrange, pensa-t-il, j'aime cette tâche inférieure beaucoup plus que je ne le devrais.
Il avait été si absorbé qu'il ne remarqua pas la demoiselle l'observant d'un coin du jardin. La dame souleva ses jupes et commença à marcher vers lui.
Il était seul lorsqu'elle arriva à côté de lui et que son ombre tomba à travers son secteur de travail. Draco en chercha la provenance et la vit.
Sous le soleil de Mai, la dame à côté de lui étincelait d'une jeune beauté. Ses cheveux châtains et épais étaient tressés avec des perles et tombaient convenablement autour de sa tête. Sa robe était d'un coûteux brocart vert forêt, lacé, et épousait gracieusement les courbes de son corps. Son teint était clair comme la neige et ses joues étaient colorées d'une douce couleur rosée. Elle sentait la lavande et l'épice douce et elle le regardait maintenant avec de grands yeux choqués, couleur caramel.
Elle était la chose la plus belle qu'il ait vu depuis son voyage dans le passé. Peut-être même la chose la plus belle qu'il ait jamais vue de sa vie entière.
Ses yeux se rétrécirent.
« Toi! » grogna-t-il.
Alors voilà la suite! J'espère que vous avez apprécié!! Je n'ai pas encore commencé à traduire le chapitre 6 mais je le ferai sous peu, je tombe pour une semaine en vacances à partir de lundi (sur cette semaine là je pars trois jours en camping cependant!). Mais bon, je n'ai rien de prévu alors je vais essayer de m'avancer le plus possible durant ces quelques jours!!
Sinon, merci de me reviewer! Ça me fait toujours très plaisir lorsque je reçois vous review!! Et encore et toujours un TRÈS GROS MERCI À ALIXE, qui prend le temps de tout corriger mes chapitres!
Les RAR maintenant!
Alixe : Merci beaucoup de prendre le temps de corriger mes chapitres (aussi rapidement ) et aussi de toujours prendre le temps de reviewer!
Vengeresse : Merci J'espère que tes examens se sont bien passés! Je continue, je continue, pas d'inquiétude, j'adore ça! Et en passant, j'adore ton pseudo, il est vraiment bien!
Mimi Geignarde : Je viens de m'apercevoir que tu m'avais déjà laissée une review.. alors DOUBLEMENT merci, puisque je ne t'avais pas remercier la première fois (j'ai du en oublier une, désolé!). Tout ça pour te dire, tnt mieux alors si tu adores toujours autant! Je suis contente que ça te plaise!
Alpo : Oui oui, je sais qu'il faut une suite! Et je suis persuadée que tu t'aie dit exactement la même chose en finissant ce chapitre 5! Bisous!
Naseis : Eh bien, ça me fait rire cette review parce que tu sais quoi? Seulement quelques jours avant que je ne la reçoive, je me suis dit la même chose, comme quoi que ma fic ressemblait à « Magie ou Illusion » (que j'adore trop au passage ). Pour ta question, je crois que ce chapitre y a répondu! (et non, ce n'était pas stupide! ).Bisous!!
